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Formation Continue du Supérieur
10 août 2016

ObservIA > Les secteurs > Charcuterie

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesLes Industries Charcutières, Traiteurs, Transformatrices de viandes se caractérisent notamment par :

  • la très large diversité des produits fabriqués, plus de 400, allant des jambons cuits, jambons secs, poitrines fumées, lardons, saucisses et saucissons cuits ou à cuire, andouilles, andouillettes, boudins noirs, boudins blancs, pâtés, saucissons briochés, ballottines, galantines, foies gras, jusqu’aux produits traiteurs tels que les salades composées, charcuterie pâtissière, plats cuisinés réfrigérés…
  • un chiffre d’affaires de plus de 6 milliards d’euros,
  • un nombre important d’entreprises (300) avec une majorité de PME,
  • une répartition des entreprises sur l’ensemble du territoire national avec cependant une prédominance dans l’Ouest, en Rhône Alpes, en Région parisienne et dans l’Est,
  • un secteur qui emploie 35 000 salariés (source 2014).

Ces industries se situent au 5e rang des Industries alimentaires françaises et au 2e rang des Industries transformatrices de viande de l’Union Européenne. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Les secteurs > Lait

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesLa transformation du lait, c’est une multitude d’opérations, des plus simples aux plus complexes, du ramassage du lait à la ferme jusqu’au craking du lait en passant par l’écrémage, les traitements thermiques, l’ultrafiltration, l’emprésurage, le séchage, les analyses… et la commercialisation bien sûr.
Des siècles d’innovation ont fait d’une ressource agricole vivante, le lait, une multitude de produits alimentaires et une matière première industrielle d’avenir.
Avec 26,8 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 2,6 milliards d’euros d’excédent commercial, la transformation des produits laitiers occupe une place particulièrement importante dans le paysage économique.
Grâce à ses efforts remarquables en matière de recherche, innovation, marketing et publicité, grâce aussi à sa maîtrise des procédés industriels, la transformation laitière a su conquérir et fidéliser un consommateur toujours plus exigeant. Résultat, le français aime les produits laitiers. Il consacre presque 14 % de son budget alimentaire à l’achat de produits laitiers ; il demeure un des premiers consommateur au monde de fromages (25 kg par an), et de beurre (7 kg par an). Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Les secteurs > Boulangerie et patisserie

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesLes industries de boulangerie-pâtisserie sont issues de l’artisanat. Elles se sont bâties sur la volonté et l’audace de boulangers et de pâtissiers artisans, qui ont dû organiser et rationaliser leur production pour accompagner leur développement. C’est ainsi que dans leur grande majorité, ces entreprises ont quitté les fournils pour s’implanter dans des zones d’activités industrielles ou en périphérie des villes, le long des grandes voies de communication, la logistique constituant l’une des clés de leur réussite.
L’activité des boulangeries industrielles concerne le pain (cuit, précuit ou pâte crue, en frais et surgelé), mais aussi la viennoiserie, la pâtisserie, les produits traiteurs, les sandwichs et les crêpes. Ces produits sont conçus essentiellement pour la grande distribution, les hôtels restaurants, la restauration collective, ainsi que les magasins de détail.
La France bénéficie de techniques de panification uniques au monde. Le pain, les pains, devrait-on dire, car il existe de nombreuses spécificités régionales, sans compter tous les types de pains « spéciaux », changent au fil des modes, des goûts et des techniques. Mais les constituants de base et la façon de le fabriquer restent identiques. Il faut toujours de l’eau, de la farine, du sel et de la levure et le processus de fabrication du pain respecte toujours le schéma suivant : Le pétrissage, le façonnage, la fermentation, la cuisson et la vente. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Les secteurs > Alimentation diverse

