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Formation Continue du Supérieur
25 janvier 2011

Demos lance son enquête annuelle sur le DIF

http://trophees-dif.demos.fr/SiteCollectionImages/t_bandeau.gifEn vue de la célébration des Trophées du DIF 2011 le 17 mars prochain, le spécialiste de la formation professionnelle, Demos, propose un sondage à destination des entreprises, des organismes publics et des salariés ou agents pour connaître leur vision du Droit Individuel à la Formation (DIF). Depuis 5 ans, ces enquêtes prennent la valeur d’un véritable observatoire des pratiques DIF au sein des organisations et auprès de leurs collaborateurs.
Les différents aspects du DIF étudiés par l'enquête

Les interrogés donnent leur point de vue sur la mise en place globale du DIF dans leur entreprise: efficacité, communication auprès des salariés, freins rencontrés, processus, financement… Une première enquête menée auprès des DRH et responsables de formation en partenariat avec Formaguide, a pour objectif de révéler les pratiques des entreprises ou des organismes publics en matière de DIF. Une seconde enquête réalisée en partenariat avec Kelformation et Viadéo porte sur les pratiques effectives des salariés ou des agents.
Que pensez-vous du DIF ?
Votre avis nous intéresse ! En répondant à ces enquêtes, vous avez la possibilité de participer à un tirage au sort qui vous permettra peut-être de gagner un ouvrage des Editions Demos de votre choix! Participez à l’Enquête DRH / RF. Participez à l’Enquête salariés.
Les résultats des enquêtes des années précédentes sont en ligne: n'hésitez pas à les consulter afin d'avoir une vision plus précise du DIF et de son utilisation dans la politique de formation des entreprises.
Voir sur le blog 5e édition des Trophées du DIF et de la Professionnalisation.
http://trophees-dif.demos.fr/SiteCollectionImages/t_bandeau.gif A felkészülés az ünneplés a DIF Trófeák 2011 március 17-én a szakemberképzés, oktatás, javasolja egy felmérés a vállalatok, kormányzati ügynökségek és alkalmazottai vagy ügynökei, hogy a látás az egyéni képzéshez való jogot (DIF). 5 év, ezek a vizsgálatok az értéke egy valódi obszervatórium a SRI gyakorlatok szervezetek és alkalmazottaik körében. Még több...
25 janvier 2011

Les MBA tirent profit de la recherche académique

http://www.ecoles-entreprises.com/imgs/logo.gifLes programmes de management de haut niveau, tels les MBA, tirent profit de la recherche. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par Peter Golder, Professeur de Marketing à Tuck School of Business et Debanjan Mitra, de l’University of Florida.
Leur étude "La recherche académique: un bien ou un mal pour les programmes MBA?" démontre que "la recherche académique participe à  valoriser l’image de l’école auprès des professeurs, des candidats, mais aussi des recruteurs sur le court et le long terme".
"Les recruteurs attachent une valeur de plus en plus importante à la recherche menée dans les business schools. Cette conclusion a d’ailleurs surpris beaucoup de monde. […] Par ailleurs, avoir la culture de la recherche est important. La capacité à structurer un problème et à le résoudre est bien plus importante que la réponse elle-même. C’est ce que les étudiants recherchent: apprendre à résoudre un problème tout seul", explique Peter Golder. Voir la vidéo de Peter Golder.

http://www.ecoles-entreprises.com/imgs/logo.gifProgrammi ta 'ġestjoni ta' livell għoli, bħal MBA, jibbenefikaw mir-riċerka. Dan jirriżulta minn studju minn Peter Golder, Professur tal-Marketing fil Tuck Iskola ta 'Negozju u Debanjan Mitra, Università ta' Florida. Studju tagħhom "riċerka Akkademiku: barka jew curse għal programmi MBA?" turi li "r-riċerka akkademika tikkontribwixxi biex issaħħaħ l-immaġni ta 'l-iskola ma' għalliema, il-kandidati, jirrekluta iżda wkoll fuq żmien qasir u twil." View video ta 'Peter Golder. More...

