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Formation Continue du Supérieur
21 janvier 2017

C2i - Etudiant > Les enjeux économiques

En tant que citoyen, vous participez tous les jours à l’économie numérique, en utilisant des services « gratuits », des logiciels libres, en achetant en ligne, etc. Quelles sont les logiques du marché numérique ? Quelles implications derrière l’utilisation de services gratuits ou le choix d’un logiciel libre ? Savoir répondre à ces questions permet d’orienter ses choix en exerçant pleinement sa capacité de jugement. Voir l'article...
21 janvier 2017

C2i - Etudiant > La sécurité des systèmes d’information

La sécurité des systèmes d’information est un enjeu majeur pour les entreprises. En effet, les échanges d’information de plus en plus numérisés exposent à plusieurs menaces telles le cyber-espionnage, le cyber-terrorisme ou la cyber-criminalité. En tant qu’étudiant et futur professionnel, vous devez être capables de mesurer les risques associés aux outils numériques (logiciels malveillants, paiement en ligne...) et les prévenir en adoptant des pratiques numériques sûres (protocoles sécurisés, sauvegardes et archivage...). Voir l'article...
7 janvier 2017

Forum sur la politique de direction sur l’équité et l’apprentissage : Parole aux étudiants

FrenchLes thèmes principaux de la conférence seront la politique et le leadership, l’équité, la pratique, et les relations qui existent entre eux. Les compétences, les dispositions et les valeurs en font partie intégrante, étant donné qu’en dotant les jeunes avec l’éducation nécessaire pour être employable, pour faire preuve d’un esprit critique et pour être des citoyens actifs dans une société démocratique, on arrive à une réduction des inégalités et des injustices. Voir l'article...

30 décembre 2016

Les étudiants inscrits dans les universités françaises en 2015-2016 - 15 % des inscrits en licence préparent le DAEU

Par Aurélie Delaporte et Diane Marlat, MENESR-DGESIP/DGRI-SCSESR-SIES. En 2015-2016, 1 593 200 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM (y compris l’université de Lorraine). Ils étaient 1 531 300 en 2014-2015. Les effectifs inscrits augmentent de 4,0 %, hausse partiellement imputable à la montée en charge des inscriptions parallèles des étudiants de C.P.G.E. L’accroissement est ramené à + 2,8 % hors cet effet. En particulier, les effectifs sont en hausse en cursus licence (+ 4,9 %, et + 2,9 % hors doubles inscriptions) et en cursus master (+ 3,2 %), mais diminuent en cursus doctorat (- 1,6 %). Les bacheliers généraux sont plus nombreux que l’an passé dans les disciplines générales (+ 6,9 % hors doubles inscriptions en C.P.G.E.), le nombre de nouveaux bacheliers technologiques diminue en I.U.T. (- 2,0 %) et les bacheliers professionnels se dirigent nettement moins vers l’université. La part des étudiants étrangers à l’université est de 14,1 %. Elle baisse légèrement par rapport à 2014-2015 (- 0,2 point), principalement en cursus doctorat (- 0,4 point).

