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Formation Continue du Supérieur
22 mars 2013

Talents - en 2013, toujours une priorité

http://www.amge-jobs.com/wp-content/uploads/2010/06/logoFocusRH.jpgParBrice Ancelin. Le rapport 2013 des tendances globales de l’évaluation publié par SHL révèle que, cette année encore, la gestion des talents demeure une priorité pour les professionnels RH. Explications…
« Priorité renouvelée pour l’implication et le leadership en 2013 ». Voilà la première conclusion tirée par les analystes de SHL dans cette nouvelle édition des tendances globales de l’évaluation. Des priorités suivies, dans une moindre mesure, par la gestion de la performance, la gestion du personnel/l’analyse des talents ou encore la formation et les plans de succession. Des prioritaires similaires en 2012, selon les analystes. Alors que l’inquiétude se poursuit sur le front du recrutement des talents (73% estiment que les recrutements des meilleurs éléments sera difficile contre 64% en 2012), les entreprises interrogées entendent miser davantage sur le développement interne que sur le recrutement. Et, paradoxalement, « le développement professionnel en tant que stratégie de rétention n’est pas utilisé par une très grande majorité des entreprises », notent les auteurs de l’étude.
Retrouvez l’intégralité de cette étude sur le site de SHL. Suite de l'article...

http://www.amge-jobs.com/wp-content/uploads/2010/06/logoFocusRH.jpg P Cruinniú Tuairisc Brice Ancelin. Treochtaí Nochtann 2013 mheasúnú domhanda foilsithe ag SHL go na bliana seo, tá bainistíocht tallainne tosaíocht do lucht gairme Acmhainní Daonna. Mínithe. Níos mó...
22 mars 2013

10 conseils pour intégrer les jeunes de la génération Y

Par Joëlle Brunet-Labbez. Management: 10 conseils pour intégrer les jeunes de la génération Y.
Ils représenteront 40% des effectifs dans les entreprises en 2015... Différente de ses aînés, la génération Y a des exigences et des besoins spécifiques en matière de management. Conseils.
La première étape lors de l’intégration d’un "Y" est de construire la confiance, car il faut savoir qu’un jeune de la génération Y ne reconnait que l’autorité du professionnalisme, de la réussite personnelle et de la performance de l’entreprise.
1 Comprenez en quoi ils sont différents de leurs aînés. Adaptez le discours: plus direct, plus concret, plus pragmatique.
2 Adoptez un management plus transversal. Restez ouvert en recherchant dans vos pratiques ce qui relève de l’habitude ou du cœur du métier, pour les faire évoluer.
3 Suscitez des tuteurs ou mentors volontaires et formés. Ni parent, ni prof, mais pro: l’instinct ne suffit pas.
4 Donnez lui donner du « vrai » travail, dans un temps normal, l’accompagner à une distance raisonnable. Cadrez-le, en lui laissant une autonomie.
5 Débriefez. Evaluez. Donnez des axes de progression.
6 Respectez les règles de courtoisie et de neutralité affective: vous ne vous êtes pas choisis mais vous devez collaborer fructueusement.
7 Tenez compte de ses remarques même candides: elles vous apportent un regard extérieur, frais, sur vos pratiques et peut donc être source d’innovation.
8 Montrez-vous fédérateur, juste et transparent.
9 Horizontalement autant que verticalement, un Y VEUT évoluer. Enrichir ses compétences et sa vision de l’entreprise lui permet de progresser. Tenez-le donc au courant de vos projets, incluez-le... A défaut, vous risqueriez de le perdre.
10 Sachez qu’un Y est toujours en recherche d’accomplissement personnel. Il ne peut se résoudre à s’ennuyer.
Diplômée de Sciences-Po, Joëlle Brunet-Labbez a enseigné l’économie et le droit pendant 15 ans. Elle oriente aujourd’hui des jeunes diplômés et est consultante en ressources humaines auprès des organisations, notamment sur l’insertion des jeunes collaborateurs. Elle est l’auteur du guide "Innover avec la généraion Y" paru chez Studyrama Innover avec la génération Y.
By Joëlle Brunet-Labbez. Management: 10 Tips to integrate young generation Y.
They represent 40% of companies in 2015 ... Different from their elders, Generation Y has different requirements and specific needs of management. Advice.
The first step in the integration of a "Y" is to build confidence, because you should know that young Gen Y does not recognize the authority of professionalism, personal achievement and performance the company. More...
22 mars 2013

Signature du premier contrat de génération

Après le déplacement du Président de la République à Blois le 4 mars dernier pour la signature d’un premier engagement d’entreprise pour des contrats de générations, a été conclu en Alsace le premier contrat au sein de l’entreprise Réseau GDS. Toutes les informations sur le dispositif sont en ligne: infos sur le contrat de génération.
C’est une première en Alsace: le 21 mars 2013, dans les locaux de Réseau GDS à Strasbourg, en présence de MM. Stéphane BOUILLON, Préfet de la région Alsace et Olivier BITZ, Président de Réseau GDS, ont été signés le premier contrat de génération et le premier accord intergénérationnel d’entreprise, dans la suite de la loi du 1er mars 2013. La loi portant création du contrat de génération est entrée en vigueur ce lundi 18 mars. Avec les emplois d’avenir, il s’agit d’un grand outil de la politique pour l’emploi du Gouvernement. Aussi, après le déplacement du Président de la République à Blois le 4 mars dernier pour la signature d’un premier engagement d’entreprise pour des contrats de générations, c’est en Alsace que vient d’être signé le premier contrat au sein de l’entreprise Réseau GDS le 21 mars, en présence de Monsieur Stéphane BOUILLON, Préfet de région. Réseau GDS avait lancé dès la rentrée 2012 une réflexion sur les termes et perspectives du contrat de génération, dont les contours commençaient alors à se préciser. Le dialogue engagé en amont avec les partenaires sociaux a permis de mettre en évidence tout l’intérêt de ce dispositif, qui va dans le sens d’une gestion active des âges et des compétences tout en servant les engagements citoyens de l’entreprise. Le projet d’accord intergénérationnel a été élaboré début 2013, anticipant la publication de la loi et de son décret d’application. Signé le 18 mars par les partenaires sociaux et la direction de Réseau GDS, cet accord se concrétisera par l’embauche début avril, dans le cadre du contrat de génération, d’un jeune diplômé de 22 ans originaire de Mulhouse, titulaire d’un DUT Informatique, à un poste d’agent technique d’études. Ce jeune embauché chez Réseau GDS bénéficiera de l’accompagnement d’un « référent » expérimenté, lui permettant de faciliter son intégration dans l’entreprise et d’acquérir dans les meilleures conditions les compétences nécessaires à l’exercice de son métier. Tous deux étaient présents pour la signature de ce premier contrat de génération. D’autres contrats sont d’ores et déjà programmés chez Réseau GDS, pour atteindre l’objectif fixé de 6 embauches sur la durée de l’accord (3 ans). Le contrat de génération traite trois objectifs d’un même mouvement: l’insertion des jeunes, le maintien en emploi ou l’embauche des seniors et la transmission des compétences Le contrat de génération permet au senior de ne pas laisser perdre une vie de travail, d’engagement et de savoir accumulés. Pour le jeune, il offre l’occasion d’apprendre les clés de son métier, de gagner en expérience et d’apporter son dynamisme et sa créativité à l’entreprise. Le contrat de génération permet ainsi d’associer l’expérience d’un salarié senior à la motivation d’un jeune qui recherche un emploi. Le contrat de génération porte donc un changement de regard: regarder les jeunes comme une chance et comme un investissement pour l’entreprise, et reconnaître la valeur des salariés âgés, riches d’une expérience précieuse pour toute organisation. Parce ce que c’est l’alliance des générations qui fera la force de l’économie et de la société françaises.
Tar éis bogadh Uachtarán na Poblachta Blois ar 4 Márta sí freagrach as síniú tiomantas tosaigh conarthaí gnó do na glúnta a bhí i gcrích, i Alsace an conradh den chéad uair sa líonra gnó GDS. Tá gach eolas mar gheall ar an gléas ar líne infossur an contratdegénération. Níos mó...
22 mars 2013

