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Formation Continue du Supérieur
13 mai 2011

Universités alsaciennes: les fiançailles sont officielles

http://www.lepays.fr/fr/images/logo_pays.gifPar Luc Marck. Les administrateurs de l’Université de Haute-alsace et ceux de l’Université de Strasbourg ont décidé de mettre en oeuvre le rattachement des deux établissements.
À la sortie de plus de trois heures de réunion, une résolution de quelques lignes a officialisé, hier, à Strasbourg, ce que l’on pourrait appeler « les fiançailles de l’Université de Strasbourg et de l’Université de Haute-Alsace » (lire également L’Alsace d’hier).
La prochaine étape de ce qui s’annonce comme un mariage de raison — tout poussait les partenaires à ne pas rester chacun de son côté — sera la mise en œuvre concrète du rattachement de l’UHA à l’UdS, le 1 er janvier 2013, « date, a rappelé le recteur, qui correspond à la mise en œuvre du nouveau plan quinquennal » liant les deux entités à l’État.
Mais, d’ici là, il faudra rédiger la convention de rattachement, objet d’un vote le 1 er mars 2012, « au plus tard ». Et tout est là, dans ce « contrat de mariage » qui définira « les modalités » d’un rapprochement, voulu « ambitieux » et portant sur tous les aspects de l’activité universitaire : les offres de formation, la recherche, l’organisation administrative, etc.
Le recteur, dont la présence se voulait garante de « la plus grande neutralité possible » dans l’organisation du débat, a insisté sur le fait que « les démarches partiront, à chaque fois, des instances légitimes », et tiendront compte de « la base de la communauté universitaire ». Une « cellule de coordination » sera créée, avec des « chefs de projets » qui définiront les champs dans lesquels les deux universités travailleront ensemble.
Mais, là encore, il s’agira d’une « cellule technique sans aucun pouvoir décisionnel » : chaque établissement conservera son autonomie, son conseil d’administration, son président. Au moins, dans un premier temps : « Pour l’instant, c’est le rattachement », a insisté le recteur.
Et la fusion ?

Et la fusion ? Alain Beretz, le président de l’UdS, a convenu : « J’en défends la perspective et, à moyen terme, ça me paraît souhaitable ». Alain Brillard, président de l’UHA, est nettement plus réservé et admet que le mot même peut « faire peur », tout en soulignant que « les réticences ne sont pas toutes au sud ».
À la fin du point presse, les élus FSU, qui ont été les seuls à s’abstenir lors du vote (avec un élu CGT), ont estimé que « les administrateurs de l’UHA en particulier ont réduit les aspirations de la présidence de l’UdS à aller plus vite à la fusion ». Eux auraient souhaité avancer plus vite sur le contenu et estiment la présidence de l’UHA trop prudente : « Ce qu’elle veut mettre dans le panier, c’est juste un développement de l’inter-universitaire » (qui existe déjà et dont les deux présidents se sont d’ailleurs félicités).
Pour le recteur, ce premier rattachement, en France, d’une université à une autre, souligne en tout cas l’existence d’un « modèle alsacien ». Et l’Alsace en a besoin, a-t-elle ponctué, en rappelant que l’attractivité du supérieur sur les jeunes était, ici, inférieur à la moyenne nationale.
http://www.lepays.fr/fr/images/logo_pays.gif Von Luc Marck. Die Direktoren der Université de Haute-Alsace und die der Universität Straßburg hat entschieden, zur Umsetzung der Verknüpfung der beiden Institutionen.
Am Ausgang der mehr als drei Stunden der Begegnung, einer Auflösung von ein paar Zeilen formalisierte gestern in Straßburg, was man als "das Engagement der Universität Straßburg und der Université de Haute-Alsace werden (siehe auch Elsass gestern)
. Mehr...
13 mai 2011

STRATER PACA

"STRATER"Le projet STRATER a pour objectif de développer une vision territoriale du système d'enseignement supérieur, de recherche et d‘innovation à l'horizon 2020. Il vise donc à mieux articuler les stratégies des acteurs (Etat, collectivités), et des opérateurs (universités et organismes de recherche) au niveau d'un territoire (région, regroupement de régions, bassin économique).
Pour cela, les "éléments de diagnostic STRATER" ont été constitués par grand ensemble régional et présentent, sous l'angle d'une vision globale, un état des lieux de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation (chiffres, tendances, structuration des acteurs, forces et faiblesses). Ce sont des éléments sur lesquels les choix stratégiques en matière d'enseignement supérieur, de recherche et d'innovation s'appuieront. Ils ont vocation à être complétés par les différents acteurs de chaque territoire, et à servir de base à l'élaboration de visions stratégiques à l'horizon 2020, dans le cadre d'une large concertation.

STRATER
PACA
Des effectifs en formation continue dans le supérieur significatifs

En 2009, 15 360 stagiaires sont inscrits en formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur publics de la région, hors Cnam, suivant la répartition 80% (académie d’Aix-Marseille) 20% (académie de Nice). Pour un chiffre d’affaires de 20,63 M€ (8,5% du poids national) généré par 4 308 127 heures stagiaires, la région se situe au 4e rang national. Par ailleurs, 1 800 stagiaires sont inscrits au Cnam, pour 242 256 heures stagiaires et 3,03 M€ de chiffre d’affaires (3% du poids national, 6e rang). Ce qui fait au total 11,5% du poids national.
En 2009, les universités de la région ont délivré 3 305 diplômes nationaux dans le cadre de la formation continue, dont 44% de diplômes de niveau II (Licence, Maîtrise) et 246 diplômes délivrés au titre de la validation des acquis de l’expérience (VAE), dont 63% dans l’académie d’Aix-Marseille. La région se positionne respectivement au 3e et au 2e rang national.
3e rang national pour le nombre d’apprentis inscrits dans l’enseignement supérieur avec une forte proportion de niveau III (Bac + 2)
En 2009-2010, la région compte 6 180 apprentis dans l’enseignement supérieur dont plus des 2/3 sont dans l’académie d’Aix-Marseille. Ils représentent 6,1% des effectifs nationaux et placent la région au 3e rang. On constate une proportion plus importante d’apprentis de niveau III (Bac + 2) dans l’académie d’Aix-Marseille (64,4%) que dans l’académie de Nice (54%) et supérieure de 7 points à la moyenne nationale (France 57,5%). À l’inverse, celle des apprentis de niveau I (Bac + 4) est plus élevée dans l’académie de Nice (30,7%, Aix-Marseille 23,7%, France 25,6%) et supérieure de 5 points à la moyenne nationale.
Préface

Le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche connaît de profondes évolutions (autonomie des universités, Opération Campus, rapprochement dans le cadre des PRES), qui ont généré une dynamique importante sur les différents sites, permettant aux universités de multiplier les partenariats avec leur environnement économique et social. Le programme « Investissements d’avenir » montre que, partout sur le territoire, les communautés scientifiques se sont mobilisées pour faire des propositions nombreuses et innovantes qui témoignent de l’extraordinaire capacité de transformation dont fait preuve le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche. Les projets ont vocation à structurer, pour les années à venir, la stratégie scientifique et pédagogique de nos établissements d’enseignement supérieur et de nos organismes de recherche...
3. LES PRINCIPAUX ENJEUX

Un environnement géographique et socio-économique riche et diversifié

La région Provence-Alpes-Côte d’Azur est constituée de territoires géographiques diversifiés et contrastés (mer, campagne, montagne, zones urbaines et zones rurales) et est dotée d’un patrimoine naturel et culturel qui favorise le développement d’activités à la fois spécifiques et globalement variées (industries, tourisme, culture, agriculture, santé...). Elle est composée de deux académies (Aix-Marseille et Nice) aux profils différents.
De nombreux sites de la région bénéficient d’une forte visibilité nationale et internationale dans des secteurs variés : activités marines et portuaires à Marseille et à Toulon, pétrochimie à Fos (Étang de Berre), aéronautique à Marignane, microélectronique et TIC à Aix-en-Provence et Nice Sophia Antipolis, nucléaire à Cadarache, aéroports internationaux de Marseille-Provence et de Nice-Côte d’Azur, festival d’Avignon, etc.
Malgré des progrès, les territoires et les métropoles ne disposent pas encore d’infrastructures de transport qui favorisent les déplacements infra-régionaux au sein même de l’ensemble Aix-en-Provence, Marseille et entre Aix-Marseille et Nice.
Avec un solde migratoire favorable, Paca conforte son classement au troisième rang national pour sa population. L’attractivité n’est pas limitée aux seniors, elle concerne notamment les actifs diplômés dont a besoin l’économie régionale. Cependant, le taux de chômage (11,2% au 4e trimestre 2009) est l’un des plus élevé des régions françaises (3e rang).
La variété et la richesse de l’environnement régional a conduit la quasi-totalité des organismes de recherche à développer d’importantes activités scientifiques en Provence-Alpes-Côte d’Azur. La présence de 11 pôles de compétitivité bien évalués atteste le dynamisme de la région dans de nombreux secteurs économiques, pérennes et innovants. L’économie régionale, fortement tournée vers les services, est en adéquation avec les évolutions de la société et le développement de ses territoires.
Un effort de visibilité pour mettre en valeur le potentiel de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation

La diversité et la richesse de la région trouvent leur expression – avec plus ou moins de cohérence – dans l’ensemble du dispositif d’enseignement supérieur et de recherche. Cependant, ses activités scientifiques et de formation souffrent encore d’un manque de visibilité globale, conséquence à la fois de la multiplicité des acteurs, de leur dispersion sur le territoire et d’une insuffisance de coordination de leurs stratégies de développement.
Le potentiel de recherche est important et la qualité des activités scientifiques est très bien reconnue dans la plupart des disciplines (près de 73% des chercheurs produisants sont dans des unités de recherche notées A ou A+).
Avec une qualité internationalement reconnue, Provence-Alpes-Côte d’Azur se distingue en Sciences exactes et en Sciences du vivant dans les sous-disciplines suivantes :« Astronomie, astrophysique », « Microbiologie et virologie, immunologie », « Mathématiques » et « Physique générale ». Par ailleurs, la région dispose d’un potentiel très important en Sciences humaines et sociales, notamment en Droit, sciences économiques et de gestion et en Psychologie ce qui devrait lui permettre de développer des thématiques de recherche transdisciplinaires et innovantes.
Certains sites ont su profiter des caractéristiques de leur environnement pour développer des thématiques de recherche adaptées (technologie marine, culture, agrosciences, énergie, risques…). Le projet Iter représente une opportunité qui pourrait avoir un effet majeur pour le développement de la recherche et de l’innovation régionale.
La région dispose de nombreux outils de coopération entre le monde économique et les opérateurs de la recherche publique, comme le montre le nombre de pôles de compétitivité, de pôles régionaux d’innovation et de développement économique solidaire (Prides) et de structures de transfert et de valorisation. Cependant, l’amélioration de la coordination de ces activités, soutenues par les collectivités territoriales, permettrait de mieux valoriser le potentiel scientifique de la région.
Une meilleure adéquation pourrait être trouvée entre les besoins du monde socio-économique et la
recherche publique en développant les formations d’ingénieurs, sous représentées en région Paca, et
en valorisant l’apport des Sciences humaines et sociales.
Une structuration de la recherche et de l’enseignement supérieur à consolider

La région est constituée de deux académies dont les établissements principaux ont développé des stratégies différentes. Deux projets ont été retenus dans le cadre de l’opération Campus : « Aix-Marseille Université » et « Nice Sophia Antipolis ». Le PRES « Aix-Marseille Université » vise la fusion en 2012 de ses trois universités et le projet de PRES « Université euro-méditerranéenne » oriente Nice et Toulon vers des collaborations internationales (Gênes et Turin).
La fusion des universités d’Aix-Marseille permettra la mise en cohérence des activités de recherche et de formation du site. Cependant, il reste à définir le positionnement des autres universités en tenant compte de leur spécificité : les priorités affichées de l’université d’Avignon, la participation à la préfiguration du PRES transfrontalier de l’université de Toulon et le projet de création d’un PRES local de l’université de Nice avec l’université Sud Toulon-Var, les écoles et les organismes de recherche implantés sur les deux départements de l’académie de Nice. De même, la concertation avec les organismes de recherche et les autres établissements d’enseignement supérieur de l’ensemble de la région serait à renforcer, en incluant des collaborations avec la Corse.
Une réflexion stratégique peut s’engager de manière globale à partir des grands axes thématiques portés par les établissements de la région, visant à promouvoir les complémentarités et à accentuer les spécificités d'excellence des différents sites. Cette structuration mériterait d'être examinée en relation avec les établissements des régions Languedoc-Roussillon et Rhône-Alpes en raison de leur proximité scientifique dans certains domaines...
Dix-neuf territoires ont été analysés, correspondant aux régions de la France métropolitaine et comprenant trois groupements de régions, effectués sur la base de leurs coopérations scientifiques. Alsace, Aquitaine, Auvergne, Basse et Haute Normandie, Bourgogne – Franche-Comté, Bretagne, Centre, Champagne-Ardenne, Corse, Ile de France: disponible courant juin 2011, Languedoc-Roussillon, Limousin – Poitou-Charentes, Lorraine, Midi-Pyrénées, Nord – Pas de Calais, Pays de la Loire, Picardie, PACA, Rhône-Alpes. Les territoires d’Outre‐mer font l’objet d’un exercice spécifique, StraTOM.

"STRATE"Il progetto strategico mira a sviluppare una visione del sistema territoriale di istruzione superiore, ricerca e innovazione nel 2020. Ha lo scopo di articolare meglio le strategie degli attori (statali, locali) e operatori (università, istituti di ricerca) in un territorio (regione, raggruppamento delle regioni, area economica).

STRATER PACA
Uno sforzo visibile per mostrare le potenzialità di istruzione superiore, ricerca e innovazione. Strutturazione della ricerca e dell'istruzione superiore per consolidare. Maggiori informazioni...
13 mai 2011

Le site Internet de la CRESS Corsica

http://formation.cress-corsica.org/images/logo.pngBienvenue sur le site Internet de la CRESS Corsica dédié à la formation.
Offre de formations à l'intention des salariés et bénévoles du secteur associatif en région Corse.
Accord Cadre Régional pour le Développement de l'Emploi et des Compétences dans le secteur de l'Economie Sociale et Solidaire en région Corse. Ouverture des inscriptions en ligne pour les formations gratuites à l'intention des salariés et bénévoles du secteur associatif en région Corse. Voir le catalogue des formations.
Le 1er Septembre 2010
, l’ÉTAT représenté par la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la consommation, du travail et de l’Emploi de la région Corse (DIRECCTE), l’Organisme Paritaire Collecteur Agréé de l’Economie Sociale UNIFORMATION et la Chambre Régionale de l’Économie Sociale et Solidaire Corse CRESS CORSICA, ont signé un Accord Régional pour le Développement de l’Emploi et des Compétences dans le secteur de l’Économie Sociale et Solidaire en région Corse.
http://formation.cress-corsica.org/images/logo.png Merħba għall-websajt ta 'l-Korsika Krexxuni ddedikata għat-taħriġ.
Provvediment ta 'taħriġ għall-impjegati u l-voluntiera tas-settur volontarju fir-reġjun f'Korsika.