Les étudiants inscrits dans les universités françaises en 2015-2016
Pour l’année universitaire 2015-2016, 1 593 200 étudiants sont inscrits dans les universités de France métropolitaine et des DOM (y compris l’université de Lorraine) : 967 000 sont inscrits en cursus licence – dont 117 400 en IUT –, 566 500 en cursus master et 59 700 en cursus doctorat. Les inscriptions à l’université sont en hausse de 4,0 % par rapport à 2014-2015. L’année 2015-2016 correspond à la deuxième année de conventionnement obligatoire entre les lycées possédant des CPGE et un Établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP) et par la généralisation progressive des doubles inscription des étudiants en classe préparatoire et à l’université. Ce phénomène joue à la hausse : hors ces doubles inscriptions, l’augmentation globale des inscriptions à l’université est de 2,8 % 2. Le nombre d’inscription est en hausse en cursus licence (+ 4,9 % versus + 2,9 %.une fois l’effet neutralisé). C’est en cursus master que la croissance apparait au final la plus forte (+ 3,2 %), avec la montée en charge des inscriptions en master MEEF. Les inscriptions diminuent en revanche en cursus doctorat (- 1,6 %).
Une structure stable en cursus licence
Le cursus licence englobe 60,7 % des inscriptions à l’université sur l’ensemble du territoire (+ 0,5 point par rapport à 2014-2015). C’est à Paris que son poids est le plus faible (51,4 %), et dans les DOM et en Corse, il dépasse les 70 %.
Hors IUT et disciplines de santé, 43 % des effectifs du cursus licence sont inscrits en première année de Licence (L1). Les deuxième et troisième années (L2 et L3) représentent respectivement 23 % et 22 % des inscrits du cursus, et la Licence professionnelle 7 %. En STAPS, plus de la moitié des inscriptions sont en première année.
En arts lettres- sciences du langage, 12 % des inscrits en cursus licence préparent un Diplôme d’Accès aux Etudes Universitaires (DAEU).
La structure des inscriptions par grands champs disciplinaires (hors IUT) reste la même que l’année passée. Les étudiants sont davantage inscrits en lettres et sciences humaines et sociales qui accueillent, considérées conjointement, 37 % des étudiants en cursus licence. La part des sciences (sciences fondamentales et sciences de la terre et de la vie) augmente de 2 points (21 %), cette augmentation étant due aux doubles inscriptions en CPGE, les conventionnements semblant davantage se traduire par des inscriptions effectives à l’université pour les classes préparatoires scientifiques que pour les classes préparatoires littéraires. Les disciplines juridiques représentent 14 % des inscriptions (15 % hors inscriptions parallèles en CPGE – abrégé en h. CPGE par la suite), 14 % des inscriptions sont prises en sciences économiques et administration économique et sociale, 9 % dans les disciplines de santé et 5 % en STAPS.
Au sein du cursus master, davantage d’inscriptions en master MEEF
En cursus master, 41 % des inscrits sont en 1re année de Master (M1) et 37 % en 2e année (M2). Les autres formations relevant du cursus master (formation d’ingénieur, diplôme des IEP, etc.) représentent 22 % des inscrits. En particulier, en sciences fondamentales et applications, 39 % des inscrits en cursus master le sont en formation d’ingénieurs. Dans les masters Métiers de l’Enseignement, Education et Formation (MEEF) créés à la rentrée 2013, il y a davantage d’inscrits dans les masters MEEF préparant à l’enseignement dans le premier degré que dans ceux préparant au second degré (respectivement 49 % et 44 %). Les masters MEEF « Pratique et ingénierie de la formation » et « Encadrement éducatif » représentent beaucoup moins d’inscriptions (respectivement 4 % et 3 %). Dans les diplômes d’universités (DU) « formation adaptée » (voir encadré), créés pour les lauréats aux concours de l’enseignement déjà titulaires d’un master ou dispensés, il y a autant d’inscrits pour l’enseignement dans le second degré que dans le premier (8 % des inscrits dans les formations des Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation). Globalement, la hausse des inscriptions dans ces formations (masters MEEF et DU spécifiques) est très marquée en 2015- 2016 : + 14,4 %, témoignant semble-t-il d’un nouvel engouement pour les professions auxquelles elles préparent.
À nouveau moins de doctorants
Pour la sixième année consécutive, le nombre d’étudiants inscrits en doctorat et en HDR est en baisse (- 1,6 %) poursuivant la tendance observée depuis 2006. Les diminutions sont plus marquées dans les disciplines économiques (- 4,1 %) ou littéraires (- 2,1 %) notamment en langues (- 2,7 %). En sciences, la baisse est plus mesurée (- 0,6 %).
Une forte augmentation des effectifs dans la plupart des filières sauf en IUT