ALFA PUENTES project: Advances in qualification frameworks and mobility strategies in Latin America

LogoTwo “sub-regional” Latin American workshops were held in Mendoza, Argentina and in Tegucigalpa, Honduras, in the first two weeks of March, examining mobility strategies and qualifications frameworks respectively.Part of the ALFA PUENTES project, these two events contributed to the sub-regional projects of the university associations of Central America and Mercosur, and also welcomed a selected number of European experts to share experiences.
In Mendoza, Argentina, on 5-6 March, the University of Cuyo and the Argentinian University Council (CIN) welcomed vice-rectors, heads of international offices and several representatives of national education ministries of Brazil, Paraguay, Argentina and Uruguay to discuss three themes of research interest to the region: the relationship of mobility to employability of graduates, quality of programmes and regional integration. The workshop was also an occasion to present current research on mobility that has been done in the region and compare it to current European mobility debates. Representatives of the national rectors’ conferences of Portugal (CRUP), Spain (CRUE) and Poland (CRASP), all EUA members and project partners, each contributed institutional case studies to the debate. The outcomes of this event will feed into the development of a “white paper” for the Mercosur countries and stimulating and improving mobility within the region.
Following this event, on 11-12 March, vice-rectors from Central American universities were welcomed by the Universidad Nacional Autonoma de Honduras (UNAH) in Tegucigalpa to debate and shape a proposed regional qualification framework (QF) for higher education. The draft framework is the result of research and consultation of academics in five Central American countries, led by the CSUCA (Central American University Council). EUA and various European experts have been supporting this endeavour by sharing current European developments with regards to QFs and their implementation. To prepare this meeting, EUA met with the Costa Rican Rectors’ Conference (CONARE), the project researchers and a Mexican and German institutional expert in San José two weeks prior to the Honduras workshop to synthesise research results and brainstorm descriptors for three education cycles in Central America (first, second and third cycle). The QF will be further consulted in the institutions of the region in the upcoming year and will also be tabled to accreditation agencies and relevant national ministries in Central America.
ALFA PUENTES is a European Commission co-funded project coordinated by EUA in conjunction with 23 national and regional university associations in Latin America and Europe. For more information, please see:
http://alfapuentes.org/portal.
22 mars 2013

Update on EU long-term budget negotiations (MFF)

LogoIn a resolution adopted on 13 March, the European Parliament reacted to the conclusions of the February meeting of the EU heads of state and government (European Council) in relation to the next long-term EU budget (2014-2020), the so-called Multiannual Financial Framework.
The resolution – adopted by 506 votes to 161, with 23 abstentions – states that the Parliament “rejects the agreement in its current form, as it does not reflect the priorities and concerns expressed by Parliament”. In particular, the Parliament wants more flexibility with the budget and that the issue of unpaid bills from 2012 be settled before concluding the Multiannual Financial Framework (MFF) negotiations. It also wants a political undertaking that all bills due in 2013 will be paid in 2013, so as to avoid "rolling over" a deficit into the new MFF.
The resolution also “reiterates the view that the MFF should ensure the successful implementation of the Europe 2020 strategy and endow the EU with the necessary means to recover from the crisis and come out stronger”. It stresses “the importance of substantially increasing its investments in innovation, research and development, infrastructure and youth, meeting the EU's climate change and energy objectives, improving education levels and promoting social inclusion, while fulfilling its international commitments”.
The Irish Presidency of the EU noted that the negotiations on the MFF would now continue with a view to reaching an agreement before the end of the Presidency in June. The informal negotiations should result in a regulation laying down the MFF, for which the Parliament's consent is required.
The Parliament is also negotiating the legal bases for the different EU programmes (including Erasmus for All and Horizon 2020) in parallel, but for these, the Parliament and the Council decide on the basis of co-decision. If there is no agreement by the start of 2014, the MFF ceilings from 2013, adjusted for inflation, will apply. Please see the European Parliament website for more information. More information on the European Council’s agreement was published in EUA’s newsletter in February.

