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Formation Continue du Supérieur
formation continue
26 octobre 2014

L'Université de Toulon sur le site Moncontratpro.com

opcalia-logoUniversité de Toulon
LA GARDE CEDEX, FR www.utln.fr
Adresse : BP 20132
Code Postal/ Ville : 83957/LA GARDE CEDEX
Le service Formation Tout au Long de la Vie est le centre de formation de l'Université pour tout public. Nos domaines d'intervention sont nombreux : formation courte inter et intra-entreprise, l'alternance, la VAE, les formations diplômantes... Des cours de langue aux masters, nous proposons des formations en Sciences, art & littérature, Droit & gestion, informatique & réseaux; etc. Voir l'article...

26 octobre 2014

L'Université d'Avignon et des Pays de Vaucluse - Formation continue sur le site Moncontratpro.com

opcalia-logoUniversité d'Avignon et des Pays de Vaucluse - Formation continue
Avignon, FR http://www.univ-avignon.fr/fr/formations/formation
Adresse : 1 avenue Saint Jean
Code Postal/ Ville : 84000/Avignon
Le service commun de la formation continue a pour objet de développer la promotion sociale, de favoriser l'insertion professionnelle et d'aider à la création d'entreprises. Il permet à un adulte salarié ou demandeur d'emploi de reprendre ses études tout au long de sa vie pour se perfectionner ou pour valoriser son expérience professionnelle par : - des diplômes nationaux professionnalisants à fortes valeurs ajoutées (Master, Licences, Licences professionnelles) - des diplômes d'Université spécialisés - des formations continues labellisées par l'UAPV - des formations certifiantes - des formations de courtes durées spécialisées qualifiantes. La structure de fonctionnement est influencée par l’ensemble des missions d’un Service Commun de Formation continue universitaire. Il est chargé en effet des trois principales missions suivantes : - validation des acquis, - insertion des publics en reprise d’études dans les formations de l’Université, - création et développement de formations en relation avec le territoire et la demande du marché. Ces trois missions se chevauchent souvent et l’un des enjeux stratégiques est d’en assurer la complémentarité. La VAE est par exemple souvent la porte d’entrée dans une formation existante de l’Université et les nouvelles formations sont rarement créées ex nihilo mais s’appuient sur les formations déjà en place et les compétences des enseignants chercheurs de l’établissement. Voir l'article...

17 octobre 2014

Pour Geneviève Fioraso, "50 % d'une classe d'âge doit obtenir un diplôme dans le supérieur"

Propos recueillis par Laurent Bonilla. La secrétaire d’Etat à l’Enseignement supérieur et à la recherche, Geneviève Fioraso, a visité ce lundi matin, deux fleurons limougeauds de la recherche et de la formation, le Centre de droit et d’économie du sport et X-Lim.
Cette visite est placée sur le thème de la formation professionnalisante et de la formation continue, avec un plan national sur le sujet que vous annoncerez en novembre. Pouvez-vous en dire plus ?
« Ce plan découle de la loi de juillet 2013. Sur les 32 milliards de la formation professionnelle, un peu moins de 4 % seulement concerne l’enseignement supérieur. Or, l’université doit devenir un lieu de formation continue. Nous devons faire évoluer les formations qui y sont dispensées. Limoges constitue d’ailleurs un bon exemple en ce domaine, avec un fort taux d’insertion dans l’emploi des étudiants à leur sortie de l’université, parce que celle-ci a su s’adapter à ses différents publics. La formation professionnalisante est un gage d’insertion dans le monde du travail. Autre exemple, la VAE (validation des acquis de l’expérience) : 80 % des personnes qui en entament une dans l’enseignement supérieur abandonnent en cours de route, parce que c’est souvent trop compliqué. Je veux l’assouplir. » Voir l'article...

24 septembre 2014

La formation continue universitaire en 2012 : la part financée par les entreprises de nouveau en hausse

ARESLes universités, le Cnam et les écoles d'ingénieurs publiques ont réalisé un chiffre d’affaires de 405 millions d’euros au titre de la formation continue en 2012, pour un public croissant de 481 000 stagiaires (F/H). Au total, près de 83 000 diplômes ont été délivrés par la formation continue, dont 63 % de diplômes nationaux.
Parmi les diplômes les plus recherchés, les licences et les masters professionnels représentent un peu plus de 50 % des certifications obtenues en formation continue, avec respectivement 14 100 et 7 200 titres universitaires délivrés en 2012. Au niveau IV, le nombre de diplômes d’accès aux études universitaires (DAEU et capacité en droit) délivrés en formation continue augmente de 14 % par rapport à 2011 : ce diplôme permet à des publics sans baccalauréat de suivre un cursus universitaire.
Pour en savoir plus. Voir l'article...

