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Formation Continue du Supérieur
4 décembre 2012

Student finance: adding up the true cost of university

http://bathknightblog.com/wp-content/uploads/2011/07/telegraph-logo.jpgBy David Ellis. Tuition fees of up to £9000 may grab the headlines, but they're not the only expense to bear in mind for a generation of students seeking value for money, says David Ellis.
The student has moved into a new era. Generation ‘Oh well’ (as in “I’m broke … oh well”) has moved on, and its successors are questioning the worth of higher education. Value for money is at the forefront of every student’s mind. Don't just take my word for it – the current applications cycle has seen a second consecutive drop in university applications, with UK applications down nearly 20 per cent since the rise in tuition fees.
But the three-year cost of your degree isn’t determined by tuition fees alone. What other costs should the financially astute student consider when picking a course? Read more...
4 décembre 2012

Student suicides rise along with debt burdens

Click here for THE homepageBy Simon Baker. The number of students taking their own lives rose by 50 per cent in four years, figures have shown. The statistics, released via a Freedom of Information request made by Ed Pinkney, the founder of Mental Wealth UK, a student mental health charity, was made public through the Office for National Statistics website last week. According to the data, between 2007 and 2011 the number of suicides by male students in full-time higher education rose by 36 per cent, from 57 to 78. The number of female student suicides per year almost doubled over that time period, from 18 to 34.
According to Mr Pinkney, the figures come in the light of growing pressures on students caused by rising costs and gloomy job prospects. Just this week, an example was highlighted in the media of Toby Thorn, who took his life after dropping out of Anglia Ruskin University and struggling with debts of £8,000. Read more...
16 novembre 2012

Lancement de l’enquête 2013 « Conditions de vie des étudiants »

Conférence des présidents d'universitéL’Observatoire national de la vie étudiante (OVE), organisme public créé par arrêté du 14 février 1989 rattaché au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, pilote depuis sa première édition, en 1994, le dispositif d’enquête national « Conditions de vie des étudiants ». Depuis ses débuts, cette enquête triennale enregistre une audience croissante auprès des étudiants - jusqu’à atteindre 33.000 réponses en 2010 - et mobilise 85% des établissements de l’enseignement supérieur. Il s’agit d’une enquête d’une ampleur sans équivalent en France.
A la demande du cabinet de la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, l’OVE prépare actuellement le lancement de sa 7ème édition, l’enquête « Conditions de vie » 2013. En effet, les résultats de cette enquête constituent une précieuse source de données pour les acteurs de la vie universitaire et les décideurs en matière de politique de vie étudiante au niveau local, régional et national. Les informations recueillies -  touchant à des thèmes aussi variés que le budget, le logement, la santé, le bien-être sur le campus ou encore l’alimentation étudiante -, contribuent à l’élaboration d’un état des lieux de la diversité des situations étudiantes en France. Ces informations permettent notamment de cerner et d’identifier les questions majeures en matière de conditions de vie susceptibles d’influer sur la poursuite des études ou la réussite aux examens. Ainsi, l’enquête permet de disposer de données fiables et régulièrement actualisées. Les résultats obtenus font notamment l’objet de fiches thématiques dans les publications du ministère de l’enseignement supérieur.
En outre, cette enquête contribue à comparer la situation étudiante en France par rapport à d’autres pays européens et son évolution dans le temps, grâce à sa participation dès 1994 au programme de recueil des données de comparaison « Eurostudent ». Le programme Eurostudent V (2012-2015) qui vient d’être lancé et auquel participe une vingtaine de pays européens - dont la France représentée par l’OVE - constitue un outil d’aide à la décision dans le processus de Bologne au même titre que les enquêtes d’Eurostat et Eurydice.
L’enquête « Conditions de vie des étudiants » 2013, grâce à la dématérialisation accrue de son dispositif a pour ambition d’accroître encore la représentativité des établissements et des étudiants dans les données recueillies. Cette ambition n’est réalisable qu’avec l’appui des chefs d’établissement : par la mise en œuvre de tous les moyens à leur disposition en vue d’une large diffusion des informations concernant l’enquête auprès de leurs personnels et étudiants d’une part ; et par la transmission des fichiers d’adresses des étudiants en autorisant leurs services à communiquer ces informations à l’OVE d’autre part.
Il est utile de préciser que le dispositif d’enquête mis en place par l’OVE a reçu l’agrément de la CNIL quant à la conformité de son mode de recueil de données concernant les étudiants. Par ailleurs, les données collectées sont analysées de manière anonyme et non nominative.
Concernant son déroulement, le dispositif d’enquête mis en place par l’OVE consiste en un questionnaire en ligne (internet) soumis entre le 18 mars et le 18 juin 2013 à un échantillon d’étudiants inscrits dans les établissements d’enseignement supérieur durant l’année universitaire 2012-2013.
La première étape de l’enquête consistera, pour l’OVE, à recueillir entre le 15 et le 20 janvier 2013, auprès des services compétents des établissements, les fichiers d’adresses des étudiants, qui serviront de base de sondage. Les étudiants participant à l’enquête seront ensuite tirés au sort par l’OVE sur la base des adresses recueillies.
A partir de mars 2013, l’OVE adressera aux étudiants retenus dans l'échantillon un courrier papier et 3 à 5 mails de rappel (cartes de rappel pour les classes de STS) sur lesquels figurera un mot de passe personnel leur permettant d'accéder au questionnaire en ligne.
Les premiers résultats de l’enquête, présentés sous la forme d’une brochure synthétique,  seront adressés à l’ensemble des établissements et à leur tutelle en octobre 2013. Dans le respect des règles de confidentialité, l’OVE ne procédera pas à la publication d’informations individuelles concernant chaque établissement: les résultats qui paraîtront décriront la situation des étudiants par type d’établissement. Cependant, l’OVE peut fournir, à la demande des chefs d’établissement, une note d’information établie à partir des réponses transmises par les étudiants de leur établissement, sous réserve d’effectifs suffisants pour permettre une exploitation statistique.
Conférence des présidents d'université Το Εθνικό Αστεροσκοπείο της Φοιτητικής Ζωής (ΟΒΕ), ένα δημόσιο όργανο που έχει συσταθεί με διάταξη της 14ης Φεβρουαρίου 1989 στο Υπουργείο Ανώτατης Εκπαίδευσης και Έρευνας, του οδηγού από την πρώτη έκδοση του το 1994, το εθνικό σύστημα έρευνας " ζωή των μαθητών. " Από την ίδρυσή της, η τριετής έρευνα καταγράφει ένα αυξανόμενο κοινό μεταξύ των σπουδαστών - να φθάσουν 33.000 απαντήσεις για το 2010 - και κινητοποιεί το 85% των ιδρυμάτων της τριτοβάθμιας εκπαίδευσης. Πρόκειται για μια έρευνα από μια άνευ προηγουμένου μέγεθος της Γαλλίας. Περισσότερα...
25 octobre 2012