Reġjonali Ftehim Qafas għall-Iżvilupp tat-Impjiegi u l-Ħiliet fl-Ekonomija Soċjali u Solidarjetà fir-reġjun ta 'Korsika.
Ir-reġistrazzjoni onlajn jiftaħ għall taħriġ b'xejn għall-impjegati u l-voluntiera tas-settur volontarju fir-reġjun f'Korsika. View Catalog Taħriġ. More...
13 mai 2011

L'anti-colloque : (S)'écouter pour changer

http://acteurdemaformation.msesud.fr/public/img/template/bandeau4.jpgL’idée de la journée se veut être un anti-colloque; c’est-à-dire que les formateurs(trices), responsables d’organismes, services de la région, chargé(e)s de mission et élu(e)s seront dans la salle pendant que les délégués de stagiaires seront à la tribune.
Ce rendez-vous s'adresse aux formateurs, professionnels de l'orientation, techniciens, élus régionaux, et bien sûr, délégués de stagiaires et d'apprentis afin de faire le bilan et tracer les perspectives d'une démarche participative « Mission (Im)possible ? ».
L'association Moderniser Sans Exclure Sud organise le Jeudi 26 Mai 2011 dans l'hémicycle du Conseil Régional Provence Alpes Côte d'Azur l'une des « fabriques» des États Généraux de la Région 2011 sous l'intitulé « L`anti-colloque : (S)'écouter pour changer ». 
Il était nécessaire de s'inscrire avant le 1 mai 2011, mais les délais ont été prolongés. Les inscription se font en ligne sur le site web dédié à cet évènement. Vous pouvez aussi y consulter le programme.
http://acteurdemaformation.msesud.fr/public/img/template/bandeau4.jpg L'idea della giornata vuole essere un anti-conferenza, vale a dire che i formatori (trice), capi dei servizi, la regione responsabile di missione e di eletti sarà nella stanza, mentre gli studenti saranno delegati dal podio.
Questa nomina è per i formatori, professionisti dell'orientamento, tecnici, politici regionali, e, naturalmente, i delegati di tirocinanti e gli apprendisti, al fine di esaminare e delineare le prospettive di un approccio partecipativo "Mission (Im) possibile?" 
Maggiori informazioni...
13 mai 2011

The executive education rankings decoded

Financial TimesThe annual Financial Times report on non-degree executive education programmes, now in its 12th year, includes three business school rankings: first, schools that offer open-enrolment programmes; second, providers of customised programmes; and last, a combined ranking. Open programmes are available to employees from any company or organisation. Those ranked here run for at least three days. Customised programmes are tailor-made for organisations that want to offer specific training to their employees.
This year, 65 schools are ranked in the open-enrolment group and 65 in the group for customised programmes. To be eligible, a school must have had income of at least $2m from the programme type during the previous year.
The customised ranking is compiled using data from two sets of online surveys – one for schools, another for clients. The client survey is distributed in English, French, German, Italian, Spanish and Portuguese. Business schools are asked for details of a number of top clients, who are then invited to complete an online survey about the school that nominated them. More... See also: Ask the experts: Executive Education 2011.

12 mai 2011

Mandatement d'organismes choisis par les collectivités territoriales

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)La loi orientation formation de 2009 (art 47) a prévu que les collectivités territoriales et leurs établissements publics peuvent confier à un organisme doté d'un comptable public ou habilité par l'Etat l'attribution et le paiement des dépenses relatives à la rémunération des stagiaires de la formation professionnelle.
Un décret définit les conditions de l'habilitation par l'Etat des prestataires, non dotés d'un comptable public, choisis par les collectivités territoriales pour attribuer des aides financières ou payer des rémunérations à des stagiaires de la formation professionnelle. Dans ce dernier cas l'habilitation est délivrée par le préfet pour une durée de 3 ans renouvelable par période de trois ans.
Le décret prévoit également les conditions d'exécution financière et comptable des mandats confiés par les collectivités territoriales que les organismes mandataires soient ou non dotés d'un comptable public. Décret n° 2011-511 du 10 mai 2011.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Orientation training law of 2009 (art 47) provides that local authorities and their public institutions may entrust to an organization with a public accountant or qualified by the State award and payment of expenses relating to the remuneration of trainees of vocational training. More...
12 mai 2011

Le premier observatoire Opcalia du contrat de professionnalisation

Alors qu'avec 10 000 contrats financés depuis le 1er janvier 2010 Opcalia fait de la professionnalisation une priorité. Le premier observatoire Opcalia du contrat de professionnalisation laisse apparaître que ce dispositif facilite l'intégration des jeunes dans le monde du travail.

