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Formation Continue du Supérieur
24 août 2011

42 Propositions pour un sursaut vers la société de la connaissance

http://www.tnova.fr/sites/all/themes/basic/images/interface/logo/TerraNova-logo.jpgPar Alexandra Aidara, Yves Lichtenberger. Contribution n°12 - Faire réussir nos étudiants, faire progresser la France: Propositions pour un sursaut vers la société de la connaissance. Télécharger le rapport. Télécharger les propositions du rapport. Télécharger la synthèse.
La loi relative à la liberté et aux responsabilités des universités (LRU) n'a pas fait l'objet d'un débat à la hauteur de ses enjeux, et s'est avérée incapable de sortir l'université et le système global de ses difficultés chroniques. Terra Nova se propose de revivifier le débat politique sur le sujet en publiant le rapport final de son groupe de travail sur l'enseignement supérieur et la recherche. Ce rapport fixe pour objectif prioritaire la réussite du plus grand nombre des étudiants, par la lutte contre l'échec en premier cycle universitaire, la mise en place d'une allocation d'études supérieures en faveur de tous les étudiants, l'accroissement du nombre de logements en résidence universitaire. Il propose de mettre l'université et le savoir au centre du système d'enseignement supérieur et de recherche, engagé dans un pacte durable avec l'État.

Objectifs généraux des réformes
Proposition 1 :
Corriger dans la loi LRU le déséquilibre actuel du système de gouvernance en introduisant une séparation claire des pouvoirs, notamment en créant un sénat académique par université.
Proposition 2 : Pour que les missions de l’enseignement supérieur et de la recherche, et les réformes qui en procèdent soient définies dans une concertation la plus large possible et partagée avec les acteurs du systèmes, leur représentants et l’ensemble des citoyens, organiser un débat national d’orientation sur l’enseignement supérieur et la recherche dans le but d’acter les réformes prioritaires 2012-2017 voire 2012-2022 et d’engager les moyens que la nation souhaite consacrer à leur réalisation.
Proposition 3 : Encourager et financer des projets de recherche orientés vers les politiques et problématiques contemporaines de l’enseignement supérieur et de la recherche en France, vers la comparaison avec les autres pays du monde, la recherche sur les méthodes pédagogiques, la gouvernance, l’évaluation, les classements internationaux, la proposition d’expérimentations, etc.
Proposition 4 : Fixer un objectif chiffré, ambitieux mais réaliste qui est de passer de 25% d’une classe d’âge diplômés au niveau licence à 50% en 2022, sans dégradation de la qualité des diplômes.
 
Réformes des premiers cycles universitaires
Proposition 5 :
Un entretien de niveau, au moment de l’inscription à l’université, doit déterminer les cours et modules de méthode les mieux adaptés à l’étudiant en fonction de sa filière de provenance, de son dossier scolaire et de sa motivation.
Proposition 6 : Les parcours en licence devront être différenciés aux niveaux L1 et L2, selon des groupes de niveaux, avec un suivi renforcé pour rehausser le niveau des plus faibles et l’instauration de passerelles entre groupes.
Proposition 7 :
Supprimer les cours en amphithéâtre dans les universités.
Proposition 8 : Renforcer le suivi des étudiants en premier cycle, notamment grâce à l’encadrement par des doctorants.
Proposition 9 :
Ouvrir de nombreux postes de docteurs-moniteurs participant à l’enseignement et au tutorat en premier cycle.
Proposition 10 :
Créer un portail proposant des supports numériques pédagogiques, notamment des manuels gratuits pour les cours fondamentaux dans chaque discipline au niveau L.
Proposition 11 : Rompre avec le cloisonnement disciplinaire excessif des licences et créer de véritables parcours pluridisciplinaires, au moins dans les premiers semestres de L1 et L2.
Proposition 12 : Promouvoir la pluridisciplinarité en L1 et L2. Ouvrir largement l’éventail de disciplines enseignées en L1 et L2 en mêlant enseignements scientifiques, enseignements littéraires et humanités.
Proposition 13 : Rejeter toute forme d’orientation coercitive qui s’apparenterait à une sélection déguisée. L’orientation doit désormais être une coproduction, dans le cadre d’un partenariat incluant les acteurs classiques de l’orientation, les enseignants, Pôle emploi pour la connaissance des filières professionnelles, les chambres de commerce et d’industrie, les collectivités territoriales, etc. Il est nécessaire de repenser dans ce cadre le processus d’orientation pour le rendre plus efficace.
 
Réformes des seconds cycles et rapprochement universités/grandes écoles
Proposition 14 :
Instaurer une sélection au niveau master en M1.
Proposition 15 : Constituer une liste nationale d’associations, ONG, etc. accréditées pour accueillir des stagiaires d’université pendant une période de 3 à 6 mois.
Proposition 16 : Pour inciter les étudiants à expérimenter cette voie, attribuer à ceux qui l’ont accomplie dans de bonnes conditions un supplément de points, un bonus associatif, comptant pour l’acquisition du prochain diplôme.
Proposition 17 : A partir de la rentrée 2012:
Diminuer de 33% en 5 ans le nombre de places en classes préparatoires;
Réduire de 50% en 5 ans les places aux concours des grandes écoles;
Augmenter les nombres d’admis dans les grandes écoles issus de l’université et n’étant pas passés par les prépas.
Proposition 18 : Rattacher administrativement les classes préparatoires aux universités ou aux PRES.
Proposition 19 : Confier au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche la tutelle principale de l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur (y compris Polytechnique, ENSAE, etc.).
Proposition 20 : Lancer un audit de la qualité des formations supérieures privées.
 