22 mars 2013

8th European Quality Assurance Forum

LogoCall for contributions: 8th European Quality Assurance Forum, Gothenburg, Sweden (21-23 November 2013)
EUA is pleased to announce that the 8th European Quality Assurance Forum (EQAF) will take place at the University of Gothenburg, Sweden, on 21-23 November 2013.
Through a mix of plenary and parallel sessions, the 2013 EQAF, entitled “Working together to take quality forward”, will combine practice-oriented or research-based discussions that will take place in the paper sessions and workshops with presentations of current developments in quality assurance. This year the Forum will specifically explore how both individuals and organisations can better understand the role that quality assurance can play in their daily lives, get engaged and work together to take quality forward.
The Forum organisers, ENQA, ESU, EUA and EURASHE, have now opened a call for contributions from QA practitioners in higher education institutions and quality assurance agencies, students, institutional leaders and researchers in the field. Two types of contributions are sought: papers and workshops.
The deadline to submit contributions is 2 August 2013.
The call for contributions and proposal submission forms are available here.
22 mars 2013

Research Policy Working Group holds Dialogue on University-Industry Collaboration

LogoAt its recent meeting on 7 March, EUA’s Research Policy Working Group welcomed as its invited guest Leopold Demiddeleer, Director of Solvay Future Businesses, and President of the European Industrial Research Management Association (EIRMA). EIRMA, a European Association whose membership comprises over 100 large/medium-size European companies, has collaborated with EUA in the development of the “Responsible Partnering Guidelines” and in EUA projects examining university-industry cooperation, EUIMA project on Collaborative Research and the DOC-CAREERS projects on collaborative doctoral programmes. Dr Demiddeleer reflected on the positive experience of these EUA-EIRMA collaborations and reviewed the current state-of-play with respect to university-industry research collaboration from the industry perspective.
The RPWG dialogue with Dr Demiddeleer debated the importance for future university-industry collaboration of enhancing inter-disciplinary research collaboration in addressing major societal challenge fields such as energy, food and water. New visions and approaches in research, education and training needed to be fostered to meet these challenges and opportunities, with universities seen as key sources of innovative thinking in partnerships with industry in this respect. A lively debate took place on the importance and changing nature of the “eco-systems” of science and innovation at local through to international level and the various forms of clustering of universities and companies in productive innovative environments. Financing of early stage innovation arising from university research through “spin-offs” remained a major challenge, and IPR issues particularly concerning rights to “background knowledge” that universities bring into research collaborations with industry were subjects of perennial importance in consortia building for research partnerships. It was agreed that a new revised edition of the “Responsible Partnering Guidelines” could focus valuably on these key issues drawing on recent examples of good practices.
In addition to the dialogue with Dr Demiddleer, the RPWG March meeting agenda included reviewing progress on the European Institutional Negotiations on EU MFF 2014-2020, Horizon 2020 and its Rules for Participation, the implementation of the Memorandum of Understanding on the ERA signed between EUA and the European Commission, and discussion of EUA’s relations with the European Research Council. On ERC, RPWG considered the request to EUA from the Search Committee for nominations of candidates for the position of ERC President; outcomes of the recent meeting between representatives of EUA and the ERC Standing Committee on Conflicts of Interest, Scientific Misconduct and Ethical issues; and EUA’s participation in the recent ERC discussions on widening participation held in Vienna.
22 mars 2013

Update on developments in the Bologna Process

LogoLast year’s Bologna Process Ministerial Conference in Romania, and the resulting Communiqué, set out a number of goals with regard to the future development of the European Higher Education Area (EHEA).
Underlining the importance of investment in higher education, the Bucharest Communiqué stresses the need to provide high quality higher education for all, to enhance graduates' employability and to strengthen mobility as a means for better learning. A new strategy on mobility “Mobility for better learning” was also adopted. These were amongst the topics addressed in EUA’s input statement to the Ministerial Conference, which outlined universities’ priorities for the future of the EHEA.
EUA is an official consultative member of the Bologna Process, and participates actively in the ministerial conferences as well as in the Bologna Follow Up Group (BFUG), which between the ministerial meetings follow up on the commitments agreed in the Communiqué and also assess the progress made. After the Bucharest conference, the Bologna Secretariat is now with Armenia, which provides support for the process, and will also host the next Ministerial Meeting in Yerevan, in 2015. In the past, the work of the BFUG has been organised in a wider range of parallel thematic working groups and networks, which all published their own reports. In this regards the “Bologna Implementation Report”, launched at the last ministerial meeting, was a new departure, as it analysed and aggregated results from all working groups.
In the current round from 2012 to 2015, a much more structured approach is already taken in the organisation of the work, with four major working groups:

  • Reporting on the implementation of the Bologna Process – which will prepare the next implementation report for 2015
  • Structural reforms (Qualifications frameworks, recognition, quality assurance and transparency)
  • Mobility and internationalisation
  • Social dimension and lifelong learning

This approach has been chosen, both to ensure that certain issues are not developed in isolation, but rather linked to each other (e.g. the interrelation between quality assurance, qualifications frameworks and recognition), and also to coordinate sub-working groups and task forces, which focus on more specific aspects, and feed into the working groups. The BFUG recently met in Dublin on 14-15 March to endorse the Bologna Work Programme for 2012-2015. The Work Programme states a stronger focus on implementing agreed Action Lines and sharing good practice on areas such as widening access, student-centred learning, employability, recognition practices and developing qualifications frameworks, based on learning outcomes.
EUA contributes to all the working groups and most of the sub-working groups. In addition, European Ministers at the 2012 conference have mandated EUA together with the other members of the E4 group ENQA, ESU and EURASHE, in close cooperation with Education International, BUSINESSEUROPE and the European Quality Assurance Register for Higher Education (EQAR) to prepare an initial proposal for a revision of the European Standards and Guidelines for Quality Assurance (following the MAP-ESG project). A summary of the recent meetings of the different workings groups can be found on the EHEA website.
Meanwhile, EUA continues to also monitor the related HE developments within the European Union, which are not part of the Bologna agenda, but often linked, such as the recognition of professional qualifications. The latest update on European-level developments regarding the EC Directive 2005/36/EC on the recognition of professional qualifications and related issues is now available on the EUA website.

22 mars 2013

ATHENA project: launch of website and first Moldovan event

LogoEUA launches this week a new website dedicated to the ATHENA project. The website will track the development of the project, which aims to contribute to the development, reform and modernisation of higher education systems in Moldova, Ukraine and Armenia.
It also includes useful resources and information about the three higher education systems concerned under ATHENA. The website is available here: www.athena-tempus.eu.
On 19 March, EUA also met with the Moldovan partners of the ATHENA project for an evaluation of the next steps needed in governance and funding reforms of the Moldovan higher education system. The partners notably reviewed the findings of the data collection process they all contributed to. This preparatory visit marks one of the first milestones of the project. On 29 May, EUA and the Moldovan project partners will organise the first ATHENA workshop, an event designed to foster a national dialogue on the topic of university governance and funding reforms in the country. The ATHENA project is led by a consortium of 22 partners, from Moldova, Ukraine and Armenia, as well as universities from Portugal, Finland and the Netherlands. The participating Moldovan institutions are the Academy of Economic Studies of Moldova, Cahul State University, the Free International University of Moldova as well as the National Council of Rectors and the Ministry of Education of Moldova. The ATHENA project is co-funded by the European Commission under the Tempus programme.
22 mars 2013

Mieux s’orienter/Mieux informer: Les futurs outils qualité du sup’

Conférence des présidents d'universitéDeux nouveaux instruments ont fait leur entrée dans le monde du supérieur pour aider les étudiants à optimiser leur orientation: le classement U’Multirank et l’outil Ceres. Le premier, européen, à visée internationale, le second, français, à visée européenne. Les deux permettront  des classements multicritères et personnalisés des établissements universitaires mais surtout culturellement adapté aux pays européens.
Le classement

