Prévue par le Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l'inclusion sociale, la mesure "garantie jeunes", destinée aux moins de 25 ans en situation d'isolement et de grande précarité, connaît une nouvelle étape : 10 territoires ont été retenus pour la démarche de phase pilote à l'automne 2013, 10 autres pour la deuxième vague, en 2014.
La "garantie jeunes" est un accompagnement renforcé vers l'emploi et l'autonomie, avec une allocation d'un montant équivalent au revenu de solidarité active (RSA) pendant les périodes sans emploi ni formation. Suite de l'article...

Androulla Vassiliou, European Commissioner for Education, Culture, Multilingualism and Youth, will visit Lithuania on 5-10 September to support the Lithuanian EU Presidency's push to ensure that quality education and opportunities for young people are at the top of the political agenda. During her visit, Commissioner Vassiliou will open the EU Youth Conference with Dalia Grybauskaitė, President of Lithuania, and the 'European Higher Education in the World' Conference with Prime Minister Algirdas Butkevicius.
On 5 September, the Commissioner will take part in the Presidency conference in Vilnius on European Higher Education in the World. The discussion will focus on the European Commission's new strategy on internationalisation in higher education which calls for bolder measures to strengthen cooperation and mobility across the EU’s borders to enhance the quality of higher education and contribute to job creation and innovation. Press release.

Améliorer l’accès à l’emploi des jeunes en difficulté d’insertion en sécurisant leur revenu et en les accompagnant : tel était l’objectif du revenu contractualisé d’autonomie (RCA), soutenu par le Fonds d’expérimentation pour la jeunesse, et expérimenté en 2011 et 2012. Décliné pour les diplômés du supérieur, le RCA s’est avèré peu concluant sur l’allocation. En revanche, l’accompagnement est apparu comme une réelle plus value pour ces jeunes qui disent manquer d’appui adapté au moment de leur recherche d’emploi. Ce sont les conclusions avancées par le Céreq dans un nouveau numéro de sa série Bref.
La difficulté à atteindre son objectif s'explique en partie, par le nombre réduit de ceux qui réunissent les quatre critères d'éligibilité (être titulaire d'au moins une licence, être inscrit depuis plus de six mois à Pôle emploi, ne pas être indemnisé et avoir moins de 24 ans à la signature).
Cette expérimentation du RCA avait deux volets : l’un adressé à 5 000 jeunes peu diplômés âgés de 18 à 22 ans éligibles au Civis (Contrat d’Insertion dans la Vie Sociale) accompagnés par des missions locales ; le second, le RCA-JD, adressé à 500 jeunes diplômés du supérieur sur six sites universitaires urbains.
Consulter le Bref Céreq, n° 313 d'août 2013.

Young people's disengagement from political participation has long been a cause for concern. Little interest in and knowledge of political processes, low levels of trust in politicians and growing cynicism towards democratic institutions are often seen as indicators of young people's political apathy. Yet, as a new report prepared by Eurydice researchers shows, it is misleading to think that young people are not interested in politics. In fact, young people generally engage and communicate on political issues even more actively than older adults. They just use different channels.
Young people vote less than older generations. According to the European Social Survey, in 2010, 61 % of young respondents aged 22-29 stated that they voted in the last national elections, as opposed to the 78.1 % of over 30-year-olds. Yet, as Eurobarometer surveys reveal, even though they vote less than older adults, young people do believe – more than older generations – that voting is an effective way of influencing decision-making (at local, national or European levels). This fact, as elaborated in a Youth Report on political participation reveals an interesting paradox between young people’s beliefs and their behaviour: young people do not always participate in the very activities that they believe to be effective. More...