9 septembre 2014

Le nombre de stagiaires de la formation continue augmente dans l'enseignement supérieur

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)En 2012, dans les universités (y compris IUT), les INP (instituts nationaux polytechniques) et les UT (universités de technologie), le nombre de stagiaires de la formation continue a augmenté de 4 % par rapport à 2011 pour atteindre 369 000 stagiaires. Ce sont surtout les bénéficiaires d'un contrat de professionnalisation et les publics non salariés qui connaissent la plus forte progression (respectivement 16 % et 12 %). Le nombre de salariés inscrits au titre du plan de formation n'augmente que de 1 %. Celui des demandeurs d'emploi s'accroît de 3 %, particulièrement les demandeurs d'emploi qui bénéficient d'une aide publique (6 %).
Sur les 53 700 diplômes nationaux délivrés en formation continue, 79 % sont des diplômes de niveaux I et II (respectivement 33 % et 46 %), 9 % de niveau III et 12 % de niveau IV. Deux diplômes professionnels dominent : la licence professionnelle et le master professionnel. Au niveau IV, 6 300 diplômes d'accès aux études universitaires (DAEU et capacité en droit) ont été délivrés en formation continue.
Tous types d’établissements confondus, les deux tiers des stagiaires se répartissent dans quatre groupes de spécialités. Les "Services à la personne" accueillent 108 000 stagiaires, dont 90 % en "Santé" ; les "Sciences humaines et droit" accueillent 86 500 stagiaires, les "Formations générales" 53 000 et les "Échanges et gestion" 71 300.
Consulter les chiffres de l'étude de la DEPP (4 p.) Voir l'article...

3 septembre 2014

RERS 2014 - La formation continue dans l’enseignement supérieur

Statistiques - publications annuelles - Édition 2014. Télécharger la brochure Repères et références statistiques 2014
La formation continue dans l’enseignement supérieur p.222
Présentation
En 2012, les universités, les écoles d’ingénieurs publiques et le Cnam ont formé 478 200 stagiaires contre 448 500 en 2011. L’augmentation des effectifs de stagiaires atteint globalement 7 %, essentiellement grâce aux universités où elle atteint 8 % alors qu’elle ne dépasse pas 1 % au Cnam et dans les écoles. Cette augmentation moyenne cache trois stratégies différentes vis-à-vis des différents publics.
En effet, si les universités maintiennent leur nombre de salariés inscrits au titre du plan de formation de leur entreprise (+ 1 %), tout en mettant l’accent sur les contrats de professionnalisation (+ 16 %), les particuliers (+ 14 %) et les non-salariés (+ 12 %), le Cnam accuse une baisse des inscrits salariés (- 13 %) tout en privilégiant les demandeurs d’emploi (+ 33 %). Les écoles, quant à elles, mettent l’accent sur les publics salariés (+ 12 %). Le volume d’heuresstagiaires dispensées dans les universités se maintient (+ 1 %) alors qu’il diminue dans les écoles et au Cnam. La durée moyenne globale perd 11 heures en passant à 141 heures et s’établit à 132 heures dans les universités contre 137 en 2011. Cette baisse est notamment due à la réduction des stages des 102 000 salariés inscrits à l’université au titre du plan de formation qui perdent 8 heures depuis 2011 pour s’établir à 78 heures.
Le chiffre d’affaires de la formation continue dans l’enseignement supérieur atteint 403 millions d’euros en 2012, soit une diminution de 2 % par rapport à 2011. Les recettes des universités qui représentent 64 % de l’ensemble restent stables (+ 0,5 %) alors que celles du Cnam perdent 7 % et les écoles gagnent 2 %. L’origine privée des ressources de la formation continue dans le chiffre d’affaires des universités se stabilise autour de 72 % des fonds, dont 49 % en provenance des entreprises et des Opca. La part des individuels payants passe de 24 à 23 %. Celle des fonds publics dans la formation continue des universités passe de 22 à 20 % et, parmi eux, la part des subventions de l’État pour des publics spécifiques diminue de moitié en passant de 5 à 2,5 millions d’euros, tandis que la part consacrée par l’État à la formation de ses propres agents se restreint (- 13 %).

