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Formation Continue du Supérieur

16 mars 2011

Organismes de formation : bientôt une liste nationale et actualisée ?

Il reste « difficile de rendre compte de l’offre de formation professionnelle en France » constate le rapport parlementaire Cherpion/Gille.
- Dans un objectif de clarification, un site Internet publiant « une liste nationale et surtout actualisée, donc remise à jour en temps réel, des organismes de formation enregistrés […] devrait voir le jour à l’automne 2011 selon les services du gouvernement », indiquent les députés Gérard Cherpion (UMP, Vosges) et Jean-Patrick Gille (PS, Indre-et-Loire) dans la partie consacrée à l’offre de formation de leur rapport.
- Dans cette partie de leur rapport, les députés s’appuient principalement sur les éléments apportés par les services de l’État pour dresser un état des lieux des mesures en faveur d’une meilleure lisibilité de l’offre de formation et de celles relatives au contrôle de cette offre. Les deux rapporteurs soulignent ainsi que, « une année après la publication de la loi », il reste « difficile de rendre compte de l’offre de formation » professionnelle en France.
- La difficulté dans la mise en ligne d’un inventaire actualisé de l’offre de formation tient au fait qu’une « telle liste est quotidiennement obsolète compte tenu du fait qu’en moyenne, 35 organismes de formation sont déclarés chaque jour sur l’ensemble du territoire ».
- Un site Internet national doitdonc être mis en ligne en 2011 pour permettre à chaque organisme de formation « de renseigner en ligne sa déclaration. Son dossier sera traité dès réception des pièces justificatives (l’intéressé sera informé de son état d’avancement). Les modèles fixés par la circulaire seront intégrés au système d’information pour faciliter les tâches administratives des services et leur permettre de se concentrer sur l’analyse de l’action présentée afin de déterminer si celle-ci entre dans le champ de la formation professionnelle. » Cet outil « devrait permettre de traiter l’ensemble des dossiers dans les délais fixés », estiment les rapporteurs.
Huwa "diffiċli li jingħata kont għall-għoti ta 'taħriġ vokazzjonali fi Franza," jgħid ir-rapport parlamentari Cherpion/Gille.
- Fil-kjarifika ta 'l-iskop, pubblikazzjoni websajt "lista nazzjonali u speċjalment preżent, għalhekk aġġornata fi żmien reali, irreġistrati organizzazzjonijiet ta' taħriġ [...] għandhom jiġu rilaxxati fil-ħarifa 2011 mill-Uffiċċju tal-Gvern" jindikaw membri Gerard Cherpion (UMP, Vosges) u Jean-Patrick Gille (PS, Indre-et-Loire) fit-taqsima dwar l-opportunitajiet ta 'taħriġ għall-rapport tagħhom
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16 mars 2011

Classement mondial des universités: comment mesurer la réputation et la valeur?

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/02/bac2.1296825999.jpgLe Times Higher Education (THE) britannique s’est maintenant fait une spécialité des classements des universités au point d’atteindre une notoriété comparable à celle du fameux classement de Shangai. Sa dernière idée, un classement sur la notoriété des établissements réalisé auprès de 13388 universitaires du monde entier. Très logiquement, Harvard l’emporte devant le Massachussetts Institute of technology (MIT) et l’université de Cambridge. Et les Français? Seuls deux atteignent le top 100. Ce sont l’école Polytechnique (dans la tranche 61-70) et l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne (tranche 91-100) dans un classement très largement dominé par les universités américaines (28 dans les 50 premières). A lire à ce sujet le post du journaliste Philippe Jacqué sur un autre blog du «Monde».
Des surprises? Sans doute l’excellente place de l’Ecole Polytechnique fédérale de Zurich (24ème) ou de l’université Lomonosov de Moscou (33ème) alors que l’université de Pékin atteint la 43ème place. Eh oui, vues du monde entier, elles ont une meilleure réputation que les universités françaises ou allemandes (la première allemande classée est l’université de Munich, 48ème).
Comme tous les classements, ce dernier peut sembler anecdotique mais il reflète bien l’opinion de la communauté académique mondiale sur la notoriété des établissements. Il est d’ailleurs intéressant de le comparer à l’autre classement du Times Higher Education, réalisé lui sur des critères objectifs (nombre de professeurs, citations dans des revues de recherche, etc.).
Si le haut du classement ne bouge guère, on constate de vraies différences ensuite. Au bénéfice par exemple des universités japonaises qui passent de la 26ème à la 8ème place (Tokyo) et de la 57ème à la 18ème place (Kyoto), ou de l’université du Massachussets (56ème et 19ème), sans doute grâce à l’effet MIT. Sans parler de la London School of Economics qui gagne près de 50 places ou la Delft University qui progresse de 100 places. Mais il y aussi de sévères chutes, comme celle de l’Ecole Polytechnique, qui perd près de 30 places selon qu’on considère sa valeur intrinsèque ou sa réputation.
Certaines universités sont mêmes seulement présentes dans le classement «réputation». C’est le cas de l’université de Paris 1 Panthéon Sorbonne ou de l’université Lomonosov de Moscou. Et, fort logiquement, d’autres disparaissent lorsqu’on parle seulement de réputation comme la Pohang University of Science and Technology (Corée du Sud) ou… les écoles normales supérieures de Paris et Lyon.
Les Top 50 du Times Higher Education selon la réputation et selon des critères objectifs

Vous trouverez dans la première colonne, le classement du Times Higher Education selon la réputation et, dans la troisième, le rappel de son classement «classique». Cela peut révéler de vraies différences que je souligne en rouge. NC = non classé.
http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/02/bac2.1296825999.jpg The Times Higher Education (THE) UK has now made a specialty rankings of universities to reach a point of notoriety comparable to that of the famous classification of Shanghai. His latest idea, a ranking on the reputation of institutions conducted among 13,388 universities around the world. Not surprisingly, Harvard wins before the Massachusetts Institute of Technology (MIT) and Cambridge University. And the French? Only two reached the top 100.These are the Polytechnic (in the range 61-70) and the University of Paris I Panthéon-Sorbonne (range 91-100) in a classification largely dominated by American universities (28 in the first 50). Also read about the Post journalist Philip James on another blog "World". More...
15 mars 2011

Les usages de la notion de compétence

http://www.c2r-bourgogne.org/charte/c2r-bourgogne-logo.gifLes usages de la notion de compétence. Vers un cadre de référence en Bourgogne à partir des pratiques professionnelles. Vendredi 8 avril 2011, de 9h à 17h. Salle des Séances - Conseil régional de Bourgogne - 17 Bld de la Trémouille - Dijon. Programme et inscription à la journée du 8 avril - cliquez ici.
Depuis 2004, le Conseil régional de Bourgogne a confié au C2R Bourgogne l’accompagnement à la professionnalisation des acteurs de l’emploi et de la formation (organismes de formation, structures d’accueil, d’information et d’orientation, prescripteurs, financeurs…) dans le cadre de la création du Pôle Régional d’Innovation des Métiers de la formation et de l’orientation (PRIM’).
Les actions menées au fil de ces années ont permis de prendre en compte les différentes demandes et de faire émerger les attentes communes des acteurs. Bien qu’ils n’aient pas les mêmes missions, ces acteurs ont des objectifs concordants, à court ou moyen terme : contribuer au développement ou maintien des compétences des personnes et de les mettre à la disposition du développement des entreprises pour leurs demandes immédiates ou pour faire face aux changements, évolutions et mutations économiques.
Aujourd’hui, le développement des compétences est devenu un enjeu incontournable et l’utilisation de cette notion suscite un questionnement largement partagé, aussi bien chez les professionnels de l’emploi ou de la formation que chez les personnes ordinaires. A la fois précis pour certains et encore flou pour d’autres, ce concept suscite des interrogations quant à sa capacité, par exemple, à décrire, à mettre en perspective le parcours professionnel d’une personne, à faciliter la coordination des interventions entre institutions concernées par l’emploi et la formation ou encore à favoriser la mise en place d’anticipation des évolutions économiques, technologiques et sociales.
Par ailleurs, chaque structure a son propre langage, ses propres pratiques et représentations sur la meilleure façon d’agir pour faciliter les parcours, ce qui parfois est difficile à gérer pour les individus concernés. Ainsi, on constate la nécessité d’utiliser non seulement un langage commun mais également de susciter des pratiques communes autour de la compétence. L’objectif est en effet de faciliter le cheminement triangulaire de « information/orientation – formation - emploi » pour tenter de sécuriser les parcours de formation et d’emploi des personnes dans l’objectif de la continuité professionnelle. C’est donc dans cet esprit que PRIM’ organise le 8 avril 2011 au Conseil régional de Bourgogne, sa première journée d’études autour des usages de la notion de compétence.
Nous vous proposons, à partir de cette entrée partagée, d’effectuer un premier repérage des utilisations par les gestionnaires d’entreprises, les prescripteurs, les organismes de formation afin de co-construire un cadre de référence des usages de la compétence à partir de cas concrets. Il s’agira en outre, d’en découvrir les différents usages et les limites mais également de s’interroger sur les conséquences de l’approche compétence, de mesurer les chemins à parcourir afin de se donner les moyens de développer les pratiques pertinentes. Cette journée d’études s’adresse aux acteurs de la formation, de l’insertion, de l’orientation et de l’emploi.
http://www.c2r-bourgogne.org/charte/c2r-bourgogne-logo.gif Lejn qafas Burgundy minn prattiki professjonali. Vendredi 8 avril 2011, de 9h à 17h. Il-Ġimgħa 8 Apr 2011, minn 9h li 17h. Kamra Sessjonijiet - Kunsill Reġjonali ta 'Burgundy - 17 Boulevard de la Tremouille - Dijon. Programm u r-reġistrazzjoni t-8 ta 'April - ikklikkja hawn. Aħna noffrulek din id-dħul mill maqsuma jagħmlu identifikazzjoni preliminari ta 'użu mill-maniġers tan-negozju, dawk li jippreskrivu, taħriġ korpi għall-ko-jinbena qafas ta' prattiki tal-ġurisdizzjoni mill- każijiet. Huwa se jipprovdi wkoll, li jiskopru l-użi differenti u l-limitazzjonijiet iżda wkoll biex jikkunsidra l-konsegwenzi ta 'l-approċċ kompetenza, ikejjel il-binarji biex tmur tagħti lilha nnifisha l-mezzi sabiex jiżviluppaw prattika rilevanti. Dan is-seminar huwa mmirat lejn dawk involuti fl-taħriġ, integrazzjoni, l-orjentazzjoni u l-impjiegi. More...
15 mars 2011

Métiers, compétences et territoires: comment sécuriser l'emploi par la formation?

http://www.mfr-flixecourt.com/medias/Image/Logo%20Region%20Picardie.pngMégacité Amiens le 31 mars
AGEFOS PME, invite les employeurs, salariés, élus territoriaux et partenaires emploi-formation à débattre et échanger à l'occasion d'une journée consacrée à l'avenir des entreprises, des salariés et de l'économie de nos territoires.
La journée est organisée en trois temps forts de 10h30 à 16h30 : une conférence et deux tables rondes.
* Le matin : une conférence prospective "L'entreprise et ses acteurs peuvent-ils avoir une approche anticipatrice pour favoriser la mobilité professionnelle et plus globalement l'emploi des jeunes et des séniors.
* L'après midi : débats et échanges, donnant la parole aux représentants de syndicats salariés et patronaux et dans une seconde table ronde, créant un face à face entreprises, financeurs et acteurs publics de l'emploi-formation.
Pour participer vous devez impérativement confirmer votre participation auprès d'AGEFOS PME Nord Picardie. Télécharger le programme de la journée. Télécharger le bulletin d'inscription.
Un anniversaire

AGEFOS PME Nord Picardie a été créée en 1981. Depuis 30 ans, elle a progressivement développé des services et conseils aux entreprises de toutes tailles, privilégiant l'accès à la formation aux plus petites entreprises. Elle accompagne les projets emploi-formation et la sécurisation des parcours professionnels des salariés et des demandeurs d'emploi.
%% Http://www.mfr-flixecourt.com/medias/Image/Logo 20Region 20Picardie.pngMegacity Amiens 31 maart
AGEFOS MKB, stimuleert werkgevers, werknemers, partners en verkozen lokale job-training te bespreken en uit te wisselen tijdens een dag gewijd aan de toekomst van het bedrijfsleven, werknemers en de economie van onze gebieden.