Créée en 1982, la mission locale a pour but de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes de 16 à 25 ans. Grâce à un suivi personnalisé, des conseils d’orientation et à une aide financière à la formation, ces organismes soutiennent les jeunes dans le monde de l’emploi.
Un suivi personnalisé
La mission locale permet de bénéficier d’un suivi personnalisé. Le parcours scolaire et professionnel des jeunes est étudié, analysé et une solution de formation adaptée aux besoins de chacun sera alors proposée. Tout en gardant l’accession à l’emploi en ligne de mire, les jeunes pourront dès lors faire le choix entre un retour en formation initiale, si leur parcours n’est pas complet, en formation continue ou en formation en alternance, une des solutions les plus vivement conseillées. Pour être efficace et trouver une voie adaptée à chacun, la mission locale a avant tout besoin d’un large réseau de professionnels actifs et influents dans le domaine de l’insertion professionnelle. Des fonds doivent également être débloqués afin de rendre possible le financement (total ou partiel) des formations proposées aux jeunes. Pour rendre ce système possible, la mission locale profite de financement provenant des collectivités territoriales. L’État et le Fonds Social européen apportent également leur aide financière car l’emploi des jeunes est, plus que jamais, l’une des priorités.
Une alternative : le chèque formation
Selon les critères d’admission des différentes régions françaises, il est également possible de profiter du chèque formation. En effet, le chèque formation est une aide individuelle qui est accordée aux demandeurs d’emploi. Si ce chèque formation concerne aussi les adultes de plus de 26 ans, il représente également une chance pour les jeunes de 18 à 26 ans qui remplissent certaines conditions. En effet, ils doivent être sans qualification professionnelle de niveau V, autrement dit : ils ne doivent pas être titulaires d’un BEP ou d’un CAP. Plus largement, le chèque formation vient soutenir les jeunes dont la formation initiale ne correspond pas aux besoins du marché. Il leur donne l’opportunité d’affiner leur choix en se spécialisant ou, au contraire, de partir dans une autre branche professionnelle ayant plus de débouchés.
Image: Robert Kneschke

Le Conseil national des missions locales : instance de concertation entre les élus locaux et l’État
Le CNML a pour mission de renforcer la collaboration entre l’Etat et les collectivités territoriales et de développer une politique d’animation et d’évaluation concertée au sein du réseau des missions locales.
Il développe son action selon deux axes :

Europe et international

• Charte des droits et obligations en matière d’information sur les subventions européennes (PDF)
• Charte graphique "l’Europe s’engage"
• Guide européen "Développement de nouvelles coopérations durables avec les entreprises au service de l’accompagnement des jeunes vers et dans l’emploi" (PDF)
• Le dépliant de présentation du futur programme "Erasmus pour tous" (PDF)

Promouvoir l’accès aux programmes européens pour les jeunes des missions locales
Suite à la réunion plénière du CNML le 26 avril 2011, André Montané, président du groupe Europe international du CNML, a reçu un mandat pour faire des propositions en vue de la prochaine génération de programmes européens 2014-2020. Depuis 2005, le groupe Europe international cherche à valoriser l’intégration dans le parcours des jeunes en insertion d’une période de mobilité internationale, ainsi que le recours aux programmes européens auprès des missions locales et de leurs partenaires. Lire la suite
Liens utiles

• Europe en France, le site des fonds européens
• Le site officiel du Fonds social européen en France
• Agence Europe Education Formation France
• Agence française du programme européen Jeunesse en action
• La Plateforme.info

By Robert Smith.The pressures on children to perform and succeed are becoming ever greater, and starting younger. The sudden death of a Bank of America intern last Thursday was not only a tragic loss of a life, but a timely reminder of the constant pressure young people feel to impress and succeed. It is chilling to read Moritz Erdhardt’s resumé now, whether or not his lifestyle contributed to his death: “I had a tendency to be over-ambitious…I was striving for excellence and trying to be the best all the time,” he wrote. “I felt somehow pressurised.”
Pressure, for the 15- and 16-year-olds collecting their GCSE results yesterday, is nothing new. The obstacle course which is the British education system – 11-plus, internal exams, SATs, GCSEs, A-levels, bachelors' degrees, masters – means that this crop are well versed in the trials and tribulations of late-night revision cramming, nervy two-hour tests in mundane sports halls, and the sickening experience of collecting those all-important small brown envelopes. Yes, testing is essential – and the "prizes for all" culture was flawed. But now not only are tests taken more often, they’re now taken at younger age too. This year’s results highlighted the escalating trend of pupils being entered into GCSEs early; a policy which not only heaps more pressure on slender shoulders, but distorts academic outcomes. More...