Repères et références statistiques 2014

3 septembre 2014

RERS 2014 - La formation continue : évolution

Statistiques - publications annuelles - Édition 2014. Télécharger la brochure Repères et références statistiques 2014
La formation continue : évolution p.218
Présentation
En 2011, dans un contexte d’activité économique ralentie, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 32 milliards d’euros. Elle est plutôt stable par rapport à 2010 (+ 1,4 %). Principaux financeurs de la formation professionnelle continue, les entreprises contribuent pour 43 % de la dépense totale. Les dépenses de formation de l’État et celles des régions sont très voisines avec respectivement 15 % et 14 % de l’ensemble. Les dépenses supportées par les ménages pour financer leur formation continue représentent 4 % de la dépense globale. Les dépenses des trois fonctions publiques pour la formation de leur personnel représentent 19 % de la dépense totale. Le reste de la dépense est pris en charge par les administrations publiques et Pôle emploi (5 %) et marginalement par les collectivités locales autres que les régions. Les jeunes bénéficient de 25 % de la dépense de formation professionnelle.
Les régions leur consacrent toujours une part importante de leurs dépenses (60 %). Les demandeurs d’emploi bénéficient de 12 % de la dépense de formation. Les personnes en emploi (dans le secteur public ou privé) sont les principaux bénéficiaires des dépenses de formation continue, avec 62 % de la dépense totale. L’ensemble des établissements de l’éducation nationale réalise en 2011 un chiffre d’affaires de 894 millions d’euros au titre des activités de formation continue, soit une hausse de 3 % par rapport à 2010, principalement due à la hausse d’activité dans les établissements d’enseignement supérieur (+ 6 %). Le nombre de stagiaires reste stable alors que le nombre global d’heures-stagiaires diminue surtout dans les établissements d’enseignement supérieur (- 7 %).

