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Formation Continue du Supérieur

26 novembre 2010

Tout sur la POE

http://www.dell.com/downloads/global/corporate/about_dell/cgpme_300.jpgLa loi de réforme de la formation professionnelle du 24 novembre 2009 a créé, - il s'agit d'une proposition de la CGPME - le dispositif de préparation opérationnelle à l’emploi (POE) à destination des demandeurs d’emploi indemnisés ou non. La préparation opérationnelle à l’emploi permet à un demandeur d’emploi de bénéficier d’une formation nécessaire à l’acquisition des compétences requises pour occuper un emploi correspondant à une offre déposée auprès de Pôle emploi. A l’issue de la formation, qui est dispensée préalablement à l’entrée dans l’entreprise, un contrat de travail en CDI, Contrat de professionnalisation à durée indéterminée, ou CDD d’une durée minimum de douze mois peut être conclu par l’employeur et le demandeur d’emploi. En savoir plus.
Préparation opérationnelle à l’emploi
« Art. L. 6326-1. – La préparation opérationnelle à l’emploi permet à un demandeur d’emploi de bénéficier d’une formation nécessaire à l’acquisition des compétences requises pour occuper un emploi correspondant à une offre déposée par une entreprise auprès de l’institution mentionnée à l’article L. 5312-1(1). L’offre d’emploi est située dans la zone géographique privilégiée définie par le projet personnalisé d’accès à l’emploi du demandeur d’emploi.
A l’issue de la formation, qui est dispensée préalablement à l’entrée dans l’entreprise, le contrat de travail qui peut être conclu par l’employeur et le demandeur d’emploi est un contrat à durée indéterminée, un contrat de professionnalisation à durée indéterminée ou un contrat à durée déterminée d’une durée minimale de douze mois.
Art. L. 6326-2. – Dans le cadre de la préparation opérationnelle à l’emploi, la formation est financée par l’institution mentionnée à l’article L. 5312-1 ( Pôle Emploi) le fonds mentionné à l’article L. 6332-18 ( Fond Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels) et l’organisme collecteur paritaire agréé dont relève l’entreprise concernée peuvent contribuer au financement du coût pédagogique et des frais annexes de la formation.
L’entreprise, en concertation avec l’institution mentionnée à l’article L. 5312-1 et avec l’organisme collecteur paritaire agréé dont elle relève, définit les compétences que le demandeur d’emploi acquiert au cours de la formation pour occuper l’emploi proposé.
http://www.dell.com/downloads/global/corporate/about_dell/cgpme_300.jpg Il-riforma tal-liġi ta 'taħriġ vokazzjonali 24 ta' Novembru 2009 ħolqot - hija CGPME proposta - it-tifsira ta 'prontezza operazzjonali għall-impjieg (POE) għal persuni li jfittxu impieg jew mhux ikkumpensat. Prontezza operazzjonali għall-impjieg tippermetti min ikun qed ifittex li jirċievi taħriġ meħtieġ sabiex jiksbu l-ħiliet meħtieġa għall-impjiegi li jaqblu mal-offerta magħmula lill-ċentru tax-xogħol.  Wara t-taħriġ, li huwa mogħti qabel ma jissieħeb fl-kumpanija, kuntratt ta 'CDI kuntratt professjonalizzazzjoni xogħol għal żmien indefinit, jew is-CSD b'terminu minimu ta' tnax-il xahar jista 'jiġi konkluż mill- iħaddem u l-migrant. Tgħallem aktar. More...
26 novembre 2010

Benchmarking Conference

Viena_finalBenchmarking Conference - Facing the rankings: Using benchmarking tools for strategic positioning, Vienna, Austria (20-21 January 2011). A leading conference with practical workshops and plenty of networking opportunities.
With the increasing rise of rankings of all kinds, universities are under serious threat of loosing students, loosing attractiveness for the best researchers and of loosing core and competitive funding. When unprepared to anticipate the possible outcomes and to respond adequately by improving their performance, higher education institutions are running the risk of their reputation being damaged in already difficult situations experienced in the context of the economic crisis.
Benchmarking is a modern management tool which helps to address the challenges of the rankings, through a better understanding of institutional profiles and needs, with a view to set targets for improvement and to improve strategic positioning.
The conference will look at transparency tools such as classifications, rankings and benchmarking exercises in an increasingly diverse higher education context. Drawing on the handbook produced in the framework of the two-year EU-funded EBI-II project Benchmarking in Higher Education, the conference will offer practical peer learning sessions (on benchmarking tools) and specialised workshops (to assist both in the selection of appropriate indicators in the three areas of internationalization, university-enterprise cooperation and regional innovation and in discussing the strength of these indicators). The handbook offers a very detailed methodology on defining and selecting indicators with the use of balance scorecards as well as designing powerful action plans to implement changes as a result of benchmarking exercises. To attend the conference, register here. Download the preliminary programme.

