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Formation Continue du Supérieur
27 décembre 2012

Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi - CICE

http://www.upa.fr/images/bandeau1_1.jpgCrédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi -CICE-: l’UPA dénonce l’acharnement du gouvernement contre les travailleurs non salariés.
Pour la troisième fois cette année la majorité parlementaire a adopté une législation qui pénalise les travailleurs indépendants par rapport aux autres chefs d’entreprise. Dans le cadre du projet de loi de finances rectificative, le parlement a voté le 19 décembre l’article accordant aux entreprises un crédit d’impôt pour les salaires allant jusqu’à 2,5 SMIC. A contrario les travailleurs indépendants qui ont le même niveau de revenus en ont été écartés.
A entendre le ministre du Travail, c’est l’absence de salaire qui empêcherait les travailleurs indépendants de bénéficier de la mesure à titre personnel. Or, quand il s’agit de prélever les cotisations sociales, les travailleurs indépendants ne sont pas exonérés au motif qu’ils ne perçoivent pas de salaire.
De la même manière, dans la négociation en cours sur la sécurisation de l’emploi, il est prévu de généraliser la couverture complémentaire santé, une charge supplémentaire qui s’imposerait à toutes les entreprises si l’accord devait être confirmé dans ce sens, que le chef d’entreprise soit travailleur indépendant ou salarié. Ainsi, les travailleurs indépendants sont pris en compte quand il s’agit d’assumer de nouvelles charges, pas quand il s’agit d’alléger le coût du travail. Déjà, au moment d’adopter les lois de finances et de financement de la sécurité sociale pour 2013, la majorité parlementaire a choisi de prélever 1,1 milliard d’euros sur les travailleurs indépendants introduisant une discrimination inacceptable par rapport aux entreprises sous forme sociétaire, aux salariés, aux auto-entrepreneurs (bénéficiaires d’une base de prélèvements sociaux avantageuse).
Les artisans et commerçants ne comprennent pas cette mise à l’écart au seul motif qu’ils n’ont pas choisi la forme sociétaire et le statut de chef d’entreprise salarié. Ils ont préféré l’indépendance, l’engagement, le risque, et contribuent au moins autant que les autres acteurs économiques à la production de richesses. Les travailleurs indépendants offrent une alternative à la réduction des effectifs de la grande industrie en préparant les emplois de demain. En leur interdisant l’accès au crédit d’impôt, le gouvernement met à mal leur compétitivité et prépare un gâchis économique.
L’UPA qui considère que cette politique va totalement à l’encontre des intérêts du pays, continuera à réclamer une meilleure prise en compte des travailleurs non salariés.
http://www.upa.fr/images/bandeau1_1.jpg Έκπτωση φόρου για την Ανταγωνιστικότητα και την Απασχόληση-Cice: η κυβέρνηση UPA καταγγέλλει έντονα κατά τους αυτοαπασχολούμενους. Για τρίτη φορά φέτος, η κοινοβουλευτική πλειοψηφία ψήφισε νόμο που τιμωρεί τους αυτοαπασχολούμενους σε σύγκριση με άλλους επιχειρηματίες. Περισσότερα...
27 décembre 2012

Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) - le dossier MEDEF

La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) est la contribution de l’entreprise aux objectifs du développement durable. Le MEDEF se mobilise depuis plusieurs années pour sensibiliser les entreprises, et notamment les PME, sur les enjeux du développement durable et sur les moyens de mettre en place une démarche RSE. Avec la crise, la RSE apparaît plus que jamais nécessaire pour améliorer l’efficacité économique, sociale et environnementale de l’entreprise et sa compétitivité sur le long terme et répondre aux défis sociaux. C’est également un moyen capital de restaurer la confiance dans les entreprises.
L’INSEE publie une étude sur l’appropriation des démarches RSE dans les PME
L’INSEE a réalisé et publié une étude intitulée « La responsabilité sociétale des entreprises: une démarche déjà répandue ». Celle-ci montre que 64% des entreprises de plus de 50 salariés ont entendu parler de RSE et 52% ont le sentiment d’être impliquées dans ce type de démarche.
La Commission européenne a invité tous les Etats membres dans sa communication d’octobre 2011 à publier leur liste nationale d'actions prioritaires en faveur de la RSE. L'administration française a préparé un projet de texte qu'il a soumis à une consultation publique entre le 12 et le 26 novembre. Il souhaite envoyer la première contribution française à Bruxelles avant la fin de l'année 2012. 
L’AFEP, EpE, l’ORSE et le MEDEF ont adressé un courrier à la Global Reporting Initiative (GRI) pour lui faire part des recommandations des entreprises françaises sur le projet de quatrième version des lignes directrices pour le reporting extra financier.
A la suite de la proposition que le MEDEF avait formulée en clôture du colloque RSE du 7 mars 2012, le projet de plateforme nationale pour la promotion de la RSE progresse. La communication de la Commission européenne sur la RSE d’octobre 2011 encourageait ce mouvement puisqu’elle demandait aux Etats-membres de déposer leur plan d’action pour la promotion de la RSE avant la fin du premier semestre 2012.
L’Union Patronale des Alpes Maritimes (UPE 06) a porté une démarche innovante d’accompagnement de 40 PME/PMI des Alpes Maritimes sur des engagements concrets de développement durable intitulée: Performance globale 06.
La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) apparaît de plus en plus comme un levier de performance pour les entreprises. Elle ne concerne pas que les grands groupes et de plus en plus de PME s’engagent dans cette voie. De nombreuses questions de mise en œuvre se posent. Pour aider les entreprises et notamment les PME à y répondre, le MEDEF a publié un guide de bonnes pratiques: « Cap vers la RSE: faire de la responsabilité sociétale de l’entreprise un levier de performance ».
A la suite de l’action du MEDEF qui avait appelé à plusieurs reprises les pouvoirs publics à publier rapidement le décret d’application de l’article 225 de la loi Grenelle II, le décret n° 2012-557 du 24 avril 2012 relatif aux obligations de transparence des entreprises en matière sociale et environnementale a été publié au Journal officiel du 26 avril 2012. Convaincu de l’intérêt d’un reporting RSE bien construit et afin d’accompagner les entreprises dans la mise en œuvre de l’article 225, le MEDEF a élaboré en collaboration avec Deloitte ce guide méthodologique de compréhension des nouvelles dispositions et d’aide à leur bonne application.
Comment et jusqu’où la responsabilité sociétale contribue-t-elle à la performance globale de l’entreprise? Le colloque organisé par le MEDEF le 7 mars 2012 et clôturé par sa Présidente Laurence Parisot a été l’occasion d’échanger sur les bénéfices d’une démarche RSE pour les entreprises. Le MEDEF publie les actes de ce colloque.
Paris EuroPlace a lancé en 2009 sa Charte de l’Investissement Responsable (IR) pour développer l’ISR, l’information extra-financière des entreprises et la finance de long terme. Le MEDEF a signé cette charte en septembre 2011 et a mené un certain nombre d’actions pour contribuer à ces objectifs. Paris EuroPlace publie en complément un bilan 2009-2011 des actions entreprises par les signataires de la Charte (AF2I, AFG, FBF, FFSA, FIR, MEDEF, ORSE, Paris EUROPLACE, SFAF).
Ce Conseil a publié un Code de développement durable allemand qui constitue une norme de transparence d’application volontaire (basée sur le principe du « comply or explain ») pour les entreprises allemandes, mais aussi pour toutes les autres organisations (ONG, syndicats, medias, entreprises publiques, etc.).
Le décret n° 2012-132 du 30 janvier 2012 relatif à l'information par les sociétés de gestion de portefeuille des critères sociaux, environnementaux et de qualité de gouvernance (ESG) pris en compte dans leur politique d'investissement, a été publié au Journal officiel du 31 janvier en application de l’article 224 de la loi Grenelle 2.
La pratique de l’analyse extra financière s’est beaucoup développée ces dernières années pour permettre aux investisseurs d’intégrer la performance RSE des entreprises dans leurs critères d’investissement. Les organismes d’analyse extra financière procèdent à une évaluation de tout ou partie des politiques de développement durable des entreprises cotées, afin d’évaluer le niveau de prise en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Le magazine canadien « Corporate Knights » publie chaque année depuis 2005 lors du Forum économique mondial de Davos un classement des 100 entreprises les pus engagées en faveur du développement durable dans le monde : le « Global 100 ». Cette année, 8 entreprises françaises font partie de ce classement (contre 5 seulement l’année dernière): Vivendi (7e), Crédit Agricole (16e), Schneider Electric, (26e), Dassault systèmes (32e), L'Oréal (45e), Renault (51e), Danone (60e) et JC Decaux (83e).
La société financière internationale (SFI), institution de la Banque mondiale chargée des opérations avec le secteur privé, a révisé ses standards de performance, principes sociaux et environnementaux qui l’aident à réglementer l’obtention de ses prêts. Ces mises à jour s’appliquent à partir de ce jour, le 1er janvier 2012.
A la suite de sa communication de juillet 2002 sur la contribution des entreprises au développement durable, la Commission européenne a publié le 25 octobre dernier une communication qui présente sa nouvelle stratégie en faveur de la RSE.
Dans le cadre des travaux du B20 qu’il organise les 2 et 3 novembre prochains à Cannes, le MEDEF coordonne des réflexions croisées sur la responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE), sujet stratégique pour la compétitivité des entreprises.
L’AFNOR a lancé une nouvelle enquête relative à l’utilisation de l’ISO 26000 par les entreprises et les autres acteurs. Celle-ci prend une quinzaine de minutes et vise à identifier les profils des utilisateurs, les difficultés rencontrées et le type d’initiative développées pour appuyer l’utilisation de l’ISO 26000.
La deuxième version du baromètre Generali/CSA relatif aux « décideurs face aux nouveaux défis de société » montre un fort engagement des dirigeants de PME-PMI sur ces défis, en dépit des freins dus à la crise.
Le magazine canadien « Corporate Knights » vient de publier la version 2011 du « Global 100 », le classement des 100 entreprises les plus engagées en faveur du développement durable dans le monde. Ce magazine existe depuis 2002 et entend plaider pour un capitalisme responsable. 5 entreprises françaises figurent au Palmarès.
Les entreprises africaines et françaises s'inscrivent aujourd'hui au coeur d'une nouvelle relation. Pour Laurence Parisot, Présidente du Medef, qui prononçait un discours lors de la clôture du sommet devant l'ensemble des chefs d'Etat: "Les entreprises africaines et françaises sont conscientes de leurs responsabilités sociales, sociétales et éthiques. C'est la raison pour laquelle, à l'unanimité des organisations patronales, nous voulons poser aujourd'hui, à l'occasion de ce sommet historique, un acte nouveau, fort, significatif, à la hauteur de nos espérances en adoptant une charte d'engagement, de responsabilité sociale et environnementale".
Of social responsibility (CSR) is the contribution of business to sustainable development objectives. MEDEF mobilizes several years to educate businesses, particularly SMEs, on issues of sustainable development and how implement a CSR. With the crisis, CSR is more than ever necessary to improve economic efficiency, social and environmental enterprise and competitiveness in the long term and respond to social challenges. It is also a critical means to restore trust in business. More...
27 décembre 2012

