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Formation Continue du Supérieur
20 novembre 2012

Ce que seront les universités à l’horizon 2020

http://www.la-croix.com/extension/lacroix_design/design/lacroix/images/contenu/logo_lacroix.gifPar Denis Peiron. La Conférence des présidents d’université (CPU) organise le vendredi 16 novembre à Paris un colloque consacré à la recherche européenne, alors que les institutions communautaires commencent à se pencher sur le programme 2014-2020.
A l’occasion de cette rencontre, intitulée « Les Universités européennes à l’horizon 2020: la diversité des excellences », Louis Vogel, le président de la CPU, analyse quelques uns des défis que devra relever l’enseignement supérieur français. Suite de l'article...
http://www.la-croix.com/extension/lacroix_design/design/lacroix/images/contenu/logo_lacroix.gif By Denis Peiron. Conference of University Presidents (CPU) organizes Friday, November 16 in Paris, a conference devoted to European research, so that the Community institutions are beginning to focus on the program from 2014 to 2020. More...
20 novembre 2012

Erasmus - le meilleur lien entre le passé et l’avenir de l’Union Européenne

http://blog.2e2f.fr/wp-content/themes/strawberry-blend/images/abouticon.jpgPar Antoine Godbert. Depuis presque un mois, le débat sur le financement du programme Erasmus en 2012, en 2013 et dans le cadre du nouveau programme élargi Erasmus pour tous est sorti des affrontements à fleurets mouchetés du trilogue Commission-Conseil-Parlement. Les prises de position publiques pour déplorer que l’on puisse avoir l’idée de réduire les moyens d’un programme symbole de la capacité de l’Union à investir pour l’avenir se sont multipliées et même le rappel par le Premier Ministre de l’attachement de la France à l’Europe de l’éducation et, en particulier, au programme Erasmus, n’ont pu arrêter les inquiétudes des uns et les emportements des autres.
Certains se sont étonnés de cette levée de boucliers en faveur d’un programme dont la Commission a calculé, en présentant il y a dix jours un budget rectificatif pour 2013, qu’il pourrait lui manquer 90 millions d’euros pour 2013, soit 1% seulement des 9 milliards d’euros présentés comme l’enjeu global du financement à trouver. Mais à l’Agence, après une année de célébration de cet exemple parfait de l’Europe qui marche, personne n’a été surpris.
Erasmus est en effet bien davantage qu’un programme d’échanges d’étudiants. Sa longévité depuis 25 ans et son adaptabilité avec la mise en place depuis moins de dix ans d’Erasmus Mundus et d’Erasmus stages et son intégration dans les objectifs du Processus de Bologne lui ont donné un rayonnement assez unique dans l’histoire des programmes communautaires, et cela, alors même que l’enseignement supérieur demeure une compétence nationale. Alors que presque 2,5 millions d’étudiants en ont bénéficié, il n’y a plus un Européen ou une Européenne qui ne compte désormais un ou une proche ayant pu accomplir une mobilité d’études grâce au programme.
En un temps où il est plus fréquent de mettre en avant les éléments qui font vaciller l’Europe, rares sont les piliers de stabilité à faire consensus et à être unanimement valorisés. Erasmus en fait partie. Ce programme que nombre de pôles régionaux dans le monde nous envient, a su tout à la fois participer à un renforcement du « vivre ensemble » européen tout en illustrant de manière très positive l’acquisition de compétences formelles et informelles en faveur d’une meilleure employabilité.
Il représente donc parfaitement ce que les citoyens européens peuvent aujourd’hui attendre de l’Union: la protection face à la crise économique mondiale et l’affirmation d’une identité « nomade » européenne qui représente à la fois une continuité avec l’histoire intellectuelle du continent et l’espoir d’un redressement dans la compétitivité mondiale grâce à l’économie de la connaissance.
A l’heure où les négociations sur le budget général de l’Union européenne pour la période 2014-2010 dans le prolongement des propositions de la présidence chypriote devraient connaître un moment historique avec le Conseil européen du 22 novembre prochain, la mue d’Erasmus en Erasmus pour Tous n’est pas seulement la meilleure manière de faire profiter l’ensemble de l’éducation tout au long de la vie des succès construits sur un quart de siècle, c’est aussi une vraie nécessité pour tous ceux qui pensent que les deux décennies d’investissement dans la stratégie de Lisbonne puis dans la stratégie 2020 doivent porter leur fruit à moyen puis à long terme.
Il est plus que temps que l’Europe puisse désormais laisser la parole à ceux qui voient loin plutôt qu’aux tenants du court terme.

http://blog.2e2f.fr/wp-content/themes/strawberry-blend/images/abouticon.jpg Για σχεδόν ένα μήνα, η συζήτηση σχετικά με τη χρηματοδότηση του προγράμματος Erasmus το 2012, το 2013 και στο πλαίσιο του νέου προγράμματος Erasmus για Όλους διευρυμένη βγήκε αγωνίζονται στο πλαίσιο του τριμερούς διαλόγου αγκαθωτό Επιτροπής-Συμβουλίου-Κοινοβουλίου. Οι δημόσιες δηλώσεις να θρηνεί ότι μπορούμε να σκεφτούμε τρόπους για να μειώσει το σύμβολο πρόγραμμα της ικανότητας της Ένωσης να επενδύσουν για το μέλλον έχουν πολλαπλασιαστεί και υπενθύμισε ακόμη και από τον Πρωθυπουργό προσήλωση της Γαλλίας στην Ευρώπη της εκπαίδευσης και, ειδικότερα, το πρόγραμμα Erasmus, δεν θα μπορούσε να σταματήσει τις ανησυχίες του άλλου και ξεσπάσματα. Περισσότερα...

19 novembre 2012

Enquête de l'Afpa sur la reconversion professionnelle

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)En octobre 2012, Ipsos a réalisé pour l’AFPA, une enquête sur la reconversion professionnelle auprès d’un échantillon de 570 actifs issus d’un échantillon national de 1000 personnes. Selon les résultats de l'enquête, 82% des français envisagent une reconversion professionnelle en cas de licenciement.
56% des actifs déclarent avoir déjà changé d’orientation professionnelle, c'est-à-dire de métier ou de secteur d’activité, au cours de leur carrière. Lorsqu’on les interroge sur leur motivation, c’est l’idée d’un choix professionnel volontaire qui est d’abord citée par 55% des répondants. Les autres raisons: un plan social, une perte d’emploi, une restructuration ou fermeture de site ou des raisons familiales et géographiques.
S’agissant des principales difficultés rencontrées lors de la démarche de reconversion, l’enquête mentionne le manque d’information et d’aide en matière d’orientation pour plus d’un tiers des sondés. Viennent ensuite le manque de soutien en matière de formation, la complexité des démarches, le financement du projet et le fait de concilier l’ancien emploi avec le projet de reconversion.
Une majorité d’actifs ayant déjà changé d’orientation professionnelle au cours de leur vie considèrent qu’un certain nombre d’éléments se sont améliorés après leur reconversion: meilleur épanouissement professionnel, amélioration des conditions de travail, évolution de carrière plus satisfaisante. 71% de ceux qui ont déjà changé d’orientation professionnelle au cours de leur vie jugent qu’il s’est agi d’un nouveau départ dans leur vie, au-delà des aspects professionnels.
Plus d’un actif sur trois n’ayant pas changé d’orientation professionnelle au cours de sa vie se dit prêt à envisager de changer de métier ou de secteur d’activité dans les douze prochains moins. Consulter les résultats de l'enquête de l'AFPA et Ipsos sur la reconversion professionnelle (octobre 2012, 15 p.)
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Τον Οκτώβριο του 2012, Ipsos που δημιουργούνται για το ΑΡΜΑ, μια έρευνα της επιμόρφωσης με δείγμα 570 περιουσιακών στοιχείων από ένα εθνικό δείγμα 1.000 ατόμων. Σύμφωνα με τα αποτελέσματα της έρευνας, το 82% των Γάλλων σχετικά με τις επανεκπαίδευση σε περίπτωση απόλυσης.
56% του ενεργού έκθεση έχει αλλάξει σταδιοδρομία, δηλαδή, εμπορική ή επιχειρηματική δραστηριότητα κατά τη διάρκεια της σταδιοδρομίας τους.
Όταν ρωτήθηκε για το κίνητρό τους είναι η ιδέα της εθελοντικής επαγγελματική επιλογή για πρώτη φορά αναφέρεται από το 55% των ερωτηθέντων. Περισσότερα...
19 novembre 2012

Over 70 per cent overseas Chinese students return home

http://economictimes.indiatimes.com/photo/6151078.cmsA vast majority of Chinese studying abroad are returning back offering stiff competition for jobs to the students, who studied in local universities.
Nearly 72 per cent of overseas Chinese students have returned to China after finishing education abroad since the late 1970s, a government-backed agency said in a report.
From 1978 to 2011, about 8,18,400 Chinese students returned home after studying abroad, said the report by the Chinese Service Centre for Scholarly Exchange (CSCSE), which is administered by the Ministry of Education. More...
19 novembre 2012

Aligning Kazakhstan's Higher Education Institutions to the West

http://www.openequalfree.org/wp-content/uploads/2012/01/OEFhorBlueFinal.pngAs Kazakhstan steps away from its legacy as a former Soviet republic, it is trying to revamp its institutions of higher learning by adopting the European degree system. Kazakhstan’s competitive edge is diminishing, as the globalized demands of today’s workforce and academic institutions increase. In 2007, the World Bank pinpointed one of the country’s biggest weakness: "universities do not effectively relate to the labour market." The European degree system, Kazakhstan’s educators claim, are more market-oriented and allow for more connections with modern industries that create opportunities for students. More...
19 novembre 2012

Why online courses can never totally replace the campus experience

The Guardian homeMoocs (massive open online courses) may have many merits, says Patrick McGhee, and some may soon even be accredited – but they can never replace real shared experiences.
I have never liked the idea that in the future we should think of students as "customers" with a relationship to universities defined by money. For me, students are primarily learners – a controversial position, I readily concede, but in my defence I see this in the context of new models, new institutions, new technologies and new relationships for learning.
There are some who argue that the future of learning and the student experience is online. Such projections are as old as the internet itself, but they have recently enjoyed renewed interest through the idea of moocs (massive open online courses) where universities provide open access to their learning content through online platforms. Some serious brands have tentatively engaged with the model such as MIT, Harvard, Princeton and Berkeley. These platforms include Udacity and the Khan Institute. One of these, EdX, has said it hopes to teach a billion students; another, Coursera, advertises with the strapline "Take the World's Best Courses, Online, For Free".
On the surface this might appear to be a serious threat to some campus institutions: what simpleton wouldn't want a degree from Harvard for free? Of course, that is not what is, was, or ever will be on offer, but such headlines are irresistible. So far, most mainstream institutions have breezily dismissed the idea of moocs as a genuine threat, specifically because there is no credit or certification offered with these courses (nor, for that matter, much academic or pastoral support either, though you might get a certificate of completion). More...

19 novembre 2012

Poorer students hamstrung by rising living costs, according to NUS report

The Guardian homeBy Rebecca Ratcliffe. Union urges more financial support for students at university instead of fee waivers, which only apply when they start work.
Rising living costs and a lack of financial support are preventing disadvantaged students from succeeding at university, according to a report by the National Union of Students. More...
19 novembre 2012

Le contrat d’autonomie: 4 jeunes sur 10 entrés en 2009 ont accédé à un emploi ou à une formation

Abonnez-vous aux avis de parution de la DaresPar Nadège Couvert (SGCIV), Laure Crusson, Wali Rostam (Dares). Note Dares Analyses-Dares Indicateurs 2012-084 - Le contrat d’autonomie: 4 jeunes sur 10 entrés en 2009 ont accédé à un emploi ou à une formation (nov.2012). Créé en 2008, le contrat d’autonomie vise à accompagner vers l’emploi durable, la formation qualifiante ou la création d’entreprises des jeunes des quartiers prioritaires de la politique de la ville. L’accompagnement du jeune et son suivi en emploi ou en formation sont réalisés par des opérateurs publics ou privés. Entre 2008 et mi-2011, 41 000 jeunes ont signé un contrat d’autonomie dans les trente-cinq départements où le dispositif a été déployé.
D’après une enquête réalisée auprès des jeunes entrés en contrat d’autonomie en 2009, les trois quarts d’entre eux avaient déjà travaillé auparavant et seuls 18% n’avaient jamais été suivis par le service public de l’emploi. 7 jeunes sur 10 avaient un niveau de formation inférieur ou équivalent au CAP-BEP.
Durant les premiers mois, les jeunes ont bénéficié d’un accompagnement intensif et individualisé. Si le niveau de formation initiale joue un rôle important dans l’accès à un emploi, la nature et l’intensité de l’accompagnement prodigué affectent également les chances d’accéder à l’emploi ou à la formation. À l’issue de l’accompagnement, 42% des jeunes signataires en 2009 ont accédé à un emploi ou une formation et cette proportion a eu tendance à croître au cours de l’année. Télécharger la Note Dares Analyses-Dares Indicateurs 2012-084 - Le contrat d’autonomie: 4 jeunes sur 10 entrés en 2009 ont accédé à un emploi ou à une formation.
Un accès à l’emploi plus fréquent pour les diplômés

54% des jeunes suivis par l’opérateur après avoir accédé à un emploi déclarent avoir trouvé leur emploi par eux-mêmes, en mobilisant vraisemblablement l’aide à la recherche d’emploi proposée par l’opérateur. 36% des jeunes déclarent en revanche explicitement avoir trouvé leur emploi par l’intermédiaire de l’opérateur. Les jeunes suivis par des ETT déclarent plus fréquemment avoir trouvé leur emploi par eux-mêmes.
Être diplômé de niveau CAP ou BEP est un atout dans l’accès à l’emploi pour les signataires d’un contrat d’autonomie: 30% des jeunes diplômés de niveau CAP ou BEP ont accédé à un emploi, contre 19% des jeunes du même niveau non diplômés. Les jeunes sortis de scolarité au collège ou en première année de CAP-BEP ont eu encore plus de difficultés à accéder à l’emploi, avec 17% de sorties vers l’emploi. Les jeunes de niveau baccalauréat, avec ou sans diplôme, ont obtenu un emploi dans les mêmes proportions que les jeunes diplômés d’un CAP ou BEP: environ 30% d’entre eux ont accédé à un emploi. L’accès à l’emploi est en revanche plus fréquent au-delà du baccalauréat (36% des jeunes signataires qui ont poursuivi des études supérieures ont trouvé un emploi).
Les femmes s’insèrent plus fréquemment que les hommes en emploi: 28% des jeunes femmes ayant signé un contrat d’autonomie sont sorties vers l’emploi, contre 21% des hommes. Elles représentent la moitié des sortants vers l’emploi alors qu’elles étaient minoritaires à l’entrée en contrat d’autonomie (44%). Par ailleurs, la part de sorties vers l’emploi augmente très clairement avec l’âge: 10% des moins de 18 ans ont accédé à un emploi, contre 28% des 22-25 ans.
Par rapport au projet professionnel défini dès l’entrée en contrat d’autonomie, 66% des jeunes en phase de suivi ont atteint leur objectif initial. Ainsi, 76% des jeunes en phase de suivi qui souhaitaient accéder à un emploi ou créer leur entreprise ont réalisé leur projet, les 24% restants ayant accédé à une formation. Les jeunes qui visaient initialement une formation ont moins souvent réalisé leur objectif (54 %). Ceux qui n’avaient pas de projet précis ont eu un peu plus de difficultés à accéder à un emploi ou à une formation: 31% ont connu une phase de suivi, contre 36% des jeunes qui avaient un projet d’emploi.
Subscribe to the notice of the publication of Dares Covered by Nadège (SGCIV), Laure Crusson, Wali Rostam (DARES). Note Dares Dares-Analysis Indicators 2012-084 - The autonomy contract: 4 out of 10 youth entered in 2009 gained employment or training (nov.2012). Established in 2008, the agreement aims to support autonomy to sustainable employment, skills training and entrepreneurship of young people in priority neighborhoods of urban policy. Accompanying the young and monitoring employment or training are carried out by public or private operators. Between 2008 and mid-2011, 41,000 young people have signed an autonomy within thirty-five departments where the device was deployed. More...

19 novembre 2012

Donnons toutes ses chances à l’excellence - Agence universitaire de la Francophonie (AUF)

L'Agence universitaire de la Francophonie (AUF) est présente sur tous les continents, avec plus de 427 agents répartis dans 70 implantations rattachées à dix bureaux. Voir nos établissements membres. En savoir plus sur l’AUF.
Missions: la solidarité au service de l'excellence

L'Agence universitaire a pour missions de contribuer à la solidarité entre les établissements universitaires francophones et au développement d'un espace scientifique en français dans le respect de la diversité des cultures et des langues.
Pour les années 2010-2013, l'AUF articule son activité autour de 3 priorités:
- le développement de ses établissements membres;
- le renforcement de la présence de la communauté scientifique francophone sur la scène internationale;
- la formation d'enseignants, de chercheurs, d'experts et de professionnels acteurs du développement.
Implantation: une présence sur tous les continents

L'AUF est présente dans 40 pays avec 70 implantations régionales regroupant 427 personnels, dont 339 en région. Son siège est installé à Montréal, ses services centraux à Paris.
Cette présence régionale permet à l'Agence universitaire une meilleure adaptation aux contextes locaux. Dix bureaux régionaux pilotent ainsi les interventions de l'AUF en Afrique centrale et des Grands Lacs; en Afrique de l'Ouest; dans les Amériques; en Asie-Pacifique; dans la Caraïbe; en Europe centrale et orientale; en Europe de l'Ouest et Maghreb et dans l'Océan Indien.
Partenariats

En plus de relations soutenues avec les États et gouvernements membres de la Francophonie, l'AUF participe à de nombreux projets réalisés en collaboration avec l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et les autres opérateurs de la Francophonie (Association internationale des maires francophones, TV5Monde, Université Senghor). Dans une optique de complémentarité et de diversification de ses ressources, elle développe également des relations de partenariats avec plusieurs organisations internationales (Institut de la Banque mondiale, UNESCO,...), des associations nationales ou internationales et des entreprises du secteur privé qui ont un intérêt de coopération universitaire.
Η Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) είναι παρούσα σε όλες τις ηπείρους, με περισσότερους από 427 πράκτορες σε 70 γραφεία σε δέκα γραφεία συνημμένο. Βλέπε ιδρύματα που είναι μέλη μας. Μάθετε περισσότερα σχετικά με την AUF.
Αποστολές: αλληλεγγύη στην υπηρεσία της αριστείας

Η αποστολή του Οργανισμού του Πανεπιστημίου είναι να συμβάλει στην αλληλεγγύη μεταξύ των γαλλικών πανεπιστημίων και την ανάπτυξη ενός επιστημονικού χώρου στη γαλλική άποψη, η πολυμορφία των πολιτισμών και γλωσσών
. Περισσότερα...
18 novembre 2012

Zoom sur un plan d’actions réussi - favoriser l’insertion des travailleurs handicapés

AccueilEn 2010, le CHU de Nîmes a accueilli “avec enthousiasme” le projet sur le handicap initié par l’ANFH PACA et l’ANFH Languedoc- Roussillon.
« Nous avions déjà un dispositif d’adéquation au poste de travail. Nous souhaitions l’améliorer afin de permettre à tous les agents d’évoluer dans des conditions optimales » explique Marie-Claude Cazaban.
Premier objectif: inciter les salariés concernés à déclarer leur handicap pour bénéficier de mesures adaptées. Car « certaines situations ne sont pas connues et donc pas prises en compte, notamment quand un handicap lié aux activités exercées survient en cours de carrière ».
Ce projet propose un diagnostic et un appui opérationnel. Le CHU de Nîmes a ainsi pu définir des solutions avec un consultant. « L’établissement a toujours respecté le quota imposant 6% de travailleurs handicapés. Il nous faut cependant anticiper les départs à la retraite. » La démarche s’est concrétisée en 2011 dans un Plan d’insertion et de maintien dans l’emploi (PIME), selon trois axes: perfectionnement du dispositif existant, recrutement de personnel en situation de handicap, sensibilisation de tous les acteurs.
Les actions engagées donnent des résultats. « Nous avons réglé près de 400 cas grâce au PIME, obtenu des aides à l’interprétariat pour un aide-soignant sourd, ainsi que diverses aides techniques… ». Parmi les clés du succès, une large adhésion des acteurs: référent handicap, cellule “conditions de travail” rattachée à la DRH, CHSCT, médecine du travail, direction des soins et services logistiques.
Cet article est tiré des pages du rapport d'activité 2011: pour accéder au rapport complet cliquez ICI.
Les 2 videos Agir et s'engager pour l'emploi des personnes handicapées complètent cet entretien. Les témoignages sont recueillis au Centre Hospitalier de Cannes et à l'hôpital d'Allauