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Formation Continue du Supérieur
20 janvier 2011

La portabilité du DIF

http://www.opcalia.com/fileadmin/templates/css/img_v2/bandeau_logo.jpgPar Eva Baquey. La portabilité du DIF ouvre la possibilité à un salarié de conserver les heures de DIF acquises et non utilisées à l’issue de son contrat de travail. Celles-ci sont converties en une somme d’argent utilisée pour permettre de financer une action de formation, de VAE ou bilan de compétences à destination de ce salarié, dorénavant embauché par une nouvelle entreprise ou en situation de demandeur d'emploi (sous réserve du respect des conditions d'ouverture de la portabilité).
Outre les heures acquises et non utilisées, deux conditions cumulatives sont nécessaires pour bénéficier de la portabilité :
- le salarié ne doit pas avoir commis de faute lourde,
- la rupture de son contrat de travail doit ouvrir droit à l’indemnisation du chômage.
La mobilisation du DIF dans le cadre de la portabilité peut avoir lieu:
- lors de la fin de l’exécution du contrat de travail : demande faite avant la fin du préavis;
- après la rupture du contrat de travail (=après le préavis) en cas de reprise d’un nouveau travail;
- après la rupture du contrat de travail (=après le preavis) en qualité de demandeur d’emploi. Télécharger la fiche « Portabilité du DIF » du service juridique d'Opcalia. 
http://www.opcalia.com/fileadmin/templates/css/img_v2/bandeau_logo.jpgBy Eva Baquey. Portability DIF opens the possibility for an employee to keep the hours of DIF earned and unused at the end of his employment contract.These are converted into a sum of money used to help fund a training program, VAE or skills assessment flights to such employee, now employed by another company or that are seeking employment (subject the conditions of opening of the portability). More...
20 janvier 2011

Projet d’implantation d’une École Normale Supérieure à Toulouse

http://www.univ-toulouse.fr/newsletter/images/univ-toulouse-logo.gifLe projet d’École Normale Supérieure (ENS) à Toulouse a pour objectif de diversifier et améliorer la formation des cadres de haut niveau destinés à irriguer aussi bien le milieu académique (recherche, enseignement supérieur) que le secteur privé (recherche industrielle) ou la haute administration, et qui seront des acteurs ou accompagnateurs majeurs des futures révolutions scientifiques et technologiques. Il a pour ambition de proposer une formation de haut niveau par la recherche, en couplage étroit avec différents établissements de l’Université de Toulouse et les laboratoires toulousains.
Les ENS étaient toutes concentrées en région parisienne jusque dans les années 1980. Depuis, l’installation d’une ENS à Lyon a montré comment un tel établissement pouvait irriguer toute une grande région et atteindre un haut niveau de reconnaissance hors Île-de-France. Ce mouvement se poursuit avec l’ouverture en 2012 d’une nouvelle ENS à Rennes à partir de l’antenne ouverte par l’ENS Cachan à la fin des années 1990.
Les Écoles Normales Supérieures françaises actuelles ont la particularité d’être à l’interface entre les universités et les grandes écoles. Elles bénéficient d’une reconnaissance à l’international, aussi bien dans le monde académique que celui de l’entreprise. Leurs étudiants, principalement issus des classes préparatoires communes aux grandes écoles et ENS, suivent un cursus universitaire enrichi mais se destinent en majorité à l’enseignement supérieur et la recherche. En diversifiant les recrutements (classes préparatoires, étudiants des universités, des écoles d’ingénieurs) et par la formation qu’elle proposera, l’ENS Toulouse permettra d’attirer (et garder) les meilleurs étudiants et augmentera les débouchés (ou les passerelles en cours de carrière) vers les mondes industriels et administratifs. Son originalité réside dans une formation pluridisciplinaire, fondamentale et technologique, qui implique des partenaires industriels locaux. Elle renforcera l’attractivité du monde académique toulousain et aura un effet accélérateur au transfert des connaissances de la recherche fondamentale ou plus appliquée vers le monde économique...
http://www.univ-toulouse.fr/newsletter/images/univ-toulouse-logo.gif A tervezet École Normale Supérieure (ENS) a Toulouse célja, hogy változatossá és javítsa a képzés magas szintű vezetők, mind az akadémiai öntözni (kutatás, felsőoktatás), hogy a magánszektor (ipari kutatás), illetve a felső vezetés, amelyet a játékosok vagy edzők jelentős jövőbeni tudományos és technológiai forradalmak. Célja, hogy a magas szintű képzés kutatás, szoros csatolás különféle intézmények, a University of Toulouse Toulouse és laboratóriumok.
SLA-k mind koncentrálódik a párizsi régióban, amíg a 1980-as években.
Mivel a létesítmény egy ENS Lyon azt mutatták, hogy egy ilyen intézmény lehet öntözni a nagy területen, és magas szintű elismerése kívül az Ile-de-France. Ez a tendencia folytatódik, 2012-ben a megnyitása új ENS Rennes az antenna által ENS Cachan nyitotta a 1990-es évek végén. Még több...
20 janvier 2011