Structures de regroupements
Proposition 21 :
Clarifier le rôle et les missions des structures de regroupements et articuler leur action avec une stratégie territoriale.
Proposition 22 : Instaurer une contractualisation avec les structures de regroupements sans brider leur capacité d’initiatives et leur autonomie.
Proposition 23 : Pour permettre aux PRES de disposer des moyens de leur développement, il est nécessaire qu’une partie des ressources propres des universités leur soit directement versée (les nouveaux droits d’inscription rendront possible ce financement pérenne).

Recherche
Proposition 24 :
Un nouvel équilibre entre les financements de la recherche doit être atteint, avec un minimum de 50% de financement contractuel et un maximum de 50% de financement sur projet.
Proposition 25 : Lancer une mission de réflexion sur un équilibre optimal de la répartition des rôles entre organismes de recherche, universités et agences.
Proposition 26 : Un examen approfondi des conséquences des restructurations actuelles de la recherche fondamentale liées aux différents programmes d’excellence doit être réalisé pour rectifier les déséquilibres en faveur de la recherche appliquée.
Proposition 27 : Poursuivant l'effort de ces dernières années, les revenus des enseignants-chercheurs et des chercheurs doivent être revalorisés de manière significative, avec un effort particulier pour les débuts de carrière. Un repyramidage des carrières devrait permettre l'accès plus rapide aux niveaux supérieurs.
Proposition 28 : En concertation avec les chercheurs et les enseignants-chercheurs, examiner la piste de rapprochement des deux statuts.
Proposition 29 : Le crédit impôt recherche doit faire l’objet d’une évaluation fine et d’un ciblage plus efficace :
-  Mener une évaluation économétrique approfondie du CIR en 2013 ;
- S'assurer par un contrôle plus efficace que les crédits ont une véritable contrepartie de recherche et limiter ainsi leur effet d’aubaine ;
- Baisser dans l’assiette du CIR le forfait représentatif des crédits de fonctionnement (un peu plus de 400 millions d’économies) ;
- Obtenir une plus forte concentration des moyens sur des PME innovantes ;
- Baisser les subventions des très grandes entreprises pour lesquelles le CIR a sans doute un effet de levier relativement plus faible ;
- Insérer dans les conditions d’attribution du CIR une clause d'embauche de docteurs dans les entreprises.
Proposition 30 : Mettre fin au gâchis dont sont victimes nos jeunes scientifiques. Pour cela, on pourrait commencer par quelques mesures:
- Reconnaître la thèse dans les conventions collectives et la considérer comme une qualification professionnelle figurant dans les grilles de salaires;
- Lier l’obtention d’une partie du CIR au recrutement annuel d’un contingent de docteurs en fonction de la taille de l’entreprise bénéficiaire;
- Ouvrir de nouveaux postes à l’université et dans les organismes de recherche pour les doctorants;
- Mettre en place un plan de retour des chercheurs et post-docs « exilés »;
- Ouvrir l’accès aux grands corps de l’etat aux titulaires de doctorat via une sélection sur dossier.
Proposition 31 : La France pourrait prendre l'initiative d'une relance de la dynamique de recherche au niveau européen. Cette relance pourrait avoir deux volets:
- Accord des pays européens pour se rapprocher rapidement de l'objectif des 3% du PIB en recherche;
- Réévaluation de tous les programmes et de tous les mécanismes de gestion pour qu'enfin les scientifiques aient l'impression que l'Union européenne soutient vraiment la recherche.

Conditions de vie des étudiants et diversité sociale

Proposition 32 : Rendre publique la liste des sujets d’écrit et d’oral des années précédentes pour chaque concours et examen ainsi que leur solution. C’est un phénomène peu connu mais très discriminatoire en faveur des grands lycées parisiens au détriment des lycées de province.
Proposition 33 : Mettre fin à l’orientation des bons élèves d’établissements difficile vers des filières courtes. Pour ce faire, des consignes strictes devraient être envoyées aux enseignants afin de pousser les meilleurs élèves vers des études longues.
Proposition 34 : Multiplier les passerelles d’entrée dans les grandes écoles et le nombre de places offertes aux candidats ayant suivis un parcours universitaire, possibilité d’entrée dans les écoles d’ingénieur via une année de transition du BTS à la licence, intégration de la deuxième ou de la troisième année d’école d’ingénieur après un master universitaire. L’initiative a récemment été développée à l’ESAM et est en voie de développement à l’ESSEC.
Proposition 35 : Atténuer dans certains concours et examens les coefficients des matières socialement discriminatoires, et non directement liées aux professions auxquelles le concours donne accès.
Proposition 36 : Créer une allocation d’études supérieures (ALES) en faveur de tous les étudiants, utilisable tout au long de la vie active, d’un montant de 25 000 euros permettant aux étudiants de recevoir 500 euros mensuels pendant une durée de 50 mois.
Proposition 37 : Compléter l’allocation d’études supérieures par un prêt à taux zéro garanti par l’Etat qui pourrait s’élever à 150 euros au niveau licence et 300 euros au niveau master.       
Proposition 38 : Lancer un plan de réhabilitation de 50 000 logements étudiants et de construction de 40 000 nouveaux logements.
Proposition 39 : Procéder à une hausse modérée et étalée dans le temps des droits d’inscription : un triplement des droits d’inscription en L et un quadruplement en master et en doctorat sur 5 ans pour remettre plus d’égalité dans le système et augmenter les moyens des universités, en maintenant une exonération totale pour tous les boursiers.
Proposition 40 :
Donner aux établissements lauréats de l’opération Campus la maîtrise totale du financement de leurs projets immobiliers en leur permettant de disposer de leur dotation en capital et de choisir le mode de commande public adapté à leur projet.
Proposition 41 : Renforcer les services immobiliers des universités pour leur permettre de piloter leurs propres projets en liaison avec les collectivités locales.
Proposition 42 : Mettre à niveau les bâtiments d’enseignement supérieur et en donner la propriété aux établissements en garantissant à chaque établissement la prise en charge de la dotation de renouvellement des bâtiments par l’Etat et les collectivités locales participant au financement des locaux.