La responsabilité sociétale des entreprises - une démarche déjà répandue

http://www.insee.fr/fr/ppp/publications/img/ip.gifEn France, plus de la moitié des sociétés de 50 salariés ou plus déclarent s'impliquer dans la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. Cet engagement est d'autant plus fréquent que la taille des sociétés est importante. Il est plus présent dans les secteurs de l'énergie et de l'environnement que dans le commerce. Les sociétés impliquées dans la RSE ont, de fait, des pratiques différenciées. En particulier, elles sont plus attentives aux enjeux de développement durable dans leur politique d'achats ou au respect de la biodiversité. D'autres actions sont plus largement mises en œuvre, y compris au sein des sociétés qui ne connaissent pas la notion de RSE. Elles relèvent davantage du volet social, même si une des actions les plus courantes est la prévention ou le recyclage des déchets.
Deux tiers des sociétés de 50 salariés ou plus connaissent la notion de RSE
64% des sociétés de 50 salariés ou plus ont entendu parler de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), contribution des entreprises aux enjeux du développement durable. 52% sont plus particulièrement impliquées dans cette démarche: non seulement elles en ont entendu parlé, mais elles ont aussi le sentiment de mener des actions dans cette perspective.
Les sociétés qui n'ont jamais entendu parler de la RSE (36%) et celles qui, bien qu'informées, estiment ne pas mener d'actions en ce sens (12%), ont des comportements similaires, qui illustrent de fait leur non-implication. Ceci n'empêche pas qu'elles mettent parfois en œuvre certaines actions relevant de la RSE. Suite de l'article...
http://www.insee.fr/fr/ppp/publications/img/ip.gif Στη Γαλλία, περισσότερο από το ήμισυ των επιχειρήσεων με 50 εργαζόμενους και άνω κρατική συμμετοχή στην εταιρική κοινωνική ευθύνη (ΕΚΕ), εταιρικών εισφορών σε θέματα αειφόρου ανάπτυξης. Η δέσμευση αυτή είναι πολύ πιο συχνή από ό, τι το μέγεθος των επιχειρήσεων είναι σημαντική. Είναι παρόν στους τομείς της ενέργειας και του περιβάλλοντος στο εμπόριο. Περισσότερα...
27 décembre 2012

Message d’alerte - Le CICE ou l’inégalité de traitement en actes

http://www.synofdes.org/images/haut_3.jpgLe SyNOFDES est un syndicat professionnel ayant pour objet de regrouper, en leur qualité d’employeurs, les organismes de formation professionnelle et de promotion sociale à but non lucratif et qui se revendiquent de l’économie sociale et de ses valeurs. Présentation...
Communiqué du Président du SyNOFDES en réaction au Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi
Le CICE ou l’inégalité de traitement en actes

