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Formation Continue du Supérieur
23 avril 2011

Université-entreprises : partenariat renforcé avec le Medef

http://www.leprogres.fr/fr/images/filiale/logo.pngLundi, à la maison de l’université de Saint-Étienne, a été signée une nouvelle convention de partenariat entre les deux institutions ligériennes.
Améliorer les débouchés professionnels des étudiants stéphanois, favoriser les liens entre le monde de l’entreprise et de la recherche. C’est le double objectif de la convention qui lie l’université Jean-Monnet de Saint-Etienne au Medef Loire, l’organisation patronale des dirigeants d’entreprises.
Une nouvelle convention de partenariat vient d’être signée pour la période 2011-2015. Elle prévoit notamment la construction d’une formation complémentaire de type alternance, des ateliers de recrutement, des rencontres thématiques entre étudiants et professionnels.
La première remonte à 2008 et a permis de créer une plateforme d’insertion professionnelle. En 2010, un guide de compétences des licences a été édité.
Pour Khaled Bouabdallah, le président de l’université Jean-Monnet, cette convention est un acte important, un lien économique et territorial avec les entreprises : « Nous souhaitons proposer les meilleures formations possibles à nos étudiants pour leur permettre de mieux s’insérer dans la vie professionnelle ».
Éric Le Jaouen, président du Medef Loire, juge le bilan de la première convention « au-delà de tout ce qu’on espérait. Nous voulons désormais faire de ce partenariat une innovation. Le Medef, par sa responsabilité sociétale, souhaite soutenir et développer les actions de l’université ».
Lors de sa venue à Saint-Étienne le 1 er avril, Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, avait souligné le caractère innovant de l’université stéphanoise.
http://www.leprogres.fr/fr/images/filiale/logo.pngIt-Tnejn fil-dar tal-Università ta 'St Etienne, ikun iffirma ftehim ta' sħubija ġdida bejn iż-żewġ istituzzjonijiet Loire. Ittejjeb l-opportunitajiet tax-xogħol għall-istudenti Etienne, iħeġġu rabtiet bejn id-dinja tan-negozju u r-riċerka. Huwa l-għan doppju tal-ftehim bejn l-Università Jean Monnet Saint-Etienne Loire MEDEF, l-organizzazzjoni ta 'min iħaddem tal-mexxejja tan-negozju. Ftehim ta 'sħubija ġdida ġie ffirmat għal-perjodu 2011-2015. Dan jinkludi l-kostruzzjoni ta 'alternazzjoni tip addizzjonali ta' taħriġ, workshops reklutaġġ, laqgħat tematiċi bejn studenti u professjonisti. More...
23 avril 2011

La réforme de la formation professionnelle

http://www.espace-competences.org/Portals/_default/Skins/EspaceCompetences/pro/imgs/logo.jpgLes Matinales du CARIF Espace Compétences: la réforme de la formation professionnelle - Aubagne - 15 avril 2011
Plus d’un an après la publication de la loi du 24 novembre 2009, au moment où les parlementaires remettent leur rapport au gouvernement, le CARIF Espace Compétences est revenu sur les principales dispositions de la réforme, avec le concours de M. Jean-Philippe CEPEDE, Directeur du Pôle juridique - Observatoire - Centre Inffo. Document de présentation de l'intervention de J.-P. CEPEDE. Voir la vidéo sur Dailymotion.
Large succès pour cette matinale, qui a rassemblé 250 professionnels de l'orientation et de la formation. Les échanges et débats ont été riches et denses, autour du premier bilan et des dernières évolutions de la loi sur l’orientation et la formation. Pour aller plus loin et suivre l'actualité rendez-vous sur la rubrique consacrée à la réforme de la formation professionnelle. Notre partenaire Centre Inffo réalise un blog sur la Réforme de la formation.  Consultez les rubriques: La loi et ses décrets, Les rapports, L'actualité de la réforme, Les réactions sur la réforme, Les accords.

http://www.espace-competences.org/Portals/_default/Skins/EspaceCompetences/pro/imgs/logo.jpg Le mattine CARIF Area capacità: la riforma della formazione professionale - Aubagne - 15 apr 2011
Più di un anno dopo la pubblicazione della legge del 24 novembre 2009, quando i parlamentari presentare le loro rapporto al governo, l'Area CARIF Skills restituito alle disposizioni principali della riforma, con l'assistenza di Jean-Philippe CEPED, Direttore del Settore Legale - Osservatorio - Inffo. Center Paper presentato per l'intervento di JP CEPED. Vedi il video su Dailymotion. Maggiori informazioni...

23 avril 2011

La formation des adultes en perspective…

Comme il est hors de portée de condenser la trajectoire de la formation des adultes en 250 pages, le choix a été pris d’insister sur des étapes ou des problématiques structurantes. Ainsi la partie consacrée à l’apprentissage par la résolution des problèmes permet d’appréhender quelques avancées méthodologiques importantes comme celle de la simulation. La partie consacrée aux mille facettes des ingénieries de formation permet également un tour de piste plus unilatéral de cette question centrale qui échappe cependant à la très grande majorité des formateurs permanents dont l’isolement est désormais le lot commun.
Le rôle du formateur est d’ailleurs minoré dans cette esquisse de la formation des adultes qui privilégie l’apprenant, son développement personnel et sa reconnaissance sociale. Avec juste raison (page 221) l’auteur incite à ce que les formateurs dépassent leur fonction de producteurs de ressources pour intégrer des responsabilités d’amont (accueil, orientation, bilans, etc.) et d’aval (transfert des compétences en situation de travail, VAE, attribution des certifications, etc.). Il décrit notamment une évolution souhaitable et radicale de cette fonction dans le sens de l’accompagnement et de la médiation tout en pointant les contradictions qu’ils ont à gérer dans un environnement prescriptif, administratif et contraint économiquement. Pierre CASPAR entrevoit même que « les termes de formation et, à fortiori de formateurs vont probablement avoir tendance à disparaître dans les années qui viennent, en tant que structures, activités et responsabilités singulières, spécifiques et isolées. » (page 131).
La richesse des réflexions introspectives de l’auteur tranche avec la misère conceptuelle d’une partie croissante de l’appareil de formation dédié aux moins qualifiés, écarté des mutations du rapport aux savoirs tel que les TIC et les réseaux s’en font les porteurs. Si l’accès aux savoirs semble se résoudre à la vitesse grand V, l’usage des savoirs apparaît plus problématique…
Si Pierre CASPAR insiste sur la dynamique vertueuse des différentes formes d’apprentissage, il révèle de façon indirecte la fuite en avant du « rentabilisme » irraisonné qui fait fi de l’intelligence expérientielle des salariés.  Ainsi, la France continue de communier au culte de la surdiplômation en formation initiale et au management technocratique qui mine la construction de liens de confiance dans les rapports de travail. Or l’engagement en formation n’a de véritable valeur pour les adultes qu’au sein de rapports de loyauté et de reconnaissance dans le monde du travail.
La diffusion et le partage des savoirs est indissociable des avancées démocratiques, y compris dans l’entreprise. Pierre CASPAR souligne l’importance de la validation des acquis de l’expérience (VAE) dans cette dynamique (page 249) qui rééquilibre la formation initiale et les différentes voies d’apprentissage dans la vie active (sociale et professionnelle) en faveur de ces dernières. Or cette avancée est verrouillée depuis bientôt 10 ans (certes c’est très court) alors qu’elle interpelle la conception des diplômes et interroge la valeur ajoutée d’une partie de l’offre de formation continue étrangement positionnée sur les mêmes objectifs que ceux que l’on peut atteindre par soi-même !
L’ouvrage permet de saisir quelques fondamentaux du développement humain et quelques exigences qui s’imposent ou devraient s’imposer à celles et ceux qui font commerce de l’accès aux savoirs. Le lecteur en tirera les conclusions… Ce livre peut être compris comme un guide de sortie d’un système institutionnel hypertrophié et d’un marché administré que Pierre CASPAR, avec sagesse, a préféré négliger dans son approche…
22 avril 2011

La prostitution étudiante : Fantasme ou réalité ?

http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i3334-1.gifL'Assemblée Nationale publie un rapport sur la Prostitution en France. Voici quelques passages sur la prostitution étudiante.
La prostitution étudiante fait aujourd’hui l’objet d’une attention particulière de la part des medias, car ce thème porteur mêle jeunesse, sexualité et argent. Il est cependant difficile de démêler le faux du vrai, le fantasme de la réalité, dans ce domaine.
Les chiffres font en effet, là encore, largement défaut. Ainsi, le chiffre de 40000 personnes prostituées étudiantes, avancé par le syndicat Sud-Étudiant, il y a quelques années, était, au dire même de ses représentants, non fondé. Il a d’ailleurs été démenti très rapidement par l’organisation elle-même, dont les membres avaient extrapolé ce chiffre à partir des données relatives à la précarité étudiante fournies par l’Observatoire de la vie étudiante. Les acteurs de la vie étudiante que la mission a auditionnés sont unanimes: la prostitution étudiante existe, dans des proportions toutefois non identifiées.
Plusieurs syndicats, notamment Sud-Etudiant et la Fédération des associations générales étudiantes (Fage), disent avoir reçu des témoignages de plusieurs étudiants se livrant à la prostitution. À l’inverse, l’Union nationale interuniversitaire (Uni) et l’Association de promotion et de défense des étudiants (Pde) ne font état d’aucun cas avéré. De la même façon, l’Union nationale des étudiants de France (Unef) n’a pas souhaité participer à la table ronde organisée par la mission d’information, afin de ne pas accroître la portée médiatique d’un phénomène que ce syndicat juge marginal.
En ce qui concerne les services universitaires de médecine préventive, seuls 3 services sur 59 font état de cas avérés. Ainsi, le service universitaire de médecine préventive de l’université Paris V – Descartes, qui draine près de 4 000 étudiants par an, n’a connu que deux cas avérés de prostitution étudiante ces dernières années. Mme Laure Boisjoly (54), psychologue au service universitaire de médecine préventive de l’université Paris VII – Diderot, n’a eu connaissance de cas de prostitution étudiante que de façon indirecte, via un collègue médecin qui officie également dans un centre de dépistage anonyme et gratuit, où il a été en contact avec des étudiants prostitués.
La mission d’information a également tenu à interroger les centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires (Crous) de France. M. François Bonacorsi, directeur du Centre national des œuvres universitaires et scolaires (Cnous), a indiqué à la mission d’information l’existence d’environ dix-sept cas de prostitution ou de conduite à risques au cours de ces trois dernières années, à Montpellier, Toulouse, Lille et Dijon. Le Crous de Lyon, entendu au cours d’un déplacement dans le Rhône, fait quant à lui état d’une dizaine de cas par an, sur 7 000 étudiants.
Toutefois, la faiblesse des chiffres avancés par ces organismes ne saurait être comprise comme le reflet d’une réalité finalement très marginale. En effet, il est difficilement concevable que les étudiants se confient spontanément aux personnels de santé et aux assistants sociaux sur ce sujet, qui relève de leur vie privée et qui est vraisemblablement porteur de tabous importants. Il est d’ailleurs révélateur que seul un médecin du service universitaire de médecine préventive de l’université Paris Diderot, officiant alors dans un centre de dépistage anonyme, ait eu connaissance de cas avérés, l’anonymat libérant probablement la parole.
Face à la pénurie de chiffres globaux, les enquêtes ponctuelles menées par différents acteurs (associations, sociologues, services universitaires de médecine préventive…) s’avèrent éclairantes. Par exemple, l’Amicale du Nid de Montpellier a mené une enquête en lien avec l’Université Paul Valéry – Montpellier III, qui fait apparaître que sur 651 étudiants interrogés, 13 ont déjà accepté de l’argent ou autre chose en contrepartie d’un acte sexuel (soit 2% des répondants). Ce chiffre, rapporté à la population étudiante totale, soit près de 2,3 millions de personnes d’après l’INSEE, pourrait faire apparaître une pratique prostitutionnelle étudiante relativement importante en termes absolus, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliers d’étudiants.
De même, Mme Éva Clouet, dans le cadre d’un mémoire de sociologie publié en 2008, a mené une étude auprès des étudiants de médecine et de psychologie de deuxième année de l’université de Nantes. Il apparaît que sur 138 personnes ayant répondu au questionnaire, 4 étudiants affirment connaître, dans leur entourage, un ou une étudiante qui se prostitue. Ce chiffre doit toutefois être interprété avec précaution. En effet, le champ de l’étude étant restreint, il n’est pas impossible que ces quatre étudiants évoquent la ou les mêmes personnes prostituées.
Enfin, le service universitaire de médecine préventive de Poitiers a pu recueillir des données grâce à un questionnaire distribué à l’occasion d’une action de sensibilisation. Il ressort de ce questionnaire que près de 3% des 2622 étudiants interrogés ont déjà été confrontés, eux-mêmes ou leur entourage proche, à une situation de prostitution étudiante.
Là encore, la réalité est difficile à cerner. La prostitution étudiante existe bel et bien. Il est en outre possible que ce soit dans des proportions non négligeables en valeur absolue. Reste toutefois à en mesurer l’importance.
La prostitution des étudiants: concilier études et conditions de vie décentes