De dag is georganiseerd in drie hoogtepunten van 10u30 tot 16u30: een conferentie en twee paneldiscussies
. Download het programma van de dag. Download het inschrijfformulie. Meer...
15 mars 2011

Favoriser les mobilités professionnelles

http://blogtfs.afpa1.host.privilis.com/wp-content/themes/default/images/bandeau_logo.gifPar Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. L’être humain est polyvalent et pluri-compétent, ses capacités à apprendre sont infinies et sa capacité à combiner ses savoirs est également illimitée. Cela ne signifie pas que tout le monde peut et veut tout faire mais qu’il n’y a guère de limites cognitives  aux apprentissages. Il y a par contre de nombreux obstacles à un développement optimal des individus qui tiennent aux inégalités sociales, à la division du travail et aux représentations qu’elles induisent y compris dans la conduite des politiques éducatives. C’est une des fonctions de l’orientation professionnelle que d’aider les personnes à surmonter ces obstacles.
Rappeler ces banalités n’est pas complètement inutile dans certains débats relatifs au fonctionnement du marché du travail et aux questionnements sur les potentiels d’évolution professionnelle des actifs. Objectivement, en dehors de cas minoritaires, la très grande majorité des personnes ayant été scolarisées jusqu’en 3ème et ayant déjà travaillé peut exercer un très grand nombre de métiers de base différents par le biais des différentes démarches d’apprentissage et de professionnalisation. Pour autant cette potentialité est soumise à des obstacles qui ne tiennent pas aux aptitudes et aux compétences des individus mais à des représentations, des inhibitions, des blocages divers sans évoquer des difficultés matérielles. Plus on descend dans la hiérarchie sociale et professionnelle moins les personnes ont conscience de leurs potentialités au-delà des activités qu’ils exercent ou ont exercé.
Il n’y a pas besoin d’être expert pour comprendre que la priorité des priorités pour favoriser la mobilité des moins qualifiés ce n’est pas seulement la formation mais un travail préalable d’information sur leurs acquis et leurs potentiels et le périmètre d’évolution professionnelle que cette démarche ouvre. Cette prise de conscience nécessite bien plus que des dialogues ou des tests, elle suppose des mises en situation et des preuves tangibles et vérifiables de ces potentiels En fait ces démarches ont deux vertus déterminantes dans le fonctionnement du marché de l’emploi :
* Elles favorisent le dialogue avec le monde du travail et les employeurs en se basant sur une approche pragmatique et opérationnelle des savoirs.
* Elles contribuent à relativiser les représentations qui privilégient une conception des savoirs fondées sur le primat des connaissances théoriques générales (conception qui défavorise les populations qui ont échoué à l’école).
* Elles objectivent les critères liés au comportement professionnel exigé par les entreprises.
Après cette identification des savoir faire des personnes, il est toujours temps de consolider telle ou telle aptitude par l’acquisition de savoirs de base ou techniques.
Or cette étape essentielle du repérage des acquis, dans la conduite des politiques de mobilités professionnelles, est précisément celle qui est en friche depuis plusieurs décennies. Ce qui tient de politique d’orientation professionnelle est une jungle pléthorique ou souvent illisible de prestations liées au seul « projet » professionnel ou au repérage des compétences clef ou transverses sans connexion avec la sphère professionnelle.
Sans ignorer l’existence et la portée des vocations professionnelles précoces, la vie active est d’abord une succession d’opportunités  à saisir. Celles-ci dépendent d’abord de la confiance que les individus ont en eux-mêmes et non de prédispositions liées à l’acquisition de compétences transverses ou transférables ! Ces compétences sont présentes chez chacun avec des dosages différents et associées à des acquisitions scolaires, techniques ou expérientielles variables. Elles sont intrinsèques à l’être humain, par contre elles se consolident, se bonifient, se développent en fonction des contextes mais aussi des logiques éducatives qui misent sur les spécialisations étroites ou, au contraire, les poly-compétences ! La première voie mise sur l’hypothèse de plus en plus hasardeuse de l’exercice du même métier toute la vie mais minore la prise de conscience des potentiels des personnes confrontées aux tensions et aux déstabilisations du marché de l’emploi.
http://blogtfs.afpa1.host.privilis.com/wp-content/themes/default/images/bandeau_logo.gif By Paul Santelmann, Head of Forecasting at AFPA. Humans are versatile and multi-skilled, his ability to learn are endless, and its ability to combine his knowledge is unlimited. This does not mean that everyone can and will do everything but there is little cognitive limitations to learning. There are cons with many barriers to optimal development of individuals who hold social inequality, division of work and they induce representations including the conduct of educational policies. It is a function of career guidance that help people overcome these obstacles. Remember these trivialities is not completely useless in certain discussions relating to the functioning of the labor market and questions about the potential for professional development assets. Objectively, outside minority of cases, the vast majority of people who have been schooled until the third and having already worked can have a very large number of core businesses through various different approaches to learning and professionalism. Provided this is subject to potential obstacles that do not take to the abilities and skills of individuals but to representations, inhibitions, without mentioning various blocks of material hardship. As we move down the social hierarchy and less professional people realize their potential beyond the activities they do exercise. More...
15 mars 2011