Paris, le 5 mai 2011 - Opcalia présente son premier observatoire des contrats de professionnalisation de l'interprofession. Ses premiers résultats mettent en évidence que près de la moitié (49,2%) des bénéficiaires des contrats de professionnalisation considère que ce dispositif est un gage d'intégration dans le monde du travail. L'Observatoire fait apparaître que l'accueil des bénéficiaires en entreprise est jugé satisfaisant par huit bénéficiaires sur dix et qu'ils sont satisfaits de la formation : 81% de la qualité de l'accueil et de l'organisation matérielle durant la formation ; 81% de l'adéquation entre le contenu réel et attendu de la formation ; et enfin 84,5% de la qualité des intervenants. Les bénéficiaires soulignent l'avantage du dispositif qui permet d'acquérir de la pratique face à la théorie ; 80% d'entre eux recommandent le contrat de professionnalisation. La majorité des contrats de professionnalisation (près de 85%) signés sont des CDD qui ont une durée moyenne de 15 mois. En 2010, les régions dans lesquelles le plus grand nombre de contrats a été signé sont l'Ile de France, le Nord-Pas de Calais et la Réunion ; le Nord-Pas de Calais est, rappelons le, à l'origine du dispositif d'accompagnement renforcé Prodiat qui a fait la preuve de son efficacité.
Les bénéficiaires du contrat de professionnalisation: les jeunes et les demandeurs d'emploi

Le public privilégié est celui des demandeurs d'emploi et des jeunes en fin de scolarité qui composent la majorité des bénéficiaires des contrats de professionnalisation ; trois bénéficiaires sur dix préparent une formation dans le commerce et la vente, et les principales spécialités concernées renvoient au secteur tertiaire et/ou des services. Concernant le niveau de formation, les entrants en contrat de professionnalisation détenteurs d'un niveau BAC et BAC+ signent les ¾ des contrats. Les contrats signés par les bénéficiaires visent principalement des diplômes d'état ou des titres homologués mais aussi de plus en plus de qualifications reconnues dans les classifications des conventions collectives de branche. Concernant les tranches d'âge, 70% des contrats s'adressent aux jeunes de 18 à 25 ans ; depuis 2007, on constate cependant une hausse significative des contrats adressés aux plus de 25 ans. Comparativement aux chiffres nationaux, Opcalia finance proportionnellement plus de contrats de professionnalisation destinés aux femmes. L'enquête souligne, par ailleurs, que de plus en plus de travailleurs handicapés bénéficient d'un contrat de professionnalisation. La part des femmes au sein de ce public spécifique est en augmentation constante depuis 2008.
50% des entreprises signataires d'un contrat de professionnalisation sont des TPE

Pour les entreprises, la principale motivation à signer un contrat de professionnalisation est avant tout la formation d'un salarié aux compétences attendues. Elles mettent en avant la possibilité de former les salariés aux techniques et savoir-faire de l'entreprise. Aussi, près de 65% des entreprises envisagent d'embaucher à nouveau en contrat de professionnalisation et la plupart d'entre elles le feront dans un délai estimé à moins d'un an. Sept entreprises sur dix sont satisfaites des contenus de formation proposés mais 30% émettent des réserves quant à la correspondance entre les formations proposées et l'évolution de leurs métiers. Certaines entreprises soulignent toutefois une difficulté liée à l'articulation entre temps de travail et temps de formation. Plus de la moitié des entreprises qui signent des contrats de professionnalisation ont moins de 10 salariés et celles de moins de 5 salariés restent majoritaires. Ce sont les entreprises issues du commerce qui sont les principales signataires des nouveaux contrats de professionnalisation. L'enquête met en évidence que les tuteurs accompagnant les bénéficiaires exercent l'essentiel de leur activité dans l'accueil, le suivi, l'évaluation et la transmission des compétences professionnelles ; 80% d'entre eux estiment cette expérience enrichissante et seraient prêts à exercer de nouveau la fonction. Concernant l'accompagnement administratif, sept entreprises sur dix ont reçu l'appui d'Opcalia dans le montage de leur dossier et neuf sur dix sont satisfaites des délais de paiements réactifs. Par ailleurs, les entreprises souhaitent avant tout être informées des avantages financiers proposés par l'Etat.
La cible et la méthode

Ce premier observatoire est basé sur une enquête réalisée entre mai et novembre 2010 auprès de 639 entreprises (6311 contactées), 152 organismes de formation (865 contactés), 132 bénéficiaires (1266 contactés) et 140 tuteurs (2383 contactés). Il reprend aussi des informations issues du périmètre SPII (Section Paritaire Interprofessionnelle et interrégionale) arrêtée à février 2011 ainsi que des données nationales fournies par l'administration française (DARES- Direction de l'Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) concernant les contrats de professionnalisation sur les années 2007, 2008 et 2009.

Míg 10.000 szerződések finanszírozott január 1-jétől miatt 2010 a szakember Opcalia elsőbbséget élvez. Az első obszervatórium Opcalia a profi szerződését kiderül, hogy ez a rendszer megkönnyíti az integráció a fiatalok a munka világába. Még több...

12 mai 2011

Handicap: l’État employeur peine à donner l’exemple

http://www.wk-rh.fr/actualites/upload/social/social_actu39643_photo.pngUne journée du handicap dans la Fonction publique, première du genre,est organisée ce 12 mai dans tous les services publics. Sans instruction particulière.
Libre aux administrations, services déconcentrés et collectivités, à leurs DRH et instances représentatives d’imaginer des happenings. Seule consigne : « Échanger sur l’insertion professionnelle des travailleurs handicapés. » Pas uniquement sous l’aspect recrutement, mais aussi sous les angles du maintien dans l’emploi et de la garantie d’une carrière pleine. Selon le voeux du ministre du Budget, François Baroin, et du secrétaire d’État à la Fonction publique, Georges Tron, l’événement devrait être réédité tous les ans, à la même date. Bercy a promis de veiller à lui donner plus de consistance en 2012, via des rencontres formelles, de type colloque. En attendant, le ministère lance cette semaine une campagne nationale de sensibilisation sur ce thème.Au-delà des symboles, l’État employeur est loin de satisfaire à l’exigence de recrutement qu’il fait peser sur les entreprises. Selon les derniers chiffres du Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la Fonction publique (FIPHFP), le taux moyen reste à 3,99 %. Avec seulement 33 000 personnes recrutées ou maintenues en poste, victimes d’accidents du travail comprises, on est loin des 6 % légaux. Même si le directeur du FIPHFP, Jean-François de Caffarelli, insiste sur les progrès et les engagements pris par les 200 employeurs qui ont signé une convention avec le Fonds. Hasard du calendrier, cette initiative coïncide avec l’ouverture d’une concertation avec les syndicats sur l’égalité professionnelle dans la Fonction publique, à l’initiative du gouvernement. Encore un sujet sur lequel les pouvoirs publics restent éloignés de leurs objectifs.Trois séances sont prévues d’ici au 18 mai, afin d’établir un diagnostic commun, avant l’ouverture de négociations à proprement parler, début juin. Le cabinet de Georges Tron table sur un accord d’ici à la fin de l’été. L’état des lieux portera sur les effectifs, la conciliation entre vie professionnelle et vie privée ainsi que la présence féminine dans l’encadrement supérieur. En réalité, les partenaires sociaux ne feront que revisiter le rapport de la députée UMP Françoise Guégot, rédigé à la demande du président Nicolas Sarkozy et livré en janvier dernier. La FSU et la CGT soupçonnent déjà le ministère de se limiter pour l’essentiel aux préconisations contenues dans ce texte, « compte tenu du calendrier très serré qui nous est proposé ». Les six propositions phares sont connues, et parmi elles, renforcer le dispositif statistique, fixer des objectifs clairs et contraignants de femmes à des postes de direction. Aux représentants des fonctionnaires, qui rêvent d’étendre la négociation aux aspects rémunération et retraite, Bercy a déjà opposé une fin de non-recevoir.
http://www.wk-rh.fr/actualites/upload/social/social_actu39643_photo.png A jum ta 'diżabbiltà fl-Servizz Ċivili, l-ewwel tat-tip tiegħu, ġie organizzat fuq Mejju 12 fis-servizzi kollha pubbliċi. Mingħajr struzzjoni speċifika.
amministrazzjonijiet Ħieles, servizzi deċentralizzati u l-komunitajiet, il-korpi rappreżentattivi tagħhom u l-HRD li wieħed jimmaġina happenings.
istruzzjoni Uniku: "Ixgħel l-integrazzjoni professjonali tal-ħaddiema b'diżabilità. "Mhux biss fir-reklutaġġ aspett, iżda wkoll fil-kantunieri ta 'impjieg kontinwu u l-garanzija ta' karriera sħiħa. Skond ix-xewqat tal-Ministru tal-Baġit, Baroin u Segretarju tal-Istat għall-Servizz Pubbliku, Georges Tron, l-avveniment għandhom jerġgħu jinħarġu kull sena fl-istess data. More...
12 mai 2011

