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Formation Continue du Supérieur
13 avril 2011

6è édition des Rendez-vous de l'Emploi

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/orientation-insertion_professionnelle/52/1/rdv-emploi-6e-edition_173521.16.jpgA l'initiative du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, les Rendez-vous de l'emploi se déroulent les 25 et 26 mai 2011 dans le cadre des Rencontres universités-entreprises. Au programme de ces Rendez-vous : des entretiens planifiés entre recruteurs et demandeurs d'emploi, des ateliers pratiques et un point d'information générale du public.
Toutes les thématiques abordées dans le cadre des Rencontres universités-entreprises (plan campus, PRES, attractivité internationale, rapprochement universités-entreprises...) relèvent du champ d'action du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, partenaire officiel de l'édition 2011. Evénement phare des RUE, les Rendez-vous de l'Emploi rassemblent tous les acteurs publics et privés de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation. Organisés par le ministère avec le concours de L'Intelli'agence*, ces rendez-vous traduisent une volonté de valoriser l'emploi des Master 2 et des docteurs  et, plus largement, l'insertion professionnelle des jeunes diplômés des universités.
Rencontres entre candidats à l'embauche et recruteurs

Les Rendez-vous de l'emploi sont des points de rencontre entre des candidats à l'embauche, essentiellement de niveau bac+5 à bac+8, et des entreprises. Objectif : faire connaître le marché de l'emploi des jeunes diplômés des universités en France et favoriser les contacts candidats-recruteurs. Le bénéfice de ces entretiens est double : les candidats optimisent leur recherche d'emploi et les entreprises peuvent rencontrer leurs futurs collaborateurs parmi un vivier de jeunes en possession d'un diplôme, comme le Master 2, par exemple, de plus en plus convoité par les étudiants et par les recruteurs, passeport pour une meilleure insertion sur le marché du travail.
Les Rendez-vous de l'emploi s'adressent aux jeunes en recherche d'emploi, dans tous les secteurs de l'économie et dont les diplômes universitaires, tels que le Master 2 et le Doctorat essentiellement, aujourd'hui plus professionnalisant, leur permettent de plus en plus souvent d'occuper des postes de haut niveau au sein des entreprises.
Des rendez-vous de pré-recrutement sont planifiés à l'avance avec les entreprises qui participent à l'opération (sur inscription en ligne). Les candidats déposent leur CV en remplissant un formulaire sur le site et les recruteurs font connaître les profils recherchés, dans la plus grande confidentialité. L'espace des Rendez-vous de l'emploi  se situe au niveau Brillat-Savarin et se compose de 3 pôles distincts : des entretiens planifiés entre recruteurs et demandeurs d'emploi, des ateliers pratiques et un point d'information générale du public. Il accueillera recruteurs et candidats les 25 et 26 mai et cette année, la seconde journée du salon sera entièrement dédiée aux Master 2 et les rencontres planifiées auront lieu également au niveau Pierre Curie, sur les stands des entreprises exposantes.
Des ateliers de 45 minutes dédiés à l'embauche et aux carrières
Organisés par l'Intelli'agence* avec des intervenants de tous horizons – universitaires, chercheurs, doctorants, recruteurs –, ces ateliers pratiques et conviviaux traitent de l'embauche et des carrières dans le domaine de la recherche et de l'innovation. A noter, parmi les thèmes abordés, le CV en français et en anglais, l'entretien, le projet professionnel, le recrutement des jeunes diplômés dans les secteurs publics et privés, les enseignants-chercheurs, l'emploi et les perspectives des jeunes docteurs ou encore la place des diplômés en sciences humaines dans les entreprises... Ces ateliers se déroulent tout au long du salon selon un programme préétabli et communiqué en ligne, en amont de l'opération.
Visiter le site rue2011.com. Voir les articles du blog 4e édition des Rencontres Universités Entreprises et 3e Rencontres Universités-Entreprises.

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/orientation-insertion_professionnelle/52/1/rdv-emploi-6e-edition_173521.16.jpg At the initiative of the Ministry of Higher Education and Research, the appointment of employment take place on 25 and 26 May 2011 as part of university-business meetings. The program of these Appointments: Scheduled interviews between recruiters and job seekers, practical workshops and an information point for general public.
All the themes addressed in the context of university-industry meetings (campus plan, PRES, international appeal, closer university-industry ...) are within the scope of the Ministry of Higher Education and Research, Official Partner the 2011 edition.
Event STREET flagship, the appointment of Employment together all public and private higher education, research and innovation. Organised by the Ministry with support from The Intelli'agence * These appointments reflect a desire to promote the use of Master 2 and doctors and, more broadly, the employability of young graduates from universities. More...
19 mars 2011