25 janvier 2011

L'Enseignement supérieur dans le rapport de Henri Rouilleault

http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/squelettes/images/header-site-travail.jpgLe rapport sur l’emploi en sortie de récession a été remis au Ministère du Travail le 21 janvier. Henri Rouilleault, administrateur de l’INSEE, avait été chargé de son élaboration en mars 2010 par les secrétaires d’Etat à l’emploi et à la prospective (Laurent Wauquiez et Nathalie Kosciusko-Morizet).
Henri ROUILLEAULT, administrateur de l’INSEE, a été chargé le 10 mars 2010 d’une mission par les secrétaires d’Etat à l’emploi et à la prospective (Laurent WAUQUIEZ et Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET) visant à: *faire un état des lieux de l’évolution du niveau du chômage et les caractéristiques de la population concernée, *examiner l’impact de la crise sur les parcours d’emploi des salariés, *opérer un benchmark européen sur les mesures en faveur de l’emploi, *proposer les évolutions des dispositifs économiques destinés à amortir les conséquences des mutations économiques. A l’issue d’une très large concertation, avec des représentants des organisations représentatives des salariés et des employeurs, des administrations et opérateurs publics concernés aux échelons central et déconcentré, des directeurs des ressources humaines, des élus, des experts, Henri ROUILLEAULT formule 41 propositions visant à renforcer l’accompagnement des transitions professionnelles.
Extraits concernant l'Enseignement supérieur
Dans le quatrième régime, la croissance est tirée par l’innovation. Ce modèle schumpetérien suppose une forte synergie entre l’enseignement supérieur, la recherche publique et privée, les grandes entreprises et les start-up. p.11
En ce qui concerne, la formation initiale, les données font apparaître l’ancienneté de l’effort éducatif américain dans le secondaire et le supérieur, de l’effort allemand dans le secondaire, y compris l’alternance, le niveau élevé et en progression des pays scandinaves et du Japon, l’effort plus récent de la France, et le retard persistant des pays du Sud de l’Europe. p.12
Deux variantes du régime de croissance tiré par l’innovation apparaissent ainsi: la première est fondée sur le lien étroit entre les universités et les entreprises, à l’américaine, avec un fort dualisme entre les emplois technologiques qualifiés et les emplois de service; la seconde, plus inclusive, à l’instar des pays nordiques, s’appuie sur la montée en compétence et responsabilité de l’ensemble des salariés. p.13
Le quatrième régime de croissance, fondé sur l’innovation dans l’industrie et les services, prend difficilement le relais, en Europe et plus particulièrement en France. De nombreux indicateurs, dépenses de R-D, dépôts de brevets triadiques, nombre de chercheurs, dépenses pour l’Enseignement Supérieur, pourcentage de sortie de l’école sans qualification, laissent à désirer. p.40
Si l’insertion professionnelle des jeunes est globalement difficile, comme le montre l’enquête du CEREQ sur la génération sortie en 1998 du système scolaire, elle l’est sensiblement plus pour les non diplômés. La proportion des jeunes sortis non diplômés au chômage ou en inactivité est double de celle des sortis avec un diplôme du secondaire et a fortiori du supérieur. p.75
Passer à un régime de croissance tirée par l’innovation ne concerne pas que la recherche et l’enseignement supérieur, l’interface entre recherche publique et privée. p.150
Pour sortir de cette situation, il faudrait: -une implication accrue des enseignants, avec de nouveaux droits et de nouveaux devoirs pour eux: des locaux pour travailler, seul et en groupe, recevoir les élèves et les parents, davantage de formation hors temps de face à face avec les élèves, de remplacement des collègues absents, de session d’été des universités, -beaucoup moins de redoublements, et beaucoup plus de gestion de la diversité des collectifs d’élèves et d’étudiants en formation..., -davantage d’autonomie des établissements de responsabilité et des directions, dans le prolongement de la réforme des universités..., -davantage de partenariats entre les écoles, les universités, et entreprises, pour l’alternance
éducative, la découverte des métiers, -une concentration des efforts financiers sur la petite enfance et sur l’Université, -des objectifs contractualisés à tous les niveaux. p.187
La France a dans de nombreux secteurs d’activité un problème de compétitivité non seulement par rapport aux pays émergents mais aussi par rapport à l’Allemagne. La priorité à l’innovation, la recherche, l’enseignement supérieur, l’investissement matériel, l’une des conditions nécessaires pour restaurer notre compétitivité dans une économie mondialisée, ne doit pas renforcer ni la fracture numérique ni la fracture sociale. p.197
http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/squelettes/images/header-site-travail.jpg The employment report emerges from recession has been submitted to the Ministry of Labour on January 21.  Rouilleault Henry, director of the INSEE, was responsible for its development in March 2010 by the Secretaries of State for Employment and Foresight (Laurent Wauquiez and Nathalie Kosciusko-Morizet).
Extracts on Higher Education
In the fourth regime, growth is driven by innovation. This model assumes a Schumpeterian strong synergy between higher education, research, public and private, large companies and start-ups. p.11
As regards the initial training, the data show the antiquity of the educational effort in American secondary and higher education, the German effort in the secondary, including alternating high and rising Scandinavian countries and Japan, the latest effort of France, and the continuing delay in the South of Europe. p.12
Also on the blog Strengthen the support of professional transitions and the French documentation Anticipate changes and build consensus - the obligation to negotiate the three-year planning mechanism jobs and skills. More...
25 janvier 2011