25 novembre 2010

10220 euros par an, coût moyen d'un étudiant à l'université

La 20e édition de l’État de l’Ecole propose une analyse des coûts, des activités et des résultats du système éducatif incluant, notamment, la dépense pour l’enseignement supérieur et la dépense par étudiant. À noter, la sortie prochaine du n°4 de l’État de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qui établit un bilan annuel et suit les évolutions du système français d’enseignement supérieur et de recherche à travers 34 indicateurs. L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°3 - décembre 2009). L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°2 - décembre 2008). L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (n°1 - novembre 2007).
Pour l’enseignement supérieur, la collectivité nationale a dépensé 26,3 milliards d’euros en 2009. Cette dépense a été multipliée par 2,5 depuis 1980 (en prix constants). En 2009, la dépense moyenne par étudiant s’élève à 11260 euros, soit 41% de plus qu’en 1980 (en euros constants).
La dépense d’éducation pour l’enseignement supérieur comprend l’ensemble des dépenses pour les établissements publics et privés de la France métropolitaine et des DOM pour l’enseignement et les activités liées: oeuvres universitaires, administration, fournitures, bibliothèques universitaires, rémunération des personnels d’éducation en formation, etc. Elle ne comprend pas les activités de formation continue ni, jusqu’en 2006, le fonctionnement et l’investissement de la recherche des universités (mais elle retenait par contre l’ensemble des salaires des enseignants-chercheurs).
À partir de 2006, et en raison de la nouvelle présentation des lois de finances dans le cadre de la LOLF, on retient l’ensemble des coûts de la recherche en université (personnel, fonctionnement et investissement), ainsi que l’ensemble des coûts des bibliothèques. Les montants des dépenses de la dernière année sont des montants provisoires. L’indicateur international est présenté en équivalents-dollars convertis en utilisant les parités de pouvoir d’achat qui sont des taux de conversion monétaire permettant d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies.
La collectivité nationale a consacré, en 2009, 26,3 milliards d’euros à l’enseignement supérieur, soit une augmentation de 3,4% par rapport à 2008 (en prix constants). Depuis 1980, la dépense pour l’enseignement supérieur a connu une forte croissance, de 3,2% en moyenne annuelle. Son poids dans la dépense intérieure d’éducation est passé de 14,6% en 1980 à 19,9% en 2009.
L’accélération de cette croissance, sensible à partir de 2006, tient à un effort budgétaire accru, mais aussi à la prise en compte d’un périmètre élargi à toutes les activités de recherche en université, àunerevalorisation des cotisations sociales imputées, et enfin, à la réévaluation du coût des formations sanitaires et sociales relevant maintenant de la compétence des régions.
Sur l’ensemble de la période, la DIE au profit du supérieur a été multipliée par 2,5 mais, face à un quasi-doublement des effectifs, la dépense moyenne par étudiant n’a augmenté que de 41,1% (compte tenu des ruptures de séries en 1999 et en 2006), atteignant 11260 euros en 2009.Dans le même temps, la dépense moyenne par élève du second degré augmentait de 64,6 %.
Les comparaisons internationales (qui reposent sur des données nationales pas toujours homogènes) montrent que la dépense annuelle moyenne par étudiant en France (12770 équivalents-dollars en 2007, y compris les activités de recherche et de développement) est un peu inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE (12910 équivalents-dollars). Le coût moyen d’un étudiant estimé par l’OCDE de manière cumulée, sur l’ensemble de la durée de ses études supérieures, place aussi la France en dessous de la moyenne (mais des pays, comme les États-Unis, ne participent pas à cet indicateur).
Les coûts moyens par étudiant sont très différents selon les filières de formation. Ils varient, en 2009, de 10220 euros par an pour un étudiant d’université publique à 13730 pour un étudiant de STS et 14850 euros pour un élève de CPGE. Les coûts moyens par étudiant en IUT (ainsi que d’autres instituts rattachés) ne sont plus quantifiables depuis la mise en application de la LOLF, en raison de la globalisation des crédits des universités. Le coût théorique d’une scolarité de 18 ans, menant sans redoublement à une licence, est évalué à 141900 euros en 2009, quand une scolarité en 17 ans menant à un BTS reviendrait à la collectivité à 138700 euros.
La part de l’État est prépondérante dans le financement de la DIE pour le supérieur (plus de 72%); la part des collectivités territoriales atteint 9,8% et celle des ménages 8,8%. Certaines aides directes ou indirectes financées par l’État, et qui bénéficient aux étudiants ou à leur famille, n’apparaissent pas dans la DIE pour l’éducation supérieure: elles sont d’ordre fiscal (majoration du quotient familial) ou non directement liées au statut étudiant (allocation logement social). Leur prise en compte (hors versements des régimes sociaux) porteraiten2009 le coût moyen d’un étudiant pour la nation de 11260 euros à 12520 euros.