L’apprentissage : c’est faire ses études en entreprise

http://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/evenement/rsa/programmersa-2.jpg12e Rencontres Sénatoriales de l’Apprentissage. Le 17 mai, près de 200 apprentis des chambres de métiers et de l’artisanat dialoguent avec les Sénateurs. Le Sénat et l’Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat (APCMA) organisent mardi 17 mai, au Palais du Luxembourg, les 12e Rencontres Sénatoriales de l’Apprentissage.
Gérard Larcher, président du Sénat, et Alain Griset, président de l’APCMA, s’associent pour valoriser l’apprentissage et donner la parole aux jeunes concernés. Au cours de la séance de questions cribles thématiques qui leur sera dédiée, les Sénateurs relaieront les préoccupations des apprentis auprès du Gouvernement. Le thème de ces 12e rencontres, "L’apprentissage: c’est faire ses études en entreprise" illustre l’équation "théorie + pratique = emploi".
La journée sera à l’image de cette spécificité: de la pratique d’abord avec le Centre de Formation d’Apprentis de Villiers-le-Bel. Les présidents du Sénat et de l’APCMA se rendront dans les ateliers de boulangerie et de mécanique pour rencontrer les jeunes en formation. L’une de leurs réalisations sera mise à l’honneur puisque la cour de la Présidence du Sénat accueillera un camion de pompiers qu’ils auront restauré et qui s’apprête à partir pour un centre de formation du Sénégal dans le cadre de l’opération « Apprentissage sans frontière ».
Ensuite, Sénateurs, apprentis et maîtres-formateurs travailleront ensemble sur les questions de l’avenir et des évolutions de l’alternance, véritable atout pour l’emploi des jeunes et actuellement au coeur du débat l’emploi des jeunes. L’accès au logement et au transport, l’alignement du statut de l’apprenti sur le statut de l’étudiant, la mobilité européenne seront abordés lors de la séance de travail entre les Sénateurs et les apprentis.
Les rencontres se termineront par la signature d’une convention d’objectifs pour le développement de l’apprentissage entre Xavier Bertrand, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé, Nadine Morano, ministre chargée de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle et Alain Griset, président de l’APCMA.
http://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/evenement/rsa/programmersa-2.jpg 12th Senate Meeting of Learning. May 17, nearly 200 apprentices chambers of trade and craft dialogue with the Senators. The Senate and the Permanent Assembly of Chambers of Trades and Crafts (APCMA) organize Tuesday, May 17, at the Luxembourg Palace, the 12th Senate Meeting of Learning.
Gérard Larcher, President of the Senate, and Alain Griset, president of the APCMA, combine to enhance learning and give a voice to young people concerned.
During the session screens thematic issues that will be dedicated, the Senators will relay the concerns of apprentices to the Government. The theme of this 12th meeting, "The learning: it is to study in business" shows the equation "theory + practice = jobs". More...
12 mai 2011

La Formation continue dans les métiers du Spectacle Vivant

http://www.cpnefsv.org/styles/images/main-header.pngFin 2005, les organisations professionnelles du spectacle vivant ont décidé de créer l'Observatoire Prospectif des Métiers et des Qualifications du Spectacle Vivant. Il vient de publier le Tableau de bord statistique de l'emploi et de la formation professionnelle. Télécharger le document Adéquation entre spécialité de formation et emploi.
Extraits
3.1 L'offre de formation professionnelle de longue durée préparant aux métiers du spectacle vivant

En 2010, le répertoire des formations de l'OPMQ-SV totalise 395 formations professionnelles de longue durée relatives aux métiers du spectacle vivant. La majorité des formations concerne les activités artistiques (219 formations recensées), dont un grand nombre porte sur les domaines de l'enseignement.
Concernant les formations administratives, un certain nombre d'universités en propose (Licences professionnelles, DU, Master..). Le répertoire n'a inclus que celles qui sont en lien direct avec un des métiers du spectacle vivant (les formations transversales au monde culturel ont été exclues).
On dénombre une majorité de formations certifiantes c'est-à-dire validées par l'obtention d'un diplôme ou d'un titre professionnel (266 formations). Les formations dites "qualifiantes", c'est-à-dire ne débouchant pas formellement sur la délivrance d'une certification, sont au nombre de 129. La création récente du RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) et des diplômes délivrés au nom du Ministère de la Culture, tels les DNSP (Diplômes Nationaux Supérieurs Professionnels), ainsi que le développement des diplômes universitaires dans les domaines administratifs (Licences professionnelles et Masters), bouleversent fortement la nature de l'offre de formation professionnelle.
Tous domaines confondus, la majorité des formations professionnelles relatives au secteur du spectacle vivant est principalement accessible en formation continue. Pour certaines, elles sont exclusivement réservées aux personnes déjà engagées dans un parcours professionnel (108) ; pour d’autres, elles sont accessibles à des publics mixtes venant de la formation initiale ou continue (147).
Parmi les formations certifiantes, la majorité est sanctionnée par la délivrance d'un diplôme ou d'un titre professionnel
de niveau III. On note l'importance du volume de formation de niveaux supérieurs (46 pour le niveau I et 31 pour le
niveau II)
.
Sans surprise, l'offre de formation se concentre sur les régions où le marché du travail est le plus dynamique : Ile de France (35 %), Rhône-Alpes (16 %), PACA (10 %), Languedoc-Roussillon (6 %), Aquitaine (5 %).
3-2 La formation professionnelle continue des salariés du spectacle vivant
3-2-1 Accès à la formation professionnelle continue

