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Formation Continue du Supérieur
14 août 2013

L'insertion des diplômés de licence : du parcours d'études au premier emploi

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngL'insertion des diplômés de licence : du parcours d'études au premier emploi. Par P. Lemistre. Net.Doc, n° 91, 2012, 25 p.
Cet article propose un état des lieux de l’insertion des diplômés de licence, et de ses déterminants. Parmi ces derniers, le parcours d’études joue un rôle important : le fait d'être titulaire d'un DUT ou d'un BTS par exemple procure un net avantage. Les domaines et spécialités de formation influent aussi fortement sur les salaires et l’accès à la qualification. Avoir suivi la filière apprentissage et détenir une licence professionnelle améliorent enfin les critères d'insertion. L'explication tient en grande partie à la sélectivité de la filière professionnelle. Télécharger la publication.

14 août 2013

Évaluation du non-recours au tutorat à l’université

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngÉvaluation du non-recours au tutorat à l’université. Par Isabelle Borras (CREG). Avec la collaboration de Nina Lendrin et Evelyne Janeau (OFE). Net.Doc, n° 85, 2011, 35p.
Le tutorat est depuis 2008 un des dispositifs d’accompagnement personnalisé et de soutien du Plan pour la réussite en licence. Largement utilisé par les universités, il peine pourtant à attirer les étudiants.
Alors que les réformes en cours de la licence le confortent, il y a urgence à mieux connaitre ce dispositif, jusqu’à présent peu évalué. Atteint-t-il sa cible ? Comment celle-ci est-elle définie ? Quel accueil est réservé à cette aide à la réussite ? Pourquoi les étudiants y ont-ils, ou non, recours ?
C’est par une entrée originale, centrée sur la question du « non-recours » qu’est ici évalué le tutorat. Une enquête par courrier électronique a été menée auprès d’étudiants de L1 et de leurs tuteurs dans deux universités (l’une de sciences, l’université Joseph Fourier à Grenoble et l’autre de sciences humaines et sociales, l’université Victor Segalen à Bordeaux). La démarche a consisté à comparer trois groupes d’étudiants, ceux qui ont refusé (33 %), suivi (51 %) ou abandonné (16 %) le tutorat proposé, et à confronter leurs réponses avec celles des tuteurs. Lire la suite de la synthèse. Télécharger la publication.

14 août 2013

Mesure des effets établissement sur le salaire des diplômés du supérieur

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngMesure des effets établissement sur le salaire des diplômés du supérieur. Par Jean-François Giret, Mathieu Goudard. Net.Doc , n° 72 , 2010 , 30 p.
L’insertion des diplômés du supérieur peut être dépendante de variables individuelles (niveau de diplôme et discipline notamment), de la situation du marché du travail mais aussi de certaines caractéristiques de l’établissement d’origine (budget, ressources humaines, mode de sélection…). Ce travail a pour objectif de mesurer l’impact que peuvent avoir les établissements d’enseignement supérieur sur l’insertion de leurs diplômés, et plus précisément sur leur rémunération. Il constitue un prolongement d’un travail antérieur (Giret, Goudard, 2007) qui portait sur le poids d’un effet propre des universités sur la rémunération de leurs diplômés sortis de l’enseignement supérieur en 1998. Le travail est poursuivi ici à partir de données plus récentes, celles de l’enquête Génération 2004 du Céreq, et en élargissant le champ d’analyse aux écoles d’ingénieurs et aux IUT. Pour les trois types d’établissement d’enseignement supérieur (universités, IUT, écoles d’ingénieurs), l’effet propre est en général faible : la plus grande partie de la variance des salaires, quelle que soit la formation, est expliquée par des caractéristiques individuelles des diplômés et par la conjoncture sur le marché régional du travail où la majorité d’entre eux s’insère. Quelques variables liées aux établissements ont cependant un effet positif sur la rémunération de leurs diplômés : le niveau de sélection à l’entrée pour les écoles d’ingénieur, la part d’enseignants-chercheurs pour les IUT ou la part d’autofinancement pour les universités. De plus, pour les universités, la part des boursiers sur critères sociaux a toujours un effet significatif et négatif sur l’insertion, ce qui montre l’importance pour les établissements de créer du capital social lorsque leurs diplômés n’en disposent pas. Télécharger la publication.

14 août 2013

Filières professionnelles et générales à l'université : l'impact du parcours sur l'insertion

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngFilières professionnelles et générales à l'université : l'impact du parcours sur l'insertion. Par Philippe Lemistre. Net.Doc, n° 69, 2010, 16 p.
Éléments d'analyse pour les L3
La professionnalisation de l’enseignement supérieur est souvent justifiée par une indéniable meilleure insertion des jeunes sortants des filières professionnelles en regard des sortants des filières générales. Une hypothèse est alors érigée en évidence : c’est la formation elle-même qui apporte cet avantage comparatif. Or, il existe une explication alternative liée à la sélectivité des filières professionnelles. Les performances à l’insertion sont alors le reflet des caractéristiques individuelles et des performances dans le système éducatif au cours du parcours de formation antérieur. Éléments qui ont permis d’intégrer les filières sélectives. Or, étendre la professionnalisation c’est nécessairement baisser la sélectivité et donc éventuellement annihiler tout avantage comparatif. A l’appui de cette conjecture, pour les jeunes sortants du système éducatif en 2004 au niveau L3 observés au premier emploi, il s’avère effectivement que la sélection en amont pour accéder aux licences professionnelles explique en grande partie l’avantage à la primo insertion par rapport aux sortants de licences générales. Au niveau L3, professionnaliser davantage les filières via une inévitable baisse de sélectivité pourrait alors avoir des effets très limités sur l’insertion à l’avenir. Télécharger la publication.

14 août 2013

Quels emplois pour les débutants diplômés du supérieur ?

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngQuels emplois pour les débutants diplômés du supérieur ? Une analyse de la qualité des emplois au cours des trois premières années de vie active de la Génération 2004. Nathalie Moncel. Net.Doc, n° 67, 2010, 26 p.
L’enquête Génération 2004 décrit les trajectoires d’emploi des jeunes sortis diplômés de l’enseignement supérieur en 2004. Elle nous renseigne ainsi sur la qualité des emplois occupés par ces débutants au cours de leurs trois premières années de vie active. Une analyse typologique conduit à distinguer trois classes de positions professionnelles selon la qualité des emplois en termes de salaire, de statut, de temps de travail, d’accès à la formation, et selon la durée et l’occurrence dans les trajectoires d’insertion. La classe des emplois de qualité supérieure regroupe un quart des positions professionnelles offertes aux débutants. Elle concentre des emplois sur des postes d’encadrement, occupés par des sortants à niveau bac+5 d’écoles et de filières universitaires professionnalisées, notamment celles des spécialités médicales. À l’autre bout de l’échelle se trouvent regroupées 30 % des positions professionnelles, sur des postes d’employés des services et du commerce et d’ouvriers de l’industrie, dont les conditions d’emploi associent faibles salaires et instabilité. Les jeunes diplômés du supérieur n’y font que passer pour peu qu’ils aient un diplôme supérieur à bac+2. Une large part des emplois que connaissent les jeunes au cours de leurs trois premières années de vie active, se situe dans une classe moyenne rassemblant les professions intermédiaires et les enseignants ainsi que certains emplois d’exécution situés dans les secteurs financiers, les services professionnels aux entreprises et l’administration. Plus que la filière ou la spécialité de formation, c’est le niveau du diplôme de sortie qui va déterminer les chances d’accès des débutants aux différentes classes d’emploi. Les opinions des jeunes sur leur situation professionnelle corroborent la qualité mesurée des emplois. Le sentiment de dévalorisation des diplômes est fort pour les débutants sur des emplois de mauvaise qualité alors que les débutants ayant des emplois de qualité supérieure se sentent à leur place et expriment le souhait de rester dans cet emploi. Télécharger la publication.

14 août 2013

L'insertion des docteurs : Enquête Génération 2004. Interrogation 2007

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngL'insertion des docteurs : Enquête Génération 2004. Interrogation 2007. Par Julien Calmand, Jean-François Giret. Net.Doc, n° 64, 2010, 38 p.
Sortir avec un diplôme élevé de l'enseignement supérieur protège du chômage : si cette constatation s'avère globalement juste, elle est fausse pour le doctorat. L’insertion des docteurs est spécifique et reste donc difficile au regard de celle des autres sortants de l’enseignement supérieur. Trois ans après leur sortie du système scolaire, 10 % des jeunes docteurs de la Génération 2004 sont au chômage (hors santé). Ce taux est de 8 % pour l’ensemble des diplômés du supérieur. Un peu moins de 50 % travaillent dans le secteur public qui reste le leur principal débouché. 73 % trouvent leur premier emploi en moins de 3 mois, 10 % entre 3 et 6 mois et 17 % en plus de 6 mois.
L’insertion des docteurs est très marquée par les conditions de réalisation de la thèse et par les disciplines étudiées. Les docteurs ayant obtenu un financement CIFRE1 ou une allocation de recherche s’insèrent beaucoup mieux que les autres. L’avantage est notable tant en termes de taux d’emploi qu’en termes de stabilisation dans l’emploi. Les jeunes sortants de sciences de l’ingénieur et de droit-sciences éco-gestion s’insèrent beaucoup mieux que les docteurs en chimie ou en lettres et sciences humaines (LSH) qui sont plus de 10 % à être au chômage. L’insertion dans la recherche privée concerne plus de 20 % des docteurs alors que la recherche académique emploie 41 % d’entre eux trois années après leur soutenance de thèse.
Près de 30 % des docteurs de la Génération 2004 occupent d’autres fonctions que la recherche. Les conditions de réalisation de la thèse ainsi que la discipline influent aussi sur le secteur d’insertion et la fonction occupée. Plus de 70 % des docteurs souhaitaient travailler dans la recherche académique ou publique. Les docteurs travaillant dans le privé sont beaucoup mieux rémunérés que ceux qui occupent un poste dans le public. Cependant, ceux qui ne sont pas sur des postes de recherche se sentent déclassés subjectivement : ils sont beaucoup plus nombreux à déclarer être employés en dessous de leur niveau de compétences. Les résultats présentés dans ce document sont issus de l’extension docteurs de l’enquête Génération 2004, financée par la Direction générale pour l’enseignement supérieur et l’insertion professionnelle(DGSIP). Les résultats qui suivent sont ceux qui ont été transmis aux financeurs dans le cadre du rapport final. Télécharger la publication.

14 août 2013

Professionnalisation dans l'enseignement supérieur : quelles logiques territoriales ?

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/net.doc/915-14-fre-FR/Net.Doc_large.pngProfessionnalisation dans l'enseignement supérieur : quelles logiques territoriales ? Coordonné par Laure Gayraud. Net.Doc, n° 59, 2009, 130 p.
La question posée dans cette recherche est celle de l’existence d’une ou de plusieurs stratégies dans la construction de l’offre de formation professionnalisante dans l’enseignement supérieur ; la focale est placée sur l’étude des licences professionnelles, masters et doctorats. La construction de l’offre de formation y est abordée comme le résultat de coordinations complexes entre quatre catégories d’acteurs qui contribuent à cette construction : les organismes de formation, les entreprises, l’État et les collectivités territoriales.
Les résultats de cette recherche reposent sur une série d’enquêtes menées dans cinq régions (Aquitaine, Bretagne, Poitou-Charentes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Rhône-Alpes) qui présentent des caractéristiques différentes sur plusieurs dimensions : poids des formations professionnalisantes dans l'ensemble des formations supérieures ; dynamique de professionnalisation observée au sein des universités ; structure par niveau de diplôme des formations professionnalisantes délivrées ; répartition territoriale des formations au sein de chaque région. Ils montrent que, dans leur grande majorité, les coordinations qui président à l’ouverture d’un diplôme professionnalisant dépendent d’un ensemble de variables : nature de la formation et de l’organisme qui en est porteur, comportement des demandeurs, caractéristiques des entreprises concernées par les qualifications des formés.
Elles varient d’un territoire à l’autre en fonction des acteurs en présence et de la nature de leurs relations. Ainsi, l’offre de formation résulte-t-elle de constructions hybrides situées selon les territoires. On constate que les secteurs disciplinaires sont impactés différemment par la professionnalisation et que la création des licences professionnelles est particulièrement forte dans les sites universitaires secondaires. Par ailleurs, la conception de diplômes professionnalisant émane de l’initiative individuelle ou de celle d’une petite équipe en dehors d’une stratégie d’ensemble clairement affirmée. Il en découle un manque de lisibilité de l’offre de formation, que ce soit au niveau de la licence ou du master, tant pour les étudiants que pour les milieux économiques. Enfin, bien qu’ouvertes à tous les publics, les licences professionnelles tendent à professionnaliser un public qui l’est déjà. Elles permettent également d’obtenir des rémunérations plus élevées qu’avec une licence générale. Télécharger la publication.

14 août 2013

Relever les défis de la Validation des acquis de l’expérience (VAE)

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/formation-emploi/916-15-fre-FR/Formation-Emploi_large.pngRelever les défis de la Validation des acquis de l’expérience (VAE). La documentation française - Formation Emploi, n° 122, 2013, p 178. 0759-6340. 23,50 €.
Le dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE) vise à transformer l’expérience en équivalent formation afin d’obtenir un diplôme. Cette transformation est loin d’aller de soi ; s’engager dans la VAE est un processus qui se construit chemin faisant et nécessite un accompagnement.
Conditions et processus de l’engagement en VAE
P. Mayen, J.-P. Pin
La VAE comme espace transitionnel : enjeux et paradoxes
M.-O. Legrand, P. Saielli
Le travail des jurys de VAE ou la mise en scène de l’expérience
E. Auras
Le travail des jurys de VAE : le bricolage d’une norme de validation
S. Bellini
Politique et management de la VAE dans le travail social :le diplôme d’Etat d’éducateur spécialisé et le dispositif de branche
P. de rozario
Vers une reconnaissance des acquis de l’expérience au Portugal
J. Caramelo , M. Santos.
S'abonner à Formation Emploi.

14 août 2013

Parcours de formation : la recomposition des ségrégations

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/formation-emploi/916-15-fre-FR/Formation-Emploi_large.pngParcours de formation : la recomposition des ségrégations. La documentation française - Formation Emploi, n° 120, 2012, 164 p. 0759-6340. 23,50 €.
Les inégalités sont d’autant moins acceptables qu’elles sont durables et cumulatives. Elles se cristallisent alors dans des ségrégations. Or comme le rappelle Philippe Lemistre dans son introduction, les ségrégations scolaires sont peu médiatisées, notamment car elles sont peu perceptibles. Pourtant, elles constituent un « phénomène puissant » d’autant plus important que ses conséquences peuvent affecter toute la vie des individus. Ce dossier identifie plusieurs facettes des ségrégations scolaires.
P. Lemistre
Introduction
V. Germain, N. Olympio
Parcours scolaires en France et espace d’opportunités : une analyse à l’aune de la théorie des capabilités de Sen
D. Trancart
Quel impact des ségrégations socio-spatiales sur la réussite scolaire au collège ?
S. Nicourd, O. Samuel, S. Vilter
L’impact des ségrégations territoriales et universitaires sur les parcours étudiants : la filière AES
P. Doray, P.C. Kamanzi, B. Laplante, M.C. Street
Les retours aux études postsecondaires : une expression de l’éducation tout au long de la vie ?
L. Hadj, G. Lagadec, G. Lavigne, C. Ris
Vingt ans de politiques de rééquilibrage en Nouvelle-Calédonie : Démocratisation de l’école mais persistance des inégalités ethniques
A. van Zanten
Postface.
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14 août 2013

Enseignement supérieur : les défis de la professionnalisation

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/collections/formation-emploi/916-15-fre-FR/Formation-Emploi_large.pngEnseignement supérieur : les défis de la professionnalisation. La Documentation française - Formation Emploi, n° 117, 2012, 151 p. 0759-6340  23,50 €.
Sommaire du n° 117
- Dominique Epiphane et Jean-François Giret
Introduction
- Julien Calmand et Dominique Epiphane
L’insertion professionnelle après des études supérieures : des diplômés plus égaux que d’autres…
- Jean-François Giret et Sabina Issehnane
L’effet de la qualité des stages sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’enseignement supérieur
- Claire Bonnard
Jeunes diplômés en sciences : les déterminants de l’accès à la recherche-développement privée
- Nathalie Moncel
Quelle qualité d’emploi pour les jeunes diplômés du supérieur ?
- Jean Bourdon, Jean-François Giret et Mathieu Goudard
Peut-on classer les universités à l’aune de leur performance d’insertion ?
- Marie-Françoise Fave-Bonnet
Postface : Des étudiants en quête d’avenir
Pour commander ce numéro : La Documentation française 124, rue Henri Barbusse 93308 Aubervilliers Cedex • Tél. 01 40 15 70 00 • Fax. 01 40 15 68 00.

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