Besoin d’un bilan de compétences ?

Edito
Que faut-il vraiment attendre du bilan de compétence ? Certainement pas une solution toute faite, mais plutôt un accompagnement pour finaliser son projet professionnel. D’une durée de 24 heures, réparties sur plusieurs semaines, le bilan de compétence, s’il est mené sérieusement, demande une participation active du salarié/demandeur d’emploi. Explications et conseils.
Besoin d’un bilan de compétences ? Les signes qui ne trompent pas ! Par Yves Rivoal.

Sans le savoir, vous avez peut-être besoin d’effectuer un bilan de compétences. Estelle Sauvat, directrice générale déléguée du cabinet Sodie, nous dévoile comment repérer les signes qui ne trompent pas...
Une fois que l’on a détecté ces signaux, quelle démarche adopter ?

- Tout dépend du mode de prise en charge du bilan. Le salarié peut très bien initier une démarche individuelle sans en informer son employeur en contactant le Fongecif afin d’obtenir un financement, « hors temps de travail ». Lorsque les relations entre le salarié et l’entreprise sont bonnes, il est également possible d’effectuer son bilan de compétences sur le temps de travail, via le Fongecif ou le DIF. Dans certains cas aussi, l’employeur peut assurer une prise en charge du bilan sur le plan de formation de l’entreprise. Lors des entretiens préalables, on conseille toujours aux salariés de ne pas se mettre en danger par rapport à leur employeur. Certains préfèrent d’ailleurs financer eux-mêmes leur bilan de compétences. Il faut alors prévoir un budget qui oscille entre 1 800 et 3 000 € en fonction du mode de portage et du nombre d’heures...
Bilan de compétences : comment choisir le bon prestataire ?
Par Caroline David.
De nombreux organismes proposent des bilans de compétences. Mais attention ! Avant de vous lancer dans cette démarche très personnelle, prenez le temps de choisir le bon prestataire...
Effectuer un bilan de compétences, c’est accepter de prendre le temps de l’introspection. « C’est un moment privilégié pour comprendre ses motivations profondes et faire le point sur ses envies », explique Yves Deloison, ancien conseiller en bilan de compétences. Journaliste et auteur du blog, www.toutpourchanger.com, il a lui même testé la méthode et changé de vie à près de 40 ans. « Pour que le travail soit efficace, assure-t-il, il faut accepter de se livrer et de creuser en soi pour trouver ses ressources propres. » Pas question donc de prendre une décision à la légère quant au choix de l’organisme qui vous accompagnera dans cette réflexion, car la réussite du bilan en dépend largement. « C’est une démarche à la fois très encadrée et très personnelle. Il faut donc être moteur de la démarche et choisir quelqu’un qui saura vous aider à être maître de votre projet. »
Szerkesztőségi
Mit kell igazán várhatunk a képesítés felmérése?
Természetesen nem egy kész választ, hanem az, hogy véglegesítsék az ő edzői karrierje tervét. Több mint 24 órán elosztva néhány hét, a képességek értékelésére, ha megvalósítják, komolyan, aktív részvétele szükséges a munkavállaló / munkakereső. Explications et conseils. Magyarázatokat és tanácsokat. Kell egy szaktudás felmérése? A jelek nem ! Yves Rivoal. Még több...
15 mars 2011