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesBouillons, potages, sauces déshydratées, aides culinaires déshydratées; sauces condimentaires, moutardes, fruits et légumes condimentaires, vinaigres ; Poivres, épices, aromates et vanilles ; mélanges technologiques ; pommes de terre transformées ; thé, plantes à infusion ; chicorée.
En matière de cuisine, il n'y a pas vraiment de frontières entre les aromates, les condiments et les épices. La mission de ces aliments est de modifier le goût, la saveur et le parfum des produits cuisinés. Un condiment est une substance destinée à assaisonner, c'est-à-dire à relever le goût des aliments ou des préparations culinaires, notamment les sauces. C'est le plus souvent une substance d'origine végétale, mais elle peut être aussi d'origine animale (bouillon de viande) ou minérale (sel). Ce secteur d’activités se définit par une très grande diversité de produits qui recouvre les filières suivantes :

Les bouillons et potages
On retrouve les fabricants de bouillons (solides ou liquides), de potages déshydratés (instantanés ou à cuire), liquides (concentrés ou prêts à l'emploi), de sauces déshydratées et aides culinaires déshydratées (assaisonnements, courts bouillons, fonds et fumets, garnitures, jus, oignons rissolés et préparations diverses).

Les industries condimentaires
Avec les moutardes, les olives de table, les sauces (mayonnaises, vinaigrettes et bien sûr ketchup), vinaigres, fruits et légumes au vinaigre.

Les transformateurs de poivres, épices, aromates et vanilles
Le poivre est une épice obtenue à partir des baies de différentes espèces de poivriers.L'espèce « Piper nigrum » produit, selon le stade de sa récolte et le type de sa préparation, le poivre vert, blanc, noir, rouge ou gris.
La vanille, quant à elle, est une épice constituée par le fruit de certaines orchidées et se consomme naturelle en gousse ou sous forme d'extraits de vanille. La demande de vanille est très diverse, pour : l'industrie agro-alimentaire (qui représente 80 à 85 % de la demande mondiale, avec les chocolatiers et les glaciers industriels, et les fabricants de sodas) ; les particuliers, les artisans chocolatiers et glaciers, les cuisiniers, les pâtissiers mais aussi dans l'industrie du cosmétique fabriquant des parfums et autres produits de soins.

Les fabricants de mélanges technologiques
Les “mélanges technologiques” sont définis comme les composés de plusieurs additifs alimentaires ou de plusieurs ingrédients et/ou agents (enzymes, ferments, fleurs de surface) destinés à remplir une ou plusieurs des fonctions suivantes : aromatisation, coloration, conservation, émulsification, liaison, texturation, décoration, enrobage. Par conséquent, les mélanges d’épices ainsi que les composés aromatiques font partie des mélanges technologiques, alors que les produits “simples” (tels que dextrose, salpêtre, phosphates simples, amidon simple) en sont exclus.
Ce sont des « produits – services », utilisés par l’Industrie du « salé » au sens large, et plus particulièrement par le secteur des salaisons et charcuteries, de la volaille travaillée et du poisson, des plats cuisinés, des produits traiteur (salades, pizzas, etc.) : des produits et des besoins technologiques variés qui demandent un vrai savoir-faire.

Les transformateurs de pommes de terre
Cette filière produit et valorise les pommes de terre pour l'alimentation humaine : chips, frites et spécialités surgelées, purées déshydratées, pommes de terre sous vide etc. Cette industrie s'est développée en même temps que ces nouveaux marchés à partir des années 1970.

Le thé et plantes à infusion
Le thé aujourd’hui a des traits de caractère particuliers. En effet, le thé est consommé majoritairement en sachet et se consomme principalement le matin. Les régions les plus consommatrices de thé et infusions sont la région parisienne et l’ouest de la France. Ces thés représentent pour les consommateurs des produits de qualité car très souvent leur nom fait référence aux terres lointaines de culture du thé, telles que les thés d’Origine comme Darjeeling ou Ceylan. Le thé vert connait un réel succès depuis quelques années dû essentiellement à ses vertus et bienfaits sur la santé alors que les thés standards restent des thés de référence pour le petit déjeuner.

En ce qui concerne les infusions, les parfumées semblent être les plus prisées sur le marché.

La chicorée
Antérieurement commercialisée en paquets de chicorée sèche bouillie dans de l'eau ou du lait, le consommateur la connait aujourd’hui sous forme de poudre soluble ou de concentré liquide. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Les secteurs > Meunerie et nutrition animale

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesMeunerie
Située au cœur de la filière blé tendre, la meunerie française en assure la première transformation. Cette filière comprend les producteurs de blé et les organismes stockeurs en amont, et les boulangers et autres clients de la meunerie, en aval.