En 2015-2016, le nombre d’étudiants augmente dans les disciplines générales (+ 4,8 % ; + 3,3 % h. CPGE) (tableau 1-a) et en santé (+ 1,9 %) (tableau 1-c). Par contre, il stagne en IUT (tableau 1-b). Les effectifs augmentent en sciences pour la deuxième année consécutive (+ 9,4 % ; + 4,3 % h. CPGE). L’augmentation est la plus forte dans les disciplines scientifiques spécialisées, que ce soit en sciences de la nature et de la vie ou en sciences fondamentales (respectivement + 6,7 % et + 7,4 % ; + 5,7 % et + 4,6 % h. CPGE). En pluri-sciences, la forte hausse des effectifs est due à l’inscription des étudiants parallèlement en classes préparatoires, qui sont souvent inscrits à l’université dans des diplômes généralistes, au moins en première année de licence (+ 30,9 % mais - 2,2 % h. CPGE). Les diplômes de sciences continuent à se préciser, avec la nouvelle nomenclature des licences résultant de la simplification des intitulés de diplôme3 entrainant une baisse mécanique des effectifs en pluri-sciences. Les inscriptions en STAPS sont toujours en hausse pour la septième année, avec une augmentation du même ordre que l’an dernier mais plus faible que celle des années précédentes (+ 5,0 %).
Pour la treizième année consécutive, le nombre total d’étudiants en formations de santé progresse en 2015-2016 (+ 1,9 %) malgré la légère baisse en pluri-santé (PACES4) (- 0,4 %) due principalement à la diminution des effectifs de redoublants. Les inscriptions retrouvent en effet un certain dynamisme en médecine (+ 3,3 % après + 2,0 % en 2014-2015) et en odontologie (+ 2,6 % après + 1,8 %) tandis que les effectifs de pharmacie se tassent (- 0,5 % après - 0,1 % en 2014-2015) (tableau 1-c). En revanche, la tendance s’inverse pour la PACES dans laquelle les inscriptions étaient en hausse l’an dernier (+ 0,7 %).
Les étudiants sont plus nombreux qu’en 2014-2015 en sciences humaines et sociales5, en sciences économiques-gestion ainsi qu’en arts-lettres-sciences du langage (respectivement + 7,7 %, + 5,0 % et + 1,6 % ; + 7,6 % h. CPGE pour les sciences humaines et sociales, + 3,5 % pour les sciences économiques et + 1,4 % pour les arts et lettres). Les effectifs augmentent très légèrement en langue (+ 0,3 %).
Par contre, les inscriptions sont en forte baisse en administration économique et sociale (- 11,2 % en AES ; - 11,9 % h. CPGE). Les effectifs en IUT stagnent (- 0,1 %) en 2015-2016 (tableau 1-b), rompant avec la tendance à la hausse, même si elle restait modérée, des deux années précédentes (+ 0,6 % en 2014-2015 ; + 1,2 % en 2013- 2014). C’est la filière des services qui diminue (- 0,6 %) quand le secteur de la production se développe (+ 0,6 %).
Les nouveaux bacheliers plus nombreux en PACES, les bacheliers technologiques moins nombreux en IUT et les bacheliers professionnels moins nombreux à l’université
Ces constats par disciplines se retrouvent dans les hausses des inscriptions de nouveaux bacheliers dans les filières de sciences (+ 37,6 % ; + 9,2 % h. CPGE), de STAPS (+ 5,5 %) ainsi que dans les disciplines littéraires (+ 5,4 % ; + 3,7 % h. CPGE) et économiques (+ 10,4 % ; + 2,8 % h. CPGE) et en santé (+ 0,4 %). Les nouveaux bacheliers sont aussi plus nombreux en PACES (+ 0,4 %), après un renversement de tendance en 2014-2015 (- 1,5 %) qui suivait deux années de forte hausse (près de 8 %) des effectifs dans cette année de préparation aux concours médicaux. Leur nombre augmente fortement en sciences économiques (+ 20,0 % ; + 10,6 % h. CPGE). Les inscriptions sont aussi plus nombreuses en droit-sciences politiques (+ 2,5 ; + 2,1 % h. CPGE). Les effectifs des nouveaux bacheliers diminuent par contre en IUT (- 0,8 %). Parmi les nouveaux entrants à l’université, 84,6 % ont obtenu leur baccalauréat en 2015. Ces nouveaux bacheliers sont très majoritairement titulaires d’un baccalauréat général : c’est le cas de 79,7 % d’entre eux (+ 1,9 point par rapport à 2014-2015), 15,0 % ayant un baccalauréat technologique (- 0,9 point) et 5,3 % un baccalauréat professionnel (- 0,9 point). Les bacheliers professionnels représentent un nouvel entrant sur dix en langues et en sciences humaines et sociales et près de un sur cinq en AES. Le nombre de nouveaux bacheliers s’inscrivant à l’université est en hausse de 7,9 % à la rentrée 2015, avec des évolutions contrastées selon les filières et les types de baccalauréat. Ces évolutions s’inscrivent dans un contexte de baisse du nombre de bacheliers à la session 2015 (- 1,1 %). Néanmoins, les effectifs de bacheliers généraux, parmi lesquels se recrute la grande majorité des nouveaux bacheliers entrant à l’université, ont fortement augmenté (+ 3,7 % par rapport à 2014), les autres séries du bac accusant une baisse sensible (respectivement - 3,2 % et - 7,4 % pour les baccalauréats technologiques et professionnels).