http://www.tnova.fr/sites/all/themes/basic/images/interface/logo/TerraNova-logo.jpg Przez Alexandra Aidara, Yves Lichtenberger. Wkład nr 12 - Realizacja naszych studentów, aby przejść Francja: Propozycje na początek do społeczeństwa wiedzy. Pobierz raport. Pobierz raport propozycje. Pobierz streszczenie.
Ustawa o wolności i odpowiedzialności uczelni (LRU) nie była przedmiotem dyskusji do jego wyzwania i nie udało się opuścić uniwersytet i globalnego systemu jego przewlekłe trudności. Terra Nova zamierza ożywić debatę polityczną na temat, publikując raport końcowy z jej Grupy Roboczej ds. Szkolnictwa Wyższego i Badań Naukowych. Niniejszy raport przedstawia priorytet dla powodzenia wielu studentów, walka z awarii na studiach I stopnia, ustanowienie podziału szkolnictwa wyższego dla wszystkich studentów, zwiększenie liczba jednostek w akademiku. Proponuje się na uniwersytet i know centrum systemu szkolnictwa wyższego i badań naukowych, zajmujących się trwałą kompaktowy z państwem. Więcej...

24 août 2011

Enseignement supérieur: Terra Nova brise plusieurs tabous

Frais d'inscription en hausse, allocation d'autonomie de 500 euros par mois pour tous les étudiants, entretien de niveau à l'entrée de l'université pour adapter leur parcours en licence à leur niveau, suppression définitive des cours en amphi, sélection à l'entrée du master 1, réduction en cinq ans d'un tiers des places en classe préparatoire aux grandes écoles et rattachement administratif de ces prépas aux pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES)...

Dans son projet pour l'élection présidentielle que Le Monde a obtenu, la contribution sur l'enseignement supérieur et la recherche de Terra Nova décoiffe un peu plus que celui du parti socialiste, dont le think tank est proche!
Pas de rupture, mais des évolutions

Comme le PS, cette contribution ne demande pas la rupture avec les réformes actuelles, mais une évolution, concertée, non seulement de la loi d'autonomie des universités (notamment la création d'un sénat académique capable de démettre un président), mais de l'ensemble du système. "Une réforme progressiste doit viser non pas seulement une économie de la connaissance indispensable pour conserver le rang économique de notre pays dans le monde, mais aussi et surtout une société où la connaissance est une valeur et une fin en soi, une condition première du progrès de l’individu, des sociétés", écrit Terra Nova.
Il poursuit : "Pour partager avec les citoyens la vision progressiste proposée dans ce rapport, il est proposé, avant toute réforme, d’organiser un débat national d’orientation sur l’enseignement supérieur et la recherche dans le but d’acter les réformes prioritaires 2012-2017 voire 2012-2022 et d’engager les moyens que la nation souhaite consacrer à leur réalisation".
500 euros par mois pour tous les étudiants

Ceci posé, Yves Lichtenberger, l'ancien président de l'université de Marne-la-Vallée et rapporteur de ce projet, avance parmi les quelques 42 propositions quelques idées assez peu consensuelles.
Parmi les plus spectaculaires, la mise en place de l'allocation d'autonomie, toujours promise jamais accordée, des étudiants. Selon Terra Nova, en réunissant l'ensemble des moyens dévolus à la vie étudiante (demi-part fiscale, APL, bourses, etc.), il serait possible de donner à tous les citoyens une allocation d'autonomie de 25000 euros à utiliser sur 50 mois pendant l'ensemble de leur vie active. Pour compléter cette allocation, un prêt à taux 0, garanti par l'Etat, serait proposé aux étudiants. Cet effort serait doublé d'un vaste plan de développement du logement étudiant.
La licence à 500 euros par an en 2017

Si cette proposition peut susciter l'intérêt des étudiants, Terra Nova propose des choses un peu moins agréables à leurs oreilles. Le premier est une augmentation "modérée" des frais d'inscription actuels. Les droits nationaux actuels passeraient d'ici à 2017 à 500 euros en licence, à 1000 euros en master, et à 1 500 euros en doctorat. Les boursiers restant exonérés de ces droits.
Plusieurs raisons sont avancées. Cela doit permettre aux étudiants de mieux prendre conscience de la valeur de la formation qui leur est dispensée, de limiter l’absentéisme, et de lutter contre, voire de faire disparaître les inscriptions d’étudiants fantômes désirant uniquement bénéficier de la Sécurité sociale. Elle doit remettre également de "l'égalité" entre les étudiants, les enfants de familles défavorisées étant aujourd'hui les "perdants" de la quasi-gratuité de l'université française. Le débat est certainement lancé sur ce dernier argument. Enfin, ces droits apporteraient en vitesse de croisière un milliard d'euros supplémentaires aux universités.
Baisser le nombre de places en prépa

Autre proposition peu appréciée habituellement des étudiants, la sélection serait avancée en master 1, au lieu de l'actuelle sélection en master 2. La majorité des universitaires la réclament pour donner plus de cohérence à un diplôme de master sur deux années. La majorité des syndicats étudiants la refusent par opposition au principe de sélection. Un véritable débat doit également s'ouvrir sur cette question.
Terra Nova propose ensuite une autre proposition controversée concernant les "très grandes écoles" (Normale Sup, Polytechnique, etc.). "A partir de la rentrée 2012, diminuer de 33 % en cinq ans le nombre de places en classes préparatoires et réduire de 50 % en cinq ans les places aux concours des grandes écoles", écrit le think tank. Le tout, en augmentant les nombres d'admis dans les grandes écoles issus de l'université et n'étant pas passés par une prépa... La proposition n'est pas vraiment étayée et très incantatoire. En revanche, poursuit Terra Nova, si il est "irréaliste et démagogique de promettre la disparition à court terme des grandes écoles ou leur fusion immédiate avec les universités", le rattachement administratif des classes prépas aux PRES est lui possible.
Revaloriser les salaires des personnels

Plus consensuel, le think tank propose une rénovation plus poussée du cycle licence. Finis les cours d'amphis (ce qui est déjà le cas dans beaucoup d'universités), désormais les établissements doivent faire du sur-mesure. Après un entretien de niveau à l'entrée (qui n'est pas une sélection), le parcours de l'étudiant est adapté, par niveau (des passerelles entre niveau étant possibles), en début de licence. Ces licences seraient par ailleurs désormais plus pluridisciplinaires. Pour renforcer l'encadrement à ce niveau de diplôme, des postes de "docteurs-moniteurs" sont ouverts (et non des postes d'enseignants-chercheurs).
Enfin, parmi d'autres mesures sur la recherche (révision du crédit impôt recherche, audit de l'organisation de l'ensemble du système, etc.), deux autres mesures sont proposées : la revalorisation du traitement des enseignants-chercheurs d'un côté, et la poursuite du rapprochement du statut des chercheurs (organismes de recherche) et d'enseignants-chercheurs (université) de l'autre. Cette dernière idée est également très discutée dans le milieu.
Dans l'ensemble, ce projet Terra Nova risque de donner beaucoup de travail au candidat de gauche qui y picorera des idées, tant les tabous abordés sont nombreux. Le débat ne fait que commencer.
Philippe Jacqué. Tasud tõusevad, jaotamise ulatus 500 eurot kuus kõigile õpilastele, säilitades tase sissepääsu juures ülikooli kohandada oma kursusi oma litsentsi tasandil, kustutades kursused aastal kahepaiksed, valiku sissepääsu juures kapten, vähendada viie aasta jooksul jääb kolmandik kohtadest ettevalmistav klasside grandes écoles ja kinnitusest, need postid prépas teadus-ja kõrgharidusruum (PRES)...
Oma eelnõu presidendivalimiste et Le Monde on saanud panus kõrghariduse ja teaduse ja Terra Nova hinge ära natuke rohkem kui et Sotsialistliku Partei, kelle mõttekoda on lähedal!
Veel...
24 août 2011

UALL Women in Lifelong Learning Network

http://willnetwork.weebly.com/uploads/7/0/2/5/7025704/560269.jpg?1302865630What is the Women in Lifelong Learning Network?
The Women in Lifelong Learning (WiLL) Network is one of UALL’s six specialist networks, providing both a forum for discussion of issues relating to women and gender in lifelong learning and a professional network for women employed in the lifelong learning sector.  The WiLL Network has a mailing list of over 90 members, publishes a quarterly e-bulletin and runs events, open to all and sometimes jointly with other UALL networks on topics related to women and lifelong learning. If you would like to join the WiLL mailing list, please contact the Network Convenor, Kate Thomas.
What is UALL?

The Universities Association for Lifelong Learning (UALL) is the professional association for the lifelong learning community within higher education. UALL plays a leading role in national and international policy formulation, advocacy, research and practice in lifelong learning and continuing education.  It has well-established links with all major agencies in lifelong learning and higher education including Funding Councils, UK Government Education and Lifelong Learning Departments, University and College Associations, Quality Assurance Bodies, as well as with other national and international organisations.  Membership is drawn from the higher education and lifelong sectors in the United Kingdom and overseas.  For further information about UALL, including membership, see the website and/or contact the Administrator, Lucy Bate.
A date for your diary...Wednesday 26 October 2011.
Women E-Mentoring in Lifelong Learning (WELL) Workshop at the Women's Library, London. The Workshop will present findings from the evaluation of the Women in Lifelong Learning E-mentoring Scheme. Keynote: Professor Mary Evans, Gender Institute, LSE.
A date for your diary...Wednesday 23 November 2011.
UALL Networks Conference: Social Mobility or Social Equality? Educational Perspectives. The Friends Meeting House, London WC1.  Keynotes and network sessions on this highly topical issue.
24 août 2011

Volunteering And Lifelong learning in Universities in Europe (VALUE)

http://www.valuenetwork.org.uk/images/header.jpgAims and Objectives
The overall aim of the VALUE Network is to facilitate & stimulate the development of cooperation between universities & the volunteering sector in the delivery of University Lifelong Learning (ULLL) to volunteers/volunteering organization staff. In the context of VALUE, ULLL means the provision of learning opportunities which:
• Recognize the complex, and often sophisticated, learning that volunteering brings
• Respond to the diverse range of individualised goals and needs of volunteer learners.
VALUE’s secondary aims are to:

1. Facilitate learning within the Network. VALUE partners work together as an entire network, in small groups & on a one-to-one basis – in virtual & real modes.
2. Import experience & expertise from outside the Network both to further its own learning & to contribute to the development of its resource base.
3. Make an impact beyond its membership. VALUE is using the both the web and its individual partners (as national relay points) to disseminate its outputs as widely as possible. The final conference, a key dissemination activity, will be open to external participants.
VALUE’s operational objectives are to:

I. Organise 4 Network meetings  -  providing a forum for the exchange of knowledge & experience & the presentation of external expertise.
ii. Organise the work of  4 sub-groups each investigating 4 themes key to lifelong learning in Europe: Older Learners, Citizenship, Intercultural Dialogue & Employability.
iii. Produce 12 reports each providing an overview of ULLL- volunteering interaction in countries represented in the partnership
iv. Develop a web based resources to be used as a support tool (within & outside the network) for development of activity of this kind.
v. Disseminate its work & grow the network.
On 8-9 June 2011 the VALUE final conference, open to all interested parties, took place in Ankara, Turkey
.
24 août 2011

Widening Access to Higher Education in ‘Divided Communities’

http://www.ulster.ac.uk/aep/face2012/images/banner_image_1.jpgFACE 2012 Annual Conference. Widening Access to Higher Education in ‘Divided Communities’.
I am pleased to announce that the Forum for Access and Continuing Education (FACE) Annual Conference will be hosted by the University of Ulster, Magee campus, in Derry, Londonderry from the 4th-6th July 2012.
The conference title is Widening Access to Higher Education in 'Divided Communities' with four key themes:
    Divided Communities’ – SEC, Ethnicity, Gender, Disability
    International and National Comparisons
    Regional Approaches to Widening Access
    Social Mobility – Demonstrating Impact

Details of the Conference and information on submitting an abstract/paper, accommodation, method of payment, social activities and the host city (which is the first UK City of Culture in 2013) are available on our website.
I would recommend that you book your place at the conference as soon as possible as delegate places will be strictly limited to 200. 
In relation to accommodation it should be noted that the Conference clashes with the Clipper Round the World Race which is in Derry, Londonderry during 1st-7th July, 2012 so finding a place to stay may prove difficult. Details are available on the Accomodation page of the Conference website. Other activities included as part of the conference fee are a Mayor’s reception, Gala Dinner with entertainment and optional tours.
The conference team look forward to hosting your visit to the FACE conference in the historic and vibrant city of Derry, Londonderry where you will be guaranteed céad míle fáilte (a hundred thousand welcomes). Dr Damian O’Kane
Chair, Conference Team.
24 août 2011

Knowledge, Information, Learning, Training and Skills (KILTS)

http://www.suall.org.uk/images/suall-top.gifKILTS aims to:
- Respond to workplace learning needs through the provision of Continuing Professional Development and work-based learning opportunities;
- Provide a forum for the development, exchange and dissemination of good practice in Continuing Professional Development within Scottish Higher Education Institutions;
- Represent, either directly or through SUALL, the interests of Continuing Professional Development providers within Higher Education and to the Funding Authorities;
- Through SUALL, to respond to government papers and other public documents on behalf of the community of CPD providers;
- Facilitate communication, liaison and collaboration with other bodies and organisations in the field of Continuing Professional Development.
Mr Graeme Ligertwood - Chair, Training Services Business Development Manager, Scottish Agricultural College, Ayr Campus, Auchincruive Estate, AYR KA6 5HW, Tel: 01292 525285, graeme.ligertwood@sac.ac.uk.          
Daniela Bolle - Secretary, Business Development Manager, University of Stirling, Room 3B1 Cottrell Building, Stirling
FK9 4LA, Tel: 01786 466 445, daniela.bolle@stir.ac.uk.
24 août 2011

Reforming further education in England

The paper - New Challenges, New Chances - along with associated detailed documents on the Informal adult and community learning consultation and on Further Education loans, invites responses to a wide-ranging overview of proposals for change - covering everything from literacy and numeracy provision through to higher education, but surprisingly not the National Careers Service.
NIACE will issue an initial response shortly, but urges all its members and supporters to begin preparing their own responses in advance to the Department's deadline of 21 October 2011 (or 20 September for proposals concerning higher education).
http://www.niace.org.uk/sites/default/files/imagecache/news/documents/policy/new-challenges-news-image.jpgThere are nine key areas for consultation set out in New Challenges, New Chances:
        Vision for the FE landscape and shape of the sector
        Introducing Level 3/4 loans and sharing responsibility for investing in skills
        FE college and training provider freedoms and flexibilities
        Simplifying the funding system
        Teaching, learning and qualifications
        Review of Informal Adult and Community Learning
        Review of literacy and numeracy provision for adults
        Delivering higher education and skills
        Deregulation and devolution
In September, NIACE is also holding:

1. Related policy seminars
7 September - Policy Seminar on the HE White Paper (P.M.)
13 September - Teaching and Learning and Qualifications
19 September - FE Funding and Landscape
2. Seminars to support learning providers and other organisations develop their responses to the Informal Adult and Community Learning consultation. NIACE's initial response to the review of Informal adult community learning (IACL).
Extra Links:

Informal adult community learning – online survey
. Individuals can have their say about the future of informal adult community learning, by responding to a new NIACE online survey by 31 October 2011, as part of the government's review of informal adult learning. Find out more about 'New Challenges, New Chances' and about responding to the consultation.
24 août 2011

The first EAIE Academy

http://www.telecom-sudparis.eu/archive/actu/1501/EAIE.gifRegistration is now open for the EAIE Academy which will take place from 14–18 November in Valencia (Spain) at the Universidad Politécnica de Valencia.
The Academy programme comprises over 10 training courses in the fields of credential evaluation, marketing and recruitment, intercultural communication, student support, management, and internationalisation strategies.
Next to the course programme, additional sessions and networking events will offer you more opportunities for professional development as well as networking.
The ideal programme is one that meets all of your needs. The Academy gives you the freedom to decide on a programme that suits you best. Choose one course or make most of your stay in Valencia and attend any combination of two consecutive courses. Choosing two courses will also provide you with a considerable reduction on the course fee. Make your choice and register online now!
Check out the courses below to see which skills you wish to enhance.
Monday – Wednesday (3 days)

How to manage an international office successfully
Cultural learning in education abroad
Monday – Wednesday morning (2.5 days)

Internationalisation at Home: effecting change in your university
International marketing: a strategic approach
Evaluating foreign credentials in a busy office
An entrepreneurial approach to creating courses on a budget
Wednesday afternoon – Friday (2.5 days)

Working with recruitment agents
Intercultural competency: making internationalisation work on campus
Mental health issues and crisis management with international students
International Master degree admissions
Thursday – Friday (2 days)

The importance of branding
Leonardo mobility project: how to get the grant
Country studies: Education in times of conflict & Emerging markets
Using benchmarking tools: improve your institutional performance in internationalisation
24 août 2011

Consultation European Institute for Innovation and Technology

VSNUThis position paper covers the following topics: 1) EIT mission, objectives and added value 2) KICs, funding model and administrative burden and 3) EIT brand name for Master diplomas. Download the position paper.
1) EIT mission, objectives and added value

Enhancing Europe's innovation capacity is the reason the EIT was created. The EIT's specificity is to integrate, at EU level, education and entrepreneurship with research and innovation. EIT and KICs should complement the EU research and innovation landscape. This demonstrates a clear vision on how to enhance the impact of research on Europe's society and economy. The EIT has a landmark contribution to make to the objectives of the EU's strategy for the next decade (EU 2020). The EIT needs to promote and integrate higher education, research and innovation and should strive to the highest quality standards. 
In pursuing its mission, the EIT is to create a tangible impact, notably in terms of new business creation, people with profiles and skills ready to contribute to an ideas economy as well as the generation and dissemination of knowledge. The EIT could also take up an agenda setting responsibility, in particular for issues that hamper innovation. Ultimately, the EIT should contribute to the creation of a culture of innovation. 
The added value of the EIT lies in the fact that the EIT distinguishes itself from other initiatives at European level through a number of specific characteristics. For example, the concept of co-locations in its KICs, the business-like approach to funding and the focus on exploiting new business opportunities. 
2) KICs, funding model and administrative burden.

The bottom-up model of the KIC has been an important asset for the successful formation of the current KICs. This flexibility on the other hand created a relatively long period of negotiations and uncertainty. With the models of the current KICs available, the next generation can build on this experience in order to speed up time to contract and facilitate contract negotiations. 
The smart funding mechanism of the EIT has great potential although the 25% incentive is on the low side and without this budget the continuing a KIC for a long period of time is not perceived to be possible. KICs should use the EIT investment as leverage and work towards financial sustainability building on financial commitment from their own (business) partners. 
The administrative burden should be lowered. Initially the EIT conveyed a message of high trust and simplicity. The EIT appeared to come back from that position and fell back to a rather low-trust approach in which for example detailed questions on time spend by particular persons, including proof, are asked. The EIT should strive for a clear audit guide in which a distinction is made between activities that are funded from the EIT budget or from other sources. 
3) EIT brand name for Master diplomas 

The European Commission has proposed to introduce an EIT label for diplomas awarded by KIC consortia. Similar experiences with the Erasmus Mundus (EM) 'label' (brand name) are positive. The EM brand name contributes to the international visibility of the EM programmes, also after the financing period is over. However, questions may be placed to its functioning as a quality marker. The brand name is awarded to all programmes that received EM funding and is thus connected to the EM indicators (mobility, employability, etc) that are not necessarily synonymous with excellence. Once the funding for these programmes from Brussels have ended, the brand name stays, but the quality of the programme is no longer controlled.

24 août 2011

Etablissements d’enseignement supérieur et réseaux d’anciens étudiants étrangers

http://www.campusfrance.org/sites/default/files/imagecache/ressource_image/ca_ressource/100710/note_31_fr.pngCollection: Les Notes. Numéro 31. Thème: Alumni. Etablissements d’enseignement supérieur et réseaux d’anciens étudiants étrangers: les résultats d’une enquête CampusFrance. Cette Note a été réalisée et rédigée par Anne Benoit.
La Note CampusFrance n°31 a pour objet initial de réactualiser la Note n°20, parue en 2010, sur les réseaux d’alumni et, plus particulièrement, sur les Clubs France qui ont été créés partout dans le monde. CampusFrance a souhaité offrir ici un éclairage plus large, en intégrant dans cette étude une analyse des résultats d’une enquête sur l’existence de ces réseaux d’anciens étudiants menée auprès des 248 établissements d’enseignement supérieur adhérents de l’Agence, ainsi qu’un tour d’horizon des pratiques en vigueur dans les autres organismes de promotion à l’étranger.
Avant-propos

Dans son discours d’ouverture de la réunion sur l’attractivité de l’enseignement supérieur organisée à l’occasion de la présidence française du G20 et du G81, le 10 mai 2011, Alain Juppé, ministre d’État, ministre des Affaires étrangères et européennes, soulignait que “ces étudiants étrangers, après être passés sur notre sol, dans nos universités, sont le plus souvent des amis de la France pour la vie et des ambassadeurs inlassables de notre pays et de nos valeurs.” De même, dans la Charte de qualité pour l’accueil des boursiers du gouvernement français, publiée en 2006, le MAEE exprimait la nécessité pour la France de créer et d’animer des réseaux d’anciens étudiants, l’argument principal étant “de valoriser l’investissement français et de constituer des réseaux d’influence actifs”. Les Postes diplomatiques ont constitué ces réseaux sous le nom de Club France et ils commencent à acquérir importance et légitimité.
Parallèlement, dans la logique de cette démarche, CampusFrance2 a désormais pour mission “la valorisation et la promotion à l’étranger du système d’enseignement supérieur et de formation professionnelle français, y compris par le suivi régulier des ressortissants étrangers ayant accompli tout ou partie de leur cursus dans le système français d’enseignement ou le réseau d’enseignement français à l’étranger”.
Afin d’évaluer le nombre d’établissements déjà engagés dans l’animation de réseaux d’anciens étudiants (en particulier d’étudiants étrangers) et afin de connaître de quelle nature est cette animation, CampusFrance a interrogé les services de Relations Internationales de ses adhérents, par le biais d’un questionnaire3 diffusé en janvier 2011.
En complément, cette Note dresse un panorama de la façon dont les différents organismes de promotion de l’enseignement supérieur (British Council, DAAD, Nuffic, Universidad.es, Institute of International Education et Study-in-Australia) mettent en avant leur réseau d’anciens étudiants, en particulier sur leur site internet.
Partie 1 (pages 2 et 3): Des réseaux d’anciens étudiants, pour quoi faire?

Les associations d’anciens élèves ou d’alumni existent depuis longtemps. Traditionnellement, en France les grandes écoles ont la réputation d’avoir pour grand avantage leur réseau d’anciens élèves qui facilitent les carrières des diplômés d’une même école. Aux Etats-Unis, les universités, conscientes que leurs étudiants vivent une expérience culturelle intense au moment de leurs études, prolongent le lien ainsi créé après les études en animant un réseau d’étudiants structuré par l’université elle-même. Parallèlement à ces associa tions d’anciens bien établies, il existe partout dans le monde des initiatives spontanées, nées du dynamisme des étudiants eux-mêmes qui créent leurs propres associations d’anciens.
Partie 2 (page 4 à 6): Quelles pratiques dans les établissements d’enseignement supérieur? (Résultats d’une enquête CampusFrance auprès des établissements adhérents)

Afin de prendre la mesure de ce qui existe en France en matière de réseaux d’anciens étudiants, CampusFrance a procédé à une enquête en ligne auprès des services des Relations Internationales de ses adhérents en janvier 2011. Cette enquête donne essentiellement une vision de ce qui existe dans les établissements qui ont déjà un réseau d’anciens étudiants. Elle permet aussi de mesurer le nombre d’établissements (des universités pour la plupart) qui songent à en créer un. Au total, l’enquête a permis de recueillir 116 réponses sur les 248 adhérents de l’Agence.
58% des établissements ont un réseau d’anciens étudiants, mais les trois quart des universités n’en ont pas encore. Parmi les 116 réponses, 67 répondants, soit 58%, ont indiqué qu’il existe un réseau d’anciens étudiants et 49 d’entre eux (soit 42%) qu’il n’en existait pas encore mais que l’établissement songeait à en créer un. Les trois quarts des établissements qui n’ont pas encore de réseau d’anciens sont des universités. Seules 6 universités annoncent avoir créé un réseau d’anciens étudiants.
Pour les 67 répondants ayant déjà un réseau, le suivi des étudiants étrangers est une préoccupation. Quatre établissements ont même un réseau uniquement dédié aux anciens étudiants étrangers. Ce sont logiquement deux établissements de langues mais aussi une université et un institut.
Une forte proportion d’établissements a créé son réseau d’anciens élèves depuis plus de 10 ans : 44 répondants, soit 66%. Les quatre établissements ayant un suivi d’étudiants étrangers exclusif annoncent que leur réseau existe depuis au moins 1 an et souvent depuis plus de 2 ans (réponse “entre 3 et 10 ans”).
En termes d’informations recueillies, 97% des établissements collectent l’adresse mail, 88% l’adresse postale. Les établissements sont nombreux à rechercher une information, soit sur le diplôme obtenu (84%), soit sur la date d’entrée ou de sortie de l’établissement (82%). A noter que la discipline ou les filières suivies sont un peu moins souvent collectées (72%). Le métier ou la fonction occupée est renseignée par 87% des répondants. En revanche, le CV n’est demandé que par 34%.
La nationalité ne fait pas toujours l’objet d’une question (40% des répondants ne la demandent pas), un établissement soulignant que c’est pour respecter les contraintes de la CNIL. Pour autant, ces mêmes établissements ont identifié les étudiants étrangers comme faisant bien partie de leurs réseaux d’anciens étudiants.
Partie 3 (page 6 à 10): Les Clubs France ou comment réunir les “amis de la France”?

Les réseaux d’anciens étudiants étrangers ayant effectué des études en France constituent un élément important de l’attractivité française, en termes de démultiplication et de pérennisation des relais d’influence. Aussi la France a-t-elle commencé, grâce à la création des Clubs France, une démarche soit de recensement, soit de création de réseaux d’anciens étudiants, avec la volonté de les fédérer et de les animer. Ces réseaux sont en effet animés par les Ambassades de France qui associent à leur projet des partenaires locaux (associations, entreprises, chambres de commerce et d’industrie…).
C’est ainsi qu’il existe dans certains pays des réseaux d’anciens très actifs:
- sous le nom de Club France en Chine et au Maroc notamment, avec plusieurs milliers d’anciens inscrits et actifs;
- sous le nom d’associations existantes qui peuvent ellesmêmes fédérer d’autres associations par exemple !Fan en Inde ou Comunidade au Brésil.
Ces réseaux fonctionnent d’autant mieux que, comme le souligne l’Ambassade de France en Chine, la constitution du réseau répond aux attentes de ses membres. C’est tout d’abord un réseau “facilitateur de carrière”, avec la mise en ligne d’offres d’emploi ciblées et d’un annuaire des anciens. C’est ensuite un réseau social qui permet à ses membres de maintenir un lien avec la France.
Partie 4 (pages 10 et 11): Quelles approches dans les autres organismes nationaux de promotion de l’enseignement supérieur?

Le DAAD dispose d’une base de données d’environ 260 000 contacts d’anciens boursiers étrangers et allemands. L’offre du DAAD auprès des anciens est ainsi d’une grande richesse et se déploie sur de nombreux supports...
Sur le site d’universidad.es, un cartouche apparaît dès la page d’accueil. Cet encadré met en valeur le fait que l’inscription donne la possibilité de recevoir une newsletter, d’obtenir des tarifs attractifs pour des activités culturelles ou d’apprentissage de la langue, des invitations pour des événements organisés en Espagne, la possibilité d’être informé de bourses pour des compléments d’études ou de recherches, etc.
Comme le DAAD, les Pays-Bas ont un site dédié aux alumni. Ce site est composé de trois services : l’un pour les étudiants, l’autre pour les associations et le dernier pour les institutions, la plupart des pages étant en accès réservé.
Le British Council ne propose pas de site exclusivement dédié aux alumni, il s’appuie sur les réseaux des établissements et institutions britanniques et sur le site général du British Council. Celui-ci est mis en avant comme moyen de rester en contact avec le Royaume-Uni, par le biais de l’apprentissage de la langue, d’une newsletter ou grâce aux réseaux sociaux existants (Twitter ou Facebook).
http://www.genietalks.com/blog/wp-content/uploads/2011/04/study-in-australia.jpgL’Australie, avec son site Study-in-Australia, met essentiellement en valeur quelques témoignages d’anciens. On peut aussi trouver une liste de sites locaux dont la vigueur dépend de l’implication des anciens localement. Dans un texte d’introduction, le site énonce clairement que ce réseau permet de garder le contact avec les amis que l’on a pu se faire en Australie. Il représente aussi une source d’opportunité d’emploi, localement et à travers le monde.
Aux Etats-Unis, le site de l’Institute of International Education (IIE) propose de manière visible sur la page d’accueil un sous-chapitre Alumni qui renvoie à une liste d’associations d’anciens, notamment les boursiers de la commission Fulbright.
Voir aussi sur le blog: Attractivité de la France dans le domaine de l’enseignement supérieur: points forts, points faibles, Le morcellement du paysage universitaire pèse encore sur son attractivité.

Kolekcja: Notatki. Wydanie 31. Temat: Alumni. Instytucje szkolnictwa wyższego i sieci byłych studentów: wyniki CampusFrance badania. To Uwaga został wyprodukowany i napisany przez Anne Benoit.
Uwaga CampusFrance nr 31 jest aktualizacja oryginalny protokół nr 20, opublikowany w 2010 r. absolwenci sieci, a dokładniej na Kluby Francji, które zostały utworzone na całym świecie. CampusFrance chciał dać szerszy wgląd tutaj, w tym badaniu tym analiza wyników dochodzenia w sprawie istnienia tych sieci przeprowadzonego wśród 248 absolwentów szkół wyższych członków edukacji Agencji i Przegląd praktyk w innych organizacjach w celu promowania za granicą. Zobacz także blog: Atrakcyjność Francji w dziedzinie szkolnictwa wyższego: mocnych i słabych stron, fragmentację krajobrazu uczelni jest nadal ciąży na jej atrakcyjność. Więcej...

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