L'Université: un atout pour nos entreprises

http://www.olsix.com/local/cache-vignettes/L150xH148/arton173-a0f3d.jpgLa Fondation UNICE s'engage aux côtés des entreprises pour un territoire d'excellence
Le mercredi 23 mars à 18 heures à 18 heures. Dans l’auditorium de la BPCA - 457, promenade des Anglais - Arénas - NICE.
Dans le cadre des conférences de l’UPE 06, Yvon Grosso, président de l’UPE 06 et les membres du bureau ont l’honneur de vous convier à la conférence-débat « L’université : un atout pour nos entreprises »
Intervenants
Tahar Saiah, Vice Président Délégué aux Fondations et aux Partenariats Public-Privé
Thierry Benmussa, Responsable des Affaires Stratégiques au Cabinet du Président de l’UNS
Michel Gschwind, Gérant d’ARECO
Jean-Luc Brial, Directeur délégué Côte d’Azur/Var de Vinci Construction France
Animateur Bruno Valentin, Vice-président de l’UPE06
Merci de confirmer votre présence à : contact@upe06.com.

http://www.olsix.com/local/cache-vignettes/L150xH148/arton173-a0f3d.jpg UNICE Fondazione unisce le forze con le imprese per un'area di eccellenza
Mercoledì 23 marzo alle 18:00-06:00. Nell'auditorium del BPCA - 457 Promenade des Anglais - Arenas - NICE.
Nelle conferenze del UPE 06, Yvon Grosso, presidente del PSU 06 e gli ufficiali hanno l'onore di invitarvi alla tavola rotonda "L'Università: una risorsa per il nostro business"
Altoparlanti
Saiah Tahar, Vice Presidente-Delegato alle Fondazioni e pubblico-privato. Maggiori informazioni...

17 mars 2011

4e édition des Rencontres Universités Entreprises

Après le succès de l’édition 2010, celle des 25 et 26 mai 2011 se tiendra désormais sur deux niveaux au CNIT Paris-La Défense, signe des attentes fortes de tous ceux qui sont attachés au développement de la relation entre l’enseignement supérieur et la recherche et les entreprises.

Former, insérer, créer, innover seront les maîtres-mots des RUE 2011.
Former les étudiants et les insérer dans la vie économique, c’est pour les universités mieux percevoir les attentes des entreprises. Et pour ces dernières, c’est mieux comprendre la mutation considérable en cours dans les universités. C’est aussi et surtout découvrir les atouts des étudiants formés dans les universités françaises, en particulier les masters 2 et les docteurs.
C’est la raison pour laquelle, une journée sera consacrée au recrutement de ces derniers, grâce à des rendez-vous personnalisés entre étudiants et entreprises.
Créer et innover, c’est le défi partagé auquel sont confrontés à la fois universités et entreprises. Dans une compétition qui est mondiale, la créativité et l’innovation sont des nécessités absolues qui s’incarnent dans des territoires. Autour des premières conséquences des « investissements d’avenir », universités, entreprises et régions pourront consolider leurs stratégies partagées. Telle est l’ambition de cette édition 2011 que nous vous invitons à découvrir. Jean-Michel Catin, Directeur de la rédaction.
Miután a sikere a 2010-es kiadás , hogy a 25 és május 26-2011 mostantól sor két szintje CNIT párizsi La Defense, a jele magas elvárásainak minden elkötelezett kapcsolat a felsőoktatás és a kutatási és üzleti.
Formában, betét, alkoss, újíts lesz jelszavai ST 2011.

Vonat diákok és írd be őket a gazdasági életben, az egyetemek jobb azonosítása az üzleti vállalkozások igényeinek
. Még több...
31 janvier 2011

Une présence plus affirmée des entreprises dans la formation continue universitaire entre 2003 et 2008

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau04.jpgPar Joëlle Grille, DEPP A1. Depuis 2003, l’évolution de la formation professionnelle se traduit, dans les universités, par un accroissement de la place des entreprises qui se manifeste davantage par leur contribution financière que par le nombre de leurs salariés formés.
En effet, la moitié des fonds qui abondent la formation continue universitaire provient des entreprises (96 millions d’euros) alors que leurs salariés ne représentent que le tiers des stagiaires (119000). Parmi ces stagiaires, 81% s’inscrivent au titre du plan de formation de leur entreprise, 11% au titre d’un congé individuel de formation et 8% au titre d’un contrat de professionnalisation.
La loi du 4 mai 2004, relative à la formation professionnelle et au dialogue social, a donné un coup d’accélérateur aux contrats en alternance, principalement dans les instituts universitaires de technologie. L’approche régionale montre qu’en dépit de stratégies universitaires très différentes, la place des entreprises s’affirme à peu près partout au sein de la formation professionnelle universitaire. Note d'Information n° 11.02 janvier 2011 (format pdf). Note d'Information n° 11.02 janvier 2011 (format xls).
En 2008, près de la moitié des 215 millions d’euros qui abondent la formation continue universitaire provient des entreprises et des organismes paritaires collecteurs agréés( OPCA). Un quart provient des fonds publics, principalement des conseils régionaux, et le dernier quart émane des particuliers.
Les entreprises, de plus en plus présentes dans le financement

Entre 2003 et 2008, la part des entreprises dans le financement de la formation continue est passée de 38 à 46%. Dans le même temps, celle des fonds publics a suivi une tendance inverse, elle est passée de 32% à 25%. En effet, d'un relatif équilibre en 2003 avec seulement 6 points d’écart, le fossé s’est creusé entre l’apport financier des entreprises et celui des pouvoirs publics pour atteintre 21 points en 2008.
En 2003, les fonds des entreprises destinés à la formation continue universitaire s’élevaient à 44 millions d’euros, contre 28 millions d’euros en provenance des OPCA, organismes paritaires collectant les fonds de la formation continue principalement pour les petites et moyennes entreprises. En 2008, on est passé respectivement à 61 millions d’euros et 35 millions d’euros.Ainsi, si l’onassisteàuneaugmentation globale des ressources en provenance des entreprises et des organismes paritaires collecteurs agréés, la part des formations réalisées au titre du plan de formation a crû régulièrement dans les entreprises alors que celle financée par les OPCA a diminué assez fortement entre 2003 (9,8 millions d’euros) et 2006 (6,7 millions d’euros), pour remonter ensuite régulièrement jusqu’à 9,4 millions d’euros en 2008, sans atteindre le niveau de 2003. La moitié des fonds des OPCA qui abondent la formation continue à l’université finance des congés individuels de formation. Un quart est consacré aux formations au titre du plan de l’entreprise et un quart aux contrats de professionnalisation.
Pendant cette période, la part des contrats de professionnalisation dans l'ensemble des fonds a doublé : elle est passée de 18 à 35%. En 2008, les congés individuels de formation représentent 17 millions d’euros dans le chiffre d’affaires des universités alors qu'ils n'étaient que de 14 millions d’euros en 2003.
Les fonds publics ne constituent plus que le quart des recettes de la formation continue des universités

Dans son ensemble, la part des fonds publics a fondu entre 2003 et 2008, pour ne représenter qu’un quart des fonds de la formation continue, contre un tiers en 2003. La part des fonds d’État destinés à des publics spécifiques a décru de moitié entre 2003 et 2008, passant de 9,4 millions d’euros à 4,6. En revanche, les pouvoirs publics consacrent toujours la même part à la formation de leurs agents, soit 5,7 millions d’euros. Les financements des conseils régionaux, qui gèrent, avec la mise en oeuvre de la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, des crédits de l’État dédiés aux actions mises en oeuvre par l’AFPA (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes), représentent plus de la moitié des fonds publics universitaires consacrés à financer des stages. Cette part, qui a d'abord progressé de 2003 à 2006, baisse en valeur absolue depuis 2007 (de 33 à 30 millions d’euros). Elle a toutefois progressé de 5 points en valeur relative (de 52% des fonds publics en 2003 à 57% en 2008). La part des fonds européens a diminué de plus de la moitié sur la même période (de 1,4 million d’euros à 0,6 million d’euros).
La part des fonds apportés par les individuels payants et par les stagiaires est assez stable, elle représente 20% de l’ensemble. Cependant, si la part des particuliers passe de 18 à 21 % entre 2003 et 2006, celle des stagiaires décroît de moitié et passe de 5 à 2,6%. Cette catégorie de fonds provient pour une part non établie avec précision d’inscriptions de salariés qui ne sont pas pris en charge par leur entreprise ou de demandeurs d’emploi dont la formation n’est pas prise en charge en totalité. Les autres ressources de la formation continue universitaire (ventes de brevets, prestations spécifiques ou placements) représentent 7% des fonds totaux et ne varient guère depuis 2003.
Les trois types principaux de publics salariés

Les salariés qui choisissent de suivre une formation au titre de la formation continue à l’université (ou dans une école ou un institut rattaché à l’université) peuvent le faire sous trois statuts différents : soit au titre du plan de formation de l’entreprise (à l’initiative de l’employeur), soit au titre d’un contrat en alternance, appelé contrat de professionnalisation depuis la loi du 4 mai 2004, et qui alterne périodes en entreprise et périodes de formation en université ou en IUT, ou bien encore au titre d’un congé individuel de formation signé auprès d’un Fongecif. Une partie non quantifiée des stagiaires classés dans la catégorie « individuels payants » sont également des salariés mais ils sont inscrits à titre personnel et non au titre de leur entreprise. En revanche, les personnes qui suivent une formation à l’université dans le cadre d’un contrat d’apprentissage ne sont pas incluses dans le cadre de cette étude car l’apprentissage est une modalité de la formation initiale. En 2008, 81 % des stagiaires salariés s’inscrivent à l’université au titre du plan de formation de leur entreprise, 11 % au titre d’un congé individuel de formation et 8 % pour une formation en alternance dans le cadre d’un contrat de professionnalisation.
Si, tous types de publics confondus, le nombre des stagiaires de la formation continue à l’université s’est accru de 13% entre 2003 et 2008, pour un volume d’heures-stagiaires qui n’augmentait que de 4%, c’est l’effet inverse qui se produit pour les publics salariés dont le nombre augmente seulement de 6% sur la même période alors que le volume des heures stagiaires gagne 14%. En effet, la durée moyenne de formation des stages de ces publics s’est allongée en gagnant 10 heures (de 135 à 145 heures) alors que celle de l’ensemble des inscrits perdait 11 heures (de 130 à 119 heures). Il faut noter que la part relative des salariés dans l’ensemble des stagiaires de la formation continue à l’université s’est amenuisée au fil des ans depuis 2003, en perdant 2 points (32,3% en 2008 contre 34,5% en 2003). Toutefois, depuis 2006, le nombre des inscrits salariés augmente (+ 4%) après deux périodes de baisse en 2004 (- 9%) et 2005 (- 2%). En effet, le nombre des stagiaires salariés a augmenté de 4% en 2006 et de 10% en 2007 ; en 2008, cette tendance se prolonge (+ 2%) et s’accompagne de l’allongement des durées moyennes de stage qui accroît le volume des heures-stagiaires (+ 16%).
Croissance rapide des contrats de professionnalisation, en particulier dans les IUT

La loi du 4 mai 2004 relative à la formation professionnelle et au dialogue social a réformé la formation professionnelle continue et simplifié la formation en alternance en créant un contrat unique : le contrat de professionnalisation ayant pour objectif de favoriser l’insertion des moins de 26 ans ou la réinsertion professionnelle des adultes. De 2003 à 2005, la part des inscrits en alternance ne dépassait pas 4% des stagiaires salariés à l’université mais déjà, dès 2006, on observe une augmentation légère du nombre des stagiaires ainsi que du nombre des heures-stagiaires. Les deux années suivantes, la tendance se confirme et la part des stagiaires salariés sous contrats de professionnalisation augmente de 2 points par an pour atteindre 8% en 2008. Cette même année, la part des heuresstagiaires dispensées dans le cadre des formations en alternance a atteint 30% du volume total des heures-stagiaires des inscrits salariés alors qu’elle n’était que de 14% en 2003. En effet, la durée moyenne de ces stages a progressé depuis 2003 en passant de 437 heures à 519 heures en 2008. En 2008, certaines universités (ainsi que leurs IUT rattachés) privilégient particulièrement l’ouverture aux formations en alternance : il s’agit des universités de Champagne-Ardenne (47% des stagiaires salariés), de Bourgogne (38%), de Picardie (25%), de La Réunion (22 %), de Haute-Normandie (20%) et du Limousin (19%).
Ce constat est particulièrement vrai dans les instituts universitaires de technologie (IUT), dont l’activité globale représente en 2008, 6% des stagiaires et 20% des heures-stagiaires des universités. Toutefois, quand on ne considère que l’ensemble des stagiaires salariés, la part d’activité des IUT s’élève à 11% des stagiaires salariés (et à 32%des heures-stagiaires) des universités. Enfin, parmi ces stagiaires salariés, la part des stagiaires titulaires d’un contrat de professionnalisation représente 58% des stagiaires et 62% des heures-stagiaires de l’ensemble des contrats de professionnalisation des universités. Pour la première fois en 2008, le nombre des stagiaires inscrits au titre de l’alternance (5620) est supérieur au nombre de stagiaires inscrits au titre du plan de formation de leur entreprise (5341), dans les IUT.
Le développement de la formation continue universitaire passe par différentes stratégies régionales

Depuis 2006, toutes les régions voient augmenter, dans les recettes de la formation continue universitaire, la part des fonds en provenance des entreprises, et même parfois doubler comme dans les Pays de la Loire et en Poitou-Charentes (20 à 44%).
En Alsace, la part qui était de 69% en 2003 atteint 71% en 2008, mais elle n’est que de 25% en Lorraine et de 22% en Corse. Toutefois, les stratégies des universités en matière de formation continue diffèrent d’une région à l’autre. Dans onze régions, les universités accueillent plus de 10% de chômeurs en formation continue et ce n’est pas toujours avec une aide proportionnelle de la région (exemple du Limousin).
En Languedoc-Roussillon et dans le Nord-Pas-de-Calais, la part des stagiaires demandeurs d’emplois accueillis à l’université est, respectivement, de 32 et 40%, supérieure à la part des fonds en provenance de la région. À l’opposé, les universités de certaines régions ne semblent pas faire un effort particulier envers ces publics, malgré des fonds régionaux relativement importants comme en Basse-Normandie (4% de chômeurs parmi les stagiaires) ou en Poitou-Charentes (3%).
Entre 2003 et 2008, la proportion de publics salariés en formation dans les universités s’est accrue dans toutes les régions, sans estomper la persistance de fortes disparités régionales. Depuis 2003, trois groupes de régions se distinguent avec assez peu de variations. Le premier groupe, qui réunit cinq ou six régions où prédomine l’est de la France avec l’Alsace, la Lorraine et la Franche-Comté, compte plus de 50% de stagiaires salariés. Cependant, depuis 2003, les régions du Centre et de l’Aquitaine, qui figurent dans ce groupe, ont vu baisser le nombre de leurs stagiaires salariés.
Le deuxième groupe, plus important, comprend onze régions dont plusieurs grandes agglomérations, à l’exception de la région parisienne. Il se caractérise par une part de stagiaires salariés d’environ 40 à 30% mais, également, pour deux régions, par une proportion élevée de chômeurs inscrits à l’université de 40 à 32% (Nord-Pas-de-Calais et Languedoc-Roussillon). Le dernier groupe réunit huit régions qui comptent moins de 25% de stagiaires salariés. Ces huit régions se distinguent par une proportion d’individuels payants et d’inscrits aux conférences particulièrement importante. Les trois régions où le pourcentage de stagiaires demandeurs d’emploi dépassait le pourcentage de salariés en 2003 (Nord-Pas-de-Calais, Languedoc-Roussillon et Champagne-Ardenne) restent les mêmes en 2008, mais elles ont toutes les trois accru leur part de publics salariés.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau04.jpg By Joelle Grid DEPP A1. Since 2003, the development of vocational training is reflected in the universities, an increase of up companies is more evident by their financial contribution by the number of employees trained.
Indeed, half of the funds that abound university continuing education comes from companies (96 million) while their employees make up only a third of trainees (119000). Of these trainees, 81% fall under the training plan for their business, 11% for an individual training leave and 8% under a professional contract.

The law of 4 May 2004 on vocational training and social dialogue, gave a boost to study contracts, mainly in the polytechnics.
The regional approach shows that despite very different university strategies, instead of asserting business almost everywhere in the university training. Information Notice No. 11/02 January 2011. More...
31 octobre 2010

Quand universités et écoles se rapprochent des entreprises

Daher et l'Ecole des mines
Comment réagissent des produits ou des procédés métalliques au vieillissement ou aux changements de l'environnement? Tel est le sujet d'une chaire d'enseignement et de recherche que vient de créer l'équipementier aéronautique Daher, en partenariat avec les Mines-ParisTech et l'Ecole des mines de Nantes. Ses travaux sont destinés à des applications dans l'aéronautique et le nucléaire. Le contrat, signé pour une durée de cinq ans, prévoit un budget d'environ 1,5 million d'euros.
"Nous avons longtemps misé sur les matériaux composites, explique Nicolas Orance, chargé du "business development" chez Daher. Nous devons aujourd'hui rattraper notre retard dans le métallique. La chaire nous y aidera, et nous servira aussi d'outil de communication interne". Elle s'appuiera notamment sur les laboratoires des deux écoles: Subatech à Nantes pour le nucléaire et la physique des hautes énergies, et le Centre de mise en forme des matériaux (Cemef) à Sophia. Les travaux devraient donner lieu à la publication de thèses. "C'est un sujet très original, qui a été peu traité jusqu'à présent, estime Stéphane Cassereau, directeur des Mines de Nantes. Ce type de collaboration avec un industriel est pour nous une façon d'acquérir des compétences critiques". La nouvelle chaire a été présentée à l'occasion du lancement du fonds de dotation de l'école. "Nous voulons accélérer nos partenariats avec les entreprises, poursuit Stéphane Cassereau. D'autant que les financements que nous recevons de l'Etat tendent à diminuer". Pour l'heure, l'école se fixe un objectif encore modeste: 10 millions d'euros sur cinq ans et une cinquantaine de partenaires.
Ericsson et Tsinghua

Le fabricant de téléphones Ericsson vient de créer avec l'université chinoise Tsinghua de Pékin, l'une des plus prestigieuses du pays, un groupe d'intérêt consacré aux communications du futur. Avec pour objectif de développer l'innovation dans les télécoms chinoises. Une plate-forme de formation, financée par les deux parties, sera mise à disposition des étudiants. La coopération comprend trois phases. Au cours du premier semestre, les deux partenaires prévoient d'organiser des séminaires et des cours de formation continue. Les membres du groupe pourront ensuite, durant l'été, effectuer un stage au centre de R&D d'Ericsson à Pékin. Enfin, au second semestre, les étudiants pourront mener leur propre projet de R&D - avec la perspective d'un financement par l'université. "Ce groupe d'intérêt permettra aux étudiants de développer toutes les facettes de leurs compétences", commente Shi Zongkai, secrétaire adjoint du comité du PC chinois à l'université de Tsinghua. Ericsson, qui a fait du marché chinois une de ses priorités stratégiques, s'appuie sur une large coopération avec plusieurs universités du pays. Le groupe a ainsi accueilli plus de 1200 étudiants en stage en 2009 et créé plus de 1400 postes - dont plus d'un tiers sont revenus à des jeunes diplômés. Les responsables de Tsinghua, de leur côté, sont passés maître dans l'art de capter le soutien des entreprises étrangères.
Safran et Grenoble EM

C'est un méga-contrat qu'a décroché il y a peu Grenoble EM avec le groupe Safran. Associée à la Cegos, la « business school » a pour mission de former l'ensemble des 600 acheteurs de l'équipementier, dans le cadre de son université « corporate ». Grenoble EM et la Cegos ont donc conçu et élaboré 16 modules de formation visant à apporter une méthodologie et des outils communs aux 600 acheteurs du groupe - qu'ils soient débutants, confirmés ou experts. L'occasion pour Safran de diffuser une culture achats auprès de l'ensemble de ses sociétés. "A travers ce dispositif, nous souhaitons renforcer la compétence de tous nos acheteurs, et notamment mieux valoriser ce métier", indique Xavier Dessemond, directeur des achats de Safran. L'entreprise souhaite aussi que le programme puisse déboucher sur l'obtention d'un certificat ou d'un diplôme de type mastère spécialisé. Grenoble EM, de son côté, s'appuie sur son Institut de recherche et d'innovation en management des achats (Irima).
Deutsche Bank et la Bocconi

La Deutsche Bank vient de signer un chèque de 1,5 million d'euros en faveur de la prestigieuse université Bocconi de Milan. De quoi permettre à cette dernière de créer une chaire de recherche en finance quantitative et valorisation d'actifs, pour une durée de trois ans. Celle-ci sera dirigée par le professeur Carlo Favero. Au programme également, l'organisation de séminaires en commun sur des sujets économiques et financiers. Pour l'occasion, le PDG de la Deutsche Bank fera son entrée au conseil d'administration de la Bocconi. La dotation permettra aussi de financer des bourses d'études pour les meilleurs étudiants (la Bocconi consacre déjà 22 millions d'euros chaque année aux bourses d'études). L'université milanaise renforce ainsi son pôle d'excellence en finance - elle a déjà noué des partenariats avec Nomura, la Banca Intesa et la Banca Mediolanum.
Door Jean-Claude Lewandowski. Ondernemingen en universiteiten en grote scholen zijn dicht, dit is niet nieuw. Het is zelfs de zogenaamde "trend" tientallen jaren geleden dat een en ander werkt. Maar door de jaren heen, zijn die banden steeds dichterbij. Bedrijven hebben zich gerealiseerd dat ze konden vinden op de campus niet alleen aan te werven van het intellect, maar ook expertise, nieuwe ideeën, suggesties voor andere manager. Van hun kant, scholen en universiteiten hebben een vitale behoefte aan een opening aan de realiteit van het bedrijfsleven, anders opgesloten in een vergeefse academische. De twee werelden zijn complementair. Samenwerking was nog nooit zo groot geweest. Ze had nog nooit zo intens. Het creëren van grote campus, "samen te brengen op een enkele site scholen, universiteiten, bedrijven en laboratoria ook deelnemen aan deze beweging. Hier zijn vier recente voorbeelden van dergelijke partnerschappen, genomen in Frankrijk en het buitenland. Meer...
10 juin 2010

Rencontres universités – entreprises : un tournant

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/bandeau_newsletter.jpgComme l’a exprimé Lionel Collet lors de la soirée officielle du mercredi 26 mai, la 3ème édition des Rencontres universités – entreprises des 26 et 27 mai 2010 a marqué un tournant dans la perception réciproque de ces deux univers : "L'AEF a su conquérir la confiance des parties prenantes par la rigueur de son organisation et l'enthousiasme de son projet, et les universités autonomes ont suscité un véritable espace national d'échanges entre les entreprises et l'enseignement supérieur grâce à l'ensemble de leurs intiatives en matière d'insertion professionnelle, d'entrepreneuriat et de fondations."
Organisés pour la première fois au CNIT – La Défense par l’AEF, ces deux jours ont en effet été un vrai succès :
- par la fréquentation d’abord : plus de 4000 personnes présentes le premier jour ;
- par la qualité des débats qui ont permis de faire le point sur l’actualité des quatre dernières années dans un échange réel avec les entreprises, les organismes de recherche, des collègues étranger, etc. Les tables rondes ont porté aussi bien sur le grand emprunt, les PRES et les alliances de recherche, que sur l'évaluation, l'innovation ou la diversité ;
- et enfin par la densité des interactions entre PRES et entreprises dans l’espace même du salon. Bien sûr les universités n’ont pas attendu 2010 pour rencontrer des entreprises  à travers la formation ou la recherche, mais c’est la première fois qu’un salon professionnel permettait des rencontres systématiques à ce niveau là, d’institutions à institutions. Faisons le vœu que les RUE de l’an prochain réunissent encore plus d’établissement universitaires et d’entreprises.
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/bandeau_newsletter.jpgConforme expresso por Lionel Collet na noite de quarta-oficial, 26 de maio a terceira edição da Universidade Rencontres - Business 26 e 27 maio de 2010 marcou uma viragem na percepção de cada um desses dois mundos: "A FEA tem ganhar a confiança das partes interessadas através do rigor da sua organização e pelo entusiasmo de seu projeto, e universidades autônomas nacionais criaram um verdadeiro intercâmbio entre as empresas eo ensino superior através de sua inteira em intiative promoção da empregabilidade, empreendedorismo e fundação. Leia mais...
6 juin 2010

MEPs call for closer ties between universities and industry

Links between business and the academic world need to be strengthened but higher education institutions must retain their autonomy and public support, says a resolution adopted on Thursday by the European Parliament.
Parliament calls on companies to step up their support for young talented people by providing scholarships. It also suggests establishing a European Industrial PhD Scheme co-financed by the EU. At the same time, MEPs advocate "securing small and medium-sized enterprises access to university education and research both by increasing public funding and by simplifying bureaucracy".
Curriculum reform
European universities are urged "to undertake innovative, far-reaching and methodical curricular reform". MEPs propose "following up young graduates more closely in order to assess the economic and social usefulness of education programmes" and integrating a culture of entrepreneurship into curricula at all levels of education, beginning with the primary school. The business world is encouraged to participate in designing educational material for this purpose.
Humanities, public support and autonomy
Nevertheless, say MEPs, universities should in all circumstances maintain autonomy over their curricula and governance, without any financial or intellectual dependence on business. "Higher education remains a public responsibility and therefore public financing to universities is needed in order to preserve equal financing to all fields of study, including humanities", says the resolution. It also emphasises that university-business dialogue should be targeted not only at mathematics, science and technology but should cover all fields, including humanities.
More mobility
"Mobility between countries as well as between universities and business is a key to achieving closer cooperation between the two worlds", says the resolution. MEPs ask the Commission to propose a legal framework for this purpose. They encourage widespread provision of student work placements and point to the importance for mobility of language learning.
Life-long and experimental learning
Stressing that "there is no longer any such thing as a ‘job for life’", MEPs point out "the need to match lifelong learning opportunities as closely as possible to the needs of individuals, of vulnerable social groups and of the labour market". Bearing in mind the ageing population of Europe, MEPs call on universities to broaden access to their study programmes. Lastly, they suggest further development of experimental, distance, electronic and blended forms of learning.
The resolution, drafted by Pál Schmitt (EPP, HU), was adopted by show of hands. MEP is a Member of the European Parliament.
3 juin 2010

Le blog Comcampus aux 3e Rencontres Universités-Entreprises

http://www.campuscommunication.fr/wp-content/themes/revolution-30/images/header.gifLe blog Comcampus est un blog de l’agence Campus Communication. Il est le seul blog spécialisé dans l’actualité de la communication de l’enseignement supérieur.
Ce blog a une histoire et porte un héritage, celui du blog Toujoursplus. Créé par Manuel Canévet, alors directeur de cabinet du président de l’université de Nantes, il est vite devenu un blog de référence dans l’enseignement supérieur, en évoquant les choses « de l’intérieur ».
On peut y trouver en ce moment des interviews sur U-Tube ou Twitter sur les 3e Rencontres Universités-Entreprises, organisés par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, les Rendez-vous de l’emploi se déroulent les 26 et 27 mai 2010 dans le cadre des Rencontres universités-entreprises. Au programme de ces Rendez-vous : des entretiens planifiés entre recruteurs et chercheurs d’emploi, des ateliers pratiques et un point d’information générale du public.
Interview de Lionel Collet, Président de la Conférence des Présidents d’Universités et Président de l’université de Lyon 1 a répondu à nos questions en sortant de la conférence plénière sur les PRES.
Interview de Simone Bonnafous, Présidente de l’université Paris Est Creteil (UPEC), nous a accordé un entretien dans lequel elle explique comment aujourd’hui elle envisage la communication dans son établissement.
Interview de Valérie Pécresse. Dès son arrivée pour l’ouverture officielle, Valérie Pécresse a répondu à notre question sur la communication dans l’enseignement supérieur.
Interview d'Alain Juppé. En sortant de la conférence plénière sur le Grand Emprunt, Alain Juppé nous a répondu.
Interview de Philippe Garderet, directeur scientifique d’Areva, nous explique sa perception des marques universitaires dans le contexte actuel de création de nombreux PRES.
Interview de Jean-Loup Salzmann. Aux Rencontres Universités Entreprises 2010, Jean-Loup Salzmann, Président de l’université Paris 13 Nord, nous livre sa perception de la communication à l’université.
Interview de Adrien Béchonnet, responsable des relations avec l’enseignement supérieur chez Total, nous explique son point de vue sur la communication des universités.
http://www.campuscommunication.fr/wp-content/themes/revolution-30/images/header.gifThe blog is a blog Comcampus Agency Campus Communications. It is the only blog specializing in news communication in higher education.
This blog has a history and carries a legacy, the blog Toujoursplus.
  Created by Manuel Canevet, then director of the Office of President of the University of Nantes, he quickly became a blog reference in higher education, describing things "from within".
You can find this time of the interviews on U-Tube and Twitter on third-Business Meetings Universities , organized by the Ministry of Higher Education and Research, the appointment of employment take place on 26 and May 27, 2010 as part of university-business meetings.
The program of the Meeting: scheduled maintenance between recruiters and job seekers, practical workshops and an information point of general public. More...
27 mai 2010

Pécresse aux RUE 2010

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau03.jpgCe 26 mai se tenaient les 3e Rencontres Universités-Entreprises au CNIT à Paris. La Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse y a tenu un discours intitulé «2010, l'an zéro d'un nouvel âge d'or pour l'enseignement supérieur et la recherche». A l’occasion de l’ouverture du salon professionnel de l’enseignement supérieur et de la recherche, Valérie Pécresse a rappelé que grâce aux réformes engagées depuis 2007, et au programme investissements d’avenir, toutes les conditions étaient à présent réunies pour que l’excellence scientifique française ait les moyens de se déployer et d’éclater au grand jour au bénéfice de la société tout entière.
Au cœur de vos débats, qui s’ouvriront dans quelques instants, vous avez choisi de placer les investissements d’avenir. Et vous le ferez en posant une question essentielle : les conditions sont-elles réunies pour réussir aujourd’hui ce programme d’investissements exceptionnels dans l’enseignement supérieur et la recherche?
C’est pourquoi, sans ces réformes, Mesdames et Messieurs, la part exceptionnelle réservée à l’enseignement supérieur et à la recherche dans les investissements d’avenir n’aurait sans doute pas été concevable. [Je parle sous le contrôle d’Alain Juppé]
22 milliards d’euros sur 35 : nul n’investit une somme aussi considérable dans un seul domaine sans avoir la certitude de transformer ainsi radicalement nos perspectives d’avenir. Et cette certitude, Mesdames et Messieurs, se nourrit non seulement de la reconnaissance de la vitalité et du dynamisme de notre science, mais aussi de la conscience claire et distincte des progrès que la recherche rend désormais possible. Car les réformes engagées depuis 3 ans sont également guidées par le souci de donner chair à l’idée d’une société de l’innovation et d’une économie de la connaissance...

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau03.jpgThis May 26 stood the third Personals Universities Companies at the CNIT Paris. The Minister of Higher Education and of Research, Valérie Pécresse is a speech titled "2010, the year zero of a new golden age for higher education and research." More...

22 avril 2010

3e Rencontres Universités-Entreprises

http://www.rue2010.com/wp-content/themes/rue2010/images/logo_rue2010.jpgOrganisés par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, les Rendez-vous de l’emploi se déroulent les 26 et 27 mai 2010 dans le cadre des Rencontres universités-entreprises. Au programme de ces Rendez-vous : des entretiens planifiés entre recruteurs et chercheurs d’emploi, des ateliers pratiques et un point d’information générale du public.
Après deux éditions qui ont démontré un besoin d’échanges multiformes, AEF organise la 3ème édition des Rencontres-Universités-Entreprises. Elles s’inscriront désormais dans le cadre d’un salon professionnel, qui se tiendra au CNIT La Défense les mercredi 26 et jeudi 27 mai 2010.
Destinées aux responsables et dirigeants des universités et des organismes de recherche, ainsi qu’aux DRH, directeurs du recrutement et directeurs de la recherche et du développement, les RUE leur permettront de se rencontrer, pour mieux se connaître, ébaucher des projets et structurer des actions, au-delà des frontières souvent artificielles, qu’elles soient statutaires ou géographiques.
http://regie.aef.info/www/images/f900ae21cf67f5211c3d566268e20ef3.gifPlacé sous le signe des « plan campus » et du « grand emprunt », et dans le contexte de l’émergence d’universités autonomes, ce salon sera l’occasion d’échanger autour de conférences et d’ateliers thématiques.
Le pré-programme que nous vous proposons de découvrir atteste de l’ambition de ce salon : faciliter des échanges autour de questions concrètes, que ce soient celles que se posent le monde académique, ou celles que se posent les entreprises en matière de recrutement et de recherche/innovation. Jean-Michel Catin, Directeur de la rédaction Enseignement supérieur et Recherche, AEF
http://www.rue2010.com/wp-content/themes/rue2010/images/logo_rue2010.jpgOrganised sa pamamagitan ng Ministri ng mas mataas na Edukasyon at Research, ang appointment ng trabaho kumuha ng lugar sa 26 at 27 Mayo 2010 sa ilalim ng Negosyo-Pulong University. Ang mga programa ng Meeting: naka-iskedyul na pagpapanatili sa pagitan ng mga recruiters at mga naghahanap ng trabaho, praktikal workshops at isang punto ng impormasyon para sa pangkalahatang publiko.
http://regie.aef.info/www/images/f900ae21cf67f5211c3d566268e20ef3.gifInilagay sa ilalim ng banner ng "Campus Plan" at ang "malaking utang", at sa konteksto ng ang paglitaw ng nagsasarili pamantasan, eksibisyon na ito ay magbibigay ng pagkakataon na exchange tungkol sa kumperensya at workshops. More...
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