Photographie du marché du travail en 2009

http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gifRésultats de l’enquête Emploi, Anne Mansuy et Cédric Nouël de la Buzonnière, division Emploi, Insee.
Résumé
En 2009, 25,7 millions de personnes occupent un emploi et 2,6 millions sont au chômage au sens du BIT. La part des personnes de 15 à 64 ans ayant un emploi a diminué entre 2008 et 2009; cette baisse a touché principalement les jeunes hommes. Les jeunes sont plus concernés par des contrats courts et travaillent plus souvent dans la construction, l’hôtellerie et la restauration. Près d’une personne ayant un emploi sur dix travaille dans la même entreprise depuis moins d’un an; 1,4 million de personnes ayant un emploi souhaiteraient travailler plus, soit 5,5% de l’ensemble des actifs ayant un emploi. Les jeunes, notamment les moins qualifiés, demeurent les plus touchés par le chômage. Après 50 ans, plus de la moitié des chômeurs recherchent un emploi depuis plus d’un an.
Passages concernant les seniors
En moyenne en 2009, 56,5% des personnes de 15 ans ou plus vivant en France métropolitaine sont actives, c‘est-à-dire ont un emploi (51,3%) ou sont au chômage au sens du BIT (5,1%); 43,5% sont inactives, c’est-à-dire ne travaillent pas et ne recherchent pas activement un emploi ou ne sont pas disponibles pour en occuper un. 64% des 15-64 ans ont un emploi mais ce taux d’emploi a baissé de 0,8 point entre 2008 et 2009. Cette chute a essentiellement touché les hommes (− 1,2 point contre − 0,4 point pour les femmes) et les jeunes de 15 à 24 ans (− 0,9 point) alors que le taux d’emploi des seniors (entre 50 et 64 ans) s’est maintenu à 55,5%...
Selon leur âge, les salariés n’occupent pas les mêmes emplois. Il y a plus d’ouvriers parmi les jeunes (35%) que parmi les seniors (23%). Les 15-24 ans sont également un peu plus nombreux que les plus de 50 ans à être employés (40% contre 34%). À l’inverse, il y a presque cinq fois moins de cadres parmi les jeunes (4%) que parmi les seniors (19%)...
En outre, les jeunes salariés sont, en proportion, plus nombreux que les seniors à travailler dans le secteur privé: 86% des salariés de 15-24 ans travaillent dans le secteur privé, contre 73% de ceux de 50 ans et plus. Ceci s’explique par le fait que le niveau moyen d’études est plus élevé dans la fonction publique, mais également que le passage du public vers le privé est moins fréquent que l’inverse...
Les jeunes travaillent plus souvent que les seniors dans la construction: ce secteur emploie plus d’un jeune sur dix, mais un senior sur vingt. En revanche, seul un jeune sur huit travaille dans l’industrie, contre près d’un senior sur six.
Dans le secteur tertiaire, les activités de commerce et la réparation d’automobiles et de motocycles concentrent 20 % des jeunes salariés, contre moins de 11% des seniors. Les salariés de 15 à 24 ans sont proportionnellement trois fois plus nombreux que ceux de 50 ans et plus dans l’hébergement et la restauration: 8% des jeunes y travaillent, contre 3 % des seniors. Ils sont également plus concentrés que les seniors dans les activités scientifiques et techniques, les services administratifs et de soutien (12% contre 8%).
À l’inverse, l’administration publique, l’enseignement, la santé et l’action sociale constituent un secteur accueillant plus de seniors que de jeunes: près de 34 % des seniors y travaillent, contre un peu moins de 20% des jeunes salariés...
La progression est la plus forte parmi les jeunes et les seniors: il y a, en 2009, 27% de chômeurs de plus chez les 15-24 ans, 23% chez les 25-49 ans et 26% chez les 50 ans et plus. La part des chômeurs dans la population totale de 15 ans et plus est de 5,1%. La part des chômeurs est plus élevée chez les 15-24 ans (8,6%) et les 25-49 ans (7,3%) que chez les 50 ans et plus (2,0%). Les personnes de 25 à 49 ans se distinguent par leur taux d’activité très élevé, près de 90%, à comparer à 36% pour les 15-24 ans et 33% pour les 50 ans et plus...
http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gif Riżultati ta 'l-Istħarriġ Impjiegi, Mansuy Anne u Cedric l Nouel Buzonnière, Diviżjoni Impjiegi, INSEE.
Fl-2009, 25700000 persuna huma impjegati u 2.6 miljun huma qiegħda skond ILO. Il-proporzjon ta 'nies 15-64 ma' l-impjiegi naqsu bejn 2008 u 2009 dan it-tnaqqis kien prinċipalment irġiel żgħażagħ. Iż-żgħażagħ huma aktar konċernati bit-kuntratti għal żmien qasir u xogħol l-aktar fil-kostruzzjoni, l-ospitalità u catering. Kważi wieħed minn għaxra impjegati maħduma fl-istess kumpanija għal inqas minn sena, 1.4 miljun persuna fl-impjieg tixtieq taħdem aktar, jew 5.5% tal-assi totali impjegat. Iż-żgħażagħ, partikolarment dawk b'ħiliet inqas, jibqa 'l-aktar milquta mill-qgħad. Wara 50 sena, aktar minn nofs ta' l-impjiegi li jfittxu li ilhom qiegħda għal aktar minn sena. More...
19 janvier 2011

