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Formation Continue du Supérieur
14 janvier 2012

5ème rencontre Universités et Entreprises

http://www.groupeaef.com/wp-content/uploads/2010/09/logo_RUE2012_bay_bleu.pngLa 5ème édition des Rencontres Universités Entreprises se déroulera au Palais des Congrès de Paris les 15 et 16 mars 2012.
Grâce à l’implication de l’ensemble des visiteurs, exposants, conférenciers, et à la qualité de leur participation, les Rencontres Universités Entreprises – RUE 2011 ont connu un vif succès: 6000 participants (dont 4 600 professionnels), 60 conférences et ateliers, 85 intervenants, près de 90 exposants (50 entreprises, 13 PRES et 45 universités), 180 recruteurs, 1480 candidats, 800 rendez-vous de recrutement.
Dans un contexte international très favorable au développement de l’université et à la reconnaissance de ses potentiels , les RUE, initiées il y a 5 ans, sont devenues le rendez-vous incontournable entre les professionnels de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’entreprise. Chaque année, les Rencontres Universités Entreprises débouchent sur de nouveaux partenariats, des expérimentations et de nouveaux contrats mais aussi, pour les entreprises, un recrutement diversifié et accru, qui fera la richesse de leur sourcing.
Les nouveautés 2012: un calendrier mieux adapté au recrutement; un lieu central et prestigieux, sur un seul niveau; un forum élargi aux Master1 (stages, alternance); des actions de communication plus larges; de nombreux petits ateliers au sein de l’espace exposant; une ouverture internationale.
Jeudi 15 et vendredi 16 mars 2012 • Palais des Congrès

Dans un contexte international très favorable au développement de l’université et à la reconnaissance de ses potentiels, les Rencontres Universités Entreprises, initiées
il y a 5 ans, sont devenues le rendez-vous incontournable entre les professionnels de l’enseignement supérieur, de la recherche et les entreprises.
Participer aux Rencontres Universités Entreprises, c’est entrer dans une démarche active de rapprochement
entre les universités et les entreprises à tous les niveaux:
- Progresser et innover en apprenant à mieux se connaître,
- Renforcer la place des universités au sein du monde économique et scientifique pour améliorer la compétitivité,
- Inciter les employeurs à mieux intégrer les étudiants universitaires dans leur vivier de jeunes diplômés,
- Valoriser la recherche,
- Construire des projets communs et pérennes, en matière de formation, de recherche et d’innovation, d’insertion professionnelle, de recrutement ou de relations économiques,
- Mieux valoriser les ressources et les talents des universités.
Avec 6 000 participants en 2011, dont 4600 professionnels, les RUE constituent un temps fort des relations entre le monde économique et le monde universitaire: chaque année, les Rencontres débouchent sur de nouveaux partenariats, des expérimentations et de nouveaux contrats mais aussi, pour les entreprises, un recrutement diversifié et accru, qui fera la richesse du sourcing des entreprises.
Les professionnels
Entreprises: DRH, directeurs du recrutement, campus managers et responsables de la marque employeur ; directeurs scientifiques et responsables de la R&D, directions commerciales, etc.
Universités et écoles associées dans le cadre des Pôles de Recherche et d’Enseignement Supérieur (PRES) : présidents et vice-présidents, secrétaires généraux, directeurs de composantes, directeurs de laboratoire et responsables de masters, directeurs d’écoles doctorales, responsables de Scuio et de BAIP, etc.
Organismes de recherche: présidents et directeurs généraux, directeurs de laboratoire, directeurs d’institut, responsables d’organisme.
Voir aussi 4e rencontre Universités et Entreprises, organisée par le MEDEF et la CPU, 3e Rencontres Universités-Entreprises.

http://www.groupeaef.com/wp-content/uploads/2010/09/logo_RUE2012_bay_bleu.pngThe fifth edition of the Business Meeting will be held at University Convention Center in Paris on 15 and 16 March 2012.
Thanks to the involvement of all visitors, exhibitors, speakers, and the quality of their participation, Dating Universities Enterprises - STREET 2011 were a resounding success: 6000 participants (4600 Professional), 60 conferences and workshops , 85 players, nearly 90 exhibitors (50 companies, 13 universities and 45 PRES), 180 recruiters, 1480 candidates, 800 appointment of recruitment. More...
26 décembre 2011

Rapprochement Université/PME: remise du Prix de l'Economie PME

http://www.widoobiz.com/wp-content/themes/Widoobiz/includes/timthumb.php?q=100&w=480&h=260&zc=1&src=http://www.widoobiz.com/wp-content/uploads/2011/02/dynamiqueentrepreneuriale.jpgRapprochement Université/PME: remise du Prix de l'Economie PME. Après la première édition du "Grand Livre de l’Economie PME" et la tenue des premières Universités de l’Economie PME en décembre 2009, sous la direction scientifique de Gilles Lecointre, universitaire, la CGPME, en partenariat avec KPMG, vient d'éditer le "Grand Livre de l'Economie PME 2012".
En outre, à l'occasion d'un débat sur le thème "Comment mieux organiser et valoriser le transfert des connaissances de l’Université vers les PME?" qui s'est tenu hier soir dans les salons du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, le Prix de l’Economie PME a été décerné à Sonia Boussaguet, enseignant-chercheur à Reims Management School et Eric Fromenty, doctorant à l'Université Montpellier 1 pour leurs travaux sur "la prise de fonction d'un repreneur PME: un paradoxe managérial ?". En clair, comment avoir l'humilité de s'assujettir à l'entreprise d'accueil, d'en reconnaître les valeurs, le potentiel et les qualités opérationnelles tout en prenant les rênes.
Cette action s'inscrit dans le cadre du rapprochement entre l'Université et l'entreprise que la CGPME appelle de ses vœux.
Forte du constat que le nombre de contributions est cette année plus important et plus diversifié, en provenance notamment du Canada, la CGPME se réjouit de l’intérêt toujours plus grand que le milieu universitaire porte à la PME.
Jean-François Roubaud: "Avec ces Universités qui réunissent étudiants, enseignants, chercheurs et chefs d’entreprises, nous avons fait travailler ensemble des milieux qui s’observaient mais qui ne réfléchissaient pas en commun sur ce qu’est la PME, ses spécificités, ses atouts, ses faiblesses et la manière de construire une économie qui lui est propre".
Jacky Lintignat, Directeur Général de KPMG, ajoute: "Le Grand Livre de l’Economie PME fait écho à un mouvement d’ouverture du monde universitaire aux PME, qui représentent un formidable terrain d’observation de l’économie." CGPME Ile de France.
Pojednanie University/SME: Prize MŚP Gospodarki Po pierwszej edycji "Big Book of Small Gospodarki" oraz zorganizowanie pierwszych uniwersytetów w gospodarce małych i średnich przedsiębiorstw w grudniu 2009 r., pod naukowym kierownictwem Gilles Lecointre , uniwersytet, CGPME, we współpracy z KPMG, właśnie wydał "Big Book of Economy MŚP 2012". Więcej...
4 décembre 2011

Taller de Buenas Prácticas en la relación Universidad-Empresa en materia de formación

http://www.ruepep.org/_/rsrc/1263489381456/config/app/images/customLogo/customLogo.gif?revision=1El pasado 8 de Septiembre se celebró el Taller de buenas prácticas Universidad-Empresa en materia de formación dentro del curso "La relación de los estudios de postgrado y la formación continua con el sector empresarial y el tejido productivo en iberoamérica" en la Universidad de Granada.
El taller, al que asistieron unas 50 personas, fue coordinado por Mónica López Sieben, Secretaria General de la red RUEPEP y Subdirectora del Centro de Formación Permanente de la Universidad Politécnica de Valencia que contaba con la colaboración de Susana Sánchez Galve, Directora de la Fundación Centro de Innovación de la Universidad Politécnica de Barcelona, Juan Carlos Rodríguez Rodríguez, Director del Centro de Ampliación de Estudios de la Universidad Carlos III de Madrid y Jerónimo Boris Castelló García, Técnico de formación a medida para empresas en el Centro de Formación Permanente de la Universidad Politécnica de Valencia como facilitadores de los tres grupos de trabajo en los que se habían dividido a los participantes.
El objetivo del taller era estudiar la colaboración universidad-empresa e identificar factores o elementos determinantes que produzcan resultados exitosos en el trabajo conjunto de ambos ámbitos en las distintas áreas de actividad. Se ha utilizado una metodología dinámica para el grupo en el que, a través de ronsa sucesivas, se van identificando elementos y priorizando los importantes que pasan a un análisis más en profundidad en la siguiente ronda.
Uno de los objetivos de este tipo de actividad es que cada participante se sienta protagonista del resultado del taller aún estando dirigidos a grupos numerosos. Para ello, los participantes han de aportar y apuntar sus ideas y priorizar, a través de votaciones sucesivas, las aportaciones del gran grupo dirigiendo así los resultados hacia los elementos fundamentales.
Durante el taller que duró 2 horas y media, los participantes identificaron las distintas relaciones universidad-empresas existen en materia de formación postgrado y formación continua, identificaron los factores críticos de éxito de las tres relaciones más importantes y propusieron procesos críticos para la mejora de esos factores. Se puede obtener un documento completo de los resultados accediendo al siguiente enlace.

25 novembre 2011

Relations Universités-Entreprises

http://www.amge-jobs.com/wp-content/uploads/2010/06/logoFocusRH.jpgPar Brice Ancelin. Comment maintenir et développer ses relations avec les établissements d’enseignement supérieur (écoles d’ingénieurs et de commerce, universités…)? Comment recruter les jeunes diplômés? Quelle politique mener autour de la taxe d’apprentissage? Autant de questions auxquelles vous trouverez des réponses adaptées, sous forme de conseils, de comptes rendus d’enquêtes, de cas d’entreprises… Au programme: les derniers business games, les politiques d’entreprises en matière de stage, de professionnalisation, de VIE…
Entreprises et étudiants : la difficile rencontre

La dernière étude menée par L’Ifop pour le concours Passerelle en octobre dernier souligne l’impact de la crise sur les politiques de recrutement des entreprises et les choix des étudiants en matière d’orientation.
Pas moins de 55% des recruteurs interrogés par l’Ifop reconnaissent qu’il leur est plus difficile d’anticiper leurs besoins en termes de recrutement, du fait de la crise économique. Une problématique encore plus affirmée dans les entreprises de 100 à 199 salariés (61%) et de 200 à 249 salariés (66%). Conséquence directe de ce manque de visibilité, une grande majorité d’entreprises (69%) affiche une politique de recrutement plus prudente (multiplication des étapes dans le processus, prise de risque moindre dans le choix des profils…). Dans ce contexte, ce sont les profils expérimentés qui tirent le mieux leur épingle du jeu, puisque 70% des sondés reconnaissent favoriser l’embauche de ces profils, devant les jeunes diplômés (59%) et les seniors (56%). Si 59% des sondés favorisent toujours le CDI, le recours au travail temporaire (45%) et aux CDD (44%) demeure néanmoins conséquent. Une tendance qui pourrait s’affirmer sur le long terme, si l’on considère que plus de la moitié de ces mêmes entreprises ne pensent pas retrouver plus de visibilité dans leur politique de recrutement au cours des prochains mois.
Une inquiétude relative

Face à ce constat, une majorité d’étudiants s’avoue plus inquiète que l’année dernière quant à son avenir professionnel et réagit en conséquence: 58% accordent désormais plus d’importance aux débouchés professionnels liés à la formation qu’à leur propre intérêt pour ladite formation (contre 51% en novembre 2010). Ils sont également plus nombreux à repenser leur plan d’études pour s’orienter vers une formation plus professionnalisante (+ 6 points), à privilégier une filière d’études longues, afin de retarder leur arrivée sur le marché du travail (+ 9 points) et à s’orienter vers les carrières de la fonction publique pour garantir leur emploi (+ 5 points). Des résultats qu’il convient néanmoins de relativiser si l’on considère que sur ces trois dernières propositions, une large majorité ne s’y reconnaît pas. Des étudiants qui naviguent donc entre aspiration professionnelle et confrontation à la réalité du marché du travail.
Jeunes diplômés : une génération pas si différente
Les 16e rencontres RH de Deauville organisées le 8 octobre dernier par l’ISC de Paris et Viadeo ont été l’occasion de revenir sur la question des générations et, plus particulièrement, sur celle des jeunes diplômés. Des jeunes diplômés qui ne se révèleraient pas si différents des générations précédentes.

