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Formation Continue du Supérieur
12 août 2012

Apprentissage - Région Languedoc-Roussillon

http://www.laregion.fr/images/SIT_CRLR/logo.pngLa Région a un espace dédié: http://www.apprentissagelr.fr/.
Appui au fonctionnement et aux investissements dans les CFA: objectif 22 500 apprentis

Les objectifs

La Région contribue au financement des CFA pour donner les meilleures chances de succès aux apprentis. Elle leur attribue une dotation annuelle de fonctionnement et des subventions liées à des opérations précises inscrites dans le projet d’établissement du CFA. Lors de l’ouverture de nouveaux diplômes et la création de classes supplémentaires, un cofinancement Région/FSE est attribué pour la première promotion dans le cadre de l'élargissement de l'offre de formation. Des subventions régionales liées à l'amélioration de la qualité pédagogique des formations permettent de financer des heures de soutien et des visites en entreprises. En outre, les CFA ayant engagé une démarche qualité perçoivent des subventions régionales au titre de la certification.
La Région concourt également au financement des investissements des CFA par des subventions. L’objectif est à la fois d’équiper les sections de formation avec le matériel que les apprentis retrouvent dans les entreprises et de développer l’offre de formation par la création de nouvelles sections ou de nouveaux CFA.
Ces subventions peuvent être liées:
    * aux équipements pédagogiques;
    * aux opérations de mise aux normes de sécurité;
    * aux investissements structurants (restructuration, extension, création de nouveaux CFA).
Les résultats sont là
De 12 000 apprentis en janvier 2004, le Languedoc-Roussillon est passé à 15 560 apprentis depuis le 1er janvier 2011. La Région Languedoc-Roussillon mise fortement sur un dispositif qui mène dans 80% des cas à un emploi. La Région se fixe pour objectif de dépasser les 20 000 apprentis pour atteindre le chiffre de 22 500.
La Région s’engage dans une politique volontariste de développement de l’apprentissage dans le secteur public en créant, en collaboration avec le CNFPT, un Centre de formation des apprentis (CFA) des “ métiers territoriaux ”. Ce CFA, créé le 1er janvier 2011, ouvrira à la rentrée de septembre 2011 et permettra de préparer trois diplômes:
    * CAP maintenance des bâtiments des collectivités
    * CAP petite enfance
    * CAP en travaux paysagers
Les perspectives de développement sont de 1 000 apprentis dans le secteur public à l’horizon 2015.
http://www.laregion.fr/images/SIT_CRLR/logo.png
Aides aux apprentis
Les objectifs

Ce programme a pour objectif de limiter les frais de formation des apprentis et leur permettre de suivre leur formation dans les meilleures conditions.
La Région leur attribue quatre types d’aides:
    * une aide au transport: chaque CFA bénéficie d’une enveloppe annuelle pour pour venir en aide aux apprentis habitant dans les zones non desservies par les transports ferroviaires;
    * une aide à la restauration et à l’hébergement (2 euros par repas et 5 euros par nuitée);
    * une aide au premier équipement: cette mesure vise les apprentis de 1ère année dont les diplômes nécessitent un premier équipement professionnel. La participation régionale est déterminée en fonction d'un forfait établi pour chaque secteur professionnel et du nombre d'apprentis inscrits dans les formations concernées;
    * une aide à la mobilité: la Région favorise les échanges européens qui permettent aux jeunes apprentis de se familiariser avec d’autres méthodes de travail et d’approfondir leur savoir-faire sur les métiers.
Les résultats sont là
La Région assure la gratuité des équipements professionnels. Le matériel professionnel financé par la Région est remis aux apprentis qui en deviennent propriétaires en seconde année.
La Région accompagne également les projets de mobilités européennes.
En 2011, ce sont plus de 350 apprentis, dans des secteurs variés (métiers de bouche, hôtellerie-restauration, informatique, automobile, management commercial, travaux paysagers, bâtiment), qui profiteront, grâce aux financements de la Région, de la mobilité européenne.
La Région mettre en place en 2012 une aide au permis de conduire. Cette aide concerne les apprentis en dernière année de niveau V (CAP, CAPA…) inscrits dans un Centre de formation d’apprentis ou une section d’apprentissage du Languedoc-Roussillon.
Le montant s’élèverait à 500€ versés directement à l’apprenti inscrit dans une auto-école agréée et labellisée “ permis à 1€ ”. Près de 2 500 apprentis par an pourraient bénéficier de cette mesure.
http://www.laregion.fr/images/SIT_CRLR/logo.png
Promotion de l’apprentissage
Les objectifs

L’objectif est de porter, auprès des jeunes et des entreprises, un discours positif sur l'apprentissage et les métiers auxquels il conduit.
Dans cette perspective, la Région a mis en place une bourse de l’apprentissage (lien www.apprentissagelr.fr ). Constituée sous forme d’un portail Internet, elle a pour vocation d’être:
    * un collecteur, au niveau régional, des demandes et des offres de formation par alternance et par l’apprentissage émanant des jeunes et des entreprises;
    * un diffuseur d'informations complètes sur les dispositifs de formation ainsi que sur les lieux de formation;
    * un facilitateur en temps réel de mise en relation des jeunes et des entreprises. Le pilote de cette action est le Carif (Centre d’animation, de ressources et d’information sur la formation).
D’autres outils doivent concourir à la promotion de l’apprentissage:
    * les stages de pré-apprentissage: ils contribuent à diminuer les ruptures de contrats d'apprentissage car ils permettent de construire un parcours de projet professionnel, de découvrir le monde économique et ses exigences, d'aider à l'orientation d'un choix de vie et de satisfaire l'attente des entreprises en quête de stagiaires motivés;
    * les opération portes ouvertes: ces manifestations annuelles, généralement couplées à la campagne nationale de la semaine de l'apprentissage, permettent aux acteurs de l'apprentissage d'ouvrir aux jeunes et aux entreprises leurs structures de formation.
    * le Concours de l'innovation et la Nuits des Qualifs: ce concours thématique, avec remise de prix, participe à la promotion des formations par l’apprentissage.
    * les Olympiades des Métiers: cette compétition régionale, nationale et internationale, concourt à la promotion des métiers et des candidats. Elle est organisée tous les deux ans pour une liste de métiers sélectionnés.
Les résultats sont là
La Région a développé une politique ambitieuse et innovante alliant différents dispositifs:
    * un numéro vert pour les jeunes et les demandeurs d’emploi: 0800 00 70 70;
    * un numéro vert pour les chefs d’entreprises et les salariés: 0800 00 74 74;
    * une bourse de l’apprentissage, pour regrouper sur un seul site Internet toutes les offres de contrats d’apprentissage (www.apprentissagelr.fr). Ce portail permet de mutualiser les informations en provenance des différents sites des partenaires et de consulter les offres et les demandes d’emploi en matière d’apprentissage. En 2010, plus de 900 offres de contrats d’apprentissage y ont été proposées.
    * La mise en place des écoles régionales de l’apprentissage: ce dispositif, lancé pour la première fois à l’automne 2010, est désormais généralisé en 2011. Il permet à des jeunes de conforter un choix professionnel et de trouver une entreprise pour signer leur contrat. Pendant cette formation, financée par la Région, le jeune est sous contrat avec la Région qui lui offre couverture sociale et rémunération.
    * Les salons TAF (travail, avenir, formation): en 2010, les cinq salons organisés dans les cinq départements de la région ont réuni près de 58 000 visiteurs, 300 organismes de formation et plus de 11 000 offres d’emplois proposées par près de 800 entreprises.
    * Une semaine de l’apprentissage: cette opération “ porte ouverte ” est organisée chaque année au mois de mai. La Région ouvre aux jeunes et à leur famille les portes des CFA et des lycées qui portent des sections en apprentissage. Des recrutements sont organisés en direct.
    * La promotion des filières de formation, du CAP au diplôme d’ingénieur: la Région mise ainsi sur le développement de l’apprentissage et sur des diplômes d’enseignement supérieur.
    * La Région a signé le premier contrat d’objectifs et de moyens (COM 2011-2015) sur l’apprentissage entre l’Etat et le Languedoc-Roussillon. Il s’agit du premier contrat scellé sur le territoire français. Le budget est de 140 M€. L’engagement de l’Etat est de 70 M€.
Pour atteindre les 22 500 apprentis formés d’ici 2015, la Région se lance les défis suivants:
    * ouvrir de nouveaux diplômes et centre de formation
    * proposer un appui aux secteurs traditionnels de l’économie régionale (artisanat, commerce, bâtiment) et renforcer la valorisation de l’image des métiers dits “ manuels ”.
    * promouvoir l’apprentissage comme voie d’excellence de formation et d’insertion professionnelle: former par l’apprentissage du CAP au diplôme d’Ingénieur et développer l’apprentissage dans l’enseignement supérieur;
    * améliorer le cadre de vie des apprentis et leur pouvoir d’achat par des investissements ciblés et des aides dédiées (restauration, hébergement, transport, 1er équipement et très prochainement le permis de conduire);
    * informer les employeurs pour le recrutement d’apprenti ainsi que les aides associées (Chèque apprentissage).
http://www.laregion.fr/images/SIT_CRLR/logo.png
Aides aux entreprises
Les objectifs