D’un côté, on ne peut que se féliciter de la mise en place d’un Ministère délégué à l’Economie sociale et solidaire et à la consommation, rattaché au Ministère de l’Economie; enfin une vraie reconnaissance de notre secteur, tant sur le plan économique que social, avec une identité et des valeurs qui lui sont propres. D’un autre côté, dès qu’il s’agit de réfléchir à des mesures permettant l’amélioration de la compétitivité des entreprises, on ne peut que déplorer un oubli, pour ne pas dire un mépris, en tout cas une absence de prise en considération des acteurs associatifs de l’économie sociale. En effet, le dispositif CICE (Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi) qui vient d’être adopté par l’Assemblée Nationale dans le cadre du projet de Loi de Finances est pour le moins offensant à l’égard des acteurs économiques associatifs.
Le CICE prévoit, pour les entreprises privées du secteur lucratif, une possibilité de réduction de charges équivalente à 4% en 2013 et 6% en 2014 de la masse salariale brute pour tous les salaires compris entre 1 et 2,5 fois le SMIC! Il y a donc là une mesure véritablement proportionnelle à la taille et au volume d’activité de chaque entreprise. La mise en oeuvre de cette mesure est prévue sous forme de crédit d’impôt. Par contre, les entreprises associatives, non assujetties à l’impôt sur les sociétés et qui paient la taxe sur les salaires, ne relèvent donc pas du CICE, et devraient « bénéficier », en lot de consolation, d’un abattement de la taxe sur les salaires qui passerait de 6 000 € actuellement à 20 000 €, soit un effort de l’Etat de 14 000 €...
De qui se moque-t-on ?!

La taxe sur les salaires est calculée annuellement, salarié par salarié, avec des taux de 4,25% à 13,6% par tranche de salaire brut. Après calcul de cette taxe pour chaque salarié, on aboutit à un total dont chaque entreprise doit s’acquitter. Et c’est sur ce total, quel qu’il soit, que s’applique l’abattement fixe de 20 000 € qui est donc identique pour toutes les entreprises associatives de l’économie sociale, quelle que soient leur taille et leur nombre de salariés!
Pire encore, plus l’entreprise est importante, moins l’impact de la mesure agit sur la compétitivité. On est donc face à un dispositif dont l’effet est strictement inverse pour deux entreprises de même taille, dans le même secteur d’activité, selon que l’une est dans le secteur privé lucratif et l’autre associative dans le secteur privé non lucratif. Plusieurs de nos adhérents sont dans cette situation, notamment dans les plus grandes régions. On peut citer l’exemple d’un adhérent qui compte 170 équivalents temps pleins pour une masse salariale brute de 4 090 000 €. Sa taxe sur les salaires représente 322 230 €, sur laquelle, pour améliorer sa compétitivité, il devra se satisfaire en 2013 d’un abattement supplémentaire de 14 000€ et en 2014 aussi.
Par contre, une entreprise avec les mêmes caractéristiques dans le secteur lucratif privé, pourra bénéficier, en 2013, d’un crédit d’impôt de plus de 150 000 € et en 2014 de plus de 220 000 €!
Constat: un écart de 136 000 €, dès 2013, puis de 206 000 € en 2014, au profit des entreprises du secteur lucratif!
Or, dans notre secteur d’activité, ces deux entreprises soumissionnent aux mêmes appels d’offres de l’Etat ou des collectivités territoriales. Dans le champ de la Formation Professionnelle, il n’est pas rare de rencontrer des entreprises associatives de plus de 50 ou 100 salariés et ce phénomène a plutôt tendance à s’accentuer compte tenu de l’évolution de la commande publique qui suppose, pour pouvoir répondre aux appels d’offres, une taille et une surface financière importantes, afin de pouvoir prétendre à une place de mandataire et même de cotraitant au sein d’un groupement. Ne sommes nous pas là face à une distorsion de la concurrence générée par ce dispositif mis en place par l’Etat? Faudra-t-il, le moment venu, faire arbitrer cette situation par les instances ou juridictions compétentes?
Au regard du droit communautaire, ce dispositif ne constitue-t-il pas une aide d’Etat servie à une catégorie d’acteurs économiques? Si on se réfère aux chiffres de l’année 2011, publiés par l’observatoire national de l’économie
sociale et solidaire, cette dernière représente 10,3% des effectifs salariés et les Associations représentent 1 840 864 salariés, soit 8,2% du total des effectifs salariés en France. Ce n’est sans doute pas suffisant pour être pris en compte comme un acteur économique à part entière… Puisque le secteur de la Formation Professionnelle est qualifié d’activité économique soumise aux règles de la libre concurrence, faut-il comprendre que les Entreprises associatives ne peuvent pas bénéficier de mesures d’Etat destinées à améliorer la compétitivité?
Nous pensons qu’il sera difficile, dans un avenir proche, pour les acteurs associatifs de la Formation Professionnelle, d’accepter d’un côté une telle inégalité de traitement par rapport aux entreprises privées et, de l’autre côté, le nécessaire subventionnement massif, dans des formules édulcorées, de la plus grande Association de formation pour qu’elle continue d’exister.
De qui se moque-t-on?