Projet porté par un consortium - CHE (Center for Higher Education, Allemagne), CHEPS (Center for Higher Education Policy Studies, Hollande), OST (France), le classement U-Multirank est entré en deuxième phase de conception. A terme il s’agira d’un nouveau type de classement « ouvert, multicritère et interactif » rendant accessible toutes les informations relatives aux disciplines de formation de 500 établissements européens (dont 30 français). Directement adressé aux étudiants, ce projet relève plusieurs défis, dont le premier est la nouvelle méthodologie qu’il propose. En effet, ce classement a pour objectif d’intégrer toutes les disciplines, le nombre d'étudiants accueillis et diplômés, les liens des universités avec leurs territoires, le transfert vers l'industrie.
Le projet est appuyé par la mise en place de l’outil Ceres, voulu par la CPU, en concertation avec la CGE et la CDEFI.
Le + > http://www.umultirank.org/.
L’outil

Ceres est donc un outil, destiné à informer le grand public en offrant une base d’information complète. L’objectif est simple: répondre le mieux possible aux étudiants confrontés aux choix d’orientation. A la différence du projet U-Multirank, Ceres intégrera des indicateurs et des données spécifiques à la culture française et à ses établissements comme l’insertion professionnelle, la poursuite d’étude, l’accueil des étudiants handicapés, les aides sociales,…
Il ‘s’agit d’un outil interactif et personnalisé fondé sur des indicateurs factuels mais aussi sur la perception des étudiants par rapport à leur formation et leur cadre d’études. Le projet, démarré en mars 2013, est mis en œuvre  par l’OST et a pour ambition d’impliquer étroitement les établissements dans sa réalisation. Du point de vue de la méthodologie, il s’appuiera de près  sur celle utilisée par le CHE allemand. D’ailleurs, pour sa version pilote, la mise en œuvre et la collecte des données auprès des établissements sera menée conjointement par l’OST et le CHE.
A suivre

Le pilote de CERES sera développé sur 15 mois à partir de mars 2013. 5 chantiers ont d'ores et déjà été identifiés:
- mobilisation des acteurs autour des comités de pilotage et d’utilisateurs,
- choix et validation des indicateurs et choix des 3 disciplines pour le pilote,
- collecte et traitement des données,
- publication des résultats et fourniture d'une interface interactive pour leur consultation,
- préparation du modèle économique de CERES pour l’avenir.
La CPU et les conférences seront impliquées dans le choix des indicateurs et des disciplines retenues pour la phase pilote dès les premières réunions du comité de pilotage qui devraient avoir lieu d’ici avril 213. Elles devront aussi être le relais auprès des universités et des établissements impliqués pour préparer la collecte des données et mobiliser les équipes compétentes dans les établissements. Consulter le dossier de presse.
Dossier de presse CERES et U - MultiRank: Aider les étudiants dans leur orientation - Favoriser un management de la qualité - Informer le grand public.
U - MultiRank
Un classement multicritères et personnalisé des établissements universitaires, culturellement adapté aux pays européens

Remédiant aux travers des classements mondiaux présentés sous forme de palmarès, l’Europe vient de lancer officiellement la deuxième phase du programme U - MultiRank pour constituer un classement culturellement ouvert, multicritère et interactif. Cet outil doit ainsi permettre aux étudiants, aux décideurs et au grand public, d’accéder à une information objective, complète et a daptée à leurs besoins d’information sur les différentes disciplines de formation. La mise en valeur, selon toutes les dimensions de leur activité, des points forts spécifiques à chaque établissement mettra mieux en lumière leurs orientations stratégiques et d’attirer les étudiants.
Le projet U - MultiRank est porté par un consortium dont les pilotes sont le CHE (Center for Higher Education, Allemagne) et le CHEPS (Center for Higher Education Policy Studies, Hollande) et auquel l’OST français est associé. Ce projet a fait l'objet d'une première étude de faisabilité dès 2008 sur quelques établissements d'une trentaine de pays (5 en France ). Il entre aujourd’hui dans sa deuxième phase et concernera 30 établissements en France, pour 500 établissements au total. Ce projet financé par l’Europe a aussi une vocation internationale.
U - MultiRank est aujourd’hui l’outil le plus ambitieux et le plus abouti sur le plan méthodologique, mais il devra relever plusieurs défis pour s’imposer en Europe et dans le monde. Le premier d’entre eux est son appropriation par les opérateurs et le public visé dans chacun des pays européens, au premier rang desquels les étudiants auquel il s’adresse. Il est important pour cela qu’il s’appuie sur des outils nationaux d'information comme cela existe déjà en Allemagne. L’Espagne et la France se sont inscrites dans cette démarche en engageant la construction de systèmes d’information nationaux, liés à U - MultiRank.
Une condition de réussite du projet Européen: la participation active des partenaires nationaux