De 20ste editie van de Staat van de School biedt een analyse van de kosten, activiteiten en resultaten van het onderwijs met inbegrip van, onder meer uitgaven voor het hoger onderwijs de uitgaven per student. Let op de aankomende release van de nummer 3 staat van Hoger Onderwijs en Onderzoek, dat een jaarlijkse evaluatie bepaalt en volgt de ontwikkelingen van het Franse systeem van hoger onderwijs en onderzoek over 34 indicatoren.
Voor Hoger Onderwijs, natie heeft de verbruikte 26,3 miljard euro in 2009.
Deze uitgaven zijn vermenigvuldigd met 2,5 sinds 1980 (in constante prijzen). In 2009, de gemiddelde uitgaven per student bedraagt 11.260 euro, of 41% meer dan in 1980 (in constante euro's). Meer...

25 novembre 2010

MEDEF: Signature d’une convention avec les Universités

Lionel Collet, Président de la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et Laurence Parisot, Présidente du MEDEF, ont signé le 23 novembre, à l'occasion des Rencontres Nationales de "Nos quartiers ont des talents" une convention destinée à donner un cadre aux partenariats entre les universités, les MEDEF régionaux et territoriaux, et les fédérations professionnelles intéressées.
L'accent est porté en priorité sur l'insertion professionnelle des jeunes. Parmi les autres thèmes abordés: la formation tout au long de la vie, l'employablité, la mobilité ; la recherche, l'innovation et le transfert de connaissance, l'entrepreneuriat ; la gouvernance, le rôle des fondations. La CPU et le MEDEF conviennent par ailleurs de mener des actions de sensibilisation et de communication, notamment à l'occasion du forum éducation-entreprise organisé chaque année en mars par le MEDEF, de la rencontre annuelle Universités-Entreprises de septembre à l'issue de l'Université d'été du MEDEF, du colloque annuel de la CPU. Un accord-cadre a par aileurs été signé le 22 juin dernier entre Laurence Parisot, Valérie Pécresse, Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche et Luc Chatel, Ministre de l'éducation nationale. Télécharger la convention au format PDF.
Lionel Collet, President tal-Konferenza tal-Presidenti Università (CPU) u Laurence Parisot, President ta 'MEDEF, iffirmat Novembru 23, fil-Laqgħa tal Nazzjonali "kwartieri tagħna għandhom talenti" konvenzjoni li jagħti qafas għal sħubijiet bejn universitajiet, reġjonali u territorjali federazzjonijiet MEDEF u assoċjazzjonijiet ikkonċernati.
L-enfasi hija primarjament fuq l-integrazzjoni professjonali taż-żgħażagħ. Suġġetti oħra: taħriġ matul il-ħajja, employablité, mobilità, riċerka, innovazzjoni u trasferiment ta 'għarfien, l-intraprenditorija, il-governanza, ir-rwol tal-fondazzjonijiet. More...
25 novembre 2010