Jeunes et alternance au COE

http://www.coe.gouv.fr/IMG/siteon0.pngRéunion de travail du jeudi 6 janvier 2011
Au cours de cette séance conscrée à l’emploi des jeunes, le Conseil a entendu Benoît Coeuré, Directeur général adjoint du Trésor, Patrick Hetzel, Directeur général de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle, Isabel Lecrique, Responsable de l’Unité Développement des Compétences Opérateurs à la RATP et Régis Barbier, Directeur de la mission locale de Beaune.
Présentation d'Isabel Lecrique. Présentation de Régis Barbier. Présentation de Benoît Coeuré.
Benoît Coeuré: 1.En France, les jeunes cumulent de nombreuses difficultés sur le marché du travail, 2.En comparaison internationale, notre retard en matière d’emploi des jeunes doit être en partie relativisé, 3.Quelles causes aux difficultés d’insertion des jeunes sur le marché du travail? Similitudes et différences des conditions d’insertion des jeunes par rapport aux actifs plus âgés, 4.Éléments de constat concernant quelques politiques pour l’emploi des jeunes, 5.La question des discriminations.
Les difficultés d’accès àl’emploi des jeunes non diplômés français (les «laissés-pour-compte»), bien qu’importantes, sont dans la moyenne (OCDE, «Des emplois pour les jeunes», 2009). Toutefois, les jeunes diplômés rencontrent généralement des difficultés plus importantes qu’ailleurs du fait notamment d’une mauvaise adéquation entre certaines formations initiales et les besoins du marché du travail.
•Favoriser le travail non qualifié: *En France, le ratio «salaire minimum»/ «salaire médian »est le plus élevéde l’OCDE (63% en 2008, contre 46% en moyenne dans l’OCDE), *Mesures déjàmises en oeuvre: modération du Smic; allégements de charges sur les bas salaires
•Faciliter les transitions sur le marchédu travail: *Le dualisme insiders/outsiders: effet ambigu sur le niveau de chômage structurel; effet négatif sur les conditions d’insertion des nouveaux entrants, notamment les jeunes, *Vers une «flexicurité» à la Française: rupture conventionnelle; meilleure prise en charge des transitions (CRP-CTP, FPSPP…)
•Les contrats aidés (hors alternance) peuvent être utiles lors d’une conjoncture très dégradée ou pour les publics très éloignés de l’emploi. Ces contrats, notamment les contrats non marchands, ne semblent pas une solution efficace pour faciliter l’insertion durable des jeunes sur le marchédu travail.
•L’orientation des étudiants doit être effectuée davantage en fonction des besoins du marchédu travail, exemple: taux de chômage pour les docteurs 3 ans après leur thèse est de 14% en «Lettres et Sciences humaines» et de 4% en «Mécanique, Électronique, Informatique, Sciences de l'ingénieur».
Taux de chômage des docteurs
•Même pour des docteurs, l’exposition au chômage peut être significative
•Elle varie très fortement selon leur spécialité et selon la proximité avec l’entreprise au cours de leur thèse.
L’alternance: son développement ne passe pas nécessairement par des questions financières

L’alternance connaît une nette progression depuis 2005 et constitue l’une des pistes les plus prometteuses
•Toute chose égale par ailleurs, l’apprentissage augmente de 7 pts la probabilitéd’être en emploi3 ans après (+3% pour le salaire) par rapport àune formation par voie scolaire (Abriac & alii, 2009)
•L’alternance fait l’objet d’aides et de dispositions fiscales très incitatives: environ 50% du coût d’un apprenti est subventionné+ prise en charge des cotisations salarié
•Seuls 1/3 des 16-20 ans passent par l’alternance en France contre 2/3 en Allemagne: *Les «facteurs financiers»(coût pour les entreprises, attractivitéde la rémunération des apprentis) ne font pas apparaître de différentiel significatif en faveur de l’Allemagne. *La comparaison avec l’Allemagne souligne dans ce pays: la forte structuration de la filière et intégration au système de formation initiale, l’orientation précocevers l’alternance (àla différence du collège unique), la durée plus longue des formations en alternance, l’accès réservé à des professions réglementées.
Isabel Lecrique: La RATP a placé l’insertion et l’accès à l’emploi en priorité des jeunes, au coeur de sa politique sociale et de développement local. Elle marque ainsi sa volonté de faire du transport un facteur d’intégration et de développement de la solidarité urbaine. *Une traduction à travers des engagements forts basés sur l’égalité des chances, la non discrimination et la diversité. *Une volonté d’embauche des jeunes (- 26 ans) sur des CDI/sous statut ou via un dispositif spécifique d’insertion et de formation en alternance...
Régis Barbier: Alternance = nécessité d’une approche qualitative
Un dispositif de médiation depuis 2002 devenu expérimentation départementale en 2009: → limiter les abandons en cours de formation, → réduire le décrochage et ses effets. = accompagnement extraprofessionnel, = processus de conciliation, = travail avec les branches, les CFA et les consulaires...

http://www.coe.gouv.fr/IMG/siteon0.png Munka találkozó csütörtök, január 6., 2011
Ez alatt az ülés conscrée a fiatalok foglalkoztatására, a Tanács meghallgatta Coeuré Benedek, főigazgató-helyettes a Pénzügyminisztérium, Patrick Hetzel, főigazgató, Felsőoktatási és foglalkoztathatóság, Isabel Lecrique, vezetője Készségfejlesztés egység üzemeltetők az RATP és Regis Barber igazgatója, a helyi küldetésének Beaune.
Bemutatása Isabel Lecrique. Bemutatkozik Régis Barbier. Bemutatkozik Benedek Coeuré. Még több...