Soutien à l'initiative 10 villes accueillent leurs étudiants du monde

10villes-avuf-2012L'opération "10 villes accueillent leurs étudiants du monde" se déroule jeudi 25 octobre 2012 simultanément dans 10 grandes villes universitaires françaises. Cette opération vise à permettre aux étudiants étrangers venant étudier en France de mieux appréhender leur nouvel environnement d'études. Dossier de presse de l'opération 10 villes acueillent leurs étudiants du monde.
Marraine de l'opération 10 villes accueillent leurs étudiants du monde, Geneviève Fioraso tient à adresser tous ses vœux de succès à cette opération.
Initiée par la Ville de Lyon il y a 10 ans, aujourd'hui soutenue et encouragée par l'Association des Villes Universitaires de France (AVUF), la Nuit des Etudiants du Monde se déroulera, pour la première fois, en simultané dans 10 grandes villes françaises : Aix-en-Provence, Amiens, Lille Métropole, Lyon (et Villeurbanne), Marseille, Montpellier, Nantes, Reims, Paris et Toulouse.
De nombreux événements permettront aux étudiants étrangers de découvrir leur nouvel environnement et leur ville d'accueil: forums associatifs, soirées, expositions, découvertes de la ville à vélo, repas du Monde, etc. Autant de moments, qui faciliteront la rencontre et les échanges entre étudiants et, in fine, leur intégration et leur réussite étudiante.
La ministre tient à rappeler:
"Si j'ai accepté d'être marraine de cette opération, c'est pour soutenir une initiative commune portée par les grandes villes françaises et réaffirmer l'engagement fort du Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en faveur de l'accueil des étudiants étrangers et de la mobilité internationale.
L'accueil des étudiants étrangers participe pleinement au rayonnement de la France, ainsi qu'à l'attractivité nationale et internationale de notre enseignement supérieur. Cette manifestation est donc symbolique de notre engagement, qui s'est notamment traduit, dès l'investiture du gouvernement, par l'abrogation de la circulaire du 31 mai 2011 relative à la maîtrise de l'immigration professionnelle et celle du 12 janvier 2012 relative à l'accès au marché du travail des diplômés étrangers."
En savoir plus sur l'AVUF
L'Association des villes universitaires de France (AVUF) a été créée le 4 novembre 1993
L'AVUF s'est fixé un triple objectif:
  • regrouper les villes universitaires et défendre leurs intérêts communs;
  • devenir un lieu d'échange notamment sur les problèmes sportifs, culturels et sociaux liés à la présence d'établissements d'enseignement supérieur sur leur territoire;
  • développer des relations avec les villes universitaires européennes.