Emploi des séniors: 2eme édition des Trophées Trajectoires

http://www.toutes-les-generations-en-entreprise.com/img/actions/trophees-trajectoires-2010.jpgLa prochaine remise de prix aura lieu le 13 décembre 2010 au SÉNAT, sous le haut patronage de la Commission des Affaires Sociales.
Dans le prolongement des initiatives prises depuis 2007 en faveur du retour et du maintien dans l'emploi des seniors, la Direction Départementale du Travail, de l'Emploi et de la Formation Professionnelle du Val d'Oise a décidé de reconduire, en 2010, les « Trophées Trajectoires » sous le haut patronage de la Commission des Affaires Sociales du SÉNAT.
Les "Trophées Trajectoires » créés en 2009, sont destinés à récompenser les entreprises, publiques et privées, qui œuvrent en faveur d'une approche intergénérationnelle des ressources humaines.
Convaincue que toutes les générations ont leur place dans l'entreprise, la Direction Départementale du Travail, de l'Emploi et de la Formation Professionnelle souhaite, avec le soutien du Fonds Social Européen, valoriser les entreprises vertueuses, mais aussi permettre à l'ensemble des acteurs de partager les meilleures pratiques.
En 2009, les « Trophées Trajectoires » avaient permis de récompenser trois entreprises, qui par leurs pratiques avaient favorisé le développement de l'employabilité de leurs collaborateurs les plus âgés.
C'est ainsi qu'avaient été primées les entreprises SPIE Nucléaire, Umicore et Giraux Val d'Oise, le 6 décembre 2009, au salon d'honneur de la Préfecture du Val d'Oise.
Devant l'intérêt manifesté par les nombreuses entreprises participantes et la qualité des dossiers adressés, la Direction Départementale du Travail, de l'Emploi et de la Formation Professionnelle a décidé d'ouvrir les « Trophées Trajectoires » à toutes les entreprises.
Un jury, composé des acteurs suivants: A Compétence Egale, ADECCO Parcours et Emploi, AGEFOS-PME, AMETIF, APEC, ARACT Ile de France, Assurance Retraite Ile de France, CGPME, DDTEFP, HALDE, MEVO, MIFE du Val d'Oise, OPCALIA, PLIE Convergence Emploi Cergy, Pôle Emploi et syndicats, décernera les récompenses aux entreprises les plus exemplaires dans le domaine de l'emploi des seniors.
http://www.toutes-les-generations-en-entreprise.com/img/actions/trophees-trajectoires-2010.jpg The next awards will be held December 13, 2010 to SENATE, under the patronage of the Commission on Social Affairs.
In line with the initiatives taken since 2007 for the return and continued employment of older workers, the Department of Work, Employment and Vocational Training of the Val d'Oise decided to renew in 2010 the "Trophies Paths" under the patronage of the Commission of the Senate Social Affairs
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25 novembre 2010

Cette année, j’utilise mon DIF !

http://www.study-mail.com/emailing/newsletter_focuscarriere/images/logo_vocatis.gifPar Lison Budzyn. Le Droit individuel à la formation (DIF) permet à chaque salarié de bénéficier d’un capital d’heures de formation dont il peut disposer à sa guise, avec l’aval de son employeur. Comment en profiter ? Pour faire quel type de formation ? Petit rappel et conseils pratiques.
A qui s’adresse le DIF ?
Le Droit individuel à la formation s’adresse:
• A tous les salariés en CDI à temps complet qui comptent d’au moins un an d’ancienneté dans leur entreprise. Chaque année, ils bénéficient de 20 heures supplémentaires qu’ils ajoutent à leur capital DIF. Ce dernier est plafonné à 120 heures.
• A tous les salariés en CDD. Ils bénéficient du DIF, calculé au prorata temporis, à partir du 4e mois consécutif ou non dans la même entreprise, dans une période de douze mois.
• A tous les salariés à temps partiel selon un calcul au prorata temporis.
Depuis mars 2006, les périodes d’absence du salarié pour congé de maternité et congé parental d’éducation, entre autres, sont intégralement prises en compte dans le calcul des heures. Attention: sont exclus du DIF les titulaires d’un contrat d’apprentissage et salariés en contrat de professionnalisation.
Comment enclencher son DIF ?