Le chèque apprentissage permet d’encourager les entreprises à s’engager dans la voie de l’apprentissage. La Région attribue des primes aux entreprises qui recrutent et forment des apprentis. Trois types d’aides sont versées:
    * une aide à la signature du contrat d'apprentissage d'un montant de 1 800 euros pour les entreprises privées et publiques de moins de 20 salariés qui recruteront + une bonification de 250 euros versée aux entreprises signant un contrat d’apprentissage à un jeune issu de l’action “ Ecole de l’apprentissage ” financée par la Région;
    * une aide au soutien à l’effort de formation de 1 000 euros à l’issue de chaque année de formation sous réserve que l’apprenti n’ait pas été retenu en entreprise en dehors de la période réglementaire;
    * une prime de 1 800 euros aux entreprises qui embaucheront leur apprenti en CDI dans le mois suivant la fin du contrat d'apprentissage sans période d’essai.
Les résultats sont là

Le nombre d’apprentis est en constante évolution, même en période de crise. Cet effectif, qui était de 12 000 apprentis en 2004, est passé à 15 560 apprentis en 2011.
Depuis 2005, il est signé en moyenne 10 000 contrats en apprentissage par an en Languedoc-Roussillon.
    * 82 % des apprentis ayant suivi une formation de niveau I ou II ont trouvé un emploi.
    * 82 % de ceux qui travaillent ont trouvé un emploi en Languedoc-Roussillon.
    * 45 % dans une entreprise de moins de 10 salariés.
    * 50 % de ceux qui ont trouvé un emploi ont signé un CDI.
http://www.laregion.fr/images/SIT_CRLR/logo.pngThe Region has a dedicated area http://www.apprentissagelr.fr/.
Support for the operation and investment in the CFA target 22,500 apprentices
The objectives

The Region provides funding for CFA to give the best chance of success for apprentices.
It gives them an endowment and annual operating subsidies linked to specific transactions included in the proposed establishment of the CFA. More...
12 août 2012

Apprentissage - Région Île-de-France

http://www.iledefrance.fr/uploads/RTEmagicC_Web_CFA.jpg.jpgLa Région a au moins deux sites dédiés: http://www.iledefrance.fr/formation-en-CFA/ et http://www.cfasup2000.net/.
100.000 apprentis en Île-de-France

En cinq ans, le nombre de jeunes se tournant vers l’apprentissage a augmenté de 40% en Île-de-France. Une évolution quantitative qui s’accompagne d’une offre de formation étendue et diversifiée, et des aides pour les apprentis (mobilité, culture, …).
L'apprentissage : un passeport vers l’emploi

En 2011, plus de 100.000 jeunes franciliens sont entrés en apprentissage et dans le dispositif d’accès à l’apprentissage. Une expérience unique qui allie à la fois la pratique professionnelle et la délivrance d’un diplôme du CAP au master pro.
Sécurité, santé, mécanique auto, génie climatique, aéronautique... l’apprentissage concerne plus de 800 métiers des secteurs de l’artisanat, de l’industrie et des services. Au final, 71% des apprentis trouvent un emploi, généralement durable, dans les sept mois suivant leur formation.
Recruter un apprenti dans son entreprise

Recruter un apprenti, c'est la possibilité de former un futur salarié à la culture de l'entreprise. Pour soutenir cette démarche, la Région prévoit 116 millions d’euros de primes, attribuées aux entreprises employant des apprentis. Cette indemnité est composée d’une prime fixe, assortie de majorations destinées à favoriser les petites et moyennes entreprises et certains publics.
La Région mise sur la qualité

La Région agit sur tous les fronts. Elle renforce le lien entre l’école, le jeune et l’entreprise. Elle facilite la vie quotidienne de l’apprenti : aides à l’achat de livres et d’équipements professionnels, aides au transport, au logement… et, elle soutient la mobilité européenne et l’accès à la culture, à la citoyenneté et au sport.
Le budget total de l’apprentissage progresse de près de 4%, soit 15M€ de crédits supplémentaires par rapport à 2011.
Enfin, en termes d’investissement immobilier, la Région continue de construire de nouveaux centres de formation et rénover ceux qui existent. Action qui s’accompagne d’un appui à l’acquisition d’équipements professionnels, mobiliers et postes informatiques.
Un nouveau site pour s'informer

Le nouvel espace régional dédié aux CFA propose une mine d'information sur les centres de formation en Île-de-France: les coordonnées des établissements, les formations proposées et les places disponibles, sans oublier un calendrier exhaustif des évènements organisés tout au long de l'année (salons, porte-ouverte...). Apprentissage, mode d'emploi document PDF. Apprentissage: les chiffres-clé document PDF.
http://www.cfasup2000.net/Images/logo_CFA_sup2000.gifLe CFA SUP 2000
1990 : Le CFA SUP 2000 est le pionnier de l'apprentissage universitaire en France
2009 : Le CFA SUP 2000 reste le premier centre universitaire de formation en apprentissage en France, avec:
    * 3000 apprentis dans l'enseignement supérieur,
    * 1300 entreprises partenaires,
    * 8 universités, le CNAM et l'EPITA en partenaires,
    * Plus de 140 formations organisées en filières, conduisant à des diplômes nationaux, aussi bien dans le secteur industriel que dans celui des services.
Certifié conforme à la norme ISO 9001, le CFA SUP 2000 reste à ce jour le plus important CFA universitaire de France.