Le manque de moyens financiers est la principale motivation de la prostitution des étudiants. C’est ce que montre Mme Éva Clouet à travers le témoignage de Sandrine, étudiante en situation de prostitution. Cette jeune femme a choisi d’étudier l’architecture dans une grande école. Ses parents n’ayant que peu de moyens financiers du fait d’une situation de chômage prolongée, elle ne souhaite pas dépendre financièrement d’eux, et ce d’autant plus qu’un autre membre de sa famille les sollicite déjà sur le plan financier. Les bourses dont elles bénéficient ne lui permettent pas de subvenir à ses besoins. Bénéficiaire d’une bourse d’échelon 1, elle touchait 1200 euros par an seulement. Ainsi, pour assumer ses choix en matière d’éducation – elle aurait pu se contenter d’aller dans une université près de la ville de ses parents – elle se prostitue pour ne pas peser financièrement sur ses parents. C’est également ce que montre le témoignage anonyme de ce jeune homme: « Aucun étudiant sain d’esprit ne se prostitue par plaisir; quand on le fait, c’est qu’on est financièrement au pied du mur. On veut de l’argent pour payer le loyer et poursuivre ses études. »
Un second facteur intervient cependant pour motiver l’entrée dans la prostitution des étudiants, comme les syndicats étudiants représentés devant la mission en ont fait part à la mission: le temps. Les étudiants financièrement autonomes, qui ne dépendent pas ou peu de leurs parents, doivent étudier tout en gagnant de quoi vivre décemment. Or, les étudiants qui s’y adonnent perçoivent l’activité prostitutionnelle, notamment l’escorting, comme un moyen de consacrer plus de temps à leurs études, ce qu’un emploi étudiant classique, mal rémunéré, ne leur permettrait pas, pensent-ils. La réussite universitaire, qui demeure l’objectif premier, les conduit donc à préférer l’activité de prostitution, qu’ils considèrent moins chronophage, à un emploi de garde d’enfant ou de caissier. Le sentiment d’une flexibilité accrue et d’une plus grande compatibilité de cette activité avec un emploi du temps étudiant est un des éléments du choix fait par certains.
Ainsi, comme le résume Mme Éva Clouet, « la prostitution permet aux étudiantes escortes qui ressemblent à Sandrine de poursuivre leurs études dans des conditions matérielles favorables – les besoins quotidiens tels que le loyer ou la nourriture sont assurés – tout en leur laissant suffisamment de temps pour travailler leurs cours et espérer réussir leur année universitaire. »
http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i3334-1.gif The National Assembly publishes a report on prostitution in France. Here are some passages about student prostitution.
Student prostitution is now the subject of special attention from the media because this central theme mixes youth, sexuality and money. It is difficult to disentangle the false from the true, the fantasy of reality in this area. Thus, the figure of 40,000 prostitutes students, advanced by the union South Student, a few years ago, was, even according to its representatives, unfounded. More...
22 avril 2011

L’enjeu aujourd’hui est de reconsidérer la mutualisation

http://portail.unice.fr/jahia/webdav/site/myjahiasite/users/daymon/public/COM/FLASH%20INFO/Flash%2050/amue_logo.pngEntretien avec Claude Ronceray, "L’enjeu aujourd’hui est de reconsidérer la mutualisation". La CPU et l’Amue, dans le cadre de leur convention de partenariat avec la Caisse des dépôts et Consignations, engagent une réflexion sur l’évolution nécessaire de l’Amue et de la politique de mutualisation, en concertation avec les établissements utilisant ses produits et services. Rencontre avec Claude Ronceray, directeur de l’Amue.
1/ L’Amue lance plusieurs enquêtes visant à identifier les attentes et les besoins des adhérents, ainsi que sur les perspectives d’évolution économique et juridique de l’Agence. Quels vont en être les grands thèmes ?