Le taux de poursuite des bacheliers à l’université (y compris IUT), qui avait diminué de 1,3 point en 2014-2015, augmente de 3,8 points cette année : 45,1 % d’entre eux s’inscrivent à l’université (tableau 2). Hors inscriptions parallèles à une inscription en CPGE, le taux de poursuite est plus faible : + 40,9 % (supérieur de 1,6 point à celui de 2014-2015). Le nombre de nouveaux bacheliers technologiques entrant en IUT a diminué de 2 % après la très forte hausse de l’année dernière (+ 7,0 %), dans un contexte de mise en place de dispositions visant à leur ouvrir plus largement l’entrée en IUT. Leur taux de poursuite vers les IUT est de 11,5 % (+ 0,1 point). Les nouveaux bacheliers généraux ont plus que l’année précédente poursuivi leurs études à l’université : leur taux de poursuite atteint 70,1 % (y compris IUT), soit + 4,3 points. Ce sont les bacheliers qui s’inscrivent le plus en CPGE, les doubles inscriptions les concernent donc principalement. Hors doubles inscriptions, leur taux de poursuite à l’université est de 62,4 % (+ 0,6 point par rapport à l’an dernier). Ils sont plus nombreux à poursuivre dans les filières universitaires autres qu’IUT et santé (leur taux de poursuite augmente de 3 points) et la hausse n’est pas imputable aux seuls inscrits en CPGE. Hormis ces étudiants, le taux de poursuite des bacheliers généraux augmente de 1,4 point dans ces filières. Quant aux nouveaux bacheliers professionnels, dont l’accès aux sections de techniciens supérieurs a été facilité, ils sont un peu moins nombreux à s’être dirigés vers l’université : leur taux de poursuite y est de 8,3 %, en diminution de 0,1 point.
Un effectif d’étudiants étrangers en hausse dans les universités en 2015-2016
À la rentrée 2015, 225 400 étudiants des universités de France sont étrangers (tableau 3). Ces effectifs augmentent (+ 3,2 % par rapport à 2014-2015) mais leur part continue à diminuer légèrement et se situe désormais à 14,1 %. Les étudiants étrangers représentent 10,7 % des étudiants inscrits en cursus licence, 17,2 % des inscrits en cursus master et 41,1 % des inscrits en cursus doctorat. La proportion d’étudiants étrangers non titulaires d’un baccalauréat est également en baisse et représente 76,1 % de l’ensemble des étudiants étrangers (77,0 % en 2014- 2015). Ce sont des étudiants n’ayant pas suivi une scolarité classique dans le système secondaire français. Pour la majorité d’entre eux, ils viennent suivre des études supérieures en France après une scolarité dans leur pays d’origine, validée par une équivalence du baccalauréat qui leur permet de s’inscrire à l’université. Les étudiants africains représentent près d’un étudiant étranger sur deux en université (47,2 %). Leurs orientations restent semblables à celles observées les années précédentes : ils se dirigent davantage vers les disciplines scientifiques et sportives (33,7 % contre 27,5 % pour la population étrangère tous continents confondus) ou économiques (22,1 % contre 18,5 %) que littéraires (20,3 % contre 31,7 %). Parmi les étudiants africains, 73,0 % sont des non-bacheliers. Les étudiants européens représentent 24,5 % des étudiants étrangers. Parmi eux, les étudiants italiens sont les plus représentés (7 300 soit 15,1 % des européens), suivi des étudiants allemands (6 400 soit 11,6 %), espagnols (5 000 soit 9,0 %), russes (3 800 soit 6,9 %) et roumains (3 600 soit 6,5 %). Plus de quatre étudiants européens sur cinq sont originaires de l’Union européenne. Les étudiants asiatiques représentent 19,4 % des étudiants étrangers, et les étudiants américains 8,7 %. Les trois nationalités les plus représentées restent les mêmes : les étudiants marocains sont les plus nombreux (25 100), devant les algériens (20 200) et les chinois (16 600). Le nombre d’étudiants marocains est toujours en hausse (+ 6,6 % par rapport à 2014-2015), les étudiants algériens sont plus nombreux après plusieurs années de baisse (+ 6,7 %), contrairement à celui des chinois qui continue à décroître (- 7,3 % par rapport à 2014-2015).
Une majorité de femmes à l’université, excepté en cursus doctorat
En 2015-2016, les femmes représentent plus d’un étudiant inscrit à l’université sur deux (tableau 4). Elles sont majoritaires en cursus licence et en cursus master mais restent minoritaires en cursus doctorat (48,0 %). Les femmes sont majoritaires dans les disciplines littéraires. Elles représentent environ 70 % des effectifs en lettres et langues et 64,8 % en droit – sciences politiques.
A contrario, elles ne représentent que 38,7 % des inscrits en sciences, 28,9 % des inscrits en STAPS et 39,5 % des inscrits en IUT. La médecine-odontologie et surtout la pharmacie sont des filières fortement féminisées : les femmes représentent respectivement 62,3 % et 63,7 % des effectifs. Elles sont également une majorité en PACES (67,8 %).
Les effectifs en hausse dans presque toutes les académies
En 2015-2016, hors doubles inscriptions en CPGE, les effectifs sont en hausse dans toutes les académies sauf une (tableau 5). Dans cinq académies de France métropolitaine (Amiens, Caen, Nice, Reims et Poitiers) cette hausse, hors doubles inscriptions en CPGE, est supérieure à 5,0 %. Voir l'article...
29 décembre 2016