Chaque année, l’employeur doit informer chaque salarié, CDD et CDI, de son total d’heures acquises au titre du DIF. Au vu du nombre d’heures accumulées, le salarié peut enclencher sa démarche de DIF en adressant une demande écrite à sa hiérarchie qui dispose d’un mois pour lui répondre. Qui ne dit mot consent: l’absence de réponse dans ce délai vaut pour un feu vert. Si l’employeur refuse, le salarié peut formuler une autre demande dès qu’il le souhaite. Si l’employeur persiste dans son refus, le salarié peut formuler une demande de Congé individuel de formation (CIF) en passant par un Organisme Paritaire Agréé au titre du CIF (OPACIF) ou un Fonds de gestion du CIF (FONGECIF).
Les formations qui se déroulent dans le cadre du DIF ont toujours lieu (sauf accords de branche adaptés) en dehors du temps de travail. Le salarié reçoit alors, en plus de sa rémunération habituelle, une allocation formation qui représente 50 % de son salaire normal.
Quand ?
Le salarié en CDI qui a plus d’un an d’ancienneté dans l’entreprise peut enclencher son DIF à n’importe quel moment, pourvu que son capital d’heures corresponde à celui de la formation choisie. Le salarié en CDD doit, quant à lui, attendre son 4e mois dans l’entreprise.
- En cas de licenciement, le salarié dispose toujours de son DIF, sauf s’il est licencié pour faute grave ou lourde. Il peut engager une action de formation pendant son préavis et celle-ci peut se réaliser pendant cette période ou après son départ.
- En cas de démission, le salarié peut formuler une demande de DIF à condition que sa formation débute avant son départ de l’entreprise.
- En cas de départ en retraite, le salarié perd ses droits acquis au titre du DIF.
Quelle formation choisir ?
Le DIF permet au salarié d’avoir accès à une multitude d’actions de formation en fonction de la finalité recherchée:
• Obtenir une promotion
• Acquérir, entretenir ou perfectionner des connaissances
• Obtenir une qualification ou une certification professionnelle
• Valider des acquis d’expérience (VAE)
• Faire un bilan de compétences
Le choix de la formation est plus ou moins libre selon les cas: certains accords de branches privilégient les formations en rapport avec le secteur d’activité. La plupart des grandes entreprises proposent à leurs salariés des catalogues de formations dans lesquels on peut « piocher ». Enfin, dernier cas de figure: le salarié doit effectuer ses propres recherches en solon, contacter un organisme de formation qui entrera à son tour en contact avec l’entreprise.
http://www.study-mail.com/emailing/newsletter_focuscarriere/images/logo_vocatis.gif Door Lison Budzyń. Het individuele recht op opleiding (DIF) kan elke medewerker om het te ontvangen aandeel van uren opleiding ze toegang kan worden, met de steun van zijn werkgever. Hoe te profiteren? Om wat voor soort opleiding? Snel herinnering en tips. Meer..
25 novembre 2010

10 millions de salariés perdront-ils leurs 20 heures de DIF cette année ?