Ce sont trois études qui sont actuellement en cours pilotées conjointement par l’Amue, la CPU et la CDC. Deux d’entre-elles, conduites par le cabinet Deloitte, portent sur la définition des attentes et des besoins de nos adhérents ainsi que sur la production d’un benchmark des activités de mutualisation existantes en France et à l’étranger. La troisième, d’assistance à maitrise d’ouvrage (AMOA), sera axée sur les perspectives d’évolutions économiques et juridiques de l’Agence. Pour celle-ci, un choix de prestataire est en cours. Ce dernier accompagnera l’Agence dans la mise en place de son nouveau plan stratégique et dans la façon de le mettre en œuvre tant du point de vue financier que juridique. L’enjeu aujourd’hui est de reconsidérer la mutualisation. Actuellement, les établissements d’enseignement supérieur, les adhérents de l’Amue, sont beaucoup plus autonomes, ce qu’ils n’étaient pas à l’époque de la création du GIGUE en 1992. Le modèle de développement de l’Amue doit donc évoluer. Il ne peut plus être cette démarche unique de modernisation des établissements comme c’était le cas à l’origine. L’Agence est aujourd’hui un réceptacle d’actions de mutualisation que les établissements ont décidé et qu’ils entendent contribuer à maîtriser. De ce point de vue là, le monde universitaire a intérêt à regarder quels sont les exemples de mutualisation réussis dans d’autres secteurs en France ou au sein des universités en Europe ou à l’international.
Au moment de la création de l’Amue, l’enjeu était de créer de nouveaux produits qui n’existaient pas, des outils financiers, de gestion de ressources humaines et de scolarité, adaptés à l’activité des universités. A l’heure actuelle, il existe une multitude de produits et les enjeux principaux appartiennent au champ de l’urbanisation, de la cohérence, des systèmes d’information mais aussi à ceux de la maitrise et de la domestication de ces outils. Le rôle de l’Amue n’est donc plus simplement celui d’être un éditeur ou un intégrateur, ni même d’accompagner la maintenance de ses logiciels. Elle doit désormais travailler en amont sur les processus, sur l’organisation et réfléchir au coté des établissements à leur stratégie. Interview complète.
%% Http://portail.unice.fr/jahia/webdav/site/myjahiasite/users/daymon/public/COM/FLASH 20INFO/Flash 2050/amue_logo.png Interjú Claude Ronceray, "A kihívás most az, hogy vizsgálja felül a összevonása. Amue A CPU, és része a partnerségi megállapodás a betéti és a szállítmány, kezdődik tükrözi a szükséges evolúció Amue és a politika összevonása, konzultálva a használó intézmények termékeit és szolgáltatásait. Ismerje meg Claude Ronceray igazgatója, a Amue. Teljes interjú. Még több...
22 avril 2011

Les Fiches pratiques de la Formation professionnelle

http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/squelettes/images/header-site-travail.jpgVoici les fiches présentes sur le site du Ministère
La formation des salariés : principes généraux
La protection sociale pendant la formation
La rémunération pendant la formation
La validation des acquis de l’expérience (VAE)

Le bilan de compétences
Le congé individuel de formation
Le contrat d’apprentissage
Le droit individuel à la formation
Le plan de formation
Les contrats de formation en alternance
Les contributions de l’employeur
Les formalités de création et de fonctionnement des organismes de formation
Les obligations de l’employeur
Les obligations des organismes de formation vis-à-vis des stagiaires
Les périodes de professionnalisation
PACTE (parcours d’accès aux carrières territoriales, hospitalières et de l’Etat)
Panorama des autres congés de formation

Exemple de fiche: La validation des acquis de l’expérience (VAE)
Synthèse

Reconnue par le Code du travail, la validation des acquis de l’expérience (VAE) permet de faire reconnaître son expérience notamment professionnelle ou liée à l’exercice de responsabilités syndicales, afin d’obtenir un diplôme, un titre ou un certificat de qualification professionnelle. Diplômes, titres et certificats sont ainsi accessibles grâce à l’expérience (et non uniquement par le biais de la formation initiale ou continue), selon d’autres modalités que l’examen.
A savoir

Avant de débuter une procédure de VAE, il est nécessaire de bien préciser son projet professionnel et de choisir la certification la plus adaptée. Informations et conseils peuvent être obtenus auprès de points relais conseil de proximité placés sous la responsabilité des conseils régionaux.
Sommaire
La VAE : à quelles conditions ?
Pour quels titres, quels diplômes ?
Le Répertoire national des certifications professionnelles : de quoi s’agit-il ?
La validation des acquis de l’expérience : quelle procédure ?
La VAE dans l’entreprise : selon quelles modalités ?
22 avril 2011

The Matter of Faculty Salaries

Five Dollar BillBy Nels P. Highberg. Last week, the Chronicle published a series of articles about faculty salaries (go to this page, and you will find a list of links to the series of articles on the topic). I cringed when I saw them. Initially, I just decided to ignore them and move on to the end-of-semester tasks needing my attention. But the topic of faculty salaries kept needling at me, and I finally realized why. Academics have long been talking about ways to represent the reality of life as a graduate student, adjunct, tenured or tenure-track faculty member, or administrator to others fairly and ethically. We want to make sure that students know what they are getting into if they pursue a PhD. We want to make sure that legislators know what we actually do on a day-to-day basis as they enact laws and budgets shaping university life. We often feel like the realities of our lives do not align with what others think about our lives. And my concern is that articles about salary averages in any kind of general sense contribute to the warped image of life as a university professor.

Here’s the thing. As a tenured department chair in the humanities, I make between $50-55K per year. Some of you will read that and wish you made that much.  Some of you will look at that and think, “Poor guy.” My thought: does it matter?
Surveys of faculty salaries do matter to those who study academic culture at large, and such information can be useful in certain contexts. But, in general, I do wonder if such discussions do more harm than good. Faculty salaries vary greatly for a host of reasons we could barely list in an hour of brainstorming. And what counts as a “good” salary will vary, too.  But isn’t that true of all fields? I am married to a lawyer who is quick to point out that attorney salaries vary incredibly from the $22,000 one makes annually in a nonprofit to the million another makes in a private firm. I have heard doctors say the same thing. And accountants. And engineers. I think it is pretty safe to say that you can pick almost any field and point to examples of those who make very little and those who make a lot. And whether or not that matters depends on the person and their own circumstances. Married, single, or in a polyamorous relationship?  One child, two, none, adopted, biological, by marriage, toddler, or adolescent? Parents alive and able to help out financially or needing money themselves, dead and left behind an inheritance, debt, or nothing? Renting, owning, subletting, roommates, alone? Student loan debt or entering the job force late because of going to graduate school part-time while working to avoid debt?
C’mon, people. We know salaries matter, but we cannot know how they matter because of all the other factors involved. I am well aware that many universities have jobs in my field this year where the starting salary is higher than what I make now. I am also aware that my sister, who never went to college, makes three times more than I do with my PhD, two MAs, and BA. We do need to make it clear to anyone thinking of entering the professoriate that not only may they struggle to find a job, they cannot predict their salary if they get a job. Because of that, I wonder if we get too caught up in stories of averages and use them the wrong ways.
22 avril 2011

National Research Council Unveils Revised Doctoral Rankings

http://chronicle.com/img/banner_promo.jpgThe National Research Council released on Thursday a revised edition of its 2010 rankings of American doctoral programs that corrects four types of errors discovered in the original report, which was issued last September. But the new rankings do not deal with certain other concerns that scholars have raised about the project.
In the revised edition, almost all programs' positions on the council's "ranges of rankings" have changed at least slightly, but in most cases the changes are not substantial. In a few academic fields, however, the numbers have changed significantly for at least 20 percent of the programs. Those include geography, linguistics, and operations research.
A spreadsheet of the new rankings is available for download at the council's Web site. The council has also released a separate, much smaller spreadsheet that summarizes the changes in programs' "R" and "S" rankings. R rankings reflect how similar a program is to the programs in its field with the strongest reputations. S rankings more directly reflect a program's performance on variables that scholars in the field say are most important, such as faculty research productivity or student diversity.
The new edition makes four kinds of corrections. The original report in many cases undercounted faculty members' honors and awards, the proportion of new graduates who find academic jobs, and the proportion of first-year students who are given full financial support. In nonhumanities fields, the report also used faulty data for faculty members' 2002 publications, which in turn caused errors in calculations of citation counts...

22 avril 2011

Attention, la télédéclaration des BPF des OF ne fonctionne pas comme prévu

http://www.formationauvergne.com/images/bandeauPRO.gifLe portail de téléprocédure ouvert par le Ministère le 4 avril dernier ne fonctionne pas comme prévu. A ce jour, la Mission connaissance et contrôle de la formation professionnelle de la DIRECCTE n'a pas accès aux BPF déjà saisis en ligne.
Ces problèmes sont en cours de résolution au niveau national. Toutefois, dans l'attente et par précaution, il nous apparaît souhaitable de vous permettre de renseigner et nous renvoyer le document papier à l'aide de la version Pdf ci-jointe (cerfa et notice explicative).
Le délai de production du BPF est de fait reporté au 31 mai 2011. Dès la réouverture du portail de téléprocédure, les informations diffusées ci-dessous seront de nouveau valides.
Voir l'article du blog Télédéclaration des bilans pédagogiques et financiers des organismes de formation.
Quelques recommandations, Comptabilité séparée  Si la formation professionnelle n'est pas votre activité unique, vous devez, en application de l'article L. 6352-7 du Code du travail, suivre d'une façon distincte en comptabilité l'activité exercée au titre de la formation professionnelle afin d'établir, en fin d'exercice, un compte de résultat spécifique à cette activité. A défaut, vous vous exposeriez à des sanctions pénales et (ou) financières.

http://www.formationauvergne.com/images/bandeauPRO.gif Teleprocedure portált nyitott az amerikai külügyminisztérium április 4-én nem várt módon működnek. A mai napig, a Mission Control és a tudás a szakképzés DIRECCTE nem férhetnek hozzá a GMP már be online. Lásd a blog bejegyzést Télédéclaration egyenlegek oktatási és a pénzügyi képzéssel foglalkozó szervezetek. Még több...

21 avril 2011

La grande misère de la France en matière de FTLV

La grande misère de la France en matière de FTLV, 20e en Europe derrière Chypre et l'Estonie, tout juste devant Malte, à égalité avec l'Italie

http://europa.eu/rapid/exploit/2011/04/IP/FR/i11_488.fri/Pictures/100000000000030000000240EBE10D90.jpg

La France 20e pour la FTLV derrière Chypre et l'Estonie, tout juste devant Malte
La France est très loin d'atteindre l'objectif 2020 de 15% d'adultes engagés dans une action de FTLV, elle est même loin de se rapprocher de la moyenne européenne de 9,3%. La réalité est même encore plus désastreuse. La France a réussi le tour de force de passer de 7,3% en 2008 à 6% seulement en 2009, une perte sèche de 1.3%.

Participation des adultes à l’apprentissage tout au long de la vie

Critère de référence 2010/2020: dans l’UE, le taux moyen de participation à l’apprentissage tout au long de la vie devrait atteindre au moins 12,5% de la population en âge de travailler en 2010 et 15% en 2020.
Tendances: au niveau de l’UE, la participation est passée de 7,1 % en 2000 à 9,3% en 2009 (population de 25 à 64 ans; hommes: 8,5%, femmes: 10,2%). Cet augmentation est toutefois largement imputable à des ruptures dans les séries chronologiques, autour de 2003. La participation a légèrement diminué depuis 2005.
Meilleures performances dans l'UE: Danemark, Suède, Finlande
Bulgaria 1.4; Romania 1.5; Croatia 2.3; Turkey 2.3; Hungary 2.7; Slovakia 2.8; Greece 3.3; Macedonia 3.3; Lithuania 4.5; Poland 4.7; Latvia 5.3; Malta 5.8; France 6.0; Italy 6.0; Ireland 6.3; Portugal 6.5; Belgium 6.8; Czech Rep. 6.8; Cyprus 7.8; Germany 7.8; UE 9.3; Spain 10.4; Estonia 10.5; Luxembourg 13.4; Austria 13.8; Slovenia 14.6; Netherlands 17.0; Norway 18.1; UK 20.1; Finland 22.1; Sweden 22.2; Iceland 25.1; Denmark 31.6.

Des progrès, mais des efforts restent nécessaires pour atteindre les objectifs
Bruxelles, le 19 avril – Le nouveau rapport d’avancement sur l’éducation et la formation, publié aujourd’hui par la Commission européenne, révèle que les pays de l’UE ont amélioré leurs systèmes d’éducation dans des domaines essentiels au cours des dix dernières années, mais qu’ils n’ont satisfait qu’à un seul des cinq critères de référence définis pour 2010. Depuis 2000, l’Union est parvenue à relever de 37 % le nombre des diplômés en mathématiques, sciences et technologie, ce qui est largement supérieur à l'objectif de 15 % qu’elle s’était fixé. Des progrès importants, mais encore insuffisants, ont été réalisés en ce qui concerne la réduction du décrochage scolaire, l'augmentation du nombre d'élèves parvenant à la fin du second cycle de l’enseignement secondaire, l’amélioration des compétences en lecture et l’augmentation de la proportion d’adultes suivant un enseignement ou une formation. L’annexe ci-après fournit une ventilation détaillée des chiffres par pays. La stratégie «Europe 2020» pour l'emploi et la croissance prévoit à son tour de réduire le taux de décrochage scolaire à moins de 10 % et de faire passer le taux des diplômés de l’enseignement supérieur à 40 % au moins...
Cinq critères de référence pour 2020

En 2009, les ministres de l’éducation de l’UE se sont entendus sur cinq critères de référence à réaliser à l’horizon 2020 en matière d'éducation et de formation:
* la proportion des jeunes en situation de décrochage vis-à-vis du système d’éducation ou de formation devrait être inférieure à 10 % (ce qui signifierait, en se basant sur le taux actuel de 14,4 %, au minimum 1,7 million d’abandons scolaires en moins);
* la proportion des personnes âgées de 30 à 34 ans diplômées de l'enseignement supérieur devrait s’élever à au moins 40 % (soit 2,6 millions de diplômés supplémentaires par rapport au taux actuel de 32,3 %);
* au moins 95 % des enfants ayant entre quatre ans et l'âge de la scolarité obligatoire devraient fréquenter l'enseignement préscolaire (le taux actuel étant de 92,3 %, cela signifierait l’intégration de plus de 250 000 jeunes enfants supplémentaires dans le système éducatif);
* la proportion des jeunes de 15 ans ayant une maîtrise insuffisante de la lecture, des mathématiques et des sciences devrait descendre sous le niveau des 15 % (ce taux est actuellement de 20 % dans chacun des trois domaines; la réalisation de cet objectif signifierait que le nombre des jeunes ayant un niveau insuffisant baisserait de 250 000);
* une moyenne d’au moins 15 % des adultes (de 25 à 64 ans) devrait participer à des activités d'éducation et de formation tout au long de la vie (la proportion actuelle étant de 9,3 %, la réalisation de cet objectif correspondrait à 15 millions d'adultes supplémentaires dans l'éducation et la formation). Rapport complet de la Commission: Progrès sur la voie des objectifs de Lisbonne dans le domaine de l'éducation et de la formation – Indicateurs et points de référence 2010/11.

http://europa.eu/rapid/exploit/2011/04/IP/FR/i11_488.fri/Pictures/100000000000030000000240EBE10D90.jpg

Franza għall-LLL 20 wara l-Estonja u Ċipru se biss quddiem ta 'Malta
Franza hija 'l bogħod ħafna milli jilħqu l-mira tal-2020 ta' 15% ta 'adulti involuti fl-azzjoni ta' LLL, hija 'l bogħod mill anki joqrob lejn il-medja Ewropea ta' 9.3%. Ir-realtà hija saħansitra aktar diżastrużi. Franza rnexxielha l-ADT ta 'minn 7.3% fl-2008 għal 6% biss fl-2009, telf nett ta' 1.3%.
Parteċipazzjoni adulta fit-tagħlim matul il-ħajja
Kriterju 2010/2020: l-UE, ir-rata medja ta 'parteċipazzjoni fit-tagħlim tul il-ħajja għandu jkun mill-inqas 12.5% tal-popolazzjoni ta' età tax-xogħol fl-2010 u 15% fl-2020.
Xejriet: Fil-livell UE, il-parteċipazzjoni żdiedet minn 7.1% fl-2000 għal 9.3% fl-2009 (popolazzjoni 25-64, irġiel: 8.5%, nisa: 10.2%). Din iż-żieda hija, madankollu, l-aktar minħabba waqfiet fis-serje, madwar 2003. Parteċipazzjoni naqas bi ftit mill-2005.
Aħjar prestazzjoni fl-UE: id-Danimarka, Svezja, Finlandja. More...

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