Aujourd'hui, l'AVUF regroupe 70 villes représentatives. Site de l'AVUF.

10villes-avuf-2012 Operation "10 cities hosting students of the world" takes place Thursday, October 25, 2012 simultaneously in 10 cities French university. This operation aims to allow foreign students coming to study in France to better understand their new learning environment. pressbook operation acueillent 10 cities of the world their students.
Godmother of the operation 10 cities of the world welcome their students, Geneviève Fioraso would like to extend its best wishes for success in this operation.

Initiated by the City of Lyon 10 years ago, now aided and abetted by the Association of Cities Universitaires de France (AVUF), Night of the Students of the World will be held for the first time simultaneously in 10 cities French: Aix-en-Provence, Amiens, Lille, Lyon (and Villeurbanne), Marseille, Montpellier, Nantes, Reims, Paris and Toulouse
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29 septembre 2012

Cité internationale - quand les étudiants du monde entier se donnent rendez-vous à Paris

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpgPar Olivier Rollot. Jusqu'au 9 novembre, la Cité internationale universitaire de Paris et le Crous de Paris ouvrent leur service d'accueil aux étudiants étrangers, une plate forme qui facilite les procédures d'intégration des quelques 58 000 étudiants étrangers scolarisés à Paris. Avec comme problème numéro 1 le logement puisque moins de 10% (environ 5 000) sont reçus à la Cité internationale universitaire et dans les logements mis à leurs disposition par le Crous. Le chiffre peut paraître faible mais il représente en fait une bonne moitié des logements universitaires parisiens et les trois quarts de ceux de la Cité.
De nouveaux logements en construction

Le choc de celui qui va pour la première fois à la Cité internationale universitaire de Paris est d’abord visuel. A une encablure du périphérique se retrouvent des architectures du monde entier – grecque, marocaine, cambodgienne, etc.  – dans ce qu’on appelle les « maisons » fondées par des pays du monde entier pour recevoir leurs étudiants à Paris. Et aujourd'hui, après plus de 40 ans de repos – aucun bâtiment n’a été construit depuis 1969 –, la Cité internationale se remet à croître avec, à l'horizon 20116, la construction de sept nouveaux bâtiments et 2 200 nouveaux logements.
Mixité culturelle

Une évolution qui ne sera pas qu’en nombre et sera également l’occasion d’accueillir de nouveaux pays dont les plus intéressés sont la Corée, la Colombie, la Russie et, bien sûr, la Chine. Les étudiants chinois sont en effet aujourd'hui les plus nombreux, juste devant les Américains, mais répartis dans de nombreux pavillons. Car c’est là une autre particularité de la Cité: si de nombreux pays ont leur propre pavillon, ils acceptent tous d’y accueillir au moins 30% d’étudiants venus d’autres pays pour favoriser la mixité culturelle du lieu. Le collège d’Espagne, et son style classique inspiré du Palais de Monterrey à Salamanque, compte ainsi 130 étudiants espagnols et 70 venus du reste du monde et… de France car chaque maison reçoit des Français, ce que les étudiants étrangers apprécient beaucoup.
Une petite ville

Pour intégrer la Cité, il faut être inscrit dans une des universités parisiennes, qui sont d’ailleurs propriétaires du site, ou dans une grande école y possédant sa propre maison. C’est par exemple le cas de l’Ecole nationale supérieur des arts et métiers, la plus importante de la Cité en termes d’effectifs. Dans tous les cas, les places sont réservées aux étudiants de master, voire parfois de 3ème année de licence. Ils y passeront en moyenne une année et jamais plus de trois. La Cité est aussi un outil de rayonnement et de compétitivité pour les universités parisiennes. C’est un véritable plus pour attirer les étudiants de pouvoir leur dire qu’ils y seront hébergé. Les heureux élus trouvent à la Cité une petite ville - en tout 12000 personnes y passent chaque année! -, avec ses commerces, ses salles de spectacle, ses terrains de sport, sa vie gérée par l’administration mais aussi par les étudiants eux-mêmes au sein de comités de résident qui désignent ensuite un comité global.
Un peu d’histoire

La première résidence de ce qui allait devenir la Cité internationale universitaire de Paris a été inaugurée en 1925. Dans la lignée de la Société des nations, ses fondateurs souhaitent alors créer une « école des relations humaines pour la paix ». Aujourd'hui, la Cité compte 40 maisons réparties sur les 34 hectares de son site historique, dans le XIVème arrondissement de Paris et sur l’île de Bréhat.
Pour ceux qui veulent en savoir plus, des promenade architecturale au sein de la Cité sont organisées certains dimanche. Plus d’infos sur le site de la Cité.
http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpg Με Olivier Rollot. Μέχρι 9 Νοεμβρίου, το Cité Internationale Universitaire de Paris και το Παρίσι CROUS υπηρεσία ανοίξουν το σπίτι τους σε ξένους φοιτητές, μια πλατφόρμα που διευκολύνει τις διαδικασίες ένταξης των περίπου 58.000 ξένων φοιτητών που σπουδάζουν στο Παρίσι . Ως νούμερο 1 πρόβλημα με τη στέγαση αφού λιγότερο από το 10% (περίπου 5.000) που περιήλθε στο Cité Internationale Universitaire στα σπίτια και τίθενται στη διάθεσή τους από CROUS. Ο αριθμός μπορεί να φαίνεται χαμηλή, αλλά είναι πραγματικά ένα καλό μισό του πανεπιστημίου διαμονή στο Παρίσι και τα τρία τέταρτα της πόλης.
Νέα κατασκευή κατοικιών

Το σοκ του ότι για πρώτη φορά στο Cité Internationale Universitaire de Paris είναι πρωτίστως οπτική.
Σε αρχιτεκτονικές καλώδιο της συσκευής μπορεί να βρεθεί σε όλο τον κόσμο - ελληνικά, του Μαρόκου, της Καμπότζης, και ούτω καθεξής. - Στα λεγόμενα "σπίτια" που ιδρύθηκε από χώρες σε όλο τον κόσμο για να πάρει τους μαθητές τους στο Παρίσι. Και σήμερα, μετά από 40 χρόνια ανάπαυσης - δεν κτίριο κτίστηκε το 1969 - το Διεθνές Κέντρο αρχίζει να αυξάνεται με, τον ορίζοντα 20116, η κατασκευή των επτά νέων κτιρίων και νέων κατοικιών 2200. Περισσότερα...
6 septembre 2012

Projet de loi sur le logement social - davantage de logements pour les étudiants

EtudiantsL'objectif est de construire 40 000 nouveaux logements étudiants et et de réhabiliter 26 000 logements sur 5 ans. Logement étudiant, interview de Geneviève Fioraso sur LCI.
Geneviève Fioraso se réjouit de la présentation en conseil des ministres, ce mercredi 5 septembre, du projet de loi sur le logement social qui va être soumis au Parlement lors de la session extraordinaire dès la semaine prochaine.
Une part des 150 000 logements sociaux nouveaux par an sera destinée aux étudiants, en vue de réaliser l'objectif ambitieux fixé par le Président de la République: construire 40 000 nouveaux logements étudiants sur le quinquennat, soit 8 000 logements en moyenne par an (pour rappel, l'objectif du Plan Anciaux était de 5 000 logements par an, objectif non atteint), et réhabiliter les 26 000 logements qui n'ont pu l'être dans le quinquennat précédent.
En cette période de rentrée étudiante, il est important de rappeler que le budget logement est un des premiers postes de dépenses pour les étudiants, notamment en région parisienne et dans les grandes métropoles, où le coût du logement dépasse parfois 50% de leurs ressources mensuelles.
Deux mesures, proposées par le gouvernement et intégrées dans ce projet de loi, concourront à la réalisation de cet objectif: il s'agit de la mise à disposition de foncier appartenant à l'Etat pour la construction de logements sociaux, couplée au renforcement des obligations de production de logement social pour les communes (25% au lieu de 20% précédemment).
La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche travaille en lien étroit avec sa collègue Cécile Duflot, ministre du Logement, sur les modalités et le programme de réalisation de ces logements étudiants. Sa réussite passera par la mobilisation de tous: collectivités territoriales, établissements d'enseignement supérieur, bailleurs sociaux et naturellement réseau des œuvres universitaires.
Pour financer ces logements, le ministère prendra toutes ses responsabilités en garantissant le budget d'investissement du CNOUS. En outre, est à l'étude la mobilisation d'une partie du financement du livret de développement durable. Enfin, la réalisation des projets du Plan Campus, qui intègrent la construction et la réhabilitation de 13 000 logements étudiants, est accélérée: ces opérations sont malheureusement encore à l'état de projet quatre ans après leur annonce, sans que la moindre action ne soit concrètement engagée.
La mise en œuvre la plus rapide possible de l'engagement présidentiel en faveur du logement étudiant s'inscrit pleinement dans les priorités du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche qui visent à favoriser l'accès aux études supérieures pour les jeunes issus de milieux modestes et à leur permettre de réussir en améliorant notamment leurs conditions de vie matérielles.
Φοιτητές Ο στόχος είναι να οικοδομήσουμε 40.000 νέες κατοικίες και την αποκατάσταση των σπουδαστών και 26.000 μονάδες πάνω από 5 χρόνια. Student Housing, Geneviève Fioraso συνέντευξη στο LCI.
Fioraso Geneviève χαιρετίζει την παρουσίαση από το Συμβούλιο των Υπουργών, την Τετάρτη 5η Σεπτεμβρίου, το σχέδιο νόμου για την κοινωνική στέγαση θα υποβληθεί στο Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο κατά την ειδική συνεδρίαση την επόμενη εβδομάδα
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3 septembre 2012

Desperate students face severe housing shortage

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Jane Marshall. Around a million students about to start the new university year in France have been trying to find a suitable place to live.
The new government has committed itself to a big expansion of student housing, but years of promises by state, regional and student-support authorities have not been fulfilled and there is a severe lack of places in university residences.
Meanwhile, a consumer organisation has filed complaints against 13 agencies that it alleges are illegally selling lists of addresses to students desperately seeking to rent in the private sector.
In 2004 a report by member of parliament Jean-Paul Anciaux set out a plan to construct or rehabilitate 12,000 student housing units a year in the course of the decade to 2014, but the objectives have not been met...
Many students desperately seeking a suitable place resort to operators who, according to consumer organisation UFC-Que Choisir in a report published this week, are illegally selling lists of addresses supposedly available to let. More...
15 août 2012

The sorry state of student housing

http://static.guim.co.uk/static/2101e686aef3eab4a910b0cbdddd9a8235c0d3f3/common/images/logos/the-guardian/news.gifBy . Students are easy prey for unscrupulous landlords, who are cashing in by charging huge rents for shabby properties.
Recently I stayed, temporarily, in student accommodation again. Nostalgically I pictured the residential halls of my youth, remembering torrential water fights, superhuman livers and stark, utilitarian fittings. I thought to myself: they must be different now – surely these days, student housing no longer resembles an open prison.

14 août 2012

Rundum-Sorglos-Paket für die Forscherfamilie

http://www.epapercatalog.com/images/zeit-online-epaper.jpgJob, Wohnung, Kinderbetreuung: Um gute Wissenschaftler anzuziehen, umsorgen Unis auch die Familien der Forscher. Deren Ansprüche zu befriedigen, ist oft nicht leicht.
Er ist Sozialwissenschaftler an einer Universität im Süden Deutschlands. Sie ist habilitiert, hat aber bislang keinen Ruf erhalten. Als er eine Professur an einer anderen deutschen Uni in Aussicht hat, fordert er in den Bleibeverhandlungen eine Professur für seine Lebensgefährtin. Das Präsidium setzt sich für das Doppelkarriere-Paar ein, schließlich hat die Uni dazu hehre Grundsätze beschlossen. Der Fachbereich, der die Frau einstellen soll, ist bereit, ihr eine W2-Stelle auf Zeit zu geben, mit der Option auf eine Dauerstelle. Doch der Professor beharrt auf einer höher dotierten unbefristeten W3-Professur für seine Lebensgefährtin.
Der Fall ist heikel, Beteiligte bitten darum, weder sie noch die Uni namentlich zu nennen. Zumal die Förderung von Doppelkarrieren ganz oben auf der Agenda der Universitäten steht – im Sinne der Gleichstellung, mit der sie nicht nur in der Exzellenzinitiative punkten konnten.
Die Dual-Career-Förderung kommt aus den USA, bis heute gelten die dortigen Unis als Vorbild für Deutschland. Selbst der konservative Hochschulverband hat die Unis bereits 2009 aufgefordert, "Dual Career zumindest für ihre wissenschaftlichen Spitzenkräfte als Daueraufgabe zu verstehen". Heute gibt es hierzulande rund 30 solcher Einrichtungen. Ihr Credo: Wer im Wettbewerb um exzellentes Personal in der Forschung erfolgreich sein will, muss mehr bieten als Gehalt und Laborausstattung. Weil Paare und insbesondere Familien weniger mobil seien als Singles, müsse die Uni heute auch um den Anhang der begehrten Wissenschaftler werben – mit Jobangeboten, Hilfe bei der Wohnungssuche, Tipps zu guten Kitas und Schulen.
Einige Professoren stellen sich quer