« On parle d’une nouvelle génération, commence Andrés Atenza, directeur de l’ISC de Paris, en ouverture de ces rencontres. Mais n’y a-t-il pas des invariants ? » En réponse, Patrick Lemattre, professeur à HEC, adopte une métaphore toute particulière : « Qu’il soit français, anglais ou japonais, le jardin change tout le temps. Les plantes poussent et évoluent au rythme des saisons et du travail du jardinier. Mais il existe des fondamentaux : la juste proportion, les équilibres, la correspondance des choses, la captation de l’environnement lointain... » Il poursuit : « C’est pareil en entreprise avec les jeunes. Ça bouge sans arrêt. Mais ils ne sont pas très loin d’où nous étions nous-mêmes. » Pour étayer ses propos, le professeur à HEC rappelle les résultats d’une étude européenne sur les aspirations des jeunes des 27 pays membres. Résultat, une large majorité souhaite obtenir un travail, fonder une famille et avoir une maison.
Pour nos deux intervenants, ce n’est donc pas tant la génération qui change, que le contexte dans lequel elle évolue. Environnement (crises, restructurations, mondialisation...), chute du mur de Berlin, Sida, révolution technologique représentent autant de changements accompagnés d’une nouvelle grille de lecture du monde, selon Patrick Lemattre. Autrement dit, « Cette génération fera la même chose que la précédente mais dans un autre contexte », ajoute-t-il.
Quatre comportements professionnels

En ce sens, le professeur à HEC identifie quatre comportements professionnels majeurs chez cette génération. Le projet personnel est flou, incertain. « Dans un contexte quotidiennement changeant, ils adoptent l’attitude du surfeur, image Patrick Lemattre. A l’instant " T ", ils s’adaptent au courant, à la vague, de façon assez instinctive avec les compétences acquises. Leurs maîtres mots sont : liberté, autonomie, indépendance. »
La deuxième attitude concerne les repères d’appartenance. « Les jeunes ne s’engagent plus, ou beaucoup moins, en politique, dans les syndicats, les ordres religieux ou même les ONG, explique Patrick Lemattre. Ils ne croient plus aux grandes structures. Ils sont dans l’affectif, c’est : "jamais sans mon pote ". » Cooptation, proximité, émotion, réseau, clan, tribu sont les mots-clés de cette attitude.
Les processus de choix aussi changent. Ils ont compris que le salarié - et souvent le jeune diplômé – pouvait passer du candidat tant attendu à la variable d’ajustement. Ils deviennent donc méfiants. Ils ne veulent pas opérer de choix et désirent tout, tout de suite, maintenant. « Les mots-clés : le nomadisme, l’expérience et le zapping », note Patrick Lemattre.
Quatrième comportement : la philosophie de vie. Ils ne souhaitent pas tant réussir dans la vie que réussir leur vie. Le long terme n’existe pas. Une seul temps : le présent. Quatre mots : plaisir, jeu, sensibilité et fête.
Une génération motivée

Mais les jeunes diplômés sont-ils pour autant en désaccord, en décalage ou déçu par ce qu’ils trouvent en entreprises ? Au regard de la dernière enquête réalisée par la junior entreprise (JE) de l’ISC Paris, rien n’est moins sûr. Pas moins de 77 % des jeunes diplômés interrogés sont satisfaits de leur emploi actuel, 77 % sont prêts à recommander leur entreprise et 75 % estiment que la promesse employeur qui leur a été faite avant embauche a été tenue. Ce qui nourrit cette satisfaction ? L’autonomie et le niveau de responsabilité, les avantages proposés, l’intérêt du travail, répondent les auteurs de l’enquête.
Une génération qui se veut aussi motivée. Pour 27 % des sondés, leur motivation est en hausse. Et pour 30 % d’entre eux, elle est stable. Pas moins de 90 % d’entre eux se disent également impliqués. Tout irait-il alors pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Pas exactement. Dans leur enquête, les membres de la JE relèvent des points de vigilance. Ce qui motive le plus ces jeunes diplômés en poste, c’est le développement personnel. Et c’est aussi là que leur niveau de satisfaction diminue : 51 % sont satisfaits de leur évolution de carrière, 50 % sont du mode de management, 44 % des formations proposées, 36 % de leur gestion de carrière... « Pour fidéliser cette génération, les entreprises devront travailler sur la gestion de carrière, la formation, le management et les services », concluent les membres de la JE.
Prendre une longueur d’avance

Un point de vue que partage Patrick Lemattre. Il appuie : « Pour les attirer, les intégrer et les fidéliser, les entreprises doivent travailler sur l’apprentissage et la mobilité. Ils viennent pour acquérir une compétence. C’est leur passeport dans la durée. » Affective, cette génération attend aussi d’être accueillie dans l’entreprise. « Il faut réfléchir à la notion d’appartenance, revenir à la notion de tribu, note Patrick Lemattre. C’est aussi en travaillant sur l’affectif que vous pourrez introduire la notion de règles », soutient-il. Spirituelle, à la recherche de sens, cette génération se révèle particulièrement sensible « aux projets qui adopteront une vision collective et qui leur proposeront une responsabilité individuelle », poursuit le professeur à HEC.
En résumé, les entreprises qui prendront une longueur d’avance dans la guerre des talents seront celles qui sauront « faire stable avec du mobile, construire collectif avec de l’individuel ou encore faire partager un futur avec de l’instantanéité », reprend Patrick Lemattre.
Mais ce n’est pas tout. C’est génération veut également du fun. « On ne rit plus assez en entreprise, on ne sait plus fêter l’événement, la réussite, relève Patrick Lemattre. Fêter une réussite, ça peut se traduire simplement par une pizza partagée avec le supérieur et l’équipe. Le fun pourrait bien être la variable de différenciation dans le choix d’une entreprise. »
http://www.amge-jobs.com/wp-content/uploads/2010/06/logoFocusRH.jpg Brice Ancelin. Jak utrzymać i rozwijać relacje z instytucjami szkolnictwa wyższego (szkoły inżynierii i biznesu, uniwersytety...) Jak rekrutację młodych absolwentów? Co prowadzić polityki na całym praktyki podatkowe? Tak wiele pytań, które można znaleźć odpowiednie rozwiązania w postaci porady, raporty z dochodzeń, sprawa firmy... Program zawiera najnowsze gry biznesowe, polityki firmy w zakresie szkoleń, profesjonalizacja ŻYCIE. Więcej...
12 novembre 2011

L’innovation et les relations université-entreprise

http://www.auf.org/IMG/jpg_1-17.jpgUn colloque sur le thème de « l’innovation et les relations université-entreprise » s’est tenu ce mercredi 9 novembre à Bruxelles au Palais des Académies afin de marquer le cinquantième anniversaire de l’Agence universitaire de la Francophonie.
Ce fut l’occasion de rencontres fructueuses entre le monde de l’entreprise, des institutions publiques et de l’université, de débats stimulants et de propositions audacieuses. De nombreuses personnalités ont rehaussés l’évènement de leur présences tel que Monsieur Philippe CANTRAINE, Représentant du Secrétaire générale de la Francophonie Monsieur Abdou Diouf, Monsieur Philippe SUINEN, Administrateur délégué de Wallonie-Bruxelles International ainsi que plusieurs membres du corps diplomatique dont Son Excellence Monsieur de LORIMIER, ambassadeur du Canada.
Après la séance protocolaire, une conférence inaugurale a été prononcée par le Professeur Norbert ALTER au cours de laquelle l’apport des sciences humaines dans l’innovation a été souligné. Tout au long de la journée, trois table-ronde se sont succédées où ont pris part différents intervenants venant de Belgique, de Suisse, du Maroc et du Canada. Les participants ont pu entendre notamment Monsieur Jacques PELERIN, directeur général Country Wallonie de ArcelorMittal, Monsieur Mustapha BENNOUNA, Président honoraire de l’Université de Tanger/Tétouan ou encore Madame Véronique CABIAUX, Directrice de l’Agence de Stimulation Technologique.
Monsieur CERQUIGLINI, Recteur de l’Agence universitaire de la Francophonie, a clôturé la journée en soulignant la pertinence des actions de l’Agence en matière d’innovation et des relations université-entreprise. Cette journée s’est terminée autour d’un verre de l’amitié dans la prestigieuse Salle des marbres de l’Académie royale de Belgique.
http://www.auf.org/IMG/jpg_1-17.jpg Sympozjum na temat "innowacji i uczelni z przedsiębiorstwami" odbyła się w środę 09 listopada w Pałacu Akademii Brukseli z okazji pięćdziesiątej rocznicy Agence Universitaire de la Francophonie.
To była szansa udanego spotkania między światem biznesu, instytucji publicznych i University of stymulowanie debaty i propozycje odważne
. Więcej...
28 juillet 2011

4ème rencontre Universités et Entreprises, organisée par le MEDEF et la CPU

http://images.mperf.com/URFK/04H/FORMS/000TO8/bandeauform.jpgLa 4 ème rencontre Universités et Entreprises, organisée par le MEDEF et la CPU à l'occasion de l'université d'été du MEDEF, se tiendra le vendredi 2 septembre prochain de 14h00 à 16h30 sur le campus d'HEC à Jouy-en-Josas.
Le thème de l'édition 2011 : "L'entrepreneuriat : dynamique d'insertion et d'innovation pour l'université", retrouvez en ligne le programme "L'entrepreneuriat - Dynamique d'insertion et d'innovation pour l'université et la fiche d'inscription.
L’entrepreneuriat : dynamique d’insertion et d’innovation pour l’université, 4e rencontre Universités et Entreprises, 2 septembre 2011, Campus HEC - 1 rue de la Libération 78351 Jouy-en-Josas.

14h00-14h20 - Ouverture de la rencontre
Laurence Parisot, présidente du MEDEF
14h20- 14h45 - Témoignages
Entreprendre après un parcours universitaire
- Docteur et chef d’entreprise : une alchimie réussie
- A l’étranger l’université forme aussi des entrepreneurs
14h45-15h25 - Table-ronde
Diffuser l’esprit d’entreprendre et l’entrepreneuriat au sein des universités : mode d’emploi
- Les référentiels de formation à l’entrepreneuriat
- Les formations universitaires à l’entrepreneuriat : l’exemple des Instituts d’administration
des entreprises (IAE)
- Pôle entrepreneuriat étudiant
- Exemple allemand de formation universitaire à l’entrepreneuriat
- Présentation du Livre Blanc du MEDEF sur l’entrepreneuriat
15h25-15h35 - Débat avec la salle
15h35-16h05 - Table-ronde
De la recherche à l’entreprise : les bonnes pratiques de l’innovation partenariale
- Présentation de l’enquête CIFRE : Quand doctorat se conjugue avec entrepreneuriat
- Créalys : l’incubateur de l’Université Lyon I
- L’IUT, lieu de transfert de technologie et de valorisation de la recherche universitaire
16h05-16h15 - Débat avec la salle
16h15- 16h30 - Conclusion de la rencontre: Michel Pébereau, chef de file du MEDEF pour l’enseignement supérieur et Louis Vogel, président de la CPU
Voir aussi Université-entreprises: partenariat renforcé avec le Medef, 4e édition des Rencontres Universités Entreprises, Les entreprises peuvent-elles sauver l'enseignement supérieur ?