Se former en arrêt-maladie, c'est possible !

http://www.cariforef-mp.asso.fr/template/cariforef/img/logo.gifL'article 84 de la Loi de finances de la Sécurité sociale pour 2011 autorise le cumul des indemnités journalières perçues en arrêt-maladie avec le suivi d'une action de formation professionnelle. "Le versement de l'indemnité journalière ne fait pas obstacle à ce que l'assuré demande, avec l'accord du médecin traitant, à accéder aux actions de formation professionnelle continue (...) ou à des actions d'évaluation, d'accompagnement, d'information et de conseil auxquelles la caisse primaire participe, sous réserve qu'après avis du médecin-conseil la durée de ces actions soit compatible avec la durée prévisionnelle de l'arrêt de travail. La caisse fait part de son accord à l'assuré et, le cas échéant, à l'employeur, ce dernier en informant le médecin du travail. (...) Le contrat de travail d'un salarié atteint d'une maladie ou victime d'un accident non professionnel demeure suspendu pendant les périodes au cours desquelles il suit ces actions". Article 84 de la loi n° 2010-1594 de financement de la Sécurité sociale pour 2011 du 20.12.2010. JO du 21.12.2010.
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http://www.cariforef-mp.asso.fr/template/cariforef/img/logo.gif 84. cikk A költségvetési törvény 2011-es Social Security lehetővé teszi, hogy a felhalmozási napidíjak gyűjtött off-track betegség képzési szakember. "A fizetés a napidíj nem zárja ki a biztosított kéri, a megállapodást a kezelőorvos, hozzáférés a szakképzéshez (...) vagy tevékenységét értékelő, kísérettel, információt és tanácsot, amely az elsődleges alap részt vesz, feltéve, hogy a felülvizsgálatot követően az orvosi ellátás időtartama Ezen intézkedések összhangban van a várható időtartama a munkabeszüntetés. A testület kifejezte egyetértését a biztosított, és adott esetben a munkáltató, az utóbbi tájékoztatása az orvos. (...) A munkaszerződés a munkavállaló szenved betegség vagy baleset szakszerűtlen marad felfüggesztve időszakokban, amelyben követi ezeket az intézkedéseket." Még több...
18 janvier 2011