Zudem sind Unis und Forschungseinrichtungen aufgerufen, die Frauenquote in Führungspositionen zu steigern. Und gerade Professorinnen haben oft hoch qualifizierte Partner, die nur bereit sind, mitzuziehen, wenn auch sie eine Stelle bekommen. Homosexuelle sowie nichteheliche Partnerschaften werden von den Unis selbstverständlich gleichgestellt, das jedenfalls steht in ihren Richtlinien. So weit die Theorie der Doppelkarriere-Förderung. Mancherorts aber gibt es offenbar zu hohe Erwartungen an die Universität. Und Unmut, wenn die bevorzugte Behandlung von Partnern überzogen wird.
Widerstand jedenfalls regt sich bei den Sozialwissenschaftlern an der süddeutschen Uni. Sie wollen den Kollegen zwar halten, eine Koryphäe, die viel veröffentlicht und bei der Einwerbung von Drittmitteln überaus erfolgreich ist. Doch einige Professoren stellen sich quer: "Wir fühlen uns unter Druck gesetzt, das grenzt doch schon an Vetternwirtschaft", sagt einer. Der Hochschulverband pocht in seinem Papier zu Dual Career denn auch darauf, dass "selbstverständlich die arbeits- und beamtenrechtlichen Voraussetzungen strikt einzuhalten" seien.
Ein Job für die Partnerin, um begehrte Professoren zu halten oder zu holen? Das sei doch eine sehr "traditionelle Auffassung", sagt Christine Kurmeyer, die das Berliner Dual Career Netzwerk mit Sitz an der Freien Universität leitet. "Wir garantieren keine Stellen, sondern unterstützen umfassend bei der Stellensuche." Die in der Regel hoch gebildeten Partner oder Partnerinnen seien durchaus in der Lage, sich selber zu bewerben. Allerdings seien insbesondere Frauen, die sich eine Zeit lang mehr um die Familie als um die Karriere gekümmert haben, häufig in einem mittleren Alter, in dem potenzielle Arbeitgeber sie von vornherein aussortieren würden, sagt Kurmeyer. Wenn das Berliner Netzwerk sie beteiligten Hochschulen oder Forschungsinstitute mit Unterstützungsschreiben und Qualifikationsprofilen auf seiner Homepage empfehle, würden die Bewerbungen schon genauer angesehen.
Die Dual-Career-Förderung kommt aus den USA, bis heute gelten die dortigen Unis als Vorbild für Deutschland. Selbst der konservative Hochschulverband hat die Unis bereits 2009 aufgefordert, "Dual Career zumindest für ihre wissenschaftlichen Spitzenkräfte als Daueraufgabe zu verstehen". Heute gibt es hierzulande rund 30 solcher Einrichtungen. Ihr Credo: Wer im Wettbewerb um exzellentes Personal in der Forschung erfolgreich sein will, muss mehr bieten als Gehalt und Laborausstattung. Weil Paare und insbesondere Familien weniger mobil seien als Singles, müsse die Uni heute auch um den Anhang der begehrten Wissenschaftler werben – mit Jobangeboten, Hilfe bei der Wohnungssuche, Tipps zu guten Kitas und Schulen.
Einige Professoren stellen sich quer