Repères et références statistiques 2014

23 mai 2014

AERES: la FC à l’Institut d’administration des entreprises de Paris - IAE

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de juillet 2013. Il n'y pas de partie spécifique "formation continue". Voici les passages mentionnant la "formation continue".
P.5 - L’établissement comptait 1 769 étudiants pendant l’année universitaire 2011-2012 ; il connait une évolution régulière de ses effectifs, qui ont progressé de 6 % en quatre ans. L’institut dispose d’une offre de formation centrée sur le master et le doctorat en sciences du management, et développe principalement des formations dans le cadre de la formation continue et en alternance (53 % des effectifs en 2011-2012), ainsi que dans le cadre de formations délocalisées (37 % des effectifs en 2011-2012)...
L’évaluation intervient à un moment clé de l’histoire de l’établissement. L’IAE, qui souhaitait dans le contrat d’établissement précédent se rapprocher de l’UFR de gestion de l’université Paris 1, a changé de stratégie et engagé un processus de rattachement à l'université Paris-Dauphine. Ce projet de l’équipe des enseignants-chercheurs, porté par la directrice, a été présenté au conseil d’administration de l’institut le 26 mai 2010, et un projet de convention de rattachement a été voté par le conseil d’administration de l’IAE le 3 octobre 2012. Il prévoyait une répartition de l’offre de formation entre l’université Paris-Dauphine et l’IAE, ce dernier assurant les formations dispensées en formation continue.
P.7 - Depuis mai 2010, l’IAE est engagé dans un projet de rattachement à Paris-Dauphine après avoir porté un projet de rapprochement avec l’UFR Sciences de Gestion de l’université Paris 1 qui ne s’est pas réalisé. Le projet est construit sur le positionnement d’une “Business School centrée sur la formation continue”, rattachée à l’université Paris-Dauphine, et qui souhaite développer une recherche en lien avec le monde socio-économique. Ce rattachement à l’université Paris-Dauphine permettrait également à l’IAE d’intégrer le PRES PSL. Ce changement de stratégie a impacté fortement le fonctionnement de l’IAE qui est resté ainsi dans l’attente de la finalisation de cette décision. Cette situation a été préjudiciable à la mise en place des projets de structuration de l’établissement.
P.9 - I – Une stratégie progressive et réaliste sur le plan interne
La stratégie de l’établissement consiste à ancrer l’enseignement sur l’activité de recherche des enseignants. Or, les modalités d’enseignement largement dominantes à l’IAE, à savoir la formation continue et l’alternance, sont chronophages par leurs exigences pédagogiques et administratives. Elles ne semblent donc pas a priori les plus propices au développement d’une activité de recherche soutenue et c’est un point déjà évoqué dans le rapport d’évaluation de 2009. Elles sont cependant la source de relations privilégiées avec les entreprises. La stratégie mise en place intègre et exploite ces deux particularités en visant une recherche essentiellement appliquée et fortement orientée vers le monde socio-économique, soit une recherche principalement contractuelle, en prise avec le terrain, mais devant aboutir, autant que possible, à une valorisation académique. La création récente de chaires de recherche, dont les thèmes correspondent à la fois aux compétences des équipes d’enseignants-chercheurs et aux intérêts des partenaires professionnels, constitue un bon exemple de cette stratégie.
En voulant associer intimement recherche et enseignement, l’IAE aspire en outre à promouvoir la poursuite d’une activité de recherche auprès du plus grand nombre d’enseignants, en évitant l’écueil d’une simple cohabitation de deux populations distinctes d’enseignants et de chercheurs. Compte tenu des lourdes charges exigées par la formation continue et l’enseignement en alternance, les congés pour recherche et conversion thématique (CRCT) sont encouragés par l’établissement, notamment en vue de la préparation de l’habilitation à diriger des recherches, l’idée étant d’avoir chaque année au moins un enseignant-chercheur bénéficiant d’un CRCT. Il faut noter que le taux de produisants est en augmentation (le bilan 2007-2013 du GREGOR indique 24 publiants sur 32 membres du laboratoire soit un taux de 75 % en croissance par rapport au taux de 60 % atteint en 2008) et relativement élevé compte tenu notamment de l’implication de l’équipe d’enseignants dans les activités en formation continue.
P.10 - Celles-ci ne sauraient cependant pas en cacher la nécessité et peut-être même l’urgence. Quelle que soit l’efficacité de la stratégie développée en matière de recherche sur le plan interne, elle ne sera pas suffisante pour assurer une place significative de la collectivité des chercheurs de l’IAE dans la compétition nationale et surtout internationale. La politique de recrutement, que le précédent rapport d’évaluation envisageait comme l’élément le plus important de la mise en oeuvre de la stratégie de l’IAE en matière de recherche, peut aisément buter sur l’obstacle lié au manque d’attractivité, pour de bons candidats principalement orientés vers la recherche, d’un établissement voué à la formation continue. L’intégration dans une unité de recherche bénéficiant d’une meilleure visibilité est une manière de contourner, au moins partiellement, un tel obstacle...
III – Les chaires de recherche : des compétences au service des partenaires socio-économiques
Des chaires de recherche ont été créées en appui aux six axes de recherche du GREGOR. Aujourd’hui, quatre chaires de recherche sont en place et pilotées par les enseignants chercheurs de l’IAE :