AgoraVox le média citoyen Par Didier Cozin, auteur des ouvrages Histoire de DIF (2008) et Reflex DIF (2010) parus aux éditions Arnaud Franel. Le Droit Individuel à la Formation (DIF) a été mis en œuvre en France en mai 2004 (Loi du 4 mai, promulguée le 7 mai) depuis cette date chaque salarié cumule année après année (et ce jusqu’en 2010) 20 heures de DIF. On peut estimer que l’immense majorité des salariés du privé en CDI a donc atteint le maximum de son compteur DIF. Le mécanisme de capitalisation cesse en 2010 de produire des heures et chaque compteur va rester à son taquet désormais faute peut être de mise en oeuvre.
Trois possibilités s’offrent aux salariés du secteur privé concernant leur Droit à la formation :
* Ne pas utiliser ou préserver jusqu’à leur retraite leurs 120 heures. Il s’agirait donc de conserver son DIF tel un Plan Epargne formation qui ne produirait et ne serait d’aucun d’intérêt (le DIF n’est pas une cagnotte et ne pourra être monnayé). Par ailleurs si lors d’une rupture professionnelle le DIF devient portable il se transforme en véritable peau de chagrin avec un budget de 9,15 € (les 60 francs des contrats de qualif des années 90) par heure de DIF,
* Prélever avant le 31 décembre les 20 heures qui seront dès lors recréditées au compteur DIF en 2011. Cette possibilité serait envisageable si les entreprises et les OPCA avaient les fonds nécessaires pour généraliser le DIF. Mais la crise est là et les salariés ignorent que, passé l’été, la plupart des budgets formations sont épuisés. Les salariés n’ayant pas demandé leur Droit à la formation en début d’année le plan  de formation a été déployé sans aucun budget pour le DIF
* Décider de liquider leur compteur DIF en demandant une formation longue de 100 ou 120 heures de DIF (rappelons que désormais les CIF démarrent eux-aussi à 120 h et également hors temps de travail). Cette troisième alternative serait la plus dommageable pour les entreprises car il leur faudrait non seulement répondre et financer des demandes très coûteuses mais surtout organiser sur les 4 mois de fin d’année des départs massifs en formation.
Si malgré tout des salariés souhaitaient tenter l’aventure de la formation et du développement des compétences, rappelons-leur quelques éléments sur le DIF:
* La demande de DIF est exprimée par écrit (par LRAR de préférence) par le salarié sur un champ professionnel précis (langues, savoirs de base, informatique, formation métier..). Cette demande doit être la plus complète possible: intitulé et contenu de la formation, projet professionnel sous tendu par la demande, nom et coordonnées de l’organisme de formation, coût de la formation, dates et lieux prévus..A ce stade l’employeur peut faire des propositions avec ses propres prestataires,
* L’employeur dispose de 30 jours pour répondre :
o En l’absence de réponse sous 30 jours la demande est réputée être acceptée
o Le Refus ou le report du DIF sont illégaux. Seul le désaccord sur le « choix de l’action de formation » (cf le code du travail) est légal. Une entreprise peut refuser par exemple des cours de tennis ou un permis moto mais certainement pas une demande raisonnable de DIF pour maintenir ses compétences en langues ou développer ses connaissances en informatique.
o En cas de désaccord (le pseudo refus) il est vivement conseillé à l’employeur de motiver sa réponse négative pour aider le salarié à mieux construire ses futures demandes mais aussi pour éviter les traitements inéquitables (on refuse à l’un ce que l’on a accordé à l’autre sans réflexion ni suivi) ou pire encore l’accusation de discrimination (âge, sexe, sanction disciplinaire…)
o La demande étant acceptée le salarié verra le mois suivant sa formation son compteur décrémenté  des X heures de formation réalisées. S’il avait donc 120 heures et a pris 20 heures il n’aura plus au 31 décembre que 100 heures de DIF (comme en 2009). Son compteur sera par contre  recrédité de 20 heures en mai 2011
o Durant toute la durée de la formation le stagiaire bénéficiera de la législation sur les accidents du travail (y compris donc sur le trajet pour se rendre dans un centre de formation) et les frais annexes à la formation (frais de déplacement et d’éventuel hébergement) doivent être remboursés par l’entreprise (sur justificatif en général et après un accord préalable sur leurs montants)
o S’il se forme hors temps de travail le salarié touchera également des allocations formation correspondant à 50 % de son salaire horaire net. S’il gagnait par exemple 10 € net par heure, il touchera donc 100 € d’allocation formation pour 20 h de DIF. Les allocations formation ne sont pas soumises aux cotisations sociales mais seront par contre imposables.
Même si les partenaires sociaux en 2003 et le législateur en 2004 ont voulu rendre le Droit à la formation aussi simple et accessible que les congés payés la balle est désormais dans le camp des salariés. Sans demande,  envie ou projet professionnels, sans volonté de changer et d’évoluer, leur Droit à la Formation sera virtuel, une occasion perdue de se former et de développer ses compétences.
ċittadin tal-midja AgoraVox Minn Didier Cozin, awtur ta 'Storja ta' DIF (2008) u Reflex DIF (2010) ippubblikat mill Edizzjonijiet Arnaud Franel. Id-Dritt individwali għall Taħriġ (DIF) kien implimentat fi Franza fl Mejju 2004 (Att ta 'Mejju 4, maħruġa Mejju 7) ladarba din id-data kull impjegat jakkumula sena wara sena (sa l-2010) 20 siegħa DIF. Nistgħu nistmaw li l-maġġoranza kbira ta 'impjegati fis-settur privat fuq kuntratti permanenti laħqet DIF kontro massima tagħha. Il-mekkaniżmu għall-finanzjament ma jibqax fl-2010 biex jipproduċu siegħa u kull kontro se jibqgħu fuq stop tiegħu għaliex issa jistgħu jiġu implimentati. More...
25 novembre 2010