Zudem sind Unis und Forschungseinrichtungen aufgerufen, die Frauenquote in Führungspositionen zu steigern. Und gerade Professorinnen haben oft hoch qualifizierte Partner, die nur bereit sind, mitzuziehen, wenn auch sie eine Stelle bekommen. Homosexuelle sowie nichteheliche Partnerschaften werden von den Unis selbstverständlich gleichgestellt, das jedenfalls steht in ihren Richtlinien. So weit die Theorie der Doppelkarriere-Förderung. Mancherorts aber gibt es offenbar zu hohe Erwartungen an die Universität. Und Unmut, wenn die bevorzugte Behandlung von Partnern überzogen wird.
Widerstand jedenfalls regt sich bei den Sozialwissenschaftlern an der süddeutschen Uni. Sie wollen den Kollegen zwar halten, eine Koryphäe, die viel veröffentlicht und bei der Einwerbung von Drittmitteln überaus erfolgreich ist. Doch einige Professoren stellen sich quer: "Wir fühlen uns unter Druck gesetzt, das grenzt doch schon an Vetternwirtschaft", sagt einer. Der Hochschulverband pocht in seinem Papier zu Dual Career denn auch darauf, dass "selbstverständlich die arbeits- und beamtenrechtlichen Voraussetzungen strikt einzuhalten" seien.
Ein Job für die Partnerin, um begehrte Professoren zu halten oder zu holen? Das sei doch eine sehr "traditionelle Auffassung", sagt Christine Kurmeyer, die das Berliner Dual Career Netzwerk mit Sitz an der Freien Universität leitet. "Wir garantieren keine Stellen, sondern unterstützen umfassend bei der Stellensuche." Die in der Regel hoch gebildeten Partner oder Partnerinnen seien durchaus in der Lage, sich selber zu bewerben. Allerdings seien insbesondere Frauen, die sich eine Zeit lang mehr um die Familie als um die Karriere gekümmert haben, häufig in einem mittleren Alter, in dem potenzielle Arbeitgeber sie von vornherein aussortieren würden, sagt Kurmeyer. Wenn das Berliner Netzwerk sie beteiligten Hochschulen oder Forschungsinstitute mit Unterstützungsschreiben und Qualifikationsprofilen auf seiner Homepage empfehle, würden die Bewerbungen schon genauer angesehen.
Erschienen im Tagesspiegel.
7 août 2012

More than bricks and mortar: how to make the most of your facilities

http://static.guim.co.uk/static/c9f90b3c5bbf96869cb84487a1f269cdfddea69a/common/images/logos/the-guardian/professional.gifBy Eliza Anyangwe. Good facilities are integral to good universities, so how can HE leaders finance, plan and manage their estates in a way that leads to gains and not losses?
Campus development: everyone's at it. From minor refurbishment projects to more sizeable construction jobs, it would seem - in the UK at least - that appetite for new, bigger and better facilities has defied the austerity mantra. State-of-the-art facilities are not simply a vanity project. They help attract students, provide a tailored space in which academic staff can teach and conduct research, and are part of the wider distinctiveness and economic strategy.
The Organisation for Economic Cooperation and Development (OECD) puts it this way: "Research shows the increasing importance of the role of higher education institutions in local and regional economies through knowledge creation and knowledge transfer. Facilities play a crucial role in meeting educational needs and providing places where knowledge exchange can happen. However, they are an expensive commodity to provide and maintain."
And at a time of considerable change in higher education, coupled with a global economy in renewed crisis, many wonder if greater gains could not be achieved by investing elsewhere in the sector - predominantly in teaching and research. But the question shouldn't be whether buildings are worth more than brains. In an assessment of which is more valuable to the creation of scientific knowledge, scientists or facilities, assistant professor Fabian Waldinger concludes: "It is difficult to evaluate how much high quality scientists and better facilities contribute to the creation of scientific knowledge".
Similarly, a non-targeted injection of funds into capital projects won't guarantee a university's survival. As a recent report into US colleges and universities found, development without a good strategic plan could lead to liquidity issues. The report, The financially sustainable university, explains: "Many institutions have operated on the assumption that the more they build, spend, diversify and expand, the more they will persist and prosper. But instead, the opposite has happened: Institutions have become over-leveraged."
So how can facilities and senior managers finance, plan and manage their estates in a way that leads to gains and not losses? And as technology permeates all areas of HE, what is its role in facilities management? Join our live chat panel to explore what an effective learning environment looks like, what the benchmarks and performance indicators of effective management are, and how to make university facilities financially and environmentally sustainable.
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