- la chaire “Marques & Valeurs”: elle a été créée en 2012 avec cinq entreprises partenaires issues des domaines privé et public. Cette chaire a été à l’origine de la formation continue “Management transversal de la marque” ouvert pour la rentrée 2013-2014 ;
P.13 - En 2011-2012, l'IAE a accueilli 1 769 étudiants. Sept étudiants sur dix étaient inscrits au titre de la formation continue en France ou à l'étranger. Sur le site parisien, ils représentaient plus de la moitié des effectifs, l’autre moitié étant constituée des étudiants en formation initiale, en présentiel et en apprentissage...
L'offre des formations diplômantes de l'IAE constitue une arborescence de spécialités et repose sur la constitution de groupes pédagogiques de petite taille adaptés aux différents publics. Ces deux éléments produisent une architecture complexe. Á titre d’illustration, une des spécialités de master compte 16 groupes au titre de la formation continue et cinq au titre de la formation initiale pour l’année 2012-2013. Si cette architecture permet une réelle réponse aux attentes des publics formés (cours dispensés en journée, en soirée et/ou le samedi selon la durée du temps de formation), les choix effectués peuvent néanmoins contribuer au cloisonnement des différents publics étudiants.
P.15 - I – Une faible implication des étudiants à la vie de l’établissement
En raison de la spécificité de son offre de formation centrée principalement sur l’apprentissage et la formation continue, la vie étudiante est structurellement peu développée à l’IAE ; les étudiants des formations délocalisées sont faiblement intégrés à la vie de l’établissement...
Les stagiaires de formation continue peuvent bénéficier d’une exonération des frais de formation. Les modalités et critères d’attribution, clairement définis, sont disponibles auprès des services de scolarité ; pour une meilleure information des étudiants, ils devraient être communiqués sur le site internet de l’établissement.
P.17 - I – Une offre de formation ancrée à l’étranger
L’IAE a choisi une stratégie internationale essentiellement centrée sur le marché de la formation continue (MBA). L’établissement a privilégié la délocalisation de ses formations étant donné les fortes contraintes en termes de mobilité de ses étudiants, qui sont pour la plupart des cadres en activité. Son offre de MBAs délocalisée (offshore) attire 71 % d’étudiants étrangers. Par contre, les cursus de formation initiale n’attirent que 7 % d’étudiants étrangers. D’importantes disparités en termes d’exposition internationale des étudiants persistent au sein de l’établissement.
P.18 - Etant donné l’importance de l’offre délocalisée et le public de cadres en activité (disponibilité limitée), une réflexion prospective devrait être menée pour évaluer l’impact des évolutions numériques sur la formation continue (apprentissage à distance, “blended learning”, MOOC). Le maintien des activités existantes pourrait passer par un investissement dans l’innovation pédagogique propre aux cadres en activité.
IV – Une identification à l’international en question
Le rapprochement de l’IAE avec l’université Paris-Dauphine imposera un changement de nom pour l’IAE dans ses collaborations internationales. En effet, l’institut se présente - et communique - actuellement sous l’intitulé de “Sorbonne Graduate Business School”, ce qui constitue un avantage concurrentiel reconnu étant donné le prestige du label “Sorbonne” à l’étranger. La réputation internationale de Paris-Dauphine existe mais reste limitée pour un public de formation continue à l’étranger. Par contre, sur le marché national, elle constitue un atout. Le changement d’établissement de rattachement - et donc de “marque” - devra s’insérer dans une réflexion globale de positionnement et de développement international de l’IAE, en parfaite concertation avec les activités de formation continue de Paris-Dauphine. Les collaborations actuelles entre l’IAE et l’université Paris-Dauphine (MBA IP) constituent un socle solide sur lequel l’IAE peut capitaliser pour construire sa stratégie internationale.
P.19 - Le service financier compte six personnes (un APAENES, un SAENES, un TECH et trois contractuels) et l’IAE s’est récemment doté de réelles compétences financières. La formalisation de la gestion financière a été initiée par la mise en place de procédures, comme la création de maquettes financières pour l’élaboration de conventions de formations, en lien avec un professeur d’université en charge du développement de la formation continue.
P.21 - Conclusion et recommandations
L’IAE peut se prévaloir de formations et d’un encadrement pédagogique et administratif de qualité. L’établissement a développé une véritable compétence dans le domaine de la formation continue, mais aussi dans celui de l’apprentissage, ce qui constitue un réel atout compte tenu des évolutions actuelles de la demande en matière de formation. Du fait de la taille restreinte de l’équipe pédagogique permanente, les procédures de gestion et le système d’information sont peu formalisés. L’offre de formation relève de la compétence des différentes équipes pédagogiques, avec des modes de gestion relativement étanches entre les différents parcours de formation. L’établissement développe une offre de formation stable et reconnue. Il doit mettre en place une gouvernance de cette offre de formation, ce qui lui permettra de mutualiser les bonnes pratiques.
P.22 - III – Les recommandations
- Faire évoluer l’offre de formation continue conformément aux besoins du monde socio-économique. Télécharger le Rapport d'évaluation de l'Institut d'administration des entreprises de Paris.