A titre d'exemple, quelques-uns de nos partenaires:
Universités et écoles:
    * Université de Paris 1 Panthéon - Sorbonne, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, Paris-Sud 11, Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC), Paris 13 Paris Nord, Université de Cergy-Pontoise, Université de Paris-Est Marne-la-Vallée, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, le CNAM et l’EPITA.
http://www.cfasup2000.net/Images/logo_CFA_sup2000.gif... et les diplômes préparés de Bac+2 à Bac+5 :

    * 15 spécialités de DUT (secteur industriel ou des services).
    * + de 40 Licences et Licences Professionnelles.
    * + de 20 Masters.
    * Des diplômes ou titres délivrés par des écoles à Bac+5
.

Dès l'origine, un partenariat exemplaire entre le monde professionnel et le monde universitaire.
Né de la volonté commune d'universitaires (Université Paris-Est Créteil), de responsables d'entreprises (ESSILOR, BRED, CASDEN, FNAC, AUCHAN, INTERMARCHE), soutenus par le Conseil régional d'Ile-de-France, le CFA SUP 2000 accueillait dès 1990 ses 14 premiers apprentis en Maîtrise d'Informatique Appliquée à la Gestion des Entreprises (MIAGE).
La gestion du CFA SUP 2000: un copilotage paritaire universités-entreprises pour produire ensemble une réelle co-formation.
Le CFA SUP 2000 est géré par l'AFUNA, organisme associatif à but non lucratif dont le fonctionnement est entièrement paritaire (à égalité de droits et de devoirs sur tous les sujets) entre le collège universitaire et le collège entreprise. Son Conseil d'Administration et son Bureau sont aussi entièrement paritaires. A ce jour, le collège « entreprises » de l'assemblée générale de l'AFUNA est composé de 12 représentants d'entreprises parmi celles citées précédemment. Si ses deux premières formations diplômantes ont été respectivement une MIAGE (Maîtrise d'Informatique Appliquée à la Gestion des Entreprises) et un DUT Génie Mécanique et Productique, les formations proposées concernent désormais tous les secteurs d'activité.
http://www.cfasup2000.net/Images/logo_CFA_sup2000.gifDepuis la création du CFA SUP 2000, il existe une collaboration étroite entre les professionnels de l'entreprise et les universitaires pour concevoir, réaliser et assurer le suivi des enseignements; chaque année de nouvelles formations sont mises en place. De nombreux cadres des entreprises partenaires interviennent dans les enseignements. Dans le cas des groupes « mono-entreprise », l'entreprise participe au découpage du cursus et assure même parfois une partie de ce cursus. Cette collaboration est la garantie d'une formation d'excellence adaptée aux exigences d'un contexte économique évolutif.
L'apprentissage a un rôle particulier à jouer dans la socialisation des jeunes en utilisant une pédagogie différente, issue de la conviction qu'il peut y avoir des situations de travail qui permettent d'acquérir non seulement des comportements et des compétences mais aussi des connaissances. Cette forme de pédagogie préserve la qualité des formations et des diplômes nationaux délivrés et apporte un « plus » en terme de socialisation.
SI l'université est par nature un lieu de formation, les entreprises affirment elles aussi cette vocation. Il convient donc que ces acteurs se reconnaissent comme tels et travaillent dans une complémentarité qui va très au-delà des stages offerts dans une formation classique; telle est notre conception de la co-formation.
Cette co-formation conduit à des diplômes nationaux alliant:
    * la garantie scientifique et pédagogique de l'université,
    * la garantie d'adéquation professionnelle par l'entreprise.
Ces garanties assurent aux diplômés par la voie de l'apprentissage une plus grande facilité d'insertion rapide et durable dans la vie active.
http://www.cfasup2000.net/Images/logo_CFA_sup2000.gifLes sites de formation de nos partenaires universitaires sont localisés comme suit :

ainsi que :

  • le CNAM, Paris,
  • l' EPITA : Le Kremlin-Bicêtre.

 

http://www.iledefrance.fr/uploads/RTEmagicC_Web_CFA.jpg.jpg~~V Η Περιφέρεια έχει τουλάχιστον δύο ειδικές περιοχές: http://www.iledefrance.fr/formation-en-CFA/ και http://www.cfasup2000.net/.
100.000 μαθητευόμενων σε Ile-de-Γαλλία
Σε πέντε χρόνια, ο αριθμός των νέων ανθρώπων στρέφονται προς μάθηση έχει αυξηθεί κατά 40% στην περιφέρεια Ile-de-Γαλλία. Μια ποσοτική αλλαγή, η οποία συνοδεύεται από την προσφορά εκτεταμένη και διαφοροποιημένη εκπαίδευση και υποστήριξη για τους μαθητευόμενους (κινητικότητα, τον πολιτισμό, ...).

http://www.cfasup2000.net/Images/logo_CFA_sup2000.gifΗ ΚΟΠ την Υποστήριξη 2000
1990: Το 2000, CFA την Υποστήριξη είναι η πρωτοπόρος της πανεπιστημιακής εκπαίδευσης στη Γαλλία
2009: Το 2000, CFA την Υποστήριξη είναι το πρώτο πανεπιστημιακό κέντρο της μαθητείας στη Γαλλία, με:
* 3000 μαθητευόμενοι στην τριτοβάθμια εκπαίδευση,
* 1300 εταιρικούς συνεργάτες,
* 8 πανεπιστήμια, CNAM και εταίρους EPITA,
* Περισσότερα από 140 μαθήματα οργανώνονται σε ρέματα, που οδηγεί σε εθνικά προσόντα, τόσο στη βιομηχανία σε σχέση με τις υπηρεσίες.
Πιστοποιημένη με ISO 9001, η ΚΟΠ την Υποστήριξη 2000 έως σήμερα παραμένει ο μεγαλύτερος CFA Universitaire de Γαλλία. Περισσότερα...

