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Formation Continue du Supérieur
30 mars 2013

Write a Grant Proposal, Start a Company, Create Your Own Job

http://chronicle.com/img/photos/biz/icons/on-hiring-nameplate.gifGiven reports that fewer recently minted life-sciences Ph.D.’s are landing full-time academic jobs while more are spending an increasing number of years as postdocs, it may be time to consider some alternatives.
One alternative is to create your own job. If you are a graduate student or a postdoctoral fellow working on a project that has potential commercial value (i.e., it could result in a product that someone will buy), consider turning the project into your first job.
How? First, disclose your idea to your university’s technology-transfer office. The personnel there can help you determine whether your idea has merit, and whether it can be protected by patents, trademarks, or copyright. If you are conducting your research at a university, the university probably has ownership rights; and if your idea is a good one, the university may file for intellectual-property protection on its own dime. Fortunately for you, it is obligated by U.S. law (under the Bayh-Dole Act, aka the Patent and Trademark Law Amendments Act) to share the proceeds with inventors, who typically receive 25 to 35 percent. Read more...
30 mars 2013

1 étudiant sur 2 s'inquiète pour son avenir

Il y a deux ans, un étudiant sur trois se déclarait soucieux de son avenir professionnel. Aujourd'hui, c'est un sur deux! La crise pèse sur le moral des futurs diplômés qui envisagent de plus en plus de commencer leur carrière à l'étranger. Découvrez tous les résultats de notre enquête exclusive "Les étudiants croient-ils à leur avenir?".
24 mars 2013

Russia gauges universities by graduate employment

Russia gauges universities by graduate employmentThe Russian Ministry of Education will monitor the effectiveness of universities by calculating the number of out-of-work graduates applying for positions at job centers to identify universities that are producing the most unemployed graduates.
The Russian Ministry of Education has developed new criteria for monitoring the effectiveness of universities. Starting this year, the ministry will calculate the number of out-of-work graduates applying for positions at job centers, in order to identify universities that are producing the most unemployed graduates. Experts take issue with this logic.
“We are going to assess the relationship between the education system and the job market,” Deputy Minister Alexander Klimov told Kommersant. “We will factor in the number of graduates who apply to job centers.” Read more...
22 mars 2013

Alarmes pour les diplômés du SUP

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. En France, les enquêtes de la DGESIP ne permettent pas de mesurer le devenir professionnel des diplômés du supérieur, et ce pour plusieurs raisons: indicateurs peu pertinents, exclusion des diplômés qui poursuivent des études à un niveau de formation identique ou inférieur, taux de réponses insatisfaisants dans un certain nombre d’universités. "Ne lisez pas l’enquête Masters 2009".
A l’inverse, en Italie, l’enquête annuelle menée par le consortium AlmaLaurea pour le compte de 61 universités donne des informations détaillées (globalement et université par université) et représentatives (plus de 80% de taux de réponses). Les résultats de la 15ème enquête annuelle ont été diffusés lors de la Conférence du 12 mars tenue à l’université Ca Foscari de Venise (photos sur ce blog), sous le thème "Investire nei giovani: se ne ora quando?".
La synthèse d’Andrea Cammelli, directeur d’AlmaLaurea, révèle une dégradation continue de la situation des diplômés du supérieur sur le marché du travail depuis 2007. 215.000 diplômés 2011 de premier niveau (3 ans) et de second niveau (5 ans) ont été interviewés par téléphone (enquête à un an après l’obtention du diplôme), 65.000 diplômés de 2009 (enquête à trois ans), 40.000 diplômés de 2007 (enquête à 5 ans).
Tous les indicateurs sont au rouge et le sont davantage chaque année depuis 2007. Taux de chômage en hausse: 11,2% pour les diplômés 2007 de 1er niveau et 22,9% pour ceux de 2011, 10,8% pour les diplômés de second niveau en 2007 et 20,7% en 2011 (page 12 de la synthèse).
Deuxième indicateur de dégradation: recul du taux d’emplois stables (moins de 40%, page 14). Troisième indicateur (page 15) : recul du salaire perçu (-18% en 4 ans pour les diplômés de 1er niveau). 4ème indicateur: niveau de revenu faible, même si les chiffres observés sont des revenus après impôt sur le revenu.
Cinq ans après l’obtention du diplôme, le taux de chômage des diplômés de laurea spécialisée (cinq ans d’études) demeure élevé: 8,9% pour l’ensemble des diplômés (page 16). Il varie très fortement d’un « groupe disciplinaire à l’autre: il est faible dans les disciplines de santé, en économie-statistique, en ingénierie; il est supérieur à 15% en agronomie, en lettres, en géologie-biologie (22%). Le revenu mensuel perçu par ceux qui ont un emploi varie également fortement d’une discipline à l’autre: 963 euros pour les diplômés de psychologie, 1.748 pour les diplômés d’ingénierie (page 17).
La situation des diplômés du supérieur est liée à la situation géographique (situation plus dégradée dans l’Italie du sud) et dépend des origines sociales (pages 18 et 19).
Pour rappel. L’Italie a un taux de diplômés du supérieur dans la population active nettement inférieur à celui de la France dans la tranche d’âge des 25-34 ans: 17,6% contre 33,1% selon les données Eurostat (pages 5 et 6 de la synthèse).
Les données d’AlmaLaurea doivent faire réfléchir en urgence. L’Europe ne peut massacrer ses jeunes générations. Le perte de confiance des jeunes à l’égard des diplômes du supérieur est dangereuse pour l’avenir de l’Europe. Les dirigeants politiques et économiques européens, italiens et français en particulier, s’en soucient-ils?
http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpg Blog Educpros Pierre Dubois. In France, investigations DGESIP can not measure the career of graduates, and for several reasons: indicators irrelevant, excluding graduates who are pursuing a similar level of training or lower response rates unsatisfactory in a number of universities. "Do not read the survey Masters 2009". More...
9 mars 2013

How to start making money after graduation

By Garry Marr. It’s not the job you wanted but maybe it’s the job you should take.
Youth unemployment is double the national average, forcing many graduates to accept the first job that comes along even if it is not in their chosen field and a long way from their chosen path.
Students have faced high tuition costs, even relative to inflation, and their debt is at record amounts compared with past generations. And those loan payments have to begin six months after graduation at a whopping 2.5 percentage points above prime lending rate.
Byrne Luft, vice-president of operations at human resources company Manpower, says it’s become a bit of a dirty word for university graduates but maybe it’s time to consider a trade to fall back on. Read more...
3 mars 2013

Insertion professionnelle des étudiants bas-normands

Bandeau retour page d'accueilL'Observatoire Unicaen (Université de Caen Basse-Normandie) a réalisé une enquête sur l'insertion professionnelle des titulaires d'un DUT, d'une licence professionnelle et d'un master 2009, 30 mois après l'obtention de leur diplôme.
Créé en septembre 2011 avec le soutien financier de la Région, l'Observatoire Unicaen a pris le relais de l'Observatoire régional des formations supérieures (ORFS).
Pour sa première enquête annuelle, l'Observatoire a voulu en savoir plus sur l'insertion professionnelle des titulaires d'un DUT, d'une licence professionnelle et d'un master (bac +5).
Concernant les DUT, 87,5% des 701 diplômés répondants poursuivent leurs études. Seuls 87 titulaires se sont insérés directement sur le marché du travail. Pour les licences pro, 252 des 499 diplômés ayant répondu ont été pris en compte. 245 anciens étudiants se trouvent sur le marché du travail. 91% travaillent et 74% occupent un emploi stable. Sur les 915 diplômés en master ayant répondu, 480 se trouvent sur le marché du travail au moment de l'enquête. Leur taux d'insertion atteint les 94%, pour un salaire moyen de 1 800 €. 60% d'entre eux travaillent en dehors de la région. Et 73% occupent un emploi stable.
Consulter les études sur le site de l'Observatoire Unicaen.

Bandeau retour page d'accueil Unicaen Observatory (University of Caen) conducted a survey on the employability of a DUT, a professional license and a master 2009, 30 months after graduation. More...
3 mars 2013

Évolution récente de l’insertion des jeunes sur le marché du travail selon le niveau de diplôme

http://travail-emploi.gouv.fr/squelettes/images/bout_dares.pngAvec la stabilisation de la durée des études, le niveau de diplôme atteint par les jeunes au terme de leur formation initiale a peu varié au cours des années 2000.
En 2010, un peu moins de 2 jeunes sortants sur 10 ont au plus le brevet des collèges, tandis que la proportion de diplômés du second cycle du secondaire, comme celle des diplômés du supérieur est d’environ 4 sur 10.
En phase d’insertion professionnelle, et bien qu’ils soient en moyenne plus diplômés, les jeunes connaissent un taux de chômage plus élevé que les personnes ayant plus d’ancienneté sur le marché du travail. Fin 2010, un à quatre ans après la fin de leurs études initiales, 2 jeunes actifs sur 10 sont au chômage; c’est le cas de plus de 4 sur 10 pour ceux ayant au plus le brevet des collèges, contre seulement 1 sur 10 pour les diplômés du supérieur.
Les caractéristiques de leurs emplois (sous-emploi, part des contrats temporaires et salaires) sont également moins favorables, en partie en raison de leur faible ancienneté dans l’entreprise. Là aussi, les différences selon le niveau de diplôme sont particulièrement marquées.
Dans les premières années suivant la fin des études, la situation des jeunes est particulièrement sensible aux variations de la conjoncture économique. Ainsi, la hausse du taux de chômage en 2008 et 2009, puis la baisse en 2010, ont été plus soutenues pour les actifs sortis récemment de formation initiale que pour l’ensemble des actifs.
Télécharger la note DARES 2012-013 Évolution récente de l’insertion des jeunes sur le marché du travail selon le niveau de diplôme.
Sur le moyen terme, la protection offerte par le diplôme face au chômage apparaît assez stable

Depuis la deuxième moitié des années soixante-dix, l’écart entre le taux de chômage des actifs récents ayant au plus le brevet des collèges et celui des diplômés du supérieur a beaucoup varié selon la conjoncture générale du marché du travail et la nature des politiques d’aide à l’emploi en direction des jeunes. Ces politiques ont été plutôt favorables aux peu ou pas diplômés au milieu des années 80 (travaux d’utilité collective, stages d’insertion dans la vie professionnelle) et aux diplômés, y compris ceux du supérieur, à la fin des années 90 (emplois jeunes).
Cet écart a toujours été très important. Mesurée par le rapport des odds ratio, la probabilité d’un jeune actif d’être au chômage plutôt qu’en emploi en début de vie active est, depuis 1978, entre 4 et 10 fois plus élevée pour un peu ou pas diplômé que pour un diplômé du supérieur. Au-delà des fluctuations conjoncturelles, il n’apparaît pas de tendance de long terme, ce qui traduit une certaine constance de l’avantage relatif du diplôme sur la protection face au chômage au cours de ces trente dernières années.
Davantage de personnes dans le « halo du chômage » en début de vie active avec des écarts importants selon le niveau de diplôme

Dans les premières années suivant la fin de leurs études, les jeunes sont relativement nombreux à faire partie du « halo du chômage ». En 2010, 3,5% des jeunes ayant achevé leurs études depuis un à quatre ans sont sans emploi sans être classés comme chômeurs bien qu’ils souhaitent travailler, contre seulement 1,3% pour ceux qui ont terminé leurs études depuis plus de dix ans. Comme pour le taux de chômage, la part du « halo du chômage » est d’environ 2,5 fois plus forte de un à quatre ans après la fin des études qu’au-delà de dix années et les écarts selon le niveau de diplôme sont très importants en début de vie active (8% des peu ou pas diplômés font partie du « halo du chômage » en 2010, contre seulement 2% des diplômés du supérieur)...
En 2010, le sous-emploi concerne 1 emploi sur 10, un à quatre ans après la fin des études

La proportion d’actifs occupés qui travaillent à temps partiel dépend peu de leur ancienneté sur le marché du travail: en 2010, parmi ceux qui ont un emploi, 16% des actifs récents travaillent à temps partiel, contre 18% pour ceux qui ont terminé leurs études depuis plus de dix ans. Au sein des actifs récents, le travail à temps partiel est plus fréquent chez les peu ou pas diplômés, bien que ces derniers soient plus souvent des garçons: parmi ceux qui travaillent, près d’un quart est à temps partiel, contre environ 2 sur 10 pour les diplômés du secondaire et seulement 1 sur 10 pour les diplômés du supérieur...
Les différences de salaires entre les plus et les moins diplômés en début de vie active ont peu varié depuis le début des années 2000

Pour un groupe d’individus en emploi, le salaire médian est le salaire pour lequel 50% d’entre eux gagnent moins et 50% gagnent plus. Parmi les actifs travaillant à temps plein, le salaire net médian (en euros constants) de ceux ayant terminé leurs études initiales depuis plus de dix ans est nettement supérieur à celui des actifs récents (au moins 20% de plus entre 1990 et 2010).
Les diplômés du supérieur, et notamment ceux du supérieur long, ont un salaire médian nettement plus élevé en début de vie active que celui des diplômés du secondaire et des peu ou pas diplômés. Ainsi, en 2010, la moitié des actifs récents travaillant à temps plein diplômés de l’enseignement supérieur long perçoit un salaire mensuel net supérieur à 1820 euros contre 1480 euros pour ceux de l’enseignement supérieur court, 1 280 euros pour les titulaires d’un baccalauréat, 1200 euros pour les diplômés d’un CAP ou BEP et 1160 euros pour les peu ou pas diplômés...
http://travail-emploi.gouv.fr/squelettes/images/bout_dares.png Leis an cobhsú na tréimhse staidéir, tá an leibhéal oideachais bainte amach ag daoine óga ag deireadh na n-oiliúint tosaigh beag athrú le linn na 2000í. In 2010, beagán níos lú ná 2 fhágann i 10 níos mó ná an brevet, cé go bhfuil an céatadán de chéimithe ó oideachas dara leibhéal uachtarach, mar shampla céimithe ollscoile thart ar 4 as 10. Níos mó...
15 février 2013

Des propositions pour favoriser l'insertion des jeunes

http://www.institutmontaigne.org/desideespourdemain/themes/default-3cols-fixes/css/img/header.pngLe taux de chômage des jeunes dépassait les 23% en 2012 et ce sont les moins qualifiés qui sont les plus touchés. L’Institut Montaigne formulent des propositions pour une insertion professionnelle réussie des jeunes.
Offrir à tous des opportunités de stage

    * Créer une banque de stages avec pour objectif dans les deux ans d’instaurer une obligation de résultats pour les établissements à qui incombe la responsabilité de proposer un stage: tous les élèves et étudiants se verront proposer un stage lorsque celui-ci est obligatoire dans le cursus.
    * Encourager les établissements à conclure des conventions avec les entreprises accueillant des stagiaires, afin d’éviter toute discrimination.
o Ce sont alors les établissements qui désignent les élèves ou étudiants devant être accueillis (« contrat confiance stage »);
o Il s’agit de sensibiliser et mobiliser les entreprises et les administrations à ce type de partenariat avec des établissements de formation.
Généraliser l’enseignement par alternance à tous les échelons de la formation initiale

    * Les formations professionnelles de l’enseignement secondaires seraient entièrement dispensées dans le cadre de l’alternance sous la responsabilité des lycées professionnels ou des lycées techniques et polyvalents.
    * Accroître de 100.000 le nombre d’étudiants en alternance au sein des universités (dernière année de licence L3, 2ème année de Master).
    * Inciter les entreprises disposant de réseaux d’agences comme les banques, les compagnies d’assurance, les mutuelles, ou des succursales comme la grande distribution à mobiliser les TPE et PME. Ces agences, ces succursales réparties sur l’ensemble du territoire, entretiennent des relations étroites et suivies avec le tissu économique local et sont des relais irremplaçables pour l’accès à l’alternance des jeunes.
Pour aller plus loin

- Choisir les bons leviers pour insérer les jeunes non qualifiés (Note, juin 2012).
- 15 propositions pour l'emploi des jeunes et des seniors (Rapport, septembre 2010).
- Voir la vidéo "15 propositions pour l’emploi des jeunes et des seniors".
http://www.institutmontaigne.org/desideespourdemain/themes/default-3cols-fixes/css/img/header.png The rate of youth unemployment exceeded 23% in 2012 and are the least qualified individuals who are most affected. The Institut Montaigne formulate proposals for a successful professional integration of young people. More...
4 février 2013

Les rendez-vous de l'emploi

http://www.formasup.fr/sites/all/themes/formasup/images/logo_formasup.gifInscription en ligne pour les candidats à l'embauche
Date : 27 et 28 mars 2013
Lieu : Palais des Congrès - Paris
Organisateur :
le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche - MESR
Objectifs : mettre en relation des recruteurs et des jeunes diplômé(e)s à la recherche d'un emploi de niveau bac+5 à bac+8.
Les rendez-vous sont possibles jusqu'au 7 mars 2013.
Nouveauté 2013

Le ministère organise, en plus des rendez-vous traditionnels de recrutement, des Rendez-vous de l'emploi spécifique "alternance" destinés aux jeunes qui veulent suivre une formation en alternance et cherchent une mission en entreprise.

http://www.formasup.fr/sites/all/themes/formasup/images/logo_formasup.gif Cláraigh ar líne d'iarratasóirí poist
Dáta: 27 agus 28 Márta, 2013
Location: Palais des Congres - Paris
Eagraí: An Aireacht Ardoideachais agus Taighde - MESR. Níos mó...

1 février 2013

Choisir l'artisanat après des études supérieures

http://www.jcomjeune.com/sites/default/files/jeunes_cidj_logo.pngVos études vous ennuient? Vous voulez bouger, donner du sens à ce que vous apprenez? Pourquoi pas l’artisanat? Ce secteur propose plus de 500 métiers, qui vous permettront de devenir indépendant. Que vous soyez étudiant ou déjà dans la vie active, profitez des passerelles existantes pour sauter le pas!
Changer de voie pour devenir artisan, c'est possible!
Vous avez fait des études supérieures, mais votre rêve a toujours été de devenir artisan: boulanger, fleuriste, électricien, couvreur… Sachez qu'il n'est pas trop tard ! Que vous soyez encore étudiant ou déjà engagé dans la vie professionnelle, des passerelles existent pour vous orienter vers les métiers de l'artisanat.
http://www.jcomjeune.com/sites/default/files/jeunes_cidj_logo.png Do staidéir leamh tú? Ba mhaith leat a bhogadh, ciall a bhaint as méid a d'fhoghlaim tú? Cén fáth nach ceardaíochta? Tugann an ceantar seo níos mó ná 500 post, a ligfidh tú a bheith neamhspleách. Cibé an bhfuil tú mac léinn nó cheana féin a saol oibre, na geataí atá ann cheana féin taitneamh a bhaint as an léim! Níos mó...
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