23 mai 2014

AERES: la FC à l'Université Paris-Sorbonne Paris IV

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de décembre 2013. Dans la partie Stratégie en matière de formation, il y a une sous-partie 5, spécifique "Formation tout au long de la vie", constituée de deux parties secondaires : La formation continue : une stratégie à développer et L’université inter-âges : un grand dynamisme.
III - La formation tout au long de la vie
1 - La formation continue : une stratégie à développer
La formation continue est gérée au niveau central par un service commun placé sous l’autorité d’un enseignant délégué. Ce service, restructuré en 2008, s’emploie désormais à mettre l’activité de l’université en la matière en conformité avec la loi, à mettre en place un dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE) et à développer son offre.
Celle-ci a été recentrée sur les enseignements de langues et de culture générale et n’intègre que très modestement la formation continue diplômante. Le bilan du service fait état, pour 2011, de 1 690 stagiaires et d’un chiffre d’affaires de 565 k€ (hors Celsa) constitué à 46 % de la contribution de diverses entreprises et institutions, et à 54 % de celles d’auditeurs inscrits à titre privé. En revanche, il ne dénombrait que 319 adultes en reprise d’études, en quête de diplômes.
L’absence de dispositif de VAE montre que la formation continue n’était pas vraiment dans la culture de l’établissement jusqu’à une date très récente, à l’exception du Celsa dont le montant annuel des recettes, à hauteur de 1,7 M€, donne la mesure du dynamisme en la matière. Depuis 2009, on observe une lente progression du chiffre d’affaires (hors Celsa) qui laisse néanmoins des marges de progrès, sous réserve de diversifier l’offre et de renforce les actions de prospection et les collaborations pour compenser l’absence de formations transversales.
2 - L’université inter-âges : un grand dynamisme
L’université inter-âges fait preuve d’un grand dynamisme et contribue pleinement à la réputation de Paris-Sorbonne. Elle offre des cycles de conférences ouverts à tous dans les disciplines phares qui fondent le prestige de l’établissement et, s’inscrivant dans le cadre du PRES, elle élargit désormais cette offre à des questions d’actualité et de culture générale. Avec environ 14 000 inscrits, cette activité dégage des recettes à hauteur de 1,3 M€. De réels problèmes de locaux pour organiser son activité sur le site de la Sorbonne limitent quelque peu ses possibilités de développement. Elle a su néanmoins s’adapter à l’évolution générale de l’université et remplit au mieux sa mission.
Autre passage citant la Formation Continue
P.25 - On relève en particulier l’augmentation de l’activité de formation continue qui, avec l’université inter-âges, représente environ 30 % de ces ressources, ainsi que l’apport significatif de l’activité sur le site d’Abou Dhabi (11 %). Télécharger le Rapport d'évaluation de l'université Paris Sorbonne.

23 mai 2014

AERES: la FC au Muséum national d’Histoire naturelle

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCe rapport est de novembre 2013. Il n'y pas de partie spécifique "formation continue". Voici le passage mentionnant la "formation continue".
P.19-20 - II – Formation des enseignants du 1er et 2nd degrés
La direction de l’enseignement, de la pédagogie et des formations (DEPF) développe plusieurs objectifs :
- la formation continue des enseignants du 1er et 2nd degrés : actualisation des connaissances, accompagnement de la démarche pédagogique (projets de classe, travaux d’initiative personnelle encadrés, travaux personnels encadrés) en s’appuyant sur les ressources et les activités du MNHN (collections, expositions, grandes expéditions, Vigie-Nature) ;
- la formation initiale dans les deux masters de formation du 1er et 2nd degrés ;
- la formation à distance sur plateforme (licence libre moodle).
Les actions de formation continue des enseignants sont réalisées dans le cadre des plans académiques de formation (PAF), avec les IGEN et les Centres régionaux de documentation pédagogique (CRDP) et sont financées par les rectorats. Les RH représentent huit personnes et neuf professeurs-relais. 3 000 enseignants ont été formés en 80 journées.
L’activité de cette direction est remarquable. Elle contribue à la notoriété du MNHN. Elle touche des prescripteurs qui contribuent à valoriser le MNHN auprès du grand public. Le succès est une raison supplémentaire pour mentionner un appui logistique à l’enseignement limité et une surcharge de travail des agents de la DEPF. Télécharger le Rapport d’évaluation du Muséum national d’Histoire naturelle.

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