La CPU, en concertation avec les autres conférences CGE et CDEFI, et avec le soutien du MESR, a souhaité s’inscrir e de manière proactive dans cette démarche en construisant un système d’informations, CERES, complètement cohérent avec UMR et destiné à le nourrir au fur et à mesure du développement de ce dernier. En effet CERES, qui s'inspire de la méthodologie déjà opérationnelle du CHE allemand (University Ranking, http://www.che-ranking.de), pourra se développer plus rapidement que UMR pour ce qui concerne l'information sur les établissements français, et il pourra également être plus complet pour le niveau national, en prenant en compte des établissements ou des segments de cursus trop spécifiques de notre système pour qu'UMR puisse les prendre en compte avant de nombreuses années. Ainsi, les étudiants et le public français seront - ils naturellement disposés à adopter UMR dont la logique leur sera déjà familière. Ainsi les exercices nationaux, comme University Ranking en Allemagne et CERES en France seront des appuis et des relais pour le déploiement de UMR.
CERES, Outil de caractérisation des établissements de recherche et d’enseignement supérieur
CERES a aussi un rôle national à jouer

Au plan national, CERES répond aux enjeux de l'orientation et de la réussite étudiante tout en étant un levier de management de la qualité dans les établissements d’enseignement supérieur et de recherche. C’est aussi un outil d’information du grand public.
Les étudiants sont très demandeurs d'un accès à des informations adaptées à leurs attentes pour faire leurs choix d’orientation, en France ou à l’étranger pour ceux qui ont des projets de mobilité internationale. Certaines associations considèrent que U - MultiRank est incomplet car il n’intègre pas toutes les informations attendues par les étudiants (AEF n°178232, 4 février 2013). Le projet CERES permettra d’intégrer des indicateurs et des données spécifiques à la culture de la France et de ses établissements et il permettra ainsi de répondre aux demandes des étudiants qui seront associés au processus de construction du projet pilote. Des indicateurs spécifiques à la France seront ajoutés par rapport à UMR: insertion professionnelle, poursuite d’études, accueil des étudiants handicapés, aide sociale, services proposés par les collectivités, données sur le site (plate - formes technologiques des grands organismes, bibliothèques etc.)... Le mode de diffusion des informations et l’outil interactif et p ersonnalisé devront être préparés en lien avec les étudiants pour répondre au mieux à leurs attentes.
Le détail de CERES

Le projet CERES vise à constituer une base d’informations complète:
- c’est un outil multicritères qui tient compte de toutes les mi ssions des établissements universitaires: qualité des formations et services rendus aux étudiants, liens des établissements avec les territoires, recherche, valorisation et transfert de technologie, international...
- Le choix des critères et des indicateurs sera fait par le comité de pilotage et avec une implication forte de la CPU et des autres conférences (CDEFI, CGE), comme des usagers.
- un outil d’information et d’aide à l’orientation pour les étudiants: l'outil est interactif et personnalisé et permet aux étudiants d'obtenir - par domaine disciplinaire - des informations sur les établissements universitaires, en fonction des critères importants à leurs yeux. L'outil est aussi destiné aux établissements eux - mêmes ou aux partenaires, et au grand public.
- Le choix des domaines disciplinaires pour la version pilote du projet sera validé par l e comité de pilotage.
- La préparation et le choix des modes de diffusion des informations auprès des étudiants et du grand public seront discutés en étroite collaboration avec la CPU et les autres conférences, et avec les étudiants qui en sont les destinataires.
- un outil fondé non seulement sur des indicateurs factuels (nombre d'étudiants, réussite, insertion, publications...) mais aussi sur la perception des étudiants par rapport à leur formation et leur cadre d’études. Il se base donc en partie sur des enquêtes de satisfaction auprès des étudiants.
- Un travail d’instruction sur les sources de données, la faisabilité de la collecte de données ad hoc et de réalisation des enquêtes sera réalisé et présenté au comité de pilotage.
Le pilotage des projets CERES et UMR