Is Education A Public Good or a Private Good?

http://chronicle.com/img/chronicle_logo.gifWhat makes a good a public good? Sandy Baum and Mike McPherson consider the case of higher education.
Advocates for more generous support of students frequently bemoan what they perceive as a social shift from viewing higher education as a “public good” to viewing it as a “private good.” What they mean is that the public gets benefits from people going to college and should not be transferring responsibility for the costs of education to students themselves. This conversation would be more constructive if its terms were more clearly defined and its categories less starkly delineated.
The concept of public goods is central to economic analysis of the role of government in the allocation of resources. Public goods are defined by two characteristics:
1) Non-excludability: It is not possible to exclude non-payers from consuming the good.
2) Non-rivalry in consumption: Additional people consuming the good do not diminish the benefit to others.
National defense and mosquito control are standard examples of public goods. The military cannot exclude from protection individuals who fail to pay their taxes. If the neighborhood is sprayed for mosquitoes, everyone in the area will benefit, whether or not they have paid. Moreover, I am no less safe if you are also protected by our army and get no additional mosquito bites just because you are also free from the pests.
Not many goods are perfect public goods. Some have one characteristic or the other. It is difficult to impose tolls on city streets (the streets are for the most part non-excludable), but traffic congestion is obviously a problem (rivalry). On the other hand, it is easy to prevent people who do not pay from entering a half-empty concert hall (excludable) but their presence (assuming they are well-behaved) would not diminish the enjoyment of those who are listening (non-rival).
Higher education is not a pure public good. It is clearly possible to exclude people who do not pay. What people who call education a public good mean is that there are positive externalities—not all of the benefits accrue to the students. Society benefits when more people go to college. People with a college education earn more than others, but their higher earnings do not reflect the whole of their contribution. Others who work with them earn higher wages because of the added flexibility, innovation, and productivity of the labor force. People with a college education tend to be more active citizens, with their volunteering and other activities benefiting those around them. There are more new products and services for all of us to enjoy because of the contributions of college graduates.
So the benefits of higher education are shared by the participants and the rest of society. It follows that it is reasonable for the costs to be shared as well. It would be inefficient not to subsidize colleges and their students. People would under-invest in their own education if they had to pay the full cost, because they would not choose to foot the bill for the benefits shared by all member of the society.
This argument does not, however, mean that students should not be paying a significant share of the cost of their own education—and even borrowing funds to make this investment. The students don’t reap the full benefit—but they do enjoy a significant fraction of it. They are likely to be better off—both financially and otherwise—than their compatriots who do not go to college.
This is not an either/or question. The benefits of college are not all public and they are not all private. The debate should be over what fraction of the cost of postsecondary education students should bear and how large society’s subsidy to them should be. It should not be over whether education is a “public” or a “private” good.
18 janvier 2011

Les compétences, individuelles ou collectives ?