24 janvier 2011

Appel à projets Développeurs de l’alternance

http://217.25.180.53/portail/skins/FPSPP/images/logo_fpspp.gifL’appel à projet Développeurs 2011, le Guide des procédures, la Demande de financement, le Suivi des recrutements 2011, le Modèle suivi entreprises et le Bilan développeurs 2011. Publié le 21/01/11.
Le présent appel à projets s’inscrit dans la Convention-cadre conclue le 15 mars 2010, pour une période comprise entre 2010 et 2012, entre le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels, ci-après FPSPP, et l’Etat, et dans le cadre de l’annexe signée le 18 janvier 2011 pour l’année 2011.
Il est la réponse à l’Article 3.4 de la Convention dont l’objet vise les Mesures d’accompagnement à la qualification et à la requalification des salariés et des demandeurs d’emploi. L’article 3.4, pour la partie consacrée aux développeurs de l’alternance, est rédigé comme suit :
« La mise en oeuvre de politiques volontaristes, notamment en matière de promotion des contrats de professionnalisation, doit pouvoir être encouragée et facilitée par l’octroi de moyens spécifiques, à l’instar des développeurs de l’alternance.
Les signataires décident par conséquent que l’affectation des ressources du FPSPP pourra permettre, le cas échéant, la poursuite ou la mise en oeuvre de telles campagnes, incluant le financement de moyens permettant de renforcer l’information des entreprises, notamment des TPE-PME et des personnes susceptibles de bénéficier des dispositifs financés ».
Il est proposé aux OPCA de procéder au recrutement de développeurs, dont la mission sera d’effectuer auprès des entreprises, au cours de l’année 2011, la promotion des contrats en alternance. L’objectif est d’accompagner les OPCA dans leur politique de promotion de l’alternance auprès des entreprises, dans une période caractérisée par la crise économique et financière.
L’intervention du fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels dans cet appel à projets consistera en une participation aux frais de fonctionnement des personnes qui assureront sur le terrain la promotion du contrat de professionnalisation. La démarche suivie en 2011 reprend largement les caractéristiques retenues lors la Campagne précédente.
Editorial n°8 du 18 Janvier 2011 du FPSPP
L’annexe 2011 à la convention cadre du 15 mars 2010 est signée dans les locaux du FPSPP, par le ministre du Travail de l’Emploi et de la Santé, M. Xavier BERTRAND,  par la Ministre en charge de l’Apprentissage et de la Formation Professionnelle, Mme Nadine MORANO, par le Président du FPSPP, M. Djamal TESKOUK et par le Vice Président, M. Francis DA COSTA. Le Conseil d’administration du FPSPP qui s’était tenu le matin même avait pris connaissance de la version définitive de l’annexe et donné mandat aux Présidents du FPSPP pour la signer.
Les partenaires sociaux ont souligné combien il était important de disposer tôt dans l’année de l’annexe financière annuelle qui permet ensuite au FPSPP de gérer les appels à projets, ou les avenants à d’anciens appels à projets. Pendant deux années successives, et compte tenu de conventions et d’annexes signées plus tardivement, le FUP en 2009, puis le FPSPP en 2010 a publié des appels à projets à la mi-année ce qui ne permet pas des réalisations tout au long de l’année. Or la convention cadre du 15 mars 2010 a été conclue pour trois ans justement pour donner de la visibilité aux opérateurs et pour éviter les effets de stop and go préjudiciables à la gestion des projets et à leur mise en œuvre sur le terrain.
L’annexe 2011 s’appliquera à des engagements pris du 1er janvier au 31 décembre 2011. Les prochaines instances du FPSPP vont travailler à la mise en œuvre de cette annexe, dont une version détaillée sera prochainement disponible. Les anciens projets non modifiés, sauf dans leur montant, seront proposés par avenant aux OPCA et OPACIF qui s’y étaient déjà engagés sur l’exercice précédent. Pour les OPCA et OPACIF qui n’avaient pas répondu à un appel à projet en 2010, et qui souhaiteraient s’y engager en 2011, pourront le faire s’il est prolongé. Ils procèderont alors comme s’ils s’engageaient dans un nouveau projet.
Le premier cas pratique que le FPSPP va proposer de poursuivre par voie d’avenants concerne les développeurs. Dès le 20 janvier, les OPCA ayant mis en œuvre des développeurs en 2010 se verront proposé de poursuivre l’opération à l’identique sur 2011. Une commission Professionnalisation se tiendra le 26 janvier 2011 afin d’examiner les simples demandes de prolongation pour les programmer avant la fin du mois de janvier.
Sur le montant de l’annexe financière 2011, il est en diminution par rapport à l’annexe financière d’avril 2010, puisqu’on passe de 1 060M€ à 800M€. Mais  l’annexe financière 2011 ne comporte pas de prise en charge de l’AFDEF (-160M€). L’autre partie de la diminution  est essentiellement imputable à  l’article 3.1, axe 1 (actions de qualification et requalification en direction des salariés), les opérations plus particulièrement liées à la situation de crise en 2009, comme le chômage partiel diminuant progressivement. Les actions prévues sur l’axe 3 sont en augmentation par rapport à l’annexe financière 2010.  L’axe 4 reconduit à l’identique les fonds alloués à l’appel à projets territoriaux en cours d’instruction. L’article 3.2 (péréquation) évolue très peu par rapport à l’année précédente passant d’un prévisionnel de 380M€ à un prévisionnel de 370M€. L’article 3.3 lié au financement du service dématérialisé reprend les mêmes montants que ceux qui étaient prévus pour 2010 (non dépensés) et l’article 3.4 est en augmentation pour intégrer les développeurs, qui avaient été mis en œuvre précédemment en fin 2009 et qui donc ne figuraient pas sur l’ancienne annexe financière.
Dernière précision: Le montant du FSE (100M€) intègre un report de crédits FSE non dépensés sur l’année 2010. Bernard Abeillé, Directeur Général du FPSPP.
Voir aussi la catégorie FPSPP du blog et les articles Le FPSPP maintient son soutien aux développeurs de l'alternance en 2011 et FPSPP: accord sur un budget de 800 millions d'Euros pour 2011.
http://217.25.180.53/portail/skins/FPSPP/images/logo_fpspp.gifIs-sejħa għall-iżviluppaturi tal-proġett, 2011, il-Manwal, l-Talba Finanzjament, il-Monitoraġġ ta 'reklutaġġ, 2011, il-mudell tan-negozju segwita mill-iżviluppaturi u l-Karta tal-Bilanċ, 2011. Published on 21/01/11.
Din is-sejħa għall-proġetti hija parti tal-Konvenzjoni ta 'Qafas konkluż Mar 15, 2010, għal perjodu bejn l-2010 u l-2012 bejn il-Kumitat Konġunt sigurtà karriera Fond, minn hawn FPSPP , u l-istat, u Bħala parti mill-iskeda iffirmat Jan 18, 2011 sa 2011
. Ara wkoll il-kategorija FPSPP il-blog u l-artikoli Il FPSPP ssostni l-appoġġ tiegħu għall-iżviluppaturi ta 'sostitut fl-2011 u FPSPP: ftehim fuq baġit ta '800 miljun Euro għall-2011. More...
24 janvier 2011