Nous voilà donc contraints, une fois de plus, à une extrême vigilance et à la mobilisation de tous les moyens nécessaires à la reconnaissance du secteur non marchand et à la défense des intérêts de nos adhérents.
Le 20 décembre 2012. Pour le SyNOFDES, Gérard Brédy, Président. SyNOFDES – 66 cours Tolstoï – 69100 VILLEURBANNE, email: synofdes@synofdes.org, Tel. 0820.825.724.
http://www.synofdes.org/images/haut_3.jpg The SyNOFDES is a professional association whose purpose is to gather, in their capacity as employers, vocational training institutions and social welfare nonprofit and assert that the social economy and its values. More...
27 décembre 2012

Les ruptures conventionnelles chez les 50 ans et plus

Unédic, le coeur de l'Assurance chômage - Le coeur de l'assurance chômageDe 2008 à fin 2011, 570 000 personnes ont pu être indemnisées par l’assurance chômage suite à une rupture conventionnelle. Depuis la création de ce dispositif de rupture amiable du contrat de travail, son utilisation a évolué selon les classes d’âge, en particulier chez les seniors.
La rupture conventionnelle est un mode de rupture amiable du contrat à durée indéterminée. Instauré par la loi de modernisation du marché du travail du 25 juin 2008, ce dispositif ouvre droit au salarié aux allocations chômage au même titre que le licenciement.
En 2011, 9% des entrées en indemnisation font suite à une rupture conventionnelle
En 2011, près de 220 000 personnes sont entrées en indemnisation après une rupture conventionnelle, soit 9% des motifs d’entrée au régime d’assurance chômage. Si cette part a rapidement progressé depuis la mise en place du dispositif, celle-ci s’est stabilisée à partir de 2010. Cette part est plus élevée lorsque l’emploi perdu était exercé dans une entreprise de petite taille. Elle est de 19% dans les établissements de plus de 500 salariés et progresse jusqu'à 31% dans les établissements de moins de 50 salariés. Enfin, l'industrie manufacturière, construction et transports sont les secteurs où la part de la rupture conventionnelle est la plus faible.
En 2011, les ruptures conventionnelles sont moins fréquentes chez les seniors que parmi les 25-40 ans
A l’introduction de la rupture conventionnelle, les 50 ans et plus étaient les plus nombreux à bénéficier d’une allocation par ce biais. Depuis, ce mode de rupture progresse davantage chez les personnes de 25 à 40 ans. Fin 2011, un tiers des personnes de cette classe d'âge obtenant une indemnisation à l'issue d'un CDI ont mis un terme à leur contrat par une rupture conventionnelle d'un CDI. Les entrées en indemnisations à 50 ans ou plus se font moins souvent suite à une rupture conventionnelle. Ainsi, 19% des personnes âgées de 50 ans ou plus ayant obtenu une indemnisation en 2011 ont quitté leur précédent emploi suite à une rupture conventionnelle de leur CDI, contre 25 % tous âges confondus. Pourtant, 55% des entrées en indemnisation font suite à la perte d'un CDI (tous motifs confondus) chez les 50 ans et plus, contre 37 % pour l’ensemble.
Chez les seniors, les ruptures conventionnelles concernent davantage des personnes de 58 et 59 ans

En 2011, 36 000 personnes de plus de 50 ans ont bénéficié d’une indemnisation après une rupture conventionnelle, ce qui représente 10% des motifs d’entrée en indemnisation pour cette tranche d’âge. Parmi les seniors, les ruptures conventionnelles concernent principalement des personnes indemnisées à partir de 58 et 59 ans.
UNEDIC την καρδιά της ασφάλισης ανεργίας - Η καρδιά της ασφάλισης κατά της ανεργίας Από το 2008 έως το τέλος του 2011, 570.000 άνθρωποι έχουν ήδη αποζημιωθεί από ασφάλιση κατά της ανεργίας, ως αποτέλεσμα της καταγγελίας σύμβασης. Δεδομένου ότι η δημιουργία αυτού του φιλικού της συσκευής σπάσει τη σύμβαση εργασίας, η χρήση της έχει εξελιχθεί ανάλογα με την ηλικία στην ιδίως μεταξύ των ηλικιωμένων. Το διάλειμμα είναι ένας συμβατικός τρόπος αποτυχίας φιλικό σύμβαση αορίστου χρόνου. Περισσότερα...

27 décembre 2012

L’Assurance chômage à Mayotte gérée par l’Unédic dès janvier 2013

Unédic, le coeur de l'Assurance chômage  - Le coeur de l'assurance chômageL’accord national interprofessionnel du 26 octobre 2012 relatif à l’indemnisation du chômage à Mayotte, signé par l’ensemble des organisations patronales et la CFDT, la CFE-CGC, la CFTC et FO, prévoit que le régime d’assurance chômage, applicable à Mayotte à compter de 2013, est géré par l’Unédic. Dans cet accord, les partenaires sociaux ont fixé les règles d’assurance chômage qui s’appliqueront du 1er janvier au 31 décembre 2013.