Une implication forte de la CGE, la CDEFI, la CPU et des étudiants L'OST a été mandaté par la DGESIP et la CPU comme opérateur pour la mise en œuvre du projet CERES et également pour le projet européen U - MultiRank2. Le pilotage du projet est étroitement mené en lien les conférences des établissements afin de favoriser l'implication des établissements , ce qui est une condition de réussite du projet et de UMR2 . Un travail sera men é dans ce cadre pour choisir les indicateurs, adapter les enquêtes de satisfaction au contexte français , choisir les modes de diffusion des résultats...
Le comité de pilotage est fortement arrimé à la CPU. A travers ce comité et le comité d’utilisateurs, sont associés des experts et les différentes parties prenantes du projet, notamment:
- Les 3 conférences, le ministère (DGESIP, DGRI, IGAENR, SIES, DEPP)
- L'OVE
- Organisations étudiantes
- Parents d'élève du secondaire
- ONISEP
- CNOUS
- L 'UA
- Les Epst
- L 'Amue
- La Caisse des dépôts et consignation
- Partenaire Presse
L’OST est l’opérateur du projet. Il est mandaté par la CPU et la DGESIP pour constituer une version pilote de CERES pour 3 domaines disciplinaires. Le pro jet démarre en mars 2013 dans le cadre d’un contrat avec le CHE allemand ce qui permettra à l’OST de s’approprier la méthodologie. Le choix des domaines disciplinaires, l’identification des sources de données et le choix des indicateurs relèvent du pilotag e au niveau français. Dans une première étape, pour la version pilote, la mise en œuvre des enquêtes et la collecte des données auprès des établissements sera menée de manière conjointe par l’OST et le CHE.
Agenda prévisionnel

Le pilote de CERES sera développé sur 15 mois à partir de mars 2013. 4 chantiers sont identifiés:
− mobilisation des acteurs autour des comités de pilotage et d’utilisateurs
− choix et validation des indicateurs et choix des 3 disciplines pour le pilote
− collecte et traitement des données
− publication des résultats et fourniture d'une interface interactive pour leur consultation
− préparation du modèle économique de CERES pour l’avenir
La CPU et les conférences seront impliquées dans le choix des indicateurs et des disciplines retenues pour le pilote dès les premières réunions du comité de pilotage (mars, avril). Elles devront aussi être le relais auprès des universités et des établissements impliqués pour préparer la collecte des données et mobiliser les équipes compétentes dans les établissements.
Mode d’emploi d’un classement interactif

Choisissez votre université en fonction des critères qui comptent pour vous
L'exemple allemand CHE / Die Zeit > http://ranking.zeit.de/che2012/en/.

Conférence des présidents d'université Dhá ionstraim nua a bheith déanta a n-iontráil isteach i saol an ardoideachais chun cabhrú le mic léinn a uasmhéadú a n-claonadh: U'Multirank uirlis rangú agus Ceres. An chéad Eorpach raon feidhme idirnáisiúnta, an dara Fraince, sprioc na hEorpa. Beidh an dá rátálacha multicriteria agus institiúidí acadúla pearsanta ach freisin chultúrtha in oiriúint do thíortha na hEorpa.
An t-aicmiú
Tionscadal á stiúradh ag cuibhreannas - CHE (Ionad um Ard-Oideachas, An Ghearmáin) a tháinig CHEPS (Ionad le haghaidh Ard-Staidéar Polasaí Oideachais, An Ísiltír), OST (An Fhrainc), rangú U-Multirank tréimhse deartha an dara. Faoi dheireadh beidh a bheith ann le cineál nua aicmiú "oscailte, idirghníomhach agus il" a chur ar fáil an fhaisnéis uile a bhaineann le disciplíní na hoiliúna 500 institiúidí Eorpacha (30 Fraincis). Níos mó...
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