Il est aujourd’hui nécessaire de consolider dans les entreprises les démarches permettant d’identifier la nature et la répartition des savoirs professionnels qui se construisent dans le travail et qui sortent des cadres académiques. « (…) c’est en s’engouffrant dans les zones d’incertitudes, nées des limites du savoir (et donc d’une certaine forme de pouvoir) de la hiérarchie, que les ouvriers construisent cette « organisation clandestine » nécessaire au fonctionnement optimum des installations. » (Bernard Gangloff « L’autorité et le pouvoir » in Jean Luc Bernaud et Claude Lemoine, Traité de psychologie du travail et des organisations,  Dunod, 2000). L’intelligence collective des entreprises est trop souvent sous-estimée ou sous-utilisée (la faible reconnaissance de l’usage des TIC par les salariés illustre ce constat) et entraîne une minoration des ressources formatives internes. Par ailleurs le non renouvellement des critères collectifs de la qualification professionnelle et la fuite en avant dans une approche essentiellement individualisée des compétences professionnelles fait obstacle à une optimisation de cette intelligence collective.
Compétences individuelles et performance collective deviennent des concepts clé pour penser le travail et ses évolutions. Par exemple l’organisation « à l’ancienne » d’une partie des fonctions de conception s’avère de plus en plus en décalage avec les processus d’innovation de terrain : « Au siège, il arrive même qu’on fasse des plans sur des modifications déjà faites dans la pratique ! Et pourtant ce travail est invisible d’en haut et même méprisé. » (Yves Clot, Le travail sans l’homme ? Paris, La découverte/poche, 1998) Cette posture d’une grande partie des cadres et des ingénieurs mais aussi des milieux de la recherche ne facilite pas les travaux visant à objectiver l’enrichissement des compétences des fonctions considérées comme « subalternes ».

18 janvier 2011

Constituer un dossier RAEP

http://concours.fonction-publique.gouv.fr/gcp/webdav/site/dgafpconcours/shared/focus_metier/lg_bastia.jpgSTAGE "CONSTITUER UN DOSSIER RAEP" à MARSEILLE, du 23/03/2011 au 24/03/2011.
OBJECTIFS

. Comprendre la notion de la reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle (RAEP) et appréhender les principes de cette nouvelle épreuve de concours.
. Analyser son parcours professionnel pour mieux mettre en valeur son expérience.
. Sélectionner des documents issus de sa pratique professionnelle témoignant au mieux de cette expérience pour construire un dossier convaincant.
. Savoir décrire son expérience professionnelle en fonction de l’emploi référence visé par le concours.
PROGRAMME
. Définition de la RAEP
. La réglementation relative à la RAEP
. Les attentes du jury par rapport à l’emploi visé par le concours
. La notion d’acquis de l’expérience professionnelle : savoirs techniques, compétences et aptitudes professionnelles
. Le dossier de RAEP : méthodologie pour décrire son expérience professionnelle, choix des documents, principes rédactionnels adaptés à l’épreuve.
. Exercice pratique : remplir le dossier de RAEP à partir de sa propre expérience professionnelle en cohérence avec l’emploi référence.
METHODE PEDAGOGIQUE:

. Apports théoriques avec présentation PowerPoint et exercices pratiques.
. Travail en sous-groupe
INTERVENANT
MICHELE HELBERT, IRA de Lyon, Préfecture des Alpes-Maritimes (attaché de préfecture). Ville de Cannes (directeur territorial) intégrée dans la fonction publique territoriale. Actuellement Responsable du service Formation et Professionnalisation. Titulaire d'un Master 2 Formation et Gestion des compétences j'anime des formations car j'aime enseigner aux adultes, le contact avec le groupe et je me sens utile...
PUBLIC
Agents se présentant aux concours de Secrétaire Administratif et d’Attaché.
http://concours.fonction-publique.gouv.fr/gcp/webdav/site/dgafpconcours/shared/focus_metier/lg_bastia.jpg STAGE "A FIL CSAR" i Marseille fra 23/03/2011 til 24/03/2011.
MÅL

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Forstå begrepet anerkjennelse av tidligere erfaring (CSAR) og forstå prinsippene i dette nye feltet hendelsen.
.
Analysere din karriere til bedre markere sin erfaring.
.
Velg dokumenter fra sin profesjonelle praksis reflekterer det beste av denne erfaringen til å bygge en overbevisende sak.
.
Kunne beskrive sin opplevelse i form av sysselsetting referanse henvist av konkurransen. Mer...