Élargissement de la couverture assurée par l’assurance chômage dès 2013

L’accord relatif à l’indemnisation du chômage à Mayotte ouvre le dispositif aux personnes concernées par des fins de chantier dans le cadre d’un CDD et aux cas de démissions considérés comme légitimes. Jusqu’alors, seules les ruptures de CDI, les fins de CDD hors fins de chantier et les licenciements économiques pouvaient donner lieu à une ouverture de droits à l’Assurance chômage à Mayotte...

Convergence des droits à horizon 2036
Les partenaires sociaux envisagent un alignement progressif des droits à l’Assurance chômage à Mayotte avec le régime général. Les règles d’indemnisation à Mayotte arrivant à échéance à la même date que l’actuelle convention d’assurance chômage, la prochaine négociation du régime général devrait aussi porter sur l’assurance chômage à Mayotte. À terme, les Mahorais auront accès au même système d’assurance chômage, au plus tard en 2036 conformément à la loi du 7 décembre 2010 relative au Département de Mayotte.

Depuis le 31 mars 2011, Mayotte est devenu officiellement le 101ème département français et le 5ème département d’outre-mer. Cette départementalisation résulte du référendum du 29 mars 2009 et des lois organique et ordinaire du 7 décembre 2010 relatives au Département de Mayotte.
Unédic the heart of Unemployment Insurance - The heart of the unemployment insurance The national interprofessional agreement of 26 October 2012 relating to unemployment compensation Mayotte, signed by all employers' organizations and the CFDT, CFE-CGC, CFTC and FO provides that the unemployment insurance system, applicable in Mayotte in 2013, is managed by the Unédic. In this agreement, the social partners have set the rules of unemployment insurance that will apply from 1 January to 31 December 2013. More...

27 décembre 2012

Liste des entreprises titulaires du label "prestataires de services du spectacle vivant"

Unédic, le coeur de l'Assurance chômage  - Le coeur de l'assurance chômageCirculaire n°2012-26 du 14 décembre 2012 - Liste des entreprises titulaires du label "prestataires de services du spectacle vivant" au 25 octobre 2012.
Objet

L'Annexe VIII au règlement général annexé à la Convention du 6 mai 2011 relative à l’indemnisation du chômage s'applique notamment aux employeurs du spectacle vivant, titulaires du code NAF 90.02 Z (ou 92.3 B avant le 1er janvier 2008) et du Label "Prestataires de services du spectacle vivant".
La liste ci-jointe inventorie l'ensemble des entreprises titulaires de ce Label à la date du 25 octobre 2012. Cette liste est également consultable sur le site Internet: www.labelspectacle.org et remplace celle transmise par la circulaire n°2012-20 du 16 août 2012.
CIRCULAIRE N°2012-26 DU 14 DECEMBRE 2012
Direction des Affaires Juridiques
Liste des entreprises titulaires du label "Prestataires de services du spectacle vivant" au 25 octobre 2012

Afin de permettre le traitement des demandes d'allocations sans interroger systématiquement l'employeur sur l'information relative à ce Label, lorsque celle-ci fait défaut, la liste des entreprises titulaires du Label, à jour au 25 octobre 2012, est jointe en annexe. Cette nouvelle liste a été communiquée à l'Unédic par le secrétariat de la Commission Nationale du Label, 103, rue La Fayette 75010 PARIS (téléphone: 01.42.01.69.81). Elle est également consultable sur le site Internet: www.labelspectacle.org.
Pièce jointe: Liste des entreprises titulaires du Label « Prestataires de services du spectacle vivant » au 25/10/2012.
UNEDIC την καρδιά της ασφάλισης ανεργίας - Η καρδιά της ασφάλισης κατά της ανεργίας Εγκύκλιο Αρ. 2012 - 26 από 14, Δεκ. 2012 - Κατάλογος των κατεστημένων ετικέτα "υπηρεσία τέχνες του θεάματος" 25 του Οκτώβρη, 2012.
Αντικείμενο. Το παράρτημα VIII του Γενικού Κανονισμού που προσαρτάται στη σύμβαση της 6ης Μαΐου 2011, σχετικά με την αποζημίωση της ανεργίας ισχύει ιδιαίτερα για τους εργοδότες τέχνες του θεάματος, οι κάτοχοι της NAF 90.02 Ζ (Β 92,3 ή πριν την 1η Ιανουαρίου 2008) και Label "πάροχοι υπηρεσιών τέχνες του θεάματος." Ο συνημμένος κατάλογος απογραφή όλων των κατεστημένων του σήματος κατά την ημερομηνία 25 Οκτωβρίου, 2012. Αυτός ο κατάλογος είναι επίσης διαθέσιμες στην ιστοσελίδα: www.labelspectacle.org μεταδίδεται και αντικαθιστά Εγκύκλιο Αρ. 2012-20 με ημερομηνία 16 Αυγούστου 2012. Περισσότερα...
27 décembre 2012

Nouvelle convention bipartite Unédic-Pôle Emploi

Vendredi 21 décembre 2012, les Présidents de l’Unédic et de Pôle emploi, la Vice-Présidente de l’Unédic et les directeurs généraux des deux institutions ont signé une nouvelle convention relative aux délégations de service et à la coopération institutionnelle. La nouvelle convention bipartite Unédic-Pôle emploi réaffirme les priorités de la convention tripartite et renforce la coopération institutionnelle. La nouvelle convention prend effet à la date de sa signature. Le texte réaffirme, sur le champ de l’assurance chômage, les objectifs fixés par la convention pluriannuelle État-Unédic-Pôle emploi du 11 janvier 2012; il engage par ailleurs une démarche de coopération renforcée entre les deux institutions.
La réaffirmation des objectifs fixés par la convention tripartite

La convention bipartite précise les conditions d’exercice des missions déléguées par l’Unédic à Pôle emploi: le service des allocations et aides financées par l’Assurance chômage pour les demandeurs d’emploi. Les modalités d’exercice de ces délégations ont été conçues dans un souci de complémentarité entre l’Unédic et Pôle emploi, afin de respecter les rôles et les responsabilités de leurs instances de décision respectives.
Le texte est fidèle aux objectifs de la convention pluriannuelle entre l’État, l’Unédic et Pôle emploi. Il rappelle la nécessité d’un pilotage par la performance, adapté aux objectifs des partenaires sociaux, en vue de proposer un service de qualité aux demandeurs d’emploi. La convention bipartite présente les modalités de suivi des indicateurs de suivi des objectifs, parmi lesquels figurent le taux de décision en moins de 15 jours, le taux de premiers paiements dans les délais, le taux de qualité des traitements des demandes d’allocations et la part des indus non récupérés.
Le renforcement de la coopération institutionnelle au service d'une mise en œuvre performante des dispositifs délégués à Pôle emploi

À la lumière de la mise en œuvre des conventions de décembre 2008, l’Unédic et Pôle emploi ont décidé d’engager une coopération renforcée sur plusieurs thèmes afin de faciliter une mise en œuvre performante des dispositifs délégués et d’améliorer la qualité du service rendu:
- La recherche commune d’amélioration et de simplification dans la mise en œuvre de la réglementation, via une réflexion conjointe dans le respect des intérêts et des droits des demandeurs d’emploi et des employeurs.
- Un dispositif de formation croisée des collaborateurs de l’Unédic et de Pôle emploi, en particulier sur le champ de la réglementation de l’Assurance chômage.
Le suivi et le pilotage de la nouvelle convention s’appuieront sur des réunions régulières entre les directions opérationnelles des deux organismes. Un comité de coordination, un comité des Directeurs généraux et un comité des Présidents en assurent le pilotage. Convention bipartite Unédic-Pôle Emploi. Communiqué de presse: convention bipartite Unédic-Pôle Emploi.
Friday, December 21, 2012, the Presidents of Unédic and employment center, the Vice-President of the Unédic and CEOs of the two institutions signed a new agreement on service delegations and institutional cooperation. The new agreement bipartite Unédic-employment center reaffirms the priorities of the tripartite agreement and strengthen institutional cooperation. The new agreement takes effect on the date of its signature. The text reaffirms, on the field of unemployment insurance, the objectives of the Multi-State employment center Unédic-January 11, 2012, he also undertakes a process of cooperation between the two institutions. More...
27 décembre 2012

Mettre la RSE au cœur des politiques régionales

http://www.rsepaca.com/images/logo-rse-paca.pngBernard MOREL, vous êtes le nouveau Vice Président du Conseil Régional en charge de l'Emploi du développement Economique de la Recherche de l'Enseignement Supérieur et de l'Innovation. Vous serez présent au RV de la RSE et de ses innovations le 14 février et justement dans cet interview, vous nous expliquez pourquoi vous voulez mettre la RSE au cœur de vos politiques régionales, en quoi la RSE est un facteur de gain de compétitivité, la place de la RSE réservé dans le prochain Schéma Régional de développement Durable économique (SRDDE).
Pourquoi voulez vous mettre la RSE au cœur de vos politiques régionales?

La politique de la Région va évoluer en matière d'économie car le contexte politique et économique a changé. La politique de la Région avait notamment pour fonction de permettre à notre économie d'amortir la crise, elle a aujourd'hui l'ambition d'orienter toute son énergie au service de la sortie de la crise.
Pour cela il faut inventer des produits nouveaux, et innover dans la manière de manager et d'anticiper. La RSE tient une place significative dans cette nouvelle manière de produire et de consommer. Il faut que le monde économique entrepreneurial, institutionnel, syndical etc.. réinvente une politique d'offre innovante, hors coût du travail, comme ont pu le faire les pays scandinaves précurseurs dans ce domaine.
En ces sens, la RSE est un levier de la compétitivité et doit être soutenue comme telle par la Région. La RSE est une manière de différencier les ADN des entreprises.
En quoi la RSE est un facteur de gain de compétitivité?

