- A suivi au moins une action de formation
- A acquis des éléments de certification par la formation ou par une Validation des acquis de l’expérience (VAE)
- A bénéficié d’une progression salariale ou professionnelle. L’entretien professionnel permet donc de croiser les besoins de l’entreprise avec les souhaits d’évolution du salarié
L’entretien professionnel doit comporter des informations relatives à l’activation du Compte personnel de formation (CPF), au conseil en évolution professionnelle (CEP) et aux abondements pouvant avoir lieu, à l’initiative du salarié, à une date antérieure à la reprise de poste. Cela fait suite à la réforme de la formation professionnelle de septembre 2018, « pour la liberté de choisir son avenir professionnel »
Un accord collectif d’entreprise ou, à défaut, de branche, peut désormais prévoir une périodicité des entretiens professionnels différente. Pour les entreprises d’au moins 50 salariés, si le salarié n’a pas eu d’entretiens professionnels tous les deux ans ou s’il n’a pas bénéficié d’au moins une formation non obligatoire, l’employeur devra s’acquitter d’une pénalité de 3000 €, versée à Uniformation. Plus...