18 janvier 2011

Le e-learning: un « enjeu » pour les universités

http://www.study-mail.com/emailing/newsletter_focuscarriere/images/logo_vocatis.gif« Dans la francophonie, le déclin du français n’est pas un problème de demande mais un problème d’offre » de formation qu’il faut « renforcer », et le e-learning représente pour cela « un véritable enjeu qui dépasse l’aspect technologique pour être culturel », indique Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre, sénateur et président de la Fondation prospective et innovation.
Présentant le programme d’un colloque que sa fondation organise vendredi 14 janvier 2011 à Paris sur le thème «  e-learning, un outil adapté pour la formation continue et universitaire », Jean-Pierre Raffarin insiste sur « la capacité d’utiliser, à partir des universités, des technologies pour la formation ».
Selon Jean-Pierre Boisivon de l’Institut de l’entreprise et membre du conseil d’administration de la fondation, « l’accès même à l’enseignement supérieur ne pourra pas se faire dans les formes traditionnelles d’accueil : l’Inde, qui a potentiellement 200 millions de jeunes à scolariser dans le supérieur, est en train de développer l’enseignement supérieur en ligne ».
Pour l’ancien directeur de l’évaluation et de la prospective du ministère de l’Éducation nationale, un des enjeux du e-learning est bien « la démocratisation » de l’accès aux études, car le e-learning permet des coûts « bien inférieurs » aux modes traditionnels de formation. « Pour un MBA, les frais de scolarité sont de 100 000 dollars sur deux ans, auxquels il faut ajouter le manque au niveau du salaire, alors qu’avec le e-learning on peut continuer à travailler et on peut scolariser davantage d’étudiants, donc baisser les prix »...
http://www.study-mail.com/emailing/newsletter_focuscarriere/images/logo_vocatis.gif "A Frankofónia, a csökkenés a francia nem probléma, hanem a kereslet a probléma az ellátás" nevelés kell "erősíteni", és az e-learning számlák miért "a valódi kérdés túl technológiai szempontból, hogy a kulturális, "mondta Jean-Pierre Raffarin, volt miniszterelnök, szenátor és elnöke Előrejelzési és Innovációs Alapítvány.
Bemutatása napirendjén a konferencia, hogy az ő alapítvány szervez péntek, január 14., 2011-ben Párizsban, amelynek témája: "e-learning, a megfelelő eszköz a folyamatos képzés és az egyetemi," Jean-Pierre Raffarin ragaszkodik ahhoz, hogy "azok használatának képessége, az egyetemekről, technológiai képzés."
Még több...
18 janvier 2011