Nutrition animale
L’industrie de la nutrition animale fournit aux animaux d‘élevage une alimentation équilibrée, adaptée à leurs besoins, assurant leur croissance et contribuant à leur bien-être.
En France, il existe une grande diversité d’animaux et de modes d’élevage. Les usines fabriquent en conséquence une grande variété de recettes différentes. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Les secteurs > Glaces, sorbets, crèmes glacées (industries)

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesEn boule, pot, cornet, bâtonnet, cône, barre, en spécialité individuelle (café liégeois…) ou à partager (bûche, vacherin…), on aime la glace sous toutes ses formes.
La glace s’adapte à tous les styles de vie. Facile à conserver et à servir, elle se déguste en toute simplicité, en dessert, au goûter et même en entrée… à la maison, au restaurant, en balade, au cinéma, à la plage… Et avec ses formes et ses parfums à l’infini, petits et grands l’adorent.
Si la vanille reste incontestablement le parfum préféré des français, le chocolat et la fraise figurent également en tête du palmarès. Voir l'article...

10 août 2016

ObservIA > Les secteurs > Sucrerie-distillerie et raffinerie de sucre

Observatoire des métiers des Industries AlimentairesDouze départements situés au Nord de la Loire représentent 84 % des surfaces plantées en betteraves sucrières. Les cultures de betteraves sont situées dans la sphère d’approvisionnement des sucreries avec lesquelles les planteurs sont liés par contrat. La baisse de consommation de sucre et la réforme de la politique agricole européenne en 2006, a contraint les industriels à mener des restructurations importantes afin d’améliorer la productivité de leurs outils industriels, entraînant une concentration des sociétés et des sucreries. Voir l'article...

10 août 2016

Observatoire de la Coopération Agricole > Présentation de la Branche Vins

http://metiers-cooperation-agricole.fr/design/plain_site/images/header.jpgLes caves coopératives interviennent dans le prolongement des exploitations viticoles de leurs membres pour vinifier et vendre la production. Ancrées sur un territoire et présentes sur tous les terroirs propices à la vigne, les caves coopératives ont vu se produire au cours des trois dernières décennies des évolutions majeures qui ont favorisé un nouvel état d’esprit et une nouvelle perception : contractualisation des engagements et responsabilisation des associés coopérateurs avec la mise en place de cahiers de charges, progression de la certification Agri Confiance, émergence de nouveaux métiers (technicien vignoble, agent d’accueil au caveau, technicien qualité), développement de la formation des salariés et reconnaissance de la VAE (CQP « Caviste »), réalisation d’investissements importants pour moderniser les outils de production et de conditionnement et introduire de meilleures technologies, prise en compte de la dimension environnementale, mise en place de stratégie d’entreprise pour préserver le potentiel de production, assurer l’écoulement des produits et dynamiser les ventes, implication des vignerons dans la promotion des produits et dans le développement rural.
Les atouts actuels des caves coopératives sont leur diversité aussi bien dans les produits issus de leurs terroirs qu’au niveau de leur taille puisqu’on y trouve beaucoup de TPE et quelques PME. Présentes sur tous les segments de marché, de la grande distribution en passant par les circuits traditionnels et la vente directe aux consommateurs grâce au réseau des caveaux, elles participent à la restructuration du vignoble, au regroupement et à la structuration de l’offre et favorisent l’émergence de structures commerciales de taille suffisante pour alimenter les marchés tant au sein des principaux pays consommateurs européens qu’à l’exportation. Si on met de côté la production d’eaux de vie (Cognac et Armagnac), un hectolitre sur deux est produit en France par une coopérative.
Depuis une quinzaine d’années, un important mouvement de restructuration, surtout par fusion, est en cours dû, pour l’essentiel, aux conséquences des arrachages, notamment sur la façade méditerranéenne, et sur la nécessité de mettre en place des outils de production et de commercialisation plus performants, à même de répondre aux exigences des marchés et susceptibles d’apporter une meilleure valorisation des produits au profit des coopérateurs.
Au cours des cinq dernières années, la branche a engagé avec les partenaires sociaux des négociations qui ont permis de réviser la classification des emplois, de mettre en place une nouvelle grille des salaires, d’introduire des dispositions spécifiques aux seniors, de créer un régime obligatoire de remboursement complémentaire de frais de santé, preuves d’une politique sociale active. Voir l'article...