-Elle anticipe les évolutions du marché parce qu'elle pose un regard différent et appréhende l'avenir autrement.
-Elle rencontre les attentes de la clientèle. C'est en ayant des réflexions sur l'environnement que l'on anticipe les besoins des clients et que l'on invente de nouveaux produits comme par exemple de nouveaux emballages, des ampoules moins consommatrices d'énergie, des énergies renouvelables, des nouveaux produits d'isolation, d'étanchéité , des systèmes de double chasse d'eau pour économiser l'eau etc.. Non seulement cela change notre manière de consommer mais cela crée aussi des produits et ouvre des marchés nouveaux à nos entreprises
- Elle intègre les évolutions législatives et rend le chef d'entreprise plus sensible à l'environnement. En lui permettant de gérer ses risques, il est moins fragile aux changements de lois et aux secousses de l'environnement économique dans lequel il évolue.
- Elle invente d'autres manières de manager et de prendre en compte le salarié. En l'associant, elle le rend plus responsable, plus impliqué . La RSE permet la concertation avec les parties prenantes.
La sortie de crise se fera par l'innovation. La RSE est un facteur d'innovation fort.
La RSE est aussi un liant entre l'économie sociale et solidaire et l'économie générale. L'économie sociale solidaire ne doit pas être réservée qu'à quelques secteurs relevant des services, elle doit concerner tous les secteurs d'activités. Suite de l'article...
http://www.rsepaca.com/images/logo-rse-paca.png Bernard MOREL, tu sei il nuovo Vice Presidente del Consiglio regionale incaricato della ricerca per lo sviluppo economico per l'occupazione di istruzione superiore e innovazione. Lei sarà presente il camper della RSI e le sue innovazioni il 14 febbraio e proprio in questa intervista, è possibile spiegare perché si vuole mettere la RSI al centro delle vostre politiche regionali, ciò che la RSI è un fattore di guadagno di competitività, RSI riservato posto nel prossimo Piano regionale per lo sviluppo economico sostenibile (SRDDE). Più...
27 décembre 2012

Appels à projets - études portant sur le renouvellement de 4 CQP

logo fafseaDans le cadre de son programme Etudes & Recherche validé par ses partenaires sociaux, le FAFSEA informe les prestataires de ses appels à projets nationaux pour une mise en concurrence. Nous vous invitons à consulter régulièrement cet espace pour suivre l'évolution des appels à projets.
Etude portant sur le renouvellement du CQP « Ouvrier qualifié de l’exploitation viticole »

En lien avec la CPNE agricole, le Conseil d’Administration Paritaire du FAFSEA a décidé de conduire une étude pour le renouvellement du CQP « Ouvrier qualifié de l’exploitation viticole », objet du présent appel à projets. Les offres sont attendues pour le 25 janvier 2013 au plus tard. Cahier des charges.
Etude portant sur le renouvellement du CQP « Agent de service de remplacement »

En lien avec la CPNE agricole, le Conseil d’Administration Paritaire du FAFSEA a décidé de conduire une étude pour le renouvellement du CQP « Agent de service de remplacement », objet du présent appel à projets.
Les offres sont attendues pour le 25 janvier 2013 au plus tard. Cahier des charges.
Etude portant sur le renouvellement du CQP « Ouvrier spécialisé en productions légumières »
En lien avec la CPNE agricole, le Conseil d’Administration Paritaire du FAFSEA a décidé de conduire une étude pour le renouvellement du CQP « Ouvrier spécialisé en productions légumières », objet du présent appel à projets. Les offres sont attendues pour le 25 janvier 2013 au plus tard. Cahier des charges.
Etude portant sur le renouvellement du CQP « Conduite/maintenance des machines d’embouteillage – conditionnement »

En lien avec la CPNE des industries et commerces en gros des vins, cidres, spiritueux, sirops, jus de fruits et boissons diverses, le Conseil d’Administration Paritaire du FAFSEA a décidé de conduire une étude pour le renouvellement du CQP « Conduite/maintenance des machines d’embouteillage – conditionnement », objet du présent appel à projets. Les offres sont attendues pour le 15 janvier 2013 au plus tard. Cahier des charges.

FAFSEA λογότυπο Ως μέρος του προγράμματος σπουδών της Έρευνας & επικυρωθεί από τους κοινωνικούς εταίρους, οι πάροχοι FAFSEA ενημερώνει το έργο του απαιτεί ένα εθνικό διαγωνισμό. Σας προσκαλούμε να επισκέπτεστε τακτικά αυτή την περιοχή για να παρακολουθείτε τις κλήσεις για τα έργα. Περισσότερα...

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