Les salariés sous CDDU bénéficient de droits à formation similaires à ceux des salariés occupés sous CDI ou CDD, qu’ils soient sous contrat dans une entreprise ou en situation de demandeur d’emploi.
Au sein de l’AFDAS, les salariés en CDDU relevant du spectacle vivant sont identifiés selon trois catégories professionnelles :
- les artistes interprètes (chanteurs, danseurs, comédiens, circassiens, etc.);
- les artistes musiciens (instrumentistes);
- les techniciens du spectacle vivant (métiers techniques et administratifs).
Il est à noter: les artistes en CDDU (comédiens, danseurs, chanteurs, instrumentistes, etc.) sont rattachés au secteur du spectacle vivant. Cependant, les artistes en CDDU sont également amenés de par la nature de leurs activités professionnelles à travailler pour d’autres secteurs employeurs connexes au spectacle vivant (audiovisuel, cinéma, édition phonographique, parcs de loisirs…). Dans le cadre de la formation professionnelle continue, 26 526 bénéficiaires exerçant une profession dans le spectacle vivant ont suivi une formation en 2008.
Sur les 26 526 bénéficiaires, les données enregistrées et disponibles actuellement dans la base de données de l'AFDAS
n’ont pas permis de reconstituer de façon exhaustive la répartition des effectifs formés par familles professionnelles
(information non disponible dans le système pour 4 087bénéficiaires).
Pour autant, les grandes tendances qui se dégagent sont parfaitement représentatives des caractéristiques de l’usage de la formation professionnelle du secteur.
Ainsi, parmi ces 26 526 bénéficiaires figurent :
- 9 015 artistes du spectacle vivant, soit 570 en CDI, 217 en CDD et 8 228 en CDDU (qui ont pu travailler pour d'autres secteurs) ;
- 6 210 techniciens du spectacle vivant, soit 2 631 en CDI, 337 en CDD et 3 242 en CDDU ;
- 7 214 personnels administratifs du spectacle vivant, soit 5 600 en CDI, 1 230 en CDD et 122 en CDDU ;
- 4 087 bénéficiaires dont la profession n’est pas enregistrée.
L'approche par type de contrat de travail indique que 12 279 bénéficiaires en CDI ont effectué une action de formation continue en 2008, 2 156 bénéficiaires en CDD et 11 976 bénéficiaires en CDDU, et enfin, 115 bénéficiaires dont le statut d’emploi n’est pas enregistré.
Les femmes sont dans l’ensemble légèrement moins bénéficiaires que les hommes de la formation professionnelle continue (48% de femmes contre 52% d'hommes), mais elles sont plus nombreuses à suivre des formations dans le domaine administratif, où elles sont probablement plus présentes.
On constate que les bénéficiaires de la formation professionnelle continue sont majoritairement les moins de 40 ans (soit 16 470 bénéficiaires): 6911 ont moins de 30 ans, 9 559 ont entre 31 ans et 40 ans, 9 941 ont plus de 41 ans. Le taux d’accès à la formation selon les classes d’âge d’une famille professionnelle à une autre est assez équilibré. A l’inverse, la proportion de bénéficiaires varie suivant les classes d’âge lorsque ces dernières sont corrélées avec le type de contrat de travail: les CDD ont recours à la formation plus jeune (importance de la demande des moins de 25 ans), les CDDU et les CDI ont recours à la formation de façon plus équilibrée tout au long de la vie.
Les bénéficiaires issus des activités liées aux « Arts du spectacle vivant » constituent la part de bénéficiaires de formation la plus importante pour les salariés en CDI et CDD (9 863 bénéficiaires), suivies des activités de « soutien au spectacle vivant » (2 442 bénéficiaires) et des activités de "gestion de salle" (1 803 bénéficiaires).
De même, les activités des « Arts du spectacle vivant » concentrent également le plus de bénéficiaires de formation dans la catégorie des artistes (579 bénéficiaires : 474 en CDI et 105 en CDD), des techniciens (1 871 bénéficiaires) et des personnels administratifs (5 024 bénéficiaires).
3-2-2 La demande de formation professionnelle continue

Logiquement les formations artistiques sont plus demandées par les professionnels de ce domaine, et il en va de même pour les techniciens et les personnels administratifs. Pour autant, on constate également que les artistes, les techniciens et les personnels administratifs sont assez enclins à demander aussi des formations qui ne portent pas directement sur leur coeur de métier.
Toutes familles professionnelles et types de contrats confondus, les formations relevant des « domaines transversaux » sont les plus demandées (7 853), suivies des formations relevant du domaine artistique (5 188).
http://www.cpnefsv.org/styles/images/main-header.png 2005 végén, a szakmai előadó-művészeti szervezetek úgy határozott, hogy a Központ Leendő Kereskedelmi és készségek of Performing Art. Ő nemrég tette közzé a kezelőfelület Statisztika foglalkoztatás és a szakképzés. Dokumentum letöltése Matching speciális képzési és foglalkoztatási.
Kivonat

3.1 Az ellátás hosszú távú szakmai felkészülést pályára az előadó-művészet

2010-ben, a repertoár a képződmények OPMQ 395-SV teljes hosszú távú szakmai képzések előadó-művészeti életben.
A képzések többsége számára a művészet (219 kurzusok azonosítani), amelyek közül sok kiterjed az oktatás. Ami a közigazgatási képzési, számos egyetem kínál (Professional licenceket, DU, Mester ..). Még több...
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