Rhodes, rent strikes and Brexit: the top student stories of 2016

The Guardian homeBy. The Rhodes Must Fall movement at the University of Oxford had been calling for the removal of Oriel College’s statue of Cecil Rhodes all through 2015, for its “glorifying” of the “racist mass murderer of Africans”. More...

17 décembre 2016

Fears for Students in Oakland Fire Tragedy

HomeBy Scott Jaschik. Students were among those attending a concert/party Friday night in an Oakland, Calif., warehouse when a deadly fire broke out -- and some students who may have attended are missing. More than 33 bodies have been removed from the warehouse, but most have not been identified and authorities believe that many other bodies remain inside. Read more...

14 décembre 2016

Web series brings Memorial University to life for prospective students

Résultat de recherche d'images pour By Natalie Samson. A web series following 10 new Memorial University students over an academic year is helping to bring the institution to life for prospective and current students. More...

9 décembre 2016

BM71: Students meet in Gdansk to discuss higher education and student union governance

ESU OnlineStudent representatives across Europe met between 28 and 3 December in Gdańsk, Poland to discuss Higher Education and Student Union Governance. The 71st General Assembly (BM71) was organised by the Students’ Parliament of the Republic of Poland (PSRP) and the European Students’ Union (ESU).
The meeting started with the Board Meeting seminar, where student representatives together with university professors and policy-makers discussed ways to increase the meaningful participation of students in higher education governance. More...

6 décembre 2016

Un étudiant sur deux juge que leur situation s’est dégradée depuis 2012

Par Le Figaro Etudiant. Un étudiant sur deux estime aujourd’hui que la situation des étudiants s’est «plutôt détériorée» depuis 2012, selon le sondage Ifop pour l’Etudiant, réalisé auprès de 604 personnes entre le 25 octobre et le 4 novembre 2016. Pour 29 % d’entre eux, la situation des étudiants n’a pas changé, et pour 21 % seulement, elle s’est améliorée. Voir l'article...

5 décembre 2016

Placing the college student at the center

University Business LogoBy Scott A. Bass. How many databases does your campus administer in the broad area of student support? American University uses more than 36 databases for different student-related administrative and learning management functions—yet, there is little to no integration. More...

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