12 août 2012

Apprentissage - Région Haute-Normandie

http://www.hautenormandie.fr/var/rhn/storage/images/design/region-haute-normandie/79641-112-fre-FR/Region-Haute-Normandie.gifLa Région a un sité dédié: http://www.haute-normandie-apprentissage.com/.
Apprentissage
L’apprentissage est de plus en plus valorisé sur le marché du travail et recherché par les jeunes: ils en sortent en effet avec un diplôme reconnu, du CAP au diplôme d'ingénieur en passant par le bac pro, et peuvent décrocher un emploi durable dans plus de 280 métiers. 14 000 jeunes haut-normands sont engagés dans cette voie de l'alternance. La Région y consacre donc des moyens importants: environ 78 millions d'euros chaque année. La qualité des formations proposées est la priorité. Elles doivent en effet correspondre aux réalités de notre économie, afin d’offrir de véritables débouchés.
Les missions de la Région

* Elle décide des ouvertures et fermetures de formations en s’appuyant sur un outil stratégique: le CPRDF, adopté en juillet 2011.
* Elle intervient auprès des 44 centres de formation des apprentis en leur accordant des subventions de fonctionnement et d'investissement: mise en conformité des locaux et équipements, rénovation, restructuration et agrandissement des locaux, acquisition d’équipements lourds, adaptation aux mutations technologiques.
* Elle accompagne l’apprentissage: amélioration de la qualité des formations, formation des formateurs, information et orientation des jeunes (via la cité des Métiers par exemple), soutien à la mobilité européenne et internationale, accompagnement social des apprentis, accès à la culture et à la prévention de l'illétrisme.
* Elle soutient les apprentis en leur faisant bénéficier de la carte Région. Ils peuvent ainsi financer, la première année, une partie de l’achat du matériel professionnel. La carte leur permet aussi d’effectuer des sorties cinéma, d’assister à une représentation culturelle ou à une rencontre sportive, d'acheter des livres.
* La Région soutient les CFA, les apprentis et les employeurs d'apprentis pour le transport, l'hébergement et la restauration.
L'apprentissage en bref

* L’apprentissage est destiné aux jeunes de 16/25 ans alternant des cours en CFA et une formation en entreprise. L'apprenti bénéficie d'un contrat de travail, avec le salaire et les droits qui s'y rapportent (couverture sociale, congés...).
* La formation au CFA est principalement financée par la Région et par la taxe apprentissage versée par les entreprises.
En 2012, ce sont environ 50 millions d'euros de crédits publics qui sont mobilisés pour la formation des apprentis. Ces crédits s'ajoutent aux 26 millions d'euros que la Région verse tous les ans aux entreprises haut-normandes employant des apprentis.
http://www.hautenormandie.fr/var/rhn/storage/images/mediatheque/tetieres/images-tetiere/rub-apprentissage/230285-2-fre-FR/rub-apprentissage.jpgRégion sans frontières apprenti(e)s
Depuis le 1er janvier 2010, tous les apprentis haut-normands inscrits dans les CFA peuvent obtenir une aide financière de la Région pour effectuer un stage à l’étranger.
La Région souhaite encourager les apprentis à vivre une expérience professionnelle internationale, à échanger leurs savoirs avec leurs homologues d’autres pays et à améliorer la pratique des langues étrangères.
Le but: favoriser leur intégration professionnelle.
Le principe de ce dispositif est une aide forfaitaire journalière de 12€ attribuée à l’apprenti au cours de son séjour à l’étranger, majorée de 15% pour certaines destinations.
Sont concernés: les projets de mobilité individuelle (stage imposé par le cursus scolaire ou en option dans une épreuve facultative) et les projets de mobilité collective ( stages collectifs organisés par les CFA avec un financement Leonardo)
Les stagiaires disposent d’un crédit temps utilisable au cours des différentes étapes de leur cursus de formation:
- 4 semaines maximum pour CAP, mention complémentaire, baccalauréat professionnel ou brevet professionnel
- 6 semaines maximum pour BTS, DUT ou Licence
- 12 semaines maximum pour Master ou diplôme d’ingénieur
Démarches à suivre:
1. Télécharger le dossier de candidature et remplir les champs interactifs depuis votre ordinateur.
2. Imprimer le dossier de candidature et l'envoyer par courrier accompagné des pièces demandées à:
Direction de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage, Service Apprentissage, Hôtel de Région, 5 rue Robert Schuman, BP 1129 - 76174 Rouen cedex 1.
Pour tout renseignement contacter Christine Demorgny au 02.35.52.21.01 (fax : 02.35.52.22.91).
Télécharger le dossier de candidature Région sans frontières apprenti(e)s.

Répondre au questionnaire après le séjour:
Lire la notice technique avant de remplir le questionnaire. Remplir le questionnaire. Modifier le questionnaire.
http://www.hautenormandie.fr/var/rhn/storage/images/mediatheque/jeunesse-formation/lycees/carte-region/carte-region-2011-2012/230585-3-fre-FR/carte-region-2011-2012_medium.jpgLa carte Région
Plus de 75 000 jeunes Haut-Normands profitent des avantages de la carte Région chaque année. Un sésame permettant à tous les lycéens et apprentis d’avoir les mêmes chances de réussir leur cursus et de s’y épanouir.
Comment ça marche ?

La carte est valable tout au long du cursus. Il faut donc la conserver.
Elle est utilisable à chaque rentrée et les sommes allouées sont utilisables jusqu’au du 5 juillet 2011 au 30 juin 2012 pour l'année scolaire à venir.
Quels montants ?

    * 30€ pour acheter leurs livres scolaires.
    * 100€ pour l'achat de matériel professionnel, en première année en filière professionnelle majoritairement non tertiaire et en seconde technologique hôtellerie.
    * 15€ pour le cinéma
    * la première année, 20€ utilisables tant pour l'achat d'équipement de sécurité pour la pratique du deux-roues que pour les loisirs culturels ou sportifs (assister à un concert, une pièce de théâtre, un évènement sportif, un festival,...), ce crédit est de 15€ les années suivantes pour les loisirs.
Contact 02.35.52.22.50. Le site de la carte Région.
http://www.hautenormandie.fr/var/rhn/storage/images/design/region-haute-normandie/79641-112-fre-FR/Region-Haute-Normandie.gifTrouver un CFA
La Région est partenaire de l'ONISEP éditeur public qui produit et diffuse des documents écrits, audiovisuels et multimédias sur les métiers et les formations.
Chaque délégation régionale de l’ONISEP:
    * alimente une base documentaire unique en Europe de 20 000 adresses d'établissements;
    * publie et diffuse toutes les données de proximité sur la carte scolaire, les filières d'études et l'emploi;
    * propose aux équipes éducatives des outils d'aide à l'orientation.
Le portail des formations haut-normandes vous permet d'effectuer une recherche selon plusieurs critères (jusqu’au bac, après le bac, en apprentissage, par secteur professionnel) ou rechercher un lieu de formation par type d’établissement. Il a été réalisé conjointement par la Région et la DRONISEP de Haute-Normandie. Aller sur le portail des formations haut-normandes.
Aller plus loin grâce à l'apprentissage
Les formations passerelles sont des cycles de mise à niveau qui s’adressent à des jeunes âgés de 16 à 25 ans.
L'objectif de ces formations passerelles est d'initier à la pédagogie de l'alternance et de renforcer les connaissances dans les matières générales: les lacunes dans ce domaine sont en effet souvent un frein à la poursuite d’études.
L’objectif est de décrocher un premier diplôme professionnel ou de poursuivre une formation pour accéder à un niveau de qualification plus élevé par l’apprentissage. Ces formations s’adressent à des jeunes issus de formation initiale et aux demandeurs d’emplois.
300 000€ sont consacrés par la Région aux formations passerelles chaque année.
Le Fonds Social Européen contribue aux côtés de la Région au financement des formations passerelles.
Voir aussi: Aides aux employeurs. Travaux dans les CFA.
The Region has a dedicated website: http://www.haute-normandie-apprentissage.com/.
Learning

Learning is increasingly valued on the labor market and sought after by young people: in fact they come out with a recognized degree, at the CAP engineering degree through the tank pro, and can get a job lasting in over 280 occupations.
14 000 young high-Norman are engaged in this process of alternation. The Region therefore devotes significant resources: about 78 million euros each year. The quality of training offered is the priority. They must indeed correspond to the realities of our economy, to provide real opportunities. More...
12 août 2012

Apprentissage - Région Franche-Comté

http://www.franche-comte.fr/fileadmin/crfc_tpl/charte/logo_cr-franche-comte.gifLa Région Franche-Comté a un site dédié: http://www.bourse-apprentissage-fc.fr/.
Un choix judicieux
Tous ces métiers qui ne trouvent pas de main d'oeuvre! Tous ces jeunes qui ne trouvent pas de métier! Et pourtant il existe une réponse: faire le choix de l'apprentissage. Un choix que la Région soutient. Du début à la fin.
L'apprentissage en Franche-Comté 2012-2013

L’apprentissage, un premier pas vers l'emploi!
Cette année, en Franche-Comté, plus de 10 300 apprentis sont formés dans
les 22 Centres de formation d’apprentis (Cfa) répartis sur le territoire régional.
Ils sont accueillis dans plus de 6 000 entreprises locales.
La Région accompagne le parcours de formation de ces jeunes avec un budget de 47,6 millions d’euros en 2012:
• elle participe au financement de la mise en oeuvre des formations par les Cfa,
• elle finance en partenariat avec l’État le premier équipement des apprentis, la qualité de leur accueil au Cfa et le soutien des jeunes en difficulté grâce à un fonds social des apprentis,
• elle participe aux dépenses des familles en matière de transport, d’hébergement, de restauration,
• elle contribue à leur accueil en entreprise en apportant également une aide financière à leurs employeurs publics et privés.
Ce guide recense plus de 250 formations proposées en Franche-Comté, du Cap au diplôme d’ingénieur, dans une large palette de métiers. Il contient également des informations pratiques sur les modalités d’accès à un contrat d’apprentissage et sur les dispositifs mis en oeuvre à destination des apprentis.
http://www.franche-comte.fr/uploads/pics/guide-de-l-apprentissage-2012-2013-en-franche-comte-1.jpgVous avez entre 16 et 25 ans

Quel que soit votre niveau de formation, l'apprentissage vous concerne et vous propose de multiples avantages...
- un contrat de travail qui vous permet de préparer le métier de votre choix dans deux lieux différents et complémentaires: l'entreprise et le centre de formation
- une rémunération qui varie selon votre âge
- l'accès à un diplôme ou à un titre reconnu allant du Cap au diplôme d'ingénieur.
L'entreprise d'accueil pourra bénéficier

- de la prime régionale pour l'emploi d'un(-e) apprenti(-e) (secteur privé et secteur relevant de la Fonction publique territoriale),
- d'exonérations de charges salariales et patronales,
- d'un crédit d'impôt.
L'apprentissage au féminin

Le Conseil régional développe l'apprentissage au féminin, dans tous les métiers. L'apprentissage concerne les filles comme les garçons. Des ouvertures de sections dans des secteurs nouveaux contribuent à renforcer la mixité des emplois.
Les diplômes préparés
Niveau II : Bac +3, Bac +4

Diplôme de comptabilité et de gestion
Le Dcg est un diplôme de niveau licence, premier cycle du parcours Licence Maîtrise Doctorat conduisant à l'expertise comptable. Il permet d'accéder aux postes d'encadrement de la fonction comptable. Il remplace les Dpecf et Decf.
Licence professionnelle (Lp)
La licence professionnelle, diplôme à visée professionnelle basée sur une pédagogie individualisée en fonction du diplôme d’origine ou de l’expérience professionnelle, conduit à des métiers nouveaux.
Niveau I : Bac +5, Ingénieur
Master professionnel

Ce diplôme à finalité professionnelle est ouvert aux titulaires d'une licence et conduit à un niveau Bac +5.
Diplôme d'ingénieur(-e)
Accessible aux titulaires d'un Bts ou d'un Dut, le diplôme d'ingénieur(-e) permet d'exercer des fonctions de cadre technique.http://www.franche-comte.fr/uploads/pics/guide-de-l-apprentissage-2012-2013-en-franche-comte-1.jpg

L'apprentissage pour tous
Le développement et l’amélioration de l’apprentissage sont une priorité pour la Région. Cette dernière poursuit son engagement aux côtés de l’Etat, accompagnée par les principaux partenaires de l’apprentissage, à travers le deuxième contrat régional d’objectifs et de moyens (CROM), pour la période 2011-2015.
Cibler de nouveaux publics

Le développement de l’apprentissage passe, en outre, par l’ouverture à de nouveaux publics, en particulier les jeunes travailleurs handicapés et les jeunes issus de l’immigration dans un souci de lutte contre les discriminations. La Région cible plus globalement les jeunes demandeurs d’emploi à la recherche d’une formation professionnelle et d’un emploi, les jeunes qui quittent le système scolaire sans qualification, et les jeunes étudiants qui sortent du système en cours d’année ou après une première année universitaire. Le souhait est également d’étendre l’accès à l’apprentissage aux jeunes femmes plus fortement touchées par le chômage. Lire la suite.
Toujours plus, toujours mieux
Pour un apprenti, la formation suivie au CFA est gratuite. Elle est financée en grande partie par le Conseil régional de Franche-Comté qui investit dans le développement qualitatif et quantitatif de l'apprentissage et par les entreprises.
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Un métier en poche

Choisir l'apprentissage c'est mettre toutes les chances de son côté pour se trouver un métier: 70% des apprentis trouvent un emploi à l'issue de leur apprentissage. Qui dit mieux?
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Une batterie d'aides
Parce que la voie est royale, la Franche-Comté met en place de nombreux dispositifs pour soutenir l'apprentissage. Aides à l'équipement, au logement, à la restauration, aux transports,… nos apprentis francs-comtois sont vraiment chouchoutés!
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Du côté des entreprises
Un bon apprentissage dépend aussi de l'accueil en entreprise: prendre un apprenti est sans conteste le meilleur moyen d'avoir du personnel qualifié, mais son accueil exige du temps, des moyens… Voilà pourquoi le Conseil régional soutient également les employeurs.
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Dynastage Apprentis
La Région propose aux apprentis (formation post BAC) inscrits dans un établissement d'enseignement franc-comtois, de vivre une expérience enrichissante: effectuer un stage en entreprises dans le monde entier avec le dispositif Dynastage apprentis.
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Apprentissage en Franche-Comté
L'apprentissage s'adresse aux jeunes de 16 à 25 ans. Le jeune en apprentissage signe un contrat de travail. L'apprentissage lui assure une formation en alternance au sein d'une entreprise et au Cfa. Cette rubrique propose l'accès:
- à une base de données sur l'offre de formation par apprentissage en Franche-Comté,
- au guide de l'apprentissage en Franche-Comté,
- aux chiffres et études à consulter.

Guide de l'apprentissage en Franche-Comté

Se former par apprentissage en Franche-Comté
Rechercher une formation par apprentissage

>> Base des formations par apprentissage
La base de donnée présente toutes les sections d’apprentissage de Franche-Comté allant du Cap au diplôme d’ingénieur. La recherche peut se faire par domaine, niveau ou lieu...
Chercher
une formation par apprentissage

>> Guide pratique

Le guide de l'apprentissage en Franche-Comté 2012-2013
Le guide de l'apprentissage, réalisé par Efigip, présente toutes les sections d’apprentissage allant du Cap au diplôme d’ingénieur ainsi que des informations pratiques : contrat d’apprentissage, adresses utiles…, un index alphabétique des métiers pouvant être préparés en Franche-Comté.
Efigip
- Le guide de l'apprentissage - 2012-2013
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Insertion professionnelle des apprentis - 2012
Productions Efigip

Enquête "Insertion professionnelle des apprentis"
Efigip publie une enquête sur l’insertion professionnelle des jeunes issus des Cfa publics ou privés de Franche-Comté.
Cette analyse permet de connaître la situation des apprentis vis-à-vis de l’emploi dans l’année qui suit la fin de leurs études.
Cette étude a été réalisée dans le cadre d’un partenariat entre le Rectorat, le Conseil régional et la Draaf.
Efigip - Point sur n° 70 - Enquête 2011  Ipa - 2012.
Efigip - Cabinet Ambroise Bouteille - Étude qualitative sur les pratiques permettant d’éviter les ruptures - 2011.
Efigip -Synthèse de l’étude - Le point sur n° 60 "Comment éviter les ruptures des contrats en alternance?" - 2011.
Dictionnaire raisonné de l'apprentissage
Cet ouvrage de l'Acfci réunit un ensemble d’informations et d’éléments de réflexion: définitions, chiffres clés, références règlementaires.
Acfci - Dictionnaire raisonné de l'apprentissage - 2011.
http://www.franche-comte.fr/fileadmin/crfc_tpl/charte/logo_cr-franche-comte.gifΗ περιφέρεια Franche-Comté έχει μια ειδική ιστοσελίδα: http://www.bourse-apprentissage-fc.fr/ .
Μια συνετή επιλογή
Όλα αυτά τα επαγγέλματα που δεν είναι εργασία! Όλοι αυτοί οι νέοι άνθρωποι που δεν μπορούν να βρουν άλλη δουλειά! Ωστόσο, υπάρχει μια απάντηση: κάνουν την επιλογή της μάθησης. Μια επιλογή που στηρίζει την περιφέρεια. Από την αρχή μέχρι το τέλος. Περισσότερα...

12 août 2012

Halten Sie sich für schlau?

http://www.epapercatalog.com/images/zeit-online-epaper.jpgVon Dominic Graf. Die englischen Elite-Unis sind berüchtigt für ihre kniffligen Aufnahmetests. Skurrile Interviewfragen bringen sogar Musterschüler ins Schwitzen.
Florian Mockel wurde nicht verschont. Während seines Bewerbungsinterviews in Oxford fragte ihn der Prüfer, wie er einem Außerirdischen Politik erklären würde und wozu der Mensch sie überhaupt bräuchte. "Da musste ich schon tief schlucken und erst mal länger überlegen, wie ich darauf antworten soll", sagt der 22-Jährige.
Dann legte er los, erklärte, dass Menschen in Gruppen zusammenleben und sich organisieren müssten und kam schließlich bei den heutigen politischen Systemen an. In diesem Moment hatte er keinen blassen Schimmer, ob die Prüfer das hören wollten. Umso erleichterter war Mockel, als er schließlich angenommen wurde.
Damit gehört er zu den rund 20 Prozent, die das Aufnahmeverfahren überstehen. Der Weg dahin ist steinig: Wer mit seinen Schulnoten überzeugt, ein Empfehlungsschreiben vorweisen kann, seine Motivation schlüssig begründet und einen schriftlichen Test besteht, hat die größte Hürde immer noch vor sich: das Bewerbungsinterview.
Sagen, was man denkt

Das weiß auch John Fardon. Der Buchautor hat das Bewerbungsverfahren an der Universität Cambridge erfolgreich durchlaufen. Gerade ist sein Buch Halten Sie sich für schlau? auf Deutsch erschienen, eine Sammlung skurriler Testfragen der englischen Elite-Unis.Damit gehört er zu den rund 20 Prozent, die das Aufnahmeverfahren überstehen. Der Weg dahin ist steinig: Wer mit seinen Schulnoten überzeugt, ein Empfehlungsschreiben vorweisen kann, seine Motivation schlüssig begründet und einen schriftlichen Test besteht, hat die größte Hürde immer noch vor sich: das Bewerbungsinterview.
"Welche Bücher sind schlecht für Sie?", "Wie würden Sie das Gewicht Ihres eigenen Kopfes messen?" oder "Was würde passieren, wenn man ein Loch quer durch die Erde bohrte und dann hineinspränge?" Insgesamt 60 solcher Fragen führt Fardon auf. Zu jeder hat er eine Musterlösung verfasst.
Die Frage "Halten Sie sich für schlau?" etwa sollte man Fardon zufolge weder mit Ja noch mit Nein antworten, sondern mit "Ich bin so schlau, wie sie mich haben wollen" und dies wiederum mit Witz und Originalität begründen. Das Wichtigste: Nicht die Antwort sei das Ziel, sondern der Weg, der Gedankengang. "Man darf nicht den Fehler machen und still vor sich her grübeln. Die Tutoren wollen die Gedankengänge hören und wissen, wie man auf eine Antwort kommt", rät auch Florian Mockel.
Hartmut Mayer, Professor für Politik, Philosophie und Volkswirtschaft an der Uni Oxford, ist seit 15 Jahren einer der berüchtigten Prüfer. "Wir testen die Kandidaten auf ihre Spontanität, Kreativität und darauf, dass sie unter Druck konstruktive Problemlösungen hervorbringen können", sagt der Professor, der ursprünglich aus Deutschland stammt.
Fragen, wie sie Fardon in seinem Buch schildert, stürben aus, sagt Mayer. Denn mittlerweile gäbe es Kandidaten von englischen Privatschulen, die ein ganzes Jahr lang auf die Interviews vorbereitet werden und problemlos mit dem Überraschungsmoment umgehen könnten. Andere Bewerber von staatlichen Schulen oder aus dem Ausland seien das nicht gewöhnt und würden oft total aus dem Konzept gebracht. "Diese ungerechte Behandlung darf nicht das Ziel sein."
Auch Alexandra Kyjak-Lane musste sich in einem Interview beweisen, um Deutsch in Oxford studieren zu dürfen. Seit sie 14 Jahre alt war, träumte sie vom Studium an einer Elite-Uni. Als sie zum Interview am St. Hilda's College in Oxford eingeladen wurde, wollte sie nichts dem Zufall überlassen – und begann, ein Buch nach dem anderen zu Lesen, am Ende waren es 40, von Kant bis Schiller.
Doch all das half ihr wenig: "Ich erhielt ein ganz komisches Gedicht, von dem ich noch nie zuvor gehört hatte. Ich begann zu schwitzen und hatte große Angst, dass die ganze Vorbereitung umsonst war." Trotz der Überraschung fing sie an, das Gedicht zu analysieren. Sie sagte einfach, was ihr spontan einfiel – mit Erfolg. Heute weiß Kyjak-Lane: Es geht nicht um reines Wissen, sondern um das Potenzial, das ein Kandidat mitbringt.
Hart aber fair