Salon VOCATIS de l’Evolution professionnelle à Nice et Marseille

Réussir sa carrière, s’épanouir dans son travail et continuer à se former tout au long de sa vie : ces sujets nous concernent tous, que nous soyons salariés ou en recherche d’emploi.
- Les Salons Vocatis de l’Évolution Professionnelle pour objectif d’informer et d’accompagner les personnes qui se posent des questions sur leur carrière : reprendre une formation ? Retrouver un emploi ? Envisager une reconversion ? Pour le savoir, rendez-vous le 12 mars à Nice et le 9 avril 2011 à Marseille.
Un lieu d’échange et de partage d’expériences

- Pourquoi un salon ? Parce que si internet permet une diffusion de l’information, rien en vaut l’échange en face à face. En effet, de même que le réseau joue un rôle-clef lors d’une recherche d’emploi, le partage d’expérience est précieux en matière de formation continue.
Outre un projet professionnel, reprendre une formation après plusieurs années d’expérience exige motivation et volonté.
Tous les spécialistes vous le diront : le public de la formation continue est particulièrement exigeant car il arrive déjà riche de son expérience. On reprend des études pour acquérir de nouvelles compétences, mais on vient aussi pour apprendre des autres.
Conférences et expertises

- A l’occasion du Salon Vocatis de l’Evolution professionnelle, vous pourrez donc rencontrer des experts de la formation continue, des coachs spécialisés et assister aux nombreuses conférences. Animées par des professionnels, ces conférences sont l’occasion de répondre aux interrogations du public.
Quelle formation choisir ?

- Parmi les thématiques abordées lors des conférences : les différents outils de la formation continue (DIF, CIF, VAE…), le bilan de compétence, les formations accessibles tout en travaillant, la création d’entreprise... Donner vie à vos projets : telle est l’ambition des Salons Vocatis de l’évolution professionnelle !
Rendez-vous à Nice le 12 mars et à Marseille le 9 avril 2011 !
Pour en savoir plus (entrée gratuite sur invitation) : Nice : http://www.vocatis.fr/, Marseille : http://www.vocatis.fr/.
Successo di carriera, soddisfazione nel loro lavoro e continuare ad apprendere per tutta la vita: questi problemi riguardano tutti noi, sia che si sono occupati o in cerca di lavoro.
- Les Salons vocazione di sviluppo professionale destinato a informare e assistere coloro che stanno mettendo in discussione la loro carriera riprendere gli allenamenti?
Trova lavoro? Pensare di cambiare? Per scoprirlo, andare a Nizza il 12 marzo e il 9 aprile 2011 a Marsiglia. Maggiori informazioni...
15 mars 2011

Le Sénat lance une mission commune d’information sur Pôle emploi

http://www.senat.fr/fileadmin/templates/images/data/logo.pngLors de sa réunion constitutive du 8 février 2011, la mission commune d’information sur Pôle emploi a désigné son bureau et procédé à un premier échange de vues sur les orientations qu’elle souhaite donner à ses travaux.
Son bureau est ainsi composé :
- Président : Claude Jeannerot (Soc - Doubs)
- Rapporteur : Jean-Paul Alduy (UMP - Pyrénées-orientales)
- Vice-présidents : Serge Dassault (UMP - Essonne), Christiane Demontès (Soc - Rhône), Jean-Marie Vanlerenberghe (UC - Pas-de-Calais), Annie David (CRC - SPG)
- Secrétaire : Jean-Pierre Plancade (RDSE - Haute-Garonne).
En organisant une série d’auditions et de déplacements, la mission entend dresser un premier bilan de la fusion entre l’ANPE et les Assedic, évaluer la qualité du service rendu aux usagers, qu’il s’agisse des demandeurs d’emploi ou des entreprises, et étudier les relations de partenariat, de cotraitance ou de sous-traitance qu’entretient Pôle emploi avec les autres acteurs du service public de l’emploi.
La mission prévoit de rendre ses conclusions à la fin du premier semestre de 2011. Un compte rendu de ses activités sera consultable sur le site internet du Sénat à l’adresse suivante : www.senat.fr.

http://www.senat.fr/fileadmin/templates/images/data/logo.png Fil-laqgħa kostitwenti tagħha fit-8 ta 'Frar 2011, il-missjoni ta' informazzjoni komuni fuq iċ-ċentru l-impjiegi jkun innomina kariga tiegħu u kellu skambju ta 'fehmiet inizjali dwar id-direzzjoni li trid tagħti għall-ħidma tiegħu.
Uffiċċju tiegħu huwa magħmul minn:
- President: Claude Jeannerot (Soc - Doubs)
- Rapporteur: Jean-Paul Alduy (UMP - Pirinej-Orientales)
-Presidenti Viċi: Dassault Serge (UMP - Essonne), Demont Christiane (Soc - Rhône), Vanlerenberghe Jean-Marie (UC - Pas de Calais), David Annie (CRC - GSP)
- Segretarju: Plancade Jean-Pierre (RDSE --Haute Garonne). More...

15 mars 2011

Getting to grips with rankings

http://www.eua.be/images/events/logo.jpgGetting to grips with rankings: A high-level seminar for European university leaders. Presentation of the EUA Review of International Rankings, 17 June 2011, The Bibliothèque Solvay, Belgium.
Over the last 18 months, the European University Association (EUA) has been carrying out a comprehensive review of all major international university rankings.
Universities are increasingly confronted by a plethora of ranking and classification initiatives – both at the national and international level. While many university leaders have reservations about rankings, their methodologies and criteria, there is a growing recognition that such initiatives are here to stay. Research has also shown that despite their acknowledged shortcomings, rankings are having an increasing impact on decision-making and activities in universities across Europe.
This is why EUA has decided that there is a need to respond on behalf of the 850 universities it represents by publishing a ‘Review of international higher education rankings’. This new publication will be launched and presented to university leaders for the first time at this special one day seminar taking place in Brussels.
Objective
* To present the review and its findings as a means of improving knowledge and understanding among university leaders of the different purposes and methodologies of the various international rankings
* To provide a platform for an open debate on ranking methodologies and their various strengths and weaknesses with the goal of improving future practice and encouraging consideration of alternative approaches to enhancing transparency
* To gather feedback from the university community on the effectiveness of this pilot project and consider topics for inclusion in further editions of the Review of rankings.  
Target Audience

* Leaders (Rectors/Vice-Rectors/Vice Chancellors/Pro-Vice-Chancellors) from EUA member institutions
Support: The EUA Rankings Review project was made possible by Funding from the Robert Bosch Stiftung
14 mars 2011

Dauphine et Normale Sup main dans la main dans la course à l'excellence

http://www.latribune.fr/static/menunew/header_new/logo_tribune_sector.gifPar Clarisse Jay. Le campus Paris Sciences et Lettres veut créer une université collégiale de recherche d'excellence dans le cadre du grand emprunt. La présélection des initiatives d'excellence aura lieu prochainement.
On a parlé du mariage de la carpe et du lapin. L’université Paris-Dauphine, pouponnière des cadres de la finance, est candidate aux côtés de l’Ecole normale supérieure (ENS) d’Ulm, fleuron de la pensée française, aux "initiatives d’excellence" (Idex), futurs pôles de rang mondial capables de rivaliser avec les meilleures universités du monde telles Harvard, Princeton et Cambridge. A la clef : 7,7 milliards d’euros pour cinq à dix pôles qui seront sélectionnés en juillet prochain.
S’appuyant sur le campus "Paris Sciences et Lettres Quartier latin" (PSL) qui s’est constitué en avril 2010 autour de l’ENS et qui regroupe, sous le statut d'une fondation de coopération scientifique, la crème de la crème de la Montagne Sainte-Geneviève (ENS, Collège de France, Observatoire de Paris, ESPCI ParisTech, Chimie ParisTech), ce projet baptisé PSL* (étoile) associe aussi les grandes écoles d’arts (Arts Déco, Beaux-Arts), la fondation Pierre Gilles de Gennes et l’institut Louis Bachelier (ILB), spécialisé dans l'innovation financière. Il vise à "faire émerger une université collégiale de recherche" comptant parmi "les vingt meilleures universités mondiales".
Confédération

De prime abord, la venue de Dauphine auprès des grands noms de la Montagne Sainte-Geneviève pour concourir au plus grand appel à projet du grand emprunt peut sembler opportuniste. D’une part, Dauphine n’a pas été associée aux trois autres grands pôles qui se sont constitués à Paris intra-muros entre universités et grandes écoles. De l’autre, l’ENS et PSL ne pouvait être candidates aux Idex sans université. Mais pour son président, Laurent Batsch, son rapprochement avec ce pôle de 4.000 chercheurs (dont 3.000 doctorants) fait sens. "Nous avons tout de suite été intéressés par PSL. C’est un rapprochement naturel : est sélective comme l’ENS avec laquelle nos équipes en sciences humaines travaillent déjà en convergence. Nous sommes aussi complémentaires."
L’idée est de créer une confédération d’établissements de recherche ayant une forte identité "et qui n’ont pas vocation à se dissoudre". Jean-Claude Petit, ex-directeur des programmes du CEA, récemment nommé directeur de développement du projet d’Idex de PSL à Dauphine, est justement chargé de mettre en œuvre des synergies et des projets entre Dauphine et ses partenaires de PSL. "Nous voulons créer une université de formation par la recherche", poursuit Laurent Batsch, rappelant que les étudiants de Dauphine sont plus nombreux en master qu’en licence. "Notre taille est idéale. Nous formons un ensemble idéal de 15.000 étudiants sachant que la moyenne des meilleures universités mondiales est de 20.000. Nous allons fonctionner avec des "schools" qui vont se construire sur une culture commune tout en gardant nos identités respectives", explique Laurent Batsch.
Création d’entreprise

Dans le domaine de la formation, un cycle de licence commun sciences et lettres offrira une première année généraliste. "Cela permettra de contourner les classes préparatoires en différenciant l’orientation et en gardant les meilleurs", prévoit Laurent Batsch. Les étudiants bénéficieront de services communs à tous les établissements. Le pôle développera aussi des formations continues pour les cadres rapprochant monde des affaires et monde académique. Des masters en marketing et design ou et un doctorat en création à destination des artistes sont en projet.
"Avec Dauphine et l’Institut Louis Bachelier, nous allons pouvoir développer changer de braquet sur la valorisation, ajoute Gilles Rubinstenn, directeur général de la Fondation Pierre Gilles de Gennes, spécialisée dans le montage de projets de recherche public-privé et partenaire du projet PSL*. Dauphine et l’ILB vont nous apporter des mathématiques appliquées de haut niveau, une grosse expertise en matière de création d’entreprise, de design les modèles économiques, d’analyse du risque…". PSL* compte de fait travailler à la maîtrise de la chaîne de valeur du transfert technologique et vise un objectif à dix ans de 80 à 100 brevets déposés annuellement, de dix "start up" créées et de 15 millions d'euros de contrats de recherche directement passés avec des PME et des entreprises de taille intermédiaire.
Reste que la compétition va être rude. Selon plusieurs sources, sur les dix-sept dossiers déposés, environ huit Idex devraient être sélectionnées en juillet dont trois en Ile-de-France. Or se disputent dans cette région pas moins de six candidats dont Saclay, assuré d'être sélectionné. Rien qu'à Paris intra-muros bataillent PSL, Openscience du pôle Sorbonne Paris Cité, Super du pôle Sorbonne Universités et Novi-Mundi du pôle Hesam…. Il n'y aura donc pas de place pour tout le monde. Tous vont jouer leur avenir ces jours prochains avec les auditions de la présélection.
http://www.latribune.fr/static/menunew/header_new/logo_tribune_sector.gifÁltal Clarisse Jay. A párizsi egyetem és humán tudományok hoz létre az egyetemi kollégium kutatási kiválóság a nagy hitel. A szűrés kiválóság kezdeményezések sor kerül. Beszéltünk a házasság a ponty és a nyúl. Université Paris-Dauphine, óvoda vezetői a pénzügyek, a jelölt mellett az École Normale Supérieure (ENS) Ulmban, a zászlóshajója a francia gondolkodás, a "kiválóság kezdeményezések" (IDEX), jövő központok világszínvonalú képes felvenni a versenyt a legjobb egyetemekkel a világon, mint a Harvard, Princeton és Cambridge-ben. A legfontosabb: 7700000000 € öt-tíz pólusok kell választani jövő júliusban. Még több...
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