Higher Education Management and Policy

Higher Education Management and Policy, Volume 22 Issue 3 includes articles on project economy approaches, multidimensional ranking, the global impact of the financial crisis, sustaining leadership, government funding as leverage for quality teaching, and skills and offshoring.
Previously published as Higher Education Management, Higher Education Management and Policy (HEMP) is published three times each year and is edited by the OECD’s Programme on Institutional Management in Higher Education. It covers the field through articles and reports on such issues as quality assurance, human resources, funding, and internationalisation. It also is a source of information on activities and events organised by OECD’s IMHE Programme.
John Craig, Andrew Gunn, Higher skills and the knowledge economy: the challenge of offshoring. Recent economics literature on offshoring highlights the trend towards the relocation of high-skill jobs to emerging economies. This evolution presents a challenge to the established knowledge economy discourse on which the relationship between higher education, higher skills, higher productivity and higher incomes has been based. This paper identifies some tentative impacts of offshoring for employment and education patterns in OECD countries and argues that the assumptions of the knowledge economy discourse need to be revised. The implications for higher education institutions are considered and three potential strategic responses are presented.
Sabiha Y. Essack, Indirani Naidoo, Glen Barnes, Government funding as leverage for quality teaching and learning: a south african perspective. The South African Higher Education Funding Framework uses funding as a lever to achieve equitable student access, quality teaching and research, and improved student retention and success. Maximising a university subsidy from the national Department of Education necessitates innovative strategies at the pre- and post-student admission stages. This paper describes how the resource base of the Faculty of Health Sciences at the University of KwaZulu-Natal was increased by the Academic Development and Student Support project which enabled the Faculty to meet enrolment targets and increase graduation rates.
Robin Middlehurst, Sustaining leadership in challenging times. Some governments hit by recession have chosen to invest in higher education as part of long-term economic and social development and international competitiveness agendas; others have opted for a route of cuts, financial stringency and contraction of their higher education systems. This article explores challenges to leadership in the latter context. Different types of institutional responses are examined in terms of three categories: reactive, adaptive and generative, first in terms of the nature of responses and second in relation to three institutional case studies. The higher education responses are then compared with the responses – and associated leadership lessons – that have been compiled from other sectors. Different forms of leadership development are also helping leaders to meet the challenges at individual, team and organisational levels, within and across countries and sectors.
Heather Eggins, Peter West, The global impact of the financial crisis. The impact of the financial crisis on higher education has been considerable, and its effects are continuing. These effects can be discerned in a number of ways; but whereas both developed and developing countries are affected, they can be affected differently. A modifying factor is the shape and structure of the higher education system within each country. This paper looks at developed and developing countries and considers key areas of higher education affected by the financial crisis and possible ways forward.
Frans van Vught, Don F. Westerheijden, Multidimensional ranking. This paper sets out to analyse the need for better "transparency tools" which inform university stakeholders about the quality of universities. First, we give an overview of what we understand by the concept of transparency tools and those that are currently available. We then critique current transparency tools’ methodologies, looking in detail at the question of data sources, the risks involved in constructing league tables and the challenges in using composite indicators. Lastly, we argue in favour of developing a new principle for transparency tools: that of multidimensional ranking.
Ingo Rollwagen, Project economy approaches for higher education.

17 janvier 2011

Budget des universités en 2011

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau03.jpgValérie Pécresse a annoncé une hausse moyenne  de 3% du budget de fonctionnement des universités pour 2011. Au total, sur la période 2007-2011, les universités auront bénéficié d'une hausse inédite de 22%. Dossier complet : Moyens des universités en 2011.
L’année 2011 s’inscrit dans la poursuite d’une dynamique impulsée depuis 2007 qui s’est traduite par une augmentation inédite des moyens des universités. Toutes les universités voient encore en 2011 leurs moyens de fonctionnement progresser à hauteur de 3% en moyenne. Toutes progressent d’au moins 1,5%. Sur la période 2007-2011, les universités ont vu leurs moyens de fonctionnement augmenter de 22% en moyenne, pour une augmentation totale de 395 M€ sur la période. De façon cohérente, sur ces 5 ans, les augmentations ont été différenciées, afin d'assurer un rattrapage des universités qui avaient été historiquement les moins bien dotées, alors que leur activité et leurs performances justifiaient des hausses substantielles. C'est le cas d'universités comme Lille II, qui a connu une très forte augmentation de ses effectifs et qui a vu ses moyens augmenter de 56 % entre 2007 et 2011. C'est également le cas d'universités de la périphérie parisienne qui ont accueilli des étudiants de plus en plus nombreux, comme Paris XIII, qui a vu ses moyens augmenter de 31 % depuis 2007 ou de Marne la Vallée (+25%). Les universités en région et de plus petite taille ont également bénéficié de très belles augmentations. On peut ainsi citer: Angers (+50%), Chambéry (+27%), Nîmes (dernière université créée, avec +44%) Les universités à dominante en sciences humaines et sociales ont également bénéficié d’un rattrapage important de leurs moyens, avec une augmentation moyenne de 26,4% et des augmentations inédites, comme Grenoble II qui a vu ses moyens progresser de 36,1%...
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau03.jpg Valerie Pécresse bejelentette átlagos növekedés 3%-os egyetemi működési költségvetés a 2011. Összesen több, mint a 2007-2011 közötti időszakra, az egyetemek kaptak példátlan növekedést 22%-os. Full Record: eszközök egyetem 2011-ben. Még több...
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