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Formation Continue du Supérieur
17 février 2013

Postgraduate funding: 'So, when are you going to do your masters?'

http://bathknightblog.com/wp-content/uploads/2011/07/telegraph-logo.jpgIn recent years postgraduate qualifications have become an increasingly standard, even necessary, entry route for many careers. Why is the funding for them so poor, asks Liam Burns. The question "So, when are you going to get around to doing your masters?" is heard with increasing regularity among my contemporaries, and frequently met with the answer: when I can afford it, both in money and time. One thing’s for sure though: I’m not going to be Dr Burns for quite a while yet.
Once, not too long ago, postgraduate qualifications were something of a rarity outside of routes to academia, but in recent years they have become an increasingly standard, even necessary, entry route for quite a number of careers and professions. Read more...
14 février 2013

Kinésithérapie et orthophonie: du nouveau dans la reconnaissance des diplômes

Site web Rhone-Alpes OrientationLe certificat de capacité d'orthophoniste est reconnu au grade de master et le diplôme d'État de masseur-kinésithérapeute est reconnu au grade de licence.
Information indiquée par un communiqué de presse commun du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et du ministère des Affaires sociales et de la Santé, publié le 25 janvier 2013.
S'agissant des études de kinésithérapie, le communiqué précise: "l'année précédant l'admission [en kinésithérapie] (année universitaire ou de classe préparatoire) est reconnue et créditée de 60 ECTS qui offriront, le cas échéant, aux étudiants un accès direct en seconde année de master". Ce nouveau schéma s'appliquera dès la rentrée 2013. Par cette reconnaissance, les deux ministres, Geneviève Fioraso et Marisol Touraine ont finalisé l'intégration dans le schéma Licence-master-doctorat (LMD) de la formation des orthophonistes et celle des masseurs-kinésithérapeutes.
Les deux Ministères reconnaissent le grade de master au diplôme d'orthophoniste et celui de licence au diplôme de kinésithérapie.
En savoir plus sur le site du ministère de l'Enseignement supérieur.

Treoshuíomh láithreán gréasáin Rhone-Alpes Tá an deimhniú teiripeoir urlabhra aitheanta a bhfuil céim mháistir agus dioplóma fisiteiripeoir Stáit aitheanta ceadúnas grád.
Eolas le fios ag press release comhpháirteach as an Aireacht um Ard-Oideachas agus Taighde agus an Aireacht Gnóthaí Sóisialta agus Sláinte, a foilsíodh 25 Eanáir, 2013. Níos mó...
4 février 2013

Geneviève Fioraso: "Notre objectif, faire disparaître 5 800 spécialités de master"

http://s1.lemde.fr/journalelectronique/vignettes/la_une/20130205/QUO_208_coupee.jpgPropos recueillis par Nathalie Brafman. La future loi sur l'enseignement supérieur et la recherche, qui devrait être présentée le 6 mars en conseil des ministres, prévoira un large volet sur la simplification de l'offre de formations destinée aux étudiants, jugée trop "foisonnante" et "illisible" par Geneviève Fioraso. La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche souhaite diviser par dix le nombre de mentions de master. Cette mesure est d'autant plus importante, selon elle, que la France a "moins d'étudiants que les autres pays européens au niveau master".
Comme pour l'offre de licences, vous estimez qu'il y a beaucoup trop de masters en France. Quel est le chiffre exact?

D'abord, il faut savoir de quoi l'on parle. En France, il y a deux sortes de diplômes de master. Le premier est le diplôme national de master (DNM), il est délivré dans les universités, habilité par le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. Il concerne 296 000 étudiants. Ensuite, il y a les diplômes qui confèrent le grade de master, dont la formation est reconnue par le ministère. Ils sont délivrés par Sciences Po, les Instituts d'études politiques (IEP) en région, les écoles de commerce ou d'ingénieurs. Ils concernent 197 000 étudiants. Rien que pour les DNM, qui représentent donc 60% du total, il existe 7 700 masters dont 1 841 en mentions et 5 806 en spécialités! Avec des intitulés difficilement lisibles: "Master en arts, lettres, langues, mention: langues appliquées, spécialité: langues de spécialité, corpus et traductologie"... Si j'ajoute en plus les intitulés des cursus que nous habilitons dans les écoles de commerce ou d'ingénieurs et les IEP, nous arrivons à un chiffre quasiment supérieur à 10 000. C'est complètement fou! Suite de l'article...
http://s1.lemde.fr/journalelectronique/vignettes/la_une/20130205/QUO_208_coupee.jpg Agallamh le Nathalie Brafman. 'S dlí Todhchaí ar ardoideachas agus beidh taighde, cur i láthair 6 Márta ag na Comh-Aireachta, a chur ar fáil cuid mhór de simpliú an soláthar oiliúna do mhic léinn, meastar freisin " flúirseach "agus" doléite ann "de réir Genevieve Fioraso. Aire Ardoideachais agus Taighde mian a roinnt le deich líon na tagairtí do mháistir. Níos mó...
2 février 2013

A lire: La société des diplômes

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Aujourd'hui, plus de deux millions de diplômes sont attribués chaque année. L'essor de la scolarisation est allé de pair avec celui du diplôme, qui est devenu peu à peu une injonction et une norme sociale. Celles et ceux qui en sont aujourd'hui dépourvus, les "sans diplômes", sont stigmatisés, voués à une obligation de formation et fragilisés sur le marché du travail. Il est urgent, dès lors, de penser les diplômes autrement que comme des parchemins administratifs: ils ont des histoires et des usages sociaux variés, sont des enjeux de luttes, vivent, meurent et informent sur l'état de notre société et ses visions du monde. A quoi servent-ils? Comment sont-ils créés? Quels en sont les enjeux sociaux, politiques ou économiques? Quelles sont leur "valeur" sur le marché du travail? Y a-t-il trop de diplômes, ou trop de diplômés?
OUVRAGE : Mathia Millet, Gilles Moreau, Henri Eckert,.. (ouvrage collectif), La Dispute, 2011, 280 p.
Pour emprunter ce livre: documentation@arftlv.org.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Inniu, níos mó ná dhá mhilliún céimeanna a bhronntar gach bliain. Tá an méadú oideachais imithe as láimh a chéile leis an dioplóma, a tháinig de réir a chéile urghaire agus norm sóisialta. Iad siúd a bhfuil fós gan an rogha "gan cáilíochtaí" a stigmatized, tiomanta do riachtanas oiliúna agus leochaileach ar an margadh saothair. Níos mó...
25 janvier 2013

La méritocratie scolaire contestée

http://www.ove-national.education.fr/medias/images/bandeaux/bandeau1.jpgPar Elise TENRET, maître de conférences à l'Université Paris-Dauphine, OVE Infos - 1 février 2011 n°25 - La méritocratie scolaire contestée. Télécharger le document.
« Sans le bac, on n’a plus rien » :
tel semble être l’adage communément admis pour décrire la situation actuelle des jeunes, dans une société où le niveau d’études moyen n’a cessé de s’accroître et qui a fait de l’accès au baccalauréat de « 80% d’une classe d’âge » le fer de lance de sa politique éducative. Ce passage obligé par les études, intériorisé sous forme d’impératif scolaire, n’est pas nécessairement considéré comme légitime par les acteurs sociaux eux-mêmes. Est-il juste que les études occupent une place si importante dans la société actuelle? Qu’ont à dire les étudiants à ce sujet?
En répondant à ces questions, Élise Tenret présente quelques résultats issus de sa thèse qui a reçu le Premier prix du concours national de l’OVE en 2009 et qui sera publiée en janvier 2011 à La documentation Française dans la collection « Études et recherche »
Les étudiants de l’Université : un idéal de méritocratie tributaire de la formation suivie

