By Maria Bustillos. Can you go to college on your computer? Some say yes, and others respond with a resounding no. But one thing is for sure: there is a boatload of public money to be vacuumed off an overcrowded, underfunded educational establishment desperate for at least the appearance of a quick fix.
Enter Udacity, the foremost provider of Massively Open Online Courses, or MOOCs. Does what's above look like college to you? Or rather, is this how college should look now? They've been described as "a relentless force that will not be denied," revolutionary, "the single most important experiment in higher education." Also MOOCs are getting a drubbing from academics and others who believe there's more to higher education than can be provided via "distance learning."
Now California state universities are set to begin enrolling students in MOOCs for credit. Earlier this month, the president of San Jose State University, Mo Qayoumi, announced that his institution will commence a pilot program: 300 students will receive course credit for online classes in remedial algebra, college algebra and statistics. Qayoumi was joined at the press conference by California Governor Jerry Brown and Sebastian Thrun, the controversial ex-Stanford prof and co-founder of Udacity, which will supply classes for the program at the cost of $150 per customer, er, student.
"This is the single cheapest way in the country to earn college credit," Thrun "quipped." It's not quite free, as early MOOC proponents began by promising. It is worth mentioning, too, that Udacity is a venture-funded startup, that classes will be supervised not by tenured profs but by Udacity employees, and that Thrun declined to tell the Times how much public money his company will be raking in for this pilot—or what more may have been promised should the pilot prove "successful." Read more...

Four hundred and fourteen private colleges for a population of just 28 million people, of whom three million are migrant workers, must seem like an eye-popping number to most people.
What was the Malaysian government thinking when it allowed all these schools to mushroom?
Whatever it was thinking, it has now changed its mind. Effective from Feb 1, no more new private colleges will be allowed for two years.
Notwithstanding the ban, the government will still review the cases of a handful of schools seeking to upgrade their status, seeking international rankings or considering building new campuses.
All these colleges have created a sea of unemployed graduates who cannot find the cushy jobs they hoped would be waiting for them when they graduated. But there is no point in giving out too many scrolls if the scroll is not worth the paper it is printed on. In any case, will a two-year moratorium make any difference? This is not the first attempt to slow the growth of private colleges. The government imposed such bans earlier in the fields of dentistry, medicine and nursing.
The thinking now is that there are ample private higher learning institutions in the country to meet the demand.
As of November 2012, Malaysia had 37 private universities, 30 private college universities, seven international branch campuses, and 414 private colleges offering certificates and diplomas in various fields. Read more...

Une nouvelle Charte Erasmus pour tous pour l'enseignement supérieur (ECHE) sera nécessaire pour candidater aux actions destinées au secteur de l'enseignement supérieur sous Erasmus pour tous, le futur programme pour l'éducation qui débutera à partir de l'année académique 2014-2015. Le programme Erasmus pour tous vise à soutenir la modernisation européenne et l'internationalisation de l'agenda dans l'enseignement supérieur. En faisant acte de candidature et en signant la  nouvelle Charte, les établissements d'enseignement supérieur confirment que leur participation à Erasmus pour tous s'inscrit pleinement dans leur stratégie pour la modernisation et l'internationalisation. Cette stratégie doit reconnaître le rôle de la mobilité des étudiants et des personnels ainsi que des projets de coopération en faveur d'une meilleure offre de formation pour les étudiants.
Le programme Erasmus pour tous vise particulièrement à renforcer la qualité de la mobilité des étudiants et du personnel, ainsi que l'accompagnement des établissements impliqués dans celui-ci. La nouvelle Charte qui sera validé pour toute la période 2014-2020  remplacera la Charte Universitaire Erasmus valable jusqu'à l'année académique 2013-2014.
Tous les établissements d'enseignement supérieur devront remplir le formulaire de candidature qui servira à la sélection et/ou au suivi du respect des termes de la charte tout au long de la durée de vie du programme. Plus de détails seront communiqués dans l'appel à manifestations (prévu en Février 2013, mais susceptible d'être reporté en fonction des négociations d'Erasmus pour tous au Conseil et au Parlement européen). Les candidatures devront être adressées à l'agence exécutive Education et Culture à Bruxelles.
Quant aux accords bilatéraux, les exigences règlementaires  seront également révisées afin de tenir compte des nouveaux objectifs du futur programme, qui vise à renforcer l'impact au niveau des individus, des institutions et du système. Le nouveau modèle sera publié au début de l'année 2013 pour accorder aux établissements d'enseignement supérieur suffisamment de temps pour les signer avec leurs futurs partenaires avant le premier appel à propositions prévu en Octobre 2013. Les établissements d'enseignement supérieur devront attendre la publication de ce nouveau modèle avant de renouveler un accord bilatéral au delà de l'année 2013-2014.
Les établissements d'enseignement supérieur des pays non-participants ne sont pas concernés par le dépôt de la nouvelle Charte. Cependant les exigences règlementaires pour les accords bilatéraux seront renforcées pour les mobilités en provenance ou à destination des pays tiers. Un modèle sera également fourni en temps voulu (début 2013).

Sur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques. Lors de l’audition par la mission parlementaire sur Pôle emploi et le service public de l’emploi de la délégation de la Fédération de la Formation Professionnelle, dont nous pouvons consulter la vidéo, un point qui concerne la configuration de l’ESS mérite attention.
En effet, Emmanuelle Pérez, déléguée générale, présente l’organisation patronale en affirmant que parmi ses 400 membres, il ya 30% d’associations, mais que ce chiffre a baissé car un certain nombre d’associations, se sont, "pour des raisons de simplification administrative et fiscale" transformées en SAS ( Société par Actions Simplifiée), et que ce sont donc 50% des adhérents qui sont selon un "modèle proche de l’ESS".
Permettant une assez grande souplesse, la SAS est utilisée pour des raisons diverses, en particulier comme un instrument de gestion privilégié par les grands groupes, notamment multinationaux, et les maisons-mères de LBO. Elle peut être aussi utilisée par des PME. Elle présente la caractéristique de ne pas voir la rémunération des dirigeants soumise à publicité. Suite de l'article...

L'entreprise au coeur des programmes d'éducation et de formation
En 2012 et 2013, l'agence 2e2f a positionné le thème de l'entreprise au cœur des programmes de mobilité en Europe.
L'efficacité des programmes d'éducation et de formation n'est plus à démontrer: véritables leviers pour l'acquisition et le renforcement des compétences de chacun, ils permettent aussi de tisser des liens avec le monde de l'entreprise.
Retrouvez le compte-rendu de la conférence de l'Agence: Besoins d'entreprises? Besoin d'Europe! tenue les 13 et 14 décembre 2012 à Strasbourg.
Vous êtes chef d'entreprise, RH?
Plusieurs volets de nos programmes vous concernent:
Recrutez des collaborateurs multilingues et mobiles pour vos activités à l'international!
Les étudiants Erasmus sont tournés vers l'international. Ils effectuent des mobilités d'étude ou de stages en Europe. Repérez dans les CV ces expériences de mobilités.
Les étudiants Erasmus Mundus (de niveau master ou doctorat) sont des diplômés incontournables, issus de formations académiques d'excellence.
Accueillez des apprentis en stage professionnel
Les bourses Leonardo da Vinci offrent aux jeunes en formation professionnelle des stages en entreprises européennes: polyvalence, adaptabilité, maitrise des langues sont autant de compétences pour l'emploi.
Envoyez vos salariés dans une entreprise partenaire pour repérer des pratiques innovantes, échanger des savoirs-faires.
Découvrez l'ensemble des mobilités Leonardo da Vinci
Investissez dans la co-construction de formations innovantes par la coopération université-entreprise
Les programmes Erasmus, Erasmus Mundus et Tempus permettent de développer en commun des cursus, des modules de formation, etc.
Leonardo vous permet d'aborder certaines problématiques au niveau européen et de transférer des solutions efficaces.

By D. D. Guttenplan. PARIS — They come in the autumn, when the grapes lie heavy on the vines. They leave in late spring, after the cherries are off the trees in the Pyrenees and the hops harvested in Alsace. Under French law they are considered “saisonniers,” or seasonal workers. But instead of spending their days picking apples, they toil in the university classrooms of Paris, teaching French language and literature, art history and political science.
The use of adjuncts — part-time faculty who have little possibility of tenure or permanent employment — is increasingly common in U.S. colleges and universities. But European law gives workers more rights, and French workers are among the most protected in Europe — unless, it seems, if they work for an American university. Read more...

European Union has pledged to assist improving qualities of Myanmar universities in long term, David Lipman, the EU Ambassador to Myanmar, said at the workshop on “Quality of Higher Education” jointly held by the EU and the Ministry of Education, Myanmar in Yangon on February 8-9.
During the workshop, both parties focused on the academic matters and the qualities of teaching aids and universities to catch up with the standards of international universities and the EU.
Ministry of Education is currently taking the evaluation process of universities nationwide, said the officials of the ministry. The processes have been undertaking in line with the international standard. Later the ministry hopes to invite organizations and associations of international universities to appraise the Myanmar universities. Read more...

Par Marie-Christine Corbier. Elles craignent de ne pas peser assez dans les futures communautés d'université.
A quelques jours du dépôt du projet de loi d'orientation sur l'Enseignement supérieur et la Recherche au Conseil d'Etat, les grandes écoles font le forcing. Elles tentent de faire modifier un texte qu'elles jugent toujours insatisfaisant, malgré la vingtaine de versions qui se sont succédé depuis mi-janvier.
Leurs critiques portent notamment sur la fameuse « communauté d'université » censée succéder aux pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) et qui devrait regrouper les quelque 100 établissements français d'enseignement supérieur actuels en une trentaine de sites à l'échelle nationale. Le risque, selon la Conférence des grandes écoles (CGE), est que certains projets qui auront été adoptés par un établissement soient ensuite bloqués à l'échelon supérieur, celui de la communauté d'université. Suite de l'article...