Guide Opcalia "la formation en questions"

http://www.sitouslesportsdumonde.fr/upload/structure/photo/38photo.jpgAlors que l'année 2010 représente la première année d'application de la réforme, OPCALIA publie une nouvelle édition 2010 de son guide "La formation en questions". Cliquez ici et téléchargez le guide "la formation en question" 2010.
Ce guide tient compte des dernières évolutions législatives et recense 64 questions-réponses récurrentes que se posent les entreprises au regard du nouveau paysage de la formation professionnelle. Il aide les chefs d'entreprises et les responsables des ressources humaines à construire efficacement leur plan de formation et à renforcer la professionnalisation.
Le nouveau guide a été réalisé par le service d'information juridique sur la formation professionnelle d'Opcalia. Ses experts ont sélectionné les principales questions que les entreprises se posent sur la formation pour approcher la "Formation Professionnelle Tout au Long de La Vie".
Une place importante a été accordée au DIF (Droit Individuel à la Formation) et aux situations dans lesquelles la portabilité s'applique désormais ; 29 questions-réponses lui sont consacrées. Viennent ensuite 17 questions-réponses sur les autres dispositifs que sont la période de professionnalisation, le plan de formation et le contrat de professionnalisation. Un chapitre concerne le financement et l'imputabilité des dépenses de formation. La dernière partie est consacrée aux questions diverses et aux situations particulières telles que les obligations de l'entreprise en matière de secourisme au travail, les règles applicables en matière de gratification de stagiaires et l'attestation de fin de formation.
Commentant cette annonce, Ghislain Sentis, Responsable juridique d'Opcalia, déclare: Le nombre important de questions suscitées par le DIF souligne la réelle préoccupation des entreprises et des salariés de s'approprier ce nouveau dispositif mis en place par la loi du 24 novembre 2009. Ce guide qui tient compte des dernières évolutions législatives vient compléter la mission d'information des conseillers et juristes d'Opcalia auprès des adhérents.
http://www.sitouslesportsdumonde.fr/upload/structure/photo/38photo.jpg As the year 2010 represents the first year of reform, OPCALIA releases new 2010 edition of its guide "training issues". Click here to download the guide "training issue" 2010. This guide includes the latest legislative developments and identifies 64 questions and answers posed by recurring business under the new landscape of professional training. It helps business leaders and HR managers to effectively build their training plan and strengthen the professionalism.
The new guide was produced by the legal information service on vocational training Opcalia.
Its experts have selected the major issues facing businesses on training to approach the "Vocational Training Throughout Life". More...
24 novembre 2010

Bilan de compétences et mobilité professionnelle des assistants de sénateurs

23 novembre 2010

Création du ministère de l'apprentissage et de la formation professionnelle

carif oref Midi-PyrénéesLe dernier remaniement gouvernemental a fait naître le ministère chargé de l'apprentissage et de la formation professionnelle, présidée par Nadine Morano. Ce ministère est placé auprès de celui du travail, de l'emploi et de la Santé (Xavier Bertrand). Un de ses grands chantiers sera la réforme de l'alternance. La formation professionnelle ne faisait plus l'objet d'un intitulé gouvernemental spécifique depuis le secrétariat d'Etat aux droits des femmes et à la formation professionnelle, piloté par Nicole Péry de 1998 à 2002, créatrice de la VAE.
Ministère de l’apprentissage et de la formation professionnelle auprès du Ministre du Travail, de l’emploi et de la santé. Voir aussi: Nadine Morano, nouvelle ministre chargée de l’apprentissage et de la formation professionnelle.

CARIF OREF Школки-ПиринеитеBо последните реконструкцијата на владата ја водеше Министерството за учење и стручна обука, со кој претседаваше Надин Morano. Ова министерство е сместена со труд, вработување и здравство (Ксавиер Бертран). Една од неговите големи проекти ќе бидат реформата на наизменична. Стручна обука веќе не беше предмет на специфични влада повика на државниот секретар на САД за правата на жените и професионална обука, предводена од Никол Pery 1998-2002, креаторот на VAE. Повеќе...

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