"Es hat keinen Zweck, extra möglichst viele Bücher zu lesen und Fakten zu sammeln", sagt auch Florian Mockel. Natürlich werde ein gewisses Grundwissen und ein relativ breiter Überblick über das Fachgebiet vorausgesetzt, aber das trifft nicht nur auf Elite-Unis zu. Was viel mehr zähle, sei, dass man nicht einfach nur ein guter Schüler ist und gut lernt, sondern das Gelernte auch hinterfragt und sich seine eigenen Gedanken dazu macht, sagt Mockel.
Oxford-Professor Hartmut Mayer bestätigt das: "Analytische Kompetenz, eine schnelle Reaktionsfähigkeit und die persönliche Motivation für das angestrebte Studienfach sind die Elemente, auf die wir am meisten Wert legen." Da die vorhergehende Bewerbungsprozedur sehr anspruchsvoll sei, wolle er den Kandidaten während des Interviews keine unnötigen Steine in den Weg legen und so faire Fragen wie möglich stellen.
So denken aber längst nicht alle seiner Kollegen. "Manche sind nur darauf aus, einen Kandidaten in die Pfanne zu hauen." Einmal fragte ein Professor im Bewerbungsinterview, weshalb die Landebahn des Flughafens Manchester länger sei als die Startbahn. Nachdem sich der Bewerber abmühte, eine einigermaßen plausible Antwort zu geben, belehrte ihn der Professor, dass die Bahnen in Wirklichkeit gleich lang seien. "Manchmal gibt es sie schon noch, die skurrilen Testfragen", sagt Mayer, "aber sie sind definitiv seltener als noch vor 20 Jahren."
12 août 2012

University isn't the only route to success

http://static.guim.co.uk/sys-images/Guardian/Pix/pictures/2012/01/09/badge_bloggingStudents_620.gifBy Olivia Wainwright. The entrepreneurs of our generation show that drive and initiative are just as important as exam results.
Throughout school, we're told university is the place to go if we want to achieve. Actually, it isn't the only way to make it in life. For some entrepreneurial young people, being another cog in a wheel just isn't an option.
If you're nervous about A-level results day – and even more terrified by the thought of Clearing – it's worth remembering that there are plenty of other options, from apprenticeships to college courses.
But for those who have the drive and independence to go it alone, here's some inspiration from the Alan Sugars of our generation.
• Luke Hood, founder of UKF, a YouTube channel that has now had over 1 billion views, gave up his forensic computing course at the University of West England after a surge in the channel's popularity. UKF aims "to promote the latest and greatest high quality dubstep" and they now have their own website, www.ukfmusic.com which advertises UKF events, sells tickets and merchandise, and offers podcasts.
He isn't the only one who ditched university in favour of his entrepreneurial ambitions.
• Creator of the App Factory David Carter decided not to study at university when his business found success in 2010. He clocked onto the application industry's potential, realising that thousands of apps sold everyday for 99p each. The App Factory not only creates its own applications, but also produces apps for other companies.
• It was a passion for music that directed Jamal Edwards to business success. He founded SB.TV in 2006, a media platform for freestyle rap and British grime music videos. The likes of Usher, Channel 4 and Adidas have since name dropped the channel, while Jamal was nominated to carry the Olympic torch for the 2012 Olympics.
But you don't have to be a techno-whizz to become an entrepreneur.
• Fraser Doherty started his business at the age of 14. He made his fortune using his grandmother's recipe to make Super Jam. The brand is now sold in over 2,000 supermarkets across the world. And it isn't just a money-making project. Drawing inspiration from his grandmother, he created the registered charity the Super Jam Tea Parties, free parties held for elderly people who are living alone or in care homes.
GiveMeTap is another business that's creating a better future for the wider community. Edwin Broni-Mensah was the brain behind the venture which aims to change the way we access water in the UK and build water supplies across Africa. GiveMeTap works by getting businesses across the country to back the label – customers then buy the GiveMeTap bottle which they use to fill up at any of the participating businesses. For every two bottles sold, one person can gain access to safe water for life.
Higher education can be a great way forward, and for some of the above, it may have helped them on their journey. But entrepreneurship is not about the degree you have, it's about the ideas you think up and the effort you're willing to put into them.

12 août 2012

One state, two systems

http://media.economist.com/sites/all/themes/econfinal/images/the-economist-logo.gifAs public universities struggle, some private ones thrive. CALIFORNIA’S public universities were once the envy of the world. Under the state’s pioneering “master plan” for higher education, signed into law in 1960, the top 12.5% of graduating high-school students in the state are guaranteed entry to the well-respected University of California (UC) system; the California State University (CSU) system is open to the top third. Community colleges accept all-comers, including adults. The plan hugely expanded higher education in California, and led also to the emergence of world-class establishments like Berkeley and UCLA.
Yet it tied the universities’ fortunes to those of the state. In good times that was fine. But more recently public universities in California have been hit hard by the state’s fiscal woes. Declining state support has forced the UC system to slash costs and to raise average tuition fees by 50% in just three years. CSU fees have risen by 47% in the same period. “The historical model has broken down,” says Mark Yudof, the UC president.
The proportion of high-school graduates progressing to UC or CSU has fallen from 22% to 18% in the past five years, according to Hans Johnson at the Public Policy Institute of California. The extra fee revenue is not enough to compensate for the decline in state funding, and so both UC and CSU have aimed to reduce enrolment numbers. UC must still offer places to all eligible students, but uses ruses such as restricting access to popular campuses, such as UCLA or Berkeley, in favour of out-of-the-way campuses in places like Merced.
It is an altogether different story for some of California’s private institutions, which tend to charge far higher tuition fees. Stanford University, under its president, John Hennessy, who sits on the boards of Google and Cisco, has strengthened links with the go-getters of Silicon Valley and raised a record-breaking $6.2 billion in five years. The Los Angeles-based University of Southern California (USC), once mocked by detractors as the University of Spoiled Children, is also thriving. It is aiming to raise $6 billion by 2018, and already has some chunky gifts in the bag. It has more international students on its books than any other American university, and, after the recent launch of the USC Schwarzenegger Institute for State and Global Policy, one particularly notable foreign-born professor.
With 22,000 people on its payroll, USC is the biggest private-sector employer in Los Angeles. A proposal to redevelop the Village, a shabby retail area next to the main campus, into a shiny complex with student housing and new shops, should create 12,000 more jobs in USC’s poorish district in south Los Angeles, if the university gets its way (the city council is due to issue a planning verdict soon). “We have taken on a broader role,” says Thomas Sayles, senior vice-president for university relations. “We want to be a civic leader.”
Yet private institutions like USC cannot simply pick up the slack left by the public ones. First, even with generous aid packages, they cannot hope to match the public universities on access for students from poor or what are sometimes called “non-traditional” backgrounds. Second, even taken collectively, private universities do not operate on the same scale. A big majority of enrolled students attend public institutions. “There is no private solution to this issue,” says Patrick Callan, president of the Higher Education Policy Institute. “There must be a public solution.”
The problem, though, is growing, Mr Johnson points out that, for the first time in the history of modern California, the state’s best-educated citizens are the 50-somethings rather than the 20- or 30-somethings. And previous waves of immigration raise demographic challenges as a bulge of Latinos reaches college age.
UC’s decline can be exaggerated. Some of its campuses continue to perform well in national rankings, it has significant non-state revenue sources, and it has a strong research record. “We’re hardly at death’s door,” says Mr Yudof. A big moment will come in November, when Californians vote on a tax measure. If it is approved (the polls are tight), UC and CSU will freeze tuition fees for the first time in years. If it fails, they will have to cope with a sudden drop of $250m in state support. Mr Yudof calls it a “defining moment” for California.
12 août 2012