http://images.mperf.com/URFK/04H/FORMS/000TO8/bandeauform.jpg 4. Uniwersytety spotkania i przedsiębiorstw, organizowanych przez MEDEF i CPU w MEDEF Letni Uniwersytet odbędzie się w najbliższy piątek, 2 września od 14:00 do 16:30 na terenie kampusu HEC w Jouy-en -Josas.
Temat edycji 2011: "Przedsiębiorczość: dynamika integracji i innowacji dla uniwersytetu", znaleźć w Internecie program "Przedsiębiorczość - Dynamiczne wstawianie i innowacyjności na rzecz uczelni i formularza rejestracyjnego
. Więcej...
13 juillet 2011

Les entreprises peuvent-elles sauver l'enseignement supérieur ?

Pour l'Institut de l'entreprise, pas de doute, les sociétés françaises doivent s'engager dans la compétition opposant les universités mondiales. En vue d'un colloque qui se tiendra à la rentrée, le think tank a demandé au professeur Pierre-André Chiappori de faire un état des lieux dans un rapport qui vient d'être rendu public.
Le choix de l'auteur est hautement symbolique. Pierre-André Chiappori, professeur en économie formé à l'ENS, a effectué le début de sa carrière en France, au CNRS et à l'université Paris I notamment, avant de franchir l'Atlantique pour rejoindre la prestigieuse université américaine de Columbia. Pour son enquête, principalement tournée vers la recherche, celui-ci a interviewé chefs d'établissements et dirigeants d'entreprises, pour constater que les deux univers se connaissent mal et gagneraient chacun à faire des efforts.
La recherche française "perd pied"
Le constat est unanime : la recherche française manque cruellement de financements. Pierre-André Chiappori, que la carrière a amené à observer de l'intérieur les conditions de la recherche française, ne cache pas non plus ses inquiétudes : "j'ai vu pendant 20 ans la recherche française se dégrader et elle est actuellement en train de perdre pied", prévient-il. Les établissements et les pouvoirs publics ont conjointement ressenti le "choc de Shanghai", lors du premier classement mondial des établissements de recherche établi par l'université chinoise de JiaoTong. Depuis, chaque année, l'amer constat se renouvelle : le podium est uniquement occupé par des universités américaines et britanniques, la France restant à la traine. D'autres indicateurs viennent conforter le bilan du classement complète Pierre-André Chiappori : la recherche française est distanciée que ce soit pour son nombre de prix Nobels, de médaille Fields ou de publications par chercheurs. Enfin, si l'on observe la nationalité des "médaillés", on observe que les Etats-Unis se distinguent par leur capacité à attirer les plus brillants des chercheurs étrangers.
Pourtant, "le retard pris par la recherche française dans certains domaines a beau être décrit un peu partout, beaucoup de chefs d'entreprises peinent à percevoir sa gravité". Une des raisons de cette méconnaissance s'explique notamment par l'absence de confrontation avec la recherche des dirigeants d'entreprises durant leur formation, la majorité d'entre eux ayant suivit un cursus de grande école.
Le secret de la suprématie américaine
Qu'ont donc les établissements américains que les français n'ont pas ? Des financements, une organisation et un environnement culturel différents, répond Pierre-André Chiappori.
"Le budget moyen par étudiant aux Etats-Unis est un chiffre complètement inutile", explique l'auteur du rapport. Le chiffre à regarder est celui d'une poignée d'établissements américains, au nombre de 96 (dont 2/3 sont publics) sur les 4409 de l'ensemble du territoire, classés comme produisant un "très haut niveau de recherche" et qui se tiennent sur les sommets de la recherche mondiale. Cette petite élite dispose de moyens sans commune mesure avec les établissements français, mais aussi avec les autres établissements américains. Pour se donner une idée, il suffit d'observer les budgets des trois 1ères universités du classement de Shanghai en 2010 : Harvard (177 549 $ / étudiant), Berkeley (55 575 $ / étudiant) et Stanford (100 409 $ / étudiant). En comparaison, le budget par étudiant dans les universités françaises est d'environ 10 000 euros et 40 000 euros en moyenne dans les établissements américains. Le budget pharaonique des plus grandes universités de recherche américaines provient de financements variés pour les universités publiques comme privées : financements publics directs ou dans le cadre de contrats de recherche, frais de scolarité et financements privés issus de contrats de recherche avec des fondations privées ou de l'endowment. Ce dernier mode de financement provient des dons accumulés souvent durant de nombreuses années par les universités, dont les revenus au capital sont utilisés pour financer la recherche. Les revenus de l'endowment varient selon les établissements. Ils représentent 13 % du budget de Columbia mais 45 % de celui de Yale ou Princeton et 35 % de celui d'Harvard. La constitution de cet endowment, dont les fonds sont issus du seul mécénat, est rendue possible par une culture du don très présente aux Etats-Unis, observe Pierre-André Chiappori. Aux Etats-Unis, la philanthropie est en effet "un devoir moral indissociable du succès". Enfin un dernier élément de grande importance est que les dons privés, contrairement à la France, ne proviennent en majorité (90 %) pas tant des entreprises que des particuliers, qui témoignent par leur générosité de leur reconnaissance à l'établissement qui les a formés.
Quelle place pour les entreprises ?
Pourtant, si les entreprises françaises adoptaient une culture du don à l'américaine, cela ne suffirait pas à atteindre les budgets des grands établissements d'outre-Atlantique, prévient Pierre-André Chiappori. Dans son rapport, celui-ci estime que "sous l'hypothèse d'une mobilisation massive des entreprises, les montants qui pourraient être raisonnablement levés auprès des entreprises [ne seraient que] de l'ordre de quelques centaines de millions d'euros par an". Une somme très modeste en comparaison du budget total de l'enseignement supérieur français, dépassant 25 milliards d'euros. Pour le professeur, ces dons "saupoudrés" sur l'ensemble des établissements auraient un impact négligeable. "En revanche, concentrés sur une poignée d'établissements ils peuvent avoir un impact crucial, directement par les projets qu'ils permettront de financer, mais aussi indirectement par la concurrence qu'ils vont promouvoir". Car Pierre-André Chiappori, qui cite volontiers Milton Friedman, affirme avec conviction dans son rapport les vertus de la concurrence entre établissements, comme moyen d'émulation qui permettrait de relever le niveau de la recherche. Pour lui, l'investissement des entreprises françaises doit jouer un rôle qualitatif plutôt que quantitatif, en permettant de faire émerger en France, comme aux Etats-Unis, une poignée d'établissements de recherche de dimension mondiale.
Universités-entreprises : des efforts à partager
"La relation entre universités et secteur privé s'est souvent situé, dans le passé, à la limite du psychodrame", affirme Pierre-André Chiappori. S'il note des améliorations récentes, des efforts restent selon le professeur à entreprendre des deux côtés.
Professionnaliser le Fundraising
Le financement de la recherche par les entreprises françaises (hors relations contractuelles de type thèses CIFRE ou contrats de recherche) passe par le développement des actions de mécénat par les entreprises et la professionnalisation de la levée de fonds (fundraising) par les établissements.
Entreprises : s'intéresser à la recherche
Premier objectif : convaincre les dirigeants d'entreprises de financer les universités et la recherche. Selon Pierre-André Chiappori, seule une minorité d'entre eux acceptent le sujet comme légitime. Ce manque d'intérêt s'expliquerait par le passage quasi-systématique de ces dirigeants par des grandes écoles éloignés de la recherche, mais également par "la représentation sociale dominante selon laquelle les universités relèvent, nécessairement et par nature, de la sphère publique" et que "les dépenses publiques sont financées par l'impôt". Certains dirigeants d'entreprise qui "ont déjà le sentiment d'en payer beaucoup" seront donc tentés de répondre qu'ils ont "déjà donné". Une fois convaincues, les entreprises doivent procéder à certains aménagements organisationnels afin de rendre leur démarche efficace. "Qui doit se charger d'une demande émanant d'un établissement universitaire, et qui atterrit sur le bureau du P-DG : les ressources humaines, la R&D, la communication ?" Pour éviter qu'une demande ne se perde dans les circuits internes, le rapport propose, au moins pour les grandes entreprises, de nommer un correspondant recherche/ université. Le professeur défend encore davantage la création d'une fondation d'entreprise, une solution qu'il estime "plus coûteuse mais aussi plus riche de possibilités". Cette structure peut permettre a minima "de servir de hub pour les relations avec les établissements" ou de mener des activités de veille technologique.
Universités : être plus professionnelles
Face à des universités américaines qui mobilisent parfois 200 personnes pour une campagne de levée de fonds, dont le président de l'établissement et des professionnels aguerris, le fundraising dans les institutions françaises parait plus que modeste. Face aux moyens humains et financiers que nécessite une stratégie de levée de fonds "trop d'établissements rechignent à [investir] dans des proportions souhaitables", note le rapporteur. Les dirigeants d'entreprises rencontrés par Pierre-André Chiappori "insistent invariablement sur le manque de professionnalisme de leurs interlocuteurs". Ces critiques concernent la faiblesse ou le manque de structures (certes amélioré par la création de fondations universitaires), des équipes réduites et souvent bénévoles et l'absence d'implication des principaux dirigeants d'université, à commencer par le président. "Du coup, même quand l'initiative vient de l'entreprise, elle rencontre souvent une réponse molle, voire inexistante", assène le rapport.
Le problème de la marchandisation de la recherche
"Toute contribution financière à un établissement d'enseignement supérieur soulève inévitablement des inquiétudes relatives à une éventuelle 'marchandisation du savoir'", admet Pierre André Chiappori, qui juge nécessaire de concilier les impératifs d'accountability et d'indépendance scientifique. "Un donateur peut légitimement demander que des comptes lui soient rendus sur l'utilisation des dons versés, en revanche, que les décisions de nature purement scientifique restent du ressort exclusif des savant eux-mêmes est un impératif sur lequel il est impossible de transiger", défend-t-il.
Entreprises : penser en termes de RSE 
Les entreprises, sans entraver l'indépendance scientifique des établissements d'enseignement supérieur, peuvent choisir de faire un don à la recherche en fonction d'un "intérêt bien compris" en termes d'embauches, de liens et d'interactions avec des institutions où la recherche est performante et d'image. Néanmoins Pierre-André Chiappori, défend un engagement plus avancé, pensé en termes de responsabilité sociale de l'entreprise (RSE). "Dans cette perspective, défendue notamment par Henri de Castries, P-DG d'Axa, maintenir la France aux premiers rangs internationaux en matière de recherche devrait constituer une priorité nationale, une grande cause pour laquelle, en outre, les entreprises ont une vraie légitimité, spécialement dans leur domaine de compétence", explique le professeur. Cette seconde motivation, dictée par des intérêts moins directs permettrait d'éviter le risque que les dons des entreprises aient tendance à être dirigés vers la recherche appliquée au détriment de la recherche fondamentale et vers certaines disciplines (sciences dures, économie, droit) préférées à d'autres.
Universités : adopter une gouvernance efficace
"Lorsqu'elle envisage une contribution financière, l'entreprise appliquera la même logique de 'due diligence' que pour tout investissement ; elle prendra en compte le bilan stratégique, les risques, la capacité de l'établissement à gérer les fonds et les utiliser de façon optimale, à rendre compte de leur utilisation", décrit Pierre-André Chiappori, selon qui "le système de gouvernance des universités stricto sensu est rarement compatible avec ces exigences". Le professeur, qui défend une réforme de la gouvernance des universités françaises sur le modèle des universités américaines (séparation d'une direction assurant les responsabilités stratégiques et académiques et d'une direction supervisant les questions scientifiques), voit dans les fondations universitaires un moyen pour dans un premier temps assurer transparence et efficacité. Ceci pourrait en outre selon lui rendre possible et acceptable par les donateurs privés une redistribution d'une partie des financements vers des disciplines et des recherches moins bien financées.
Penser sur le long terme
"Pour acquérir une compétitivité internationale, les meilleurs établissements ne peuvent se contenter de financements courts", explique Pierre-André Chiappori. La recherche, en particulier fondamentale, s'effectuant sur le temps long, celui-ci juge indispensable que les établissements disposent en propre d'un capital (endowment) dont la constitution demande un changement des modes de financement.
Entreprises : aller au-delà des chaires
Les actions de mécénat des entreprises françaises dans l'enseignement français passent aujourd'hui en grande partie par la création de chaires. Ces chaires "à la française" qui engagent les entreprises sur une durée courte, de trois à cinq ans, ont connu un véritable succès. Pour Pierre-André Chiappori, cela s'explique par leur conformité au cahier des charges nécessaire à l'investissement de l'entreprise : "une description précise du projet à financer, une idée claire de la logique scientifique dans lequel il s'inscrit et une justification ex post de l'utilisation des fonds". Ces chaires permettent ainsi à l'issu du contrat à l'entreprise de faire un point sur les résultats et de décider d'un éventuel réengagement.
Or, ce type d'engagements contractuels courts ne permet pas aux universités de s'engager sur des initiatives à l'horizon lointain, afin de rester compétitives au niveau international. Par exemple, les centres de recherche français peinent à attirer des chercheurs permanents du plus haut niveau faute de salaires compétitifs. Les ressources complémentaires, notamment privées, jouent un rôle crucial pour offrir un complément de salaire à ces chercheurs, explique le professeur de Columbia. "Mais au niveau professoral, les chercheurs sont en général recrutés sur contrats 'tenured', c'est-à-dire emploi à vie ; il est donc nécessaire, pour une institution française de s'engager à long terme sur ces compléments de salaire, et une chaire de trois ans potentiellement renouvelable n'est tout simplement pas une ressource adaptée", estime-t-il.
Universités : se constituer un capital
La construction par les universités d'un capital propre est une entreprise de longue haleine, prévient Pierre André Chiappori : "Harvard a mis des décennies, sinon des siècles, à accumuler ses quelques trente milliards de dollars, et Princeton ses deux millions d'endowment par étudiant. En France, même un endowment comme celui de TSE (Toulouse School of Economics), de l'ordre d'une soixantaine de millions, apporte, au taux de 5 % généralement retenus, environ trois millions par an au budget de l'institution, soit un montant qui, bien que non négligeable, reste modeste à l'échelle mondiale". Pour les universités, la construction d'un capital passe par la mise en place de campagnes de fundraising, néanmoins la réceptivité des entreprises nécessite une relation de confiance bien établie et une gouvernance irréprochable, prévient Pierre-André Chiappori. Celui-ci propose une "approche plus graduelle", en prévoyant par exemple que lors de la création de chaires l'accord initial mentionne qu'une part du financement aille à l'endowment. Une autre ressource, celle des anciens élèves, reste selon lui insuffisamment exploitée. "La plupart des universités ne disposent même pas d'une liste à jour de leurs anciens étudiants, avec lesquels elles ne maintiennent quasiment aucun contact", observe Pierre-André Chiappori, qui note que si certains établissements ont commencé récemment à s'inscrire dans cette démarche "progresser sur ce front nécessitera des établissements des efforts bien supérieurs à ceux actuellement engagés".
For the Institute of the company, no doubt, French companies must engage in the competition between the universities in the world. For a symposium to be held in September, the think tank asked Professor Pierre-André Chiappori to make an inventory in a report just released.
The choice of the author is highly symbolic. Pierre-Andre Chiappori, an economics professor trained in the ENS, made the start of his career in France, the CNRS and University Paris I in particular, before crossing the Atlantic to join the prestigious American University of Columbia. For its investigation, mainly directed towards research, it interviewed principals and business leaders to see that the two worlds are not familiar with and would benefit everyone to make efforts
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28 juin 2011

Succès sur le terrain des relations entreprises et enseignement supérieur

FocusRHPar Brice Ancelin. Pour sa troisième édition – qui s’est déroulée le 28 mai dernier au stade Charléty à Paris -, le Challenge du monde des grandes écoles et universités dresse un bilan très positif et s’ancre un peu plus encore dans l’univers des relations entreprises et enseignement supérieur.
6 000 participants, 300 établissements inscrits pour 74 universités sélectionnées, 50 bus venus de toute la France et d’Europe, 1 600 performances enregistrées sur une journée, 15 fanfares… « C’est vraiment l’année de la maturité pour le Challenge du monde des grandes écoles et universités, commente Christophe Lasserre, rédacteur en chef du journal des grandes écoles, partenaire de l’événement. On entre dans le vif du sujet. » Pour Virgile Caillet, directeur général adjoint de la Fédération française d’athlétisme, « c’est l’édition du toujours plus : plus de bruit, d’ambiance, d’étudiants et de résultats ».

30 mai 2011

Rapprochement MEDEF-Universités, quelques repères

ecoles-entreprises : formation professionnelle et partenariats écoles entreprisesL’Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) va signer un partenariat avec le MEDEF Champagne-Ardenne sur l’emploi des jeunes. Dès la rentrée, un projet de Parrainage sera mis en place. Il permettra "à un étudiant universitaire volontaire de dernière année, ou à un jeune diplômé, d’échanger de façon informelle avec un chef d’entreprise sur les questions qu’il se pose et les difficultés qu’il rencontre au sujet de son projet professionnel et de sa recherche de stage ou d’emploi".
L’accord vise à "intensifier les relations entre le monde universitaire et le monde économique afin de développer des coopérations en faveur de l’emploi des jeunes, des parcours professionnels, de la recherche et de l’innovation". Voir aussi: Le MEDEF signe une convention avec les universités, La région PACA prépare son CPRDF - Ecoles-entreprises.
http://www.fce-marseille.org/datas/photos/56-upe13.jpgLes Universités d'Aix-Marseille ont été pionnières dès 2007
Universités-Entreprises: pour la 1ere fois en France signature d'une convention de partenariat

9 organisations représentant les entreprises dont l'UPE 13 et les 3 universités d'Aix-Marseille ont signé une convention de partenariat et s'engagent par cette signature à faciliter le passage des étudiants du monde de la formation à celui de l'économie et de l'emploi. Des actions concrètes sont lancées telles que : - faire bénéficier le milieu industriel des savoirs de l'université et de sa recherche - renforcer les liens entre les chercheurs et les entreprises - contribuer au rayonnement d'Aix-Marseille grâce à une collaboration pérenne et constante des acteurs de la formation, de la recherche et de l'entreprise.
Cela est dans la suite de la création dès 1993 d'un CFA, le CFA Epure Méditerranée, qui a pour vocation de développer et gérer l’apprentissage des six universités de la Région PACA. FORMASUP est l’organisme gestionnaire du CFA Epure Méditerranée. En 1993, l'Union Patronale Régionale des branches Professionnelles et les 6 Universités d'Aix-Marseille, Avignon, Nice et Toulon, se sont regroupées au sein d'une association paritaire à but non lucratif (loi 1901) l'association FORMASUP. Voir l'article du blog CFA Epure Méditerranée.
Voici quelques autres points de repères publiés sur le blog: MEDEF,Signature d’une convention avec les Universités,
Université-entreprises : partenariat renforcé avec le Medef, Guide des compétences: les licences, Les présidents d'université réclament une refonte de la licence, Labellisation des initiatives universités/entreprises en SHS, Entreprises cherchent littéraires, Les entreprises commencent à s'intéresser aux étudiants en lettres, Le bureau 2009-2010 de la CPU à l'heure du bilan.
http://www.fce-marseille.org/datas/photos/56-upe13.jpg The Universities of Aix-Marseille were pioneers in 2007
University-Enterprise: for the first time in France signed a partnership agreement
9 organizations representing companies including PSUs 13 and the three universities of Aix-Marseille have signed a partnership agreement and commitment by signing to facilitate the movement of students from the world of training and the economy employment. Concrete actions are undertaken such as: - to benefit the industrial knowledge of the university and its research - strengthening links between researchers and businesses - to contribute to the radiation of Aix-Marseille through collaboration perennial and constant those involved in training, research and enterprise.
This is the result of the creation by 1993 of a CFA, the CFA Epure Mediterranean, which aims to develop and manage the learning of six universities in the PACA region. FORMASUP is the managing body of the CFA Epure Mediterranean. In 1993, the Regional Employers' Union of Professional branches and 6 Universities of Aix-Marseille, Avignon, Nice and Toulon, were grouped within a joint association to non-profit (1901) Association FORMASUP. See the blog entry CFA Epure Mediterranean.
Here are some other benchmarks published on the blog: MEDEF signed an agreement with the Universities, University-Enterprise stronger partnership with MEDEF, Gs: Licenses, University presidents call for an overhaul of the license, Labelling initiatives, universities and companies in the Humanities, Businesses seeking literary, Companies are starting to address students in the humanities, 2009-2010 Office of the CPU time for assessment. More...

23 avril 2011

Université-entreprises : partenariat renforcé avec le Medef

http://www.leprogres.fr/fr/images/filiale/logo.pngLundi, à la maison de l’université de Saint-Étienne, a été signée une nouvelle convention de partenariat entre les deux institutions ligériennes.
Améliorer les débouchés professionnels des étudiants stéphanois, favoriser les liens entre le monde de l’entreprise et de la recherche. C’est le double objectif de la convention qui lie l’université Jean-Monnet de Saint-Etienne au Medef Loire, l’organisation patronale des dirigeants d’entreprises.
Une nouvelle convention de partenariat vient d’être signée pour la période 2011-2015. Elle prévoit notamment la construction d’une formation complémentaire de type alternance, des ateliers de recrutement, des rencontres thématiques entre étudiants et professionnels.
La première remonte à 2008 et a permis de créer une plateforme d’insertion professionnelle. En 2010, un guide de compétences des licences a été édité.
Pour Khaled Bouabdallah, le président de l’université Jean-Monnet, cette convention est un acte important, un lien économique et territorial avec les entreprises : « Nous souhaitons proposer les meilleures formations possibles à nos étudiants pour leur permettre de mieux s’insérer dans la vie professionnelle ».
Éric Le Jaouen, président du Medef Loire, juge le bilan de la première convention « au-delà de tout ce qu’on espérait. Nous voulons désormais faire de ce partenariat une innovation. Le Medef, par sa responsabilité sociétale, souhaite soutenir et développer les actions de l’université ».
Lors de sa venue à Saint-Étienne le 1 er avril, Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, avait souligné le caractère innovant de l’université stéphanoise.
http://www.leprogres.fr/fr/images/filiale/logo.pngIt-Tnejn fil-dar tal-Università ta 'St Etienne, ikun iffirma ftehim ta' sħubija ġdida bejn iż-żewġ istituzzjonijiet Loire. Ittejjeb l-opportunitajiet tax-xogħol għall-istudenti Etienne, iħeġġu rabtiet bejn id-dinja tan-negozju u r-riċerka. Huwa l-għan doppju tal-ftehim bejn l-Università Jean Monnet Saint-Etienne Loire MEDEF, l-organizzazzjoni ta 'min iħaddem tal-mexxejja tan-negozju. Ftehim ta 'sħubija ġdida ġie ffirmat għal-perjodu 2011-2015. Dan jinkludi l-kostruzzjoni ta 'alternazzjoni tip addizzjonali ta' taħriġ, workshops reklutaġġ, laqgħat tematiċi bejn studenti u professjonisti. More...
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