10 août 2016

Observatoire de la Coopération Agricole > Présentation de la Branche Tabac

http://metiers-cooperation-agricole.fr/design/plain_site/images/header.jpgFrance Tabac regroupe 7 coopératives auxquelles adhèrent la totalité des planteurs. Depuis la disparition du Monopole dans les années 1970, son rôle est la mise en production et son suivi, ainsi que la commercialisation et, en grande partie, la transformation des tabacs cultivés sur le territoire national. Les planteurs français assurent 8% de la production européenne (soit 0,5% de la production mondiale). Deux variétés sont privilégiées : le Virginie, un tabac dit « de remplissage », dont la faible teneur en alcaloïdes et goudrons permet d’équilibrer les mélanges cigarette, et le Burley ou « tabac de base », recherché pour son arôme bien particulier de chocolat et noisette.
Au niveau européen, la France est presque le seul producteur de Virginie de remplissage avec l’Allemagne et la Pologne, et le seul producteur de Burley de cette qualité aromatique. L’un des atouts majeurs de France Tabac est de maîtriser plusieurs métiers clés de la chaîne de production et de transformation. Son expertise est renforcée par l’institut technique de Bergerac (Anitta), chargé de l’expérimentation variétale, des techniques culturales, des études économiques, de la mécanisation de la production, etc. L’Anitta assure par ailleurs la formation et le perfectionnement des techniciens des coopératives. Enfin, les 7 coopératives possèdent depuis 1985 une usine de transformation située à Sarlat, où le produit est stabilisé et mis en forme avant utilisation par les manufactures de produits à fumer. Cette particularité française – rare dans le monde du tabac – fait des producteurs français des interlocuteurs privilégiés sur le marché grâce à leur maîtrise de la production et de sa traçabilité.
Comme tout marché de matière première, le tabac est soumis aux cycles du marché international et a été confronté aux fusions successives des grands industriels. Par ailleurs, à l’échelle européenne, la réforme de la PAC (suppression de l’Organisation Commune de Marché du Tabac) a considérablement réduit les aides financières à la production, fragilisant certaines exploitations. Une fragilité parfois renforcée par un co-financement national inégal selon les Régions.
Toutefois, de nouvelles tendances se dessinent, contribuant à modifier la nature et les conditions de la production : forte préoccupation des fabricants concernant le développement durable, demande d’une production biologique, investissements techniques notamment sur les récoltes de Burley (cueillette, séchage, effeuillaison…) ce qui permettrait d’augmenter la rentabilité de la production.

France Tabac en chiffres :
- 7 coopératives et 45 millions de chiffre d’affaire
- 135 équivalents temps plein
- 1 usine de première transformation, à Sarlat (Dordogne), d'une capacité de 20 000 tonnes par an et pouvant employer jusqu'à 170 salariés
- Une structure de recherche, d'expérimentation et formation des hommes (ANITTA) basée à Bergerac
- 2 076 planteurs répartis sur l'ensemble du territoire.
- La France est le 5ème producteur européen
- 6 000 hectares de cultures (4 000 Virginie et 2 000 Burley)
- 18 000 tonnes de production par an, à raison de 97 % de variétés blondes et 3 % de tabac brun, exportés dans 20 pays
- 500 à 800 heures de travail à l'hectare selon les variétés
Info branche Tabac Coop de France. Voir l'article...

10 août 2016

Observatoire de la Coopération Agricole > Présentation de la Branche Lait et produits laitiers

http://metiers-cooperation-agricole.fr/design/plain_site/images/header.jpgEn France, 60 groupes coopératifs et près de 200 coopératives « fruitières » collectent et valorisent le lait produit par leurs associés-coopérateurs. Plus de la moitié des 76 000 producteurs de lait en France sont associés à une coopérative laitière. Voir l'article...

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