Student loans: Nearly half EU students 'fail to repay loans'

http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSUeZf32x7yi2R_RQGFnZACeIwSvHCAocyp0w3MOT3c0VEFkzRsNearly half of EU students liable to pay back loans after going to British universities are failing to keep up with repayments, raising the prospect of the continent's "brightest and best" getting a free education while homegrown scholars face eye-watering debts.
Tuition fees are due to rise to up to £9,000 a year next month, nearly tripling from the current level of £3,375.

12 août 2012

Diploma acceptance boosts career hopes in Kosovo, Serbia

http://www.setimes.com/cocoon/setimes/graphics/v3/header/setimes.jpgBy Safet Kabashaj for Southeast European Times in Pristina. An agreement reached between the governments of Kosovo and Serbia allows university diplomas certified by the European University Association to be recognised by employers in both countries, expanding the market for graduates and job-seekers.
The agreement, made in July 2011, came after EU-facilitated dialogue on the mutual recognition of degrees issued by their universities. The first 74 diplomas were awarded to Kosovo students on July 19th, after they were certified by the association following a review by a panel of experts who affirmed the quality of the students' education.
The arrangement is welcomed in places such as Presevo Valley, in southern Serbia, where many Albanian students study in Pristina but had found their degrees ignored in their own country.
"Imagine how one feels having in your hand a university degree, but being unable to put it to use in the country one lives in," said Amir Rexhepi, a medical student who finished his studies in Pristina last year. His degree was one of those affirmed last month. "Whenever I tried to register at the employment bureau, they offered me to register only as a high school graduate."
Samuel Zbogar, chief of Kosovo EU office, said the agreement is a solution for students in both countries who have been blocked from job markets. Current unemployment figures for Serbia are 28 percent and 45 percent for Kosovo.
Officials also hope that the agreement will lead to similar educational standards in the region.
"The [European University Association] agreed to assist in the certification process as it is to the benefit of universities and their students in the region, and fully in line with EUA mission and mandate in promoting a coherent European higher education and research," Lesley Wilson, association secretary general, said.
Nazmi Mehmeti, also a medical school graduate from Presevo Valley, is optimistic that he'll find a job in Serbia now that his degree is recognised.
"There's hope that the diploma agreement implementation will not be received with hostilities from Serbia, because we are exhausted with the fight over basic human rights," Mehmeti told SETimes.
12 août 2012

How Online Education Has Turned Into a Game of Comparing Apples to Oranges - MOOC's

http://cloudfront3.bostinno.com/wp-content/uploads//2012/02/bostinno_logo_transparent1.pngBy Lauren Landry. “Comparing massively open online courses to degree-granting online programs is like comparing apples to oranges.”
That comment has found its way into my inbox one too many times. The problem, however, is that while I know there’s a distinction between the two, not everyone else does, as we continue to collectively lump every form of online education together into this one, scary “traditional learning will be lost forever” category. Yet, online education isn’t anything new. In 1976, professor-turned-entrepreneur John Sperling started planting the seeds of what’s now the country’s largest private university, the University of Phoenix. The school offers undergraduate and graduate degree programs at more than 200 locations, and has an online presence that’s hard to ignore. Over the last 30 years, more and more schools have found themselves online. Southern New Hampshire University has even been recognized as one of “The World’s 50 Most Innovative Companies.” Fast Company says SNHU has reinvented higher ed, both online and off, and additional schools are now trying to adapt, mostly so they don’t lag behind.
Somewhere in the middle, ed tech startups, like 2tor, have latched on to schools who are, indeed, looking to get ahead. What 2tor does is partner with universities to build, administer and market online degree programs. Yet, how did 2tor decide to differentiate itself from, say, the University of Phoenix? The company chose to incorporate a personal element, bringing the professor face-to-face with his or her students. The classroom went from this place where the professor was standing front-and-center doling out lectures to something flipped, where students were working more collaboratively. And then, the classroom “fell apart.”
Enter in MIT OpenCourseWare — what started the wave. On April 4, 2001, former president of MIT Charles Vest officially introduced the concept. In a press conference, he called OCW innovative, saying:

It expresses our belief in the way that education can be advanced by constantly widening access to knowledge and information, and by inspiring others to participate. Simply put, OpenCourseWare is a natural marriage of American higher education and the capabilities of the World Wide Web.

Over the past 10 years, the Institute’s OCW program has grown from 50 published courses to over 2,000, offering free access to notes, exams and videos. There are no degrees involved, however. MIT’s point has been more to broaden education’s scope. Students from Nigeria, Mexico, Ghana, Zambia and other places where higher education  isn’t readily available nor necessarily emphasized, are now able to better themselves. And other platforms have tried to emphasize the same element.
We’ve given you a list of eight online platforms to help you further your education for free. There’s Khan Academy, Coursera and Udacity. Yet, here’s where all the credential issues come in — the “apples to oranges,” if you will.
When we ask whether or not employers will ever take online learning seriously, or talk about the downside of online education, we’re largely referencing massively open online courses (MOOCs). A diploma from Boston University looks no different whether you received it online or on-campus. What does look different, however, is an online diploma from Boston University and a slew of classes from edX and Udemy. You might be learning from “the world’s top instructors” for free, but the world’s top employers still need to run you through some sort of assessment before they can believe you’re actually a qualified candidate for the position they’re looking to fill.
Now, here’s where companies like Smarterer could help, but we haven’t reached that point yet. So, before everyone starts singing the praises of online education — or, more specifically, start saying online education’s going to replace anything — let’s all be clear we’ve got a lot of different kinds of “online education” going on out there. We’ve got accredited and non-accredited. Or, really, fact and, dare I say, fiction.
So, yes, let’s stop comparing “apples to oranges.” Let’s just saying, the face of education is changing and here, in Boston, it’s only gaining more momentum.

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