Les représentations que les étudiants universitaires se font de la méritocratie s’avèrent dans l’ensemble plus sombres que celles des étudiants des autres filières : s’ils reconnaissent en majorité que le diplôme est une condition nécessaire de la réussite, ils doutent également davantage de la possibilité de réussir uniquement grâce au diplôme (pour eux comme pour autrui en général). Ainsi, à l’image des élèves de CPGE, les étudiants de l’Université pensent significativement moins que ceux des autres filières que les gens obtiennent généralement le travail qui correspond à leur diplôme. Toutefois, contrairement aux élèves de CPGE, cette vision négative du rendement des études en général se double d’une inquiétude forte quant à leur facilité d’insertion dans le monde du travail : seuls 43% des étudiants interrogés à l’Université pensent que leur propre insertion professionnelle sera « facile » ou « très facile » avec leur formation (tableau 3). Ce pourcentage cache toutefois de fortes disparités entre disciplines : tandis que 85% des étudiants de Sociologie interrogés pensent qu’ils ne trouveront que difficilement, voire très difficilement un emploi à l’issue de leur formation – et 54% des étudiants de Psychologie –, aucun des étudiants de Médecine interrogés ne mentionne de telles difficultés.
Les étudiants de l’Université sont en outre assez nombreux à déplorer le manque de reconnaissance du diplôme au moment de l’embauche. Bien qu’ils soient 41% à considérer que le rôle accordé aux études pour trouver un emploi en France est trop important, plus d’un sur cinq (21%) affirme au contraire que ce rôle n’est pas assez important, quand cette proportion est comprise entre 5% et 13% dans les autres filières de l’échantillon. La défense du diplôme ne se justifie pas cependant, pour ces étudiants, par la capacité qu’ils lui reconnaissent à refléter les mérites de chacun. Les étudiants de l’Université sont particulièrement nombreux à estimer qu’à l’école – comme dans la vie professionnelle – , les individus ne sont pas récompensés pour leurs efforts. Télécharger le document.
http://www.ove-national.education.fr/medias/images/bandeaux/bandeau1.jpg De réir Elise TENRET, léachtóir in Ollscoil Pháras-Dauphine, Ove Nuacht - 1 Feabhra, 2011 # 25 - scoil meritocracy dúshlán. an doiciméad Download.
"Gan an tráidire, ní raibh aon rud" Dealraíonn mar a bheidh le glacadh go coitianta adage cur síos ar an staid reatha na ndaoine óga i sochaí ina bhfuil an meán leibhéal oideachais ag fás agus tá Déanann rochtain ar an baccalauréat "80% de aois" an sleá a bheartais oideachais. Níos mó...
23 janvier 2013

Education questions: is it worth getting a master's degree?

http://bathknightblog.com/wp-content/uploads/2011/07/telegraph-logo.jpgBy Thomas Cookson. The perceived devaluing of first degrees has led to a rise in the numbers of graduates taking second degrees. But is it worth it? Tommy Cookson answers your questions.
Q
I am an English literature student and, as a second year, I am now coming to terms with the fact that it is a little too late to turn back now. I love my course, but I do not wish to pursue an academic career. A lot of the graduate schemes I am looking into do not require professional qualifications; however, they attract a number of postgraduate-degree-holding applicants, as well as mere BA students such as myself. Would it really be worth my while in terms of time and money to add a few extra strings to my bow with a Masters in a non-literature-related subject, or should I present myself to firms as young, malleable and eager to learn about the industry through first-hand experience? FP, Cambridge
A
I’d go the young, malleable and eager-to-learn route. You haven’t yet mapped out a career path or even decided what you want to do. What you need is some direct experience to help you decide. I wouldn’t even wait until you graduate: do some work experience at the end of your second year at university and, if possible, get involved in running something at university. It might also be a good idea to arrange an internship after you graduate, too. With all this, you and prospective employers will be able to judge what other qualities you’ve got beside brains. Read more...
18 janvier 2013

University degrees: our arcane system of firsts, seconds and thirds

http://static.guim.co.uk/static/52d815893c0bfcee12d23664c32ec9774107a840/common/images/logos/the-guardian/titlepiece.gifBy Andrew McGettigan. The number of first-class degrees is rising, but if we care about standards we must analyse the pressures around accreditation.
The Higher Education Statistics Agency recently published its annual overview of enrolments and qualifications achieved at UK universities and colleges. A breakdown of undergraduate results for 2010/11 showed that 16% of candidates now achieve first-class honours. The numbers graduating with the highest degree classification are now double what they were a decade ago. Immediate, superficial responses see yet another example of "dumbing down", but the changes are not that straightforward and these criticisms avoid tackling bigger issues about the place of higher education within British society. Read more...
13 janvier 2013