Le PRAO recrute un(e) Chargé(e) de mission AIO et VAE

logo du PRAO 100
Le POLE RHONE-ALPES DE L'ORIENTATION, Groupement d'Intérêt Public, intervenant dans le domaine de l’orientation et de la formation tout au long de la vie, recrute un ou une Chargé(e) de mission sur l’Accueil Information et l’Orientation (AIO) et la Validation des Acquis de l’expérience (VAE).
MISSION
Rattaché(e) au Pôle AIO et VAE du PRAO, vous accompagnerez la conception, la promotion, l’évaluation et la capitalisation d’actions, de projets et d’outils en direction des professionnels des réseaux de l’orientation rhônalpins.
Ces démarches devront favoriser la qualité, la complémentarité et la continuité des services d’orientation tout au long de la vie et promouvoir les approches coopératives entre les réseaux AIO.
ACTIVITES PRINCIPALES:
Au sein de l’équipe du Pôle AIO et en lien avec les autres Pôles du PRAO, vous devrez: *Assurer une veille sur les méthodes, outils et innovations en matière d’accueil, information et orientation et sur les démarches coopératives entre réseaux, *Participer  au recueil et à l’analyse des besoins des acteurs AIO en matière d’informations, d’outils, méthodes et d’actions de professionnalisation, *Concevoir des produits et services adaptés aux besoins repérés (actions de professionnalisation, mise à disposition d’informations, développement d’outils et de projets), *Accompagner leur mise en œuvre opérationnelle, *Participer à la promotion de ces produits et services auprès des réseaux, *Mettre en œuvre des démarches d’évaluation des actions réalisées.
COMPETENCES
Connaissances: *Du champ de l’orientation au plan national et européen, *Des pratiques et des métiers de l’AIO, *Du dispositif de Validation des Acquis de l’Expérience, *Du fonctionnement des financeurs publics et privés: Etat, Région, Europe, OPCA, Entreprises.
Compétences techniques, être capable de: *Analyser et synthétiser des informations, *Maîtriser les techniques et outils de la conduite de projet, *Réaliser des montages financiers, *Proposer  les méthodes et outils appropriés aux objectifs à atteindre et aux publics concernés, *Imaginer des modalités innovantes, *Accompagner l’expérimentation et l’évaluation des projets, *Capitaliser et opérer des transferts, *Analyser les dysfonctionnements et proposer des réajustements, *Rédiger des rapports, synthèses, notes d'analyse.
Compétences génériques: *Maîtriser les outils bureautiques, notamment de Word – Excel - Outlook, *Appliquer des processus méthodologiques, *Conceptualiser des données, *Gérer un projet, *Animer un groupe de projet, animer une action de formation, *Avoir la capacité à travailler en réseau, *Avoir la capacité à travailler en équipe, *Faire preuve de créativité.
EXPERIENCE
*Expérience confirmée dans le domaine de l’orientation si possible dans plusieurs  contextes institutionnels, *Expérience directe de l’animation de groupe de travail dans un contexte de conduite de projet, *Expérience du travail partenarial interinstitutionnel.
TYPE DE CONTRAT
Contrat à Durée Déterminée d'un an à 80% à pourvoir immédiatement. Contrat de droit public.
REMUNERATION
Salaire mensuel net 1700 €
LOCALISATION
à Lyon 2e, Confluence. Déplacements sur la région.
Merci d'adresser votre candidature (CV et lettre de motivation) à Christelle Masson , responsable du pôle AIO/VAE, par mail, cmasson@rhonealpes.fr ou par courrier: GIP PRAO, 78 route de Paris, 69751 Charbonnières les Bains Cedex.
COPE 100 logo
The Rhone-Alpes POLE ORIENTATION, Public Interest Group, working in the field of guidance and training throughout life, is recruiting a Senior or (e) of the Home Mission Information and Orientation (IOA) and the Validation of Acquired Experience (VAE).
MISSION

Attached (e) Pole AIO and the VAE COPE, you will accompany the design, promotion, evaluation and funding of actions, projects and tools directed at professional networks guidance Rhône-Alpes.
These steps will enhance the quality, complementarity and continuity of guidance throughout life and promote cooperative approaches between the networks AIO. More...
24 janvier 2011

Toujours plus ?

Le coût du système éducatif est d’abord lié à la massification débridée du secondaire et du supérieur entamée dans les années 80 qui n’a pas pris en compte un certain nombre d’éléments qui ne permettaient plus de reconduire le système ancien.
Plusieurs contresens ont été commis durant cette période
: *L’illusion que l’investissement éducatif pouvait protéger les nouvelles générations du chômage et garantir une progression professionnelle pour tous. *Une mécompréhension des mutations technico-organisationnelles du système de production conduisant à la croyance que les emplois du futur allaient essentiellement être marqués par une montée en connaissances générales justifiant un allongement drastique des études. *La sous-estimation du rôle de l’expérience et de la formation qualifiante des adultes dans l’adaptation de la population active aux mutations du travail. *La posture consistant à maintenir un « mur de Berlin » entre système éducatif et monde du travail. *Le maintien de l’enseignement professionnel comme voie de relégation des élèves ayant échoué dans l’enseignement général. *La bizarrerie consistant à maintenir une hiérarchie et un cloisonnement entre filières technologiques et professionnelles (ce qui est certainement l’illustration la plus marquante de la mécompréhension des mutations du travail). *Le développement externalisé (par rapport aux établissements scolaires) de l’apprentissage et des systèmes de formation par l’alternance sous contrats de travail dans des structures de formation démunies en matière d’ingénierie de formation. *Une conception des diplômes professionnels inadaptée à l’alternance et plus largement aux acquisition en situation de travail. *La persistance d’une conception de l’enseignement professionnel rétive aux poly-compétences et à la polyvalence.
L’idée que le système éducatif pouvait résoudre à lui seul la démocratisation de l’enseignement et la résolution des problèmes d’insertion professionnelle des jeunes a conduit à de nombreuses désillusions.  Ce doute à l’égard du système éducatif a rendu plus difficile la mise en place d’un cercle vertueux consistant à étaler l’effort de formation tout au long de la vie notamment vers celles et ceux qui exercent les emplois du bas de l’échelle. Or cet effort de formation des actifs les moins qualifiés nécessite des perspectives professionnelles crédibles. Elle restera un leurre si la société s’emploie à vouloir faire occuper les emplois intermédiaires et de cadres uniquement par les jeunes qui ont réussi la course aux diplômes ce qui restreint d’autant les voies promotionnelles pour les salariés avec le paradoxe du développement du sentiment de déclassement pour certains d’entre eux.
Ainsi les mécanismes de l’ascenseur social sont partiellement enrayés par l’inflation des diplômes supérieurs (licences professionnelles et masters) et les logiques de poursuite d’études des jeunes ayant préparés des diplômes visant l’accès à l’emploi (BAC professionnel, BTS, DUT…). Cette fuite en avant en niveau d’une partie des nouvelles générations se fait aussi sur le dos des jeunes « décrocheurs » qui ne parviennent pas à acquérir un diplôme dans le secondaire ou qui abandonnent dans les premières années d’Université et qui se voient stigmatisés à vie…
24 janvier 2011

Seniors, trouvez un emploi grâce au web

Aller a la home de France 5Rédigé par Odile Gnanaprégassame. A l’instar de tous les candidats à la recherche d’un emploi, les seniors ne peuvent se dispenser d’être présent sur le Net. Conseils d’Aymeric Vincent, directeur des Ressources humaines et auteur de l’ouvrage Décrocher un emploi grâce aux réseaux, aux éditions Vocatis. Seniors : pensez-vous trouver un emploi grâce au web ? Témoignez et demandez conseil à la rédactrice en chef de France 5 emploi.
Les seniors se sont-ils appropriés les réseaux sociaux professionnels ?

Aymeric Vincent : "Les réseaux sociaux ont été massivement investis par les jeunes. Du côté des seniors, ce sont surtout les 45-50 ans qui y sont présents. Au-delà de cette tranche âge, ce n’est pas encore entré dans les habitudes. Ceux qui surfent déjà sur Internet pour une utilisation personnelle ou quotidienne sont plus à l’aise avec ces outils. Les autres ont toujours la possibilité de s’auto-former en ligne. Par exemple, sur le réseau Viadeo, l’utilisateur est guidé dans la création de son profil de base."
Les recruteurs sont-ils sensibles à la présence des seniors sur ces réseaux ?

A. V. : "Tout dépend du secteur d’activité. Dans le marketing ou le high-tech, il certain qu’il vaut mieux être présent sur Internet quand on recherche un emploi. Certaines grandes entreprises ont d’ailleurs intégré les réseaux sociaux comme outils de recrutement. Dans des métiers manuels, cela peut ne pas être primordial. Refuser d’être visible sur le net peut être interprété par certains recruteurs comme un manque d’ouverture sur le monde d’aujourd’hui."
Comment se mettre en valeur sur Internet ?

A. V. : "Le plus simple est d’avoir et surtout de « faire vivre » son profil sur LinkedIn ou Viadeo. Il ne faut pas se contenter de mettre son CV en ligne. Un senior est, par nature, expérimenté et a plus de choses à dire et à partager. Il peut donc créer un blog… mais uniquement s’il pense écrire des billets régulièrement. Une personne qui travaille - ou travaillait - dans le marketing couvrira l’actualité de son secteur en la mettant en perspective par rapport sa propre expérience professionnelle. C’est une bonne manière de mettre en avant son expertise. En se gardant bien entendu de tomber dans le piège de la nostalgie « de mon temps, c’était comme ceci… »."
Est-il plus pertinent de s’inscrire sur ces réseaux pour seniors du type Beboomer ou sur les réseaux généralistes comme LinkedIn ou Viadeo ?

A. V. : "Les seniors ne doivent pas se contenter de s’inscrire sur les réseaux qui leur sont dédiés. Cela peut avoir un intérêt certain notamment de rencontrer des pairs mais peut être également limité. Etre présent sur les deux types de réseau est un moyen d’augmenter sa visibilité auprès des recruteurs. Aussi bien auprès de ceux qui auront la démarche de se rendre sur un réseau de seniors parce qu’ils souhaitent embaucher un senior, que de ceux qui n’auront pas forcément l’intention de recruter un senior au départ."
Les seniors, qui souffrent déjà de discrimination sur le marché du travail, doivent-ils indiquer leur âge et mettre leur photo sur leur profils en ligne ?
A. V. : "Il est toujours possible de deviner l’âge en se référant au parcours professionnel. Un candidat, senior compris, doit être identifiable sur les réseaux professionnels. Cela est d’autant plus vrai pour les personnes dont le patronyme est répandu (Dupont, Dubois…). D’où la nécessité de mettre une photo identique sur chacun de ses profils. Enfin, les seniors sont plus attentifs que les jeunes candidats aux informations qu’ils diffusent en ligne. C’est un atout pour soigner son identité numérique."
Mur fil-dar ta 'Franza 5 Written by Odile Gnanaprégassame. Bħal kandidati kollha li qed ifittxu impjieg, anzjani ma tistax taffordja li ma jkunu preżenti fuq il-Net. Parir Aymeric Vincent, Direttur ta 'Riżorsi Umani u awtur ta isib xogħol permezz ta' netwerking, ippubblikat Vokazzjonijiet. Anzjani: do you issib ix-xogħol permezz tal-web? Jixhdu u fittex parir mill-editur ta 'Franza 5 xogħol. L-anzjani kienu huma professjonali netwerks soċjali xierqa? More...

23 janvier 2011

Pôle Emploi lance un webmag consacré à l'emploi

http://www.slate.fr/widgets/cartouche_pemploi.jpgPôle Emploi vient de mettre en ligne emploiparlonsnet.fr, un site internet dont la ligne éditoriale se base sur le concept du webmagazine avec un sujet de prédilection: l'emploi et le contexte socio-économique. En partenariat avec des sites tels que Slate.fr ou Lesinfluences.fr, il traite des questions d'actualité, veut ouvrir des perspectives et des débats en faisant intervenir intellectuels et chercheurs. Les internautes sont invités à participer en postant analyses, études, idées et commentaires.
Toute la semaine, le philosophe Edgar Morin indique ses idées de réforme. Aujourd’hui : les nouvelles solidarités. Recueilli par Emmanuel Lemieux.
EPN : Que diriez-vous en 2011 à un chômeur occidental qui désespère ?
Edgar Morin :  Que la croissance est un mirage, que l’on ne peut plus croire au progrès ininterrompu et que face au modèle ancien de l’économie, il faut envisager la perspective de nouveaux métiers, notamment verts, et  « démondialiser », nous y reviendrons, des activités . Il nous faut inventer aussi de nouvelles solidarités dans un contexte où l’Etat-providence est en en retrait. Ce que j’essaie de formuler, c’est une politique autre.
EPN : Ces nouvelles solidarités pourraient-elles prendre quelle voie ?
E.M : J’avais proposé d’expérimenter, il y a quelques années, des « maisons de solidarité » qui auraient pu être généralisées dans les villes et les quartiers. Ces « Crisis centers » concentreraient en un même lieu des organismes comme Pôle emploi, mais aussi des associations humanitaires, un centre d’accueil pour toutes les détresses urgentes. Ces centres auraient été animés par un corps de volontaires solidaristes et de professionnels, mobilisables à tout moment pour des besoins autres que celles remplis par le SAMU ou les hôpitaux.
Je crois aussi au développement de l’économie solidaire, pouvant prolonger sous certaines formes l’économie mutualiste, avec  des initiatives s’appuyant ou suscitant des solidarités locales.
Une société ne peut évoluer en complexité, c’est-à-dire tout à la fois en autonomie, en liberté et en communauté, que si elle progresse en solidarité. Tout cela ne peut qu’encourager au sentiment vécu d’appartenance à la communauté.
EPN : Quel est le principal obstacle aux nouvelles solidarités ?
E.M : Ce qui frappe par exemple les étrangers, venant d’Asie ou d’Afrique, c’est le sort que l’Occident réserve à ses vieux. Le progrès nous a apporté l’individualisme, or celui-ci est ambivalent. Il a, sans doute, affirmé le sens de la responsabilité mais en même temps, il a déclenché le retour sur soi, et même le repli. Toute métamorphose de société paraît difficile L’individu-sujet détient deux logiciels, celui du « Moi-je » et celui du « Nous ».  Le Moi-je est vital pour se nourrir, se défendre, se développer. Le logiciel du Nous inscrit le Je dans une relation d’amour ou de communauté au sein de sa famille, de sa patrie, de son appartenance religieuse, de son parti. Notre civilisation a surdéveloppé le logiciel individualiste, mais le second dort : à nous de le réveiller. »
http://www.slate.fr/widgets/cartouche_pemploi.jpg Centru Job għandu biss jitqiegħed fuq l-internet emploiparlonsnet.fr, websajt li editorjali linja hija bbażata fuq il-kunċett tar-rivista online ma 'suġġetti favoriti: l-użu u l-iżvilupp ekonomiku soċjo. Fi sħubija ma 'siti bħal Slate.fr jew Lesinfluences.fr, jittratta dwar kwistjonijiet attwali, trid tiftaħ perspettivi u d-dibattiti li jinvolvu intellettwali u riċerkaturi. Il-klijenti huma mistiedna biex jipparteċipaw bl-affissjoni, studji analiżi, ideat u kummenti. More...
22 janvier 2011

AGEFOS PME PACA remet sa Charte Qualité

Revenir à l'accueil d'AGEFOS PME Provence-Alpes-Côte d'AzurAGEFOS PME PACA remet sa Charte Qualité à 175 organismes de formation. AGEFOS PME Provence-Alpes-Côte d'Azur, 1er Organisme Paritaire Collecteur Agréé (OPCA) de France et de la région PACA, organise Mercredi 19 Janvier 2011 au Centre de Congrès AGORA d'Aubagne (13), une grande manifestation à l'occasion de la remise officielle de sa Charte Qualité aux Organismes de Formation retenus dans le cadre de son dispositif "Actions Collectives de Formation 2011-2012".

Ce dispositif, mis en place en 1998 et cofinancé par le FSE, l'Etat et AGEFOS PME PACA, permet de former chaque année quelques 2.500 salariés en PACA, soit environ 75.000 heures de formation dispensées sur l'ensemble du territoire, y compris les départements alpins.
• 42 thèmes de formation
• 175 organismes de formation sur l'ensemble des départements de la région
• 1 centaine de lieux de formation sur l'ensemble du territoire
• 1 participation unique de 60 € HT par salarié et par action
• 1 offre sélectionnée et réservée aux entreprises de moins de 250 salariés
Véritable outil de développement de la formation professionnelle, ces formations ont pour vocation d'accompagner les entreprises dans leurs problématiques d'anticipation et d'adaptation à leur environnement et faciliter l'accès à la formation des salariés. Ces actions sont dites "collectives" car organisées en interentreprises.
Depuis 2000, un "Passeport Formation", véritable journal de bord des formations suivies dans le cadre de ce dispositif soutenu par les partenaires sociaux, est adressé aux salariés afin de leur permettre d'être acteurs de leur évolution professionnelle. Il s'agit de les amener à réfléchir sur leurs besoins en formation, engager une Validation des Acquis de l'Expérience, préparer un entretien professionnel ou envisager un changement de poste. Cet état, propriété du seul salarié dont il garde la seule responsabilité d'utilisation peut désormais servir à alimenter le Passeport Formation proposé en ligne sur www.passeportformation.eu, site internet du Passeport Formation créé par le Fonds Unique de Péréquation à la demande du Comité Partiaire National pour la Formation Professionnelle.
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