Diploma dilemma for Europe grads

. PARIS - Estelle Borrell knew she wanted to work in law since she was a teenager, when she interned at a court in Versailles, France. "The lawyers in their black robes, they were like gods to me," said the 24-year-old Parisian. Borrell studied law at Vienna University, where she dreamed of putting her passion into practice at an international organization. She got a shock when she began working at a Vienna law firm.
"I knew how to resolve cases on paper, but when I got into the law firm it was really ridiculous," Borrell said. "My boss asked me to call a judge and I was absolutely not able to do it. I didn't even have the vocabulary I needed to do a really simple call."
Borrell, who is now back in France seeking work while continuing legal studies in Paris, had found out firsthand what educators, industry and governments across the continent are slowly coming to acknowledge as globalization intensifies competition and a devastating economic crisis swells youth unemployment: Europe's universities, many founded during the Middle Ages, are failing to prepare students for the demands of the 21st century world. Read more...
5 janvier 2013

La « Pépinière des Jeunes Diplômés de Guyane »

La « Pépinière des Jeunes Diplômés de Guyane », est une opération initiée et soutenue depuis 1995 par le Conseil Régional pour faciliter l’insertion professionnelle des Jeunes Diplômés de Guyane à l’issue de leurs études. En 1999, le dispositif reçoit l’appui financier des fonds européens, notamment par le biais du FSE, le Fonds Social Européen.
Elle vise à offrir aux jeunes, « Les Pépiniéristes », une première expérience professionnelle et une formation à la connaissance de l’entreprise. Elle permet aux entreprises locales privées de planifier et d’optimiser leur choix quant au recrutement de leurs jeunes cadres ou techniciens supérieurs.
La PJDG recrute les jeunes ayant terminé leur parcours de formation et qui ont moins de 30 ans et au minimum un diplôme équivalent à Bac + 2 années d’études, pour un contrat à durée déterminée de 12 mois en tant que Stagiaires ou Pépiniéristes au sein « d’entreprises d’accueil ». Les entreprises qui ont un projet d’embauche, s’engagent, autant que possible, à recruter les jeunes diplômés, en fin de mise à disposition. Ces structures participent financièrement au dispositif: cela équivaut à ce qu’une partie du salaire du Pépiniériste soit payée par l’entreprise, l’autre par la PJDG soutenue par le FSE, la Région Guyane et l’Etat.
La mise à disposition est subordonnée à la signature de 3 documents:
    Une convention financière entre IRIG DEFIS et l’Entreprise d’accueil
    ‏Une convention de mise à disposition tripartite
    Un contrat de travail
La PJDG a également pour missions:
    Le conseil et l’information des lycéens et collégiens
    L’identification des étudiants originaires de Guyane.
Depuis la création du dispositif, environ 200 jeunes ont pu bénéficier de l’appui de la PJDG. Nous comptabilisons un taux d’insertion de plus de 80%.
An "Goradáin Céimithe Ghuáin" Is é idirbheart tús agus le tacaíocht ó 1995 ag an gComhairle Réigiúnach a éascú infhostaitheacht na Céimithe Ghuáin ag deireadh a gcuid staidéir. Sa bhliain 1999, faigheann an gléas tacaíocht airgeadais ó chistí an AE, lena n-áirítear tríd an CSE, Ciste Sóisialta na hEorpa. Tá sé mar aidhm a thairiscint do dhaoine óga, "The Nursery", le taithí an chéad gairmiúla agus oiliúint in eolas gnó. Ceadaíonn sé gnólachtaí príobháideacha áitiúla a phleanáil agus a gcuid roghanna a bharrfheabhsú in earcaíocht a gcuid feidhmeannach nó teicneoirí óga. Níos mó...
4 janvier 2013

Le diplôme n'est pas forcément une source de richesse

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireSelon une enquête de Reuters, seuls les jeunes diplômés issus de familles riches perçoivent des salaires affichant une plus-value, contrairement à ceux issus des classes moyennes ou modestes…
Dans certains pays, le diplôme n'est pas forcément la garantie d'un bon salaire. C'est notamment le cas aux Etats-Unis, révèle une étude de Reuters. En effet, bien que de plus en plus d'Américains se dirigent vers l'université, ils ne sont pas tous récompensés de leurs efforts par la suite, sur leur bulletin de paie… Seuls les étudiants issus des familles riches le sont, avec des salaires qui croient en moyenne de l'ordre de 17 % par rapport à la génération diplômée en 1989. Suite de l'article...
Directions: education, business, alternately, employment, school guidance According to a Reuters survey, only graduates from rich families receive salaries posting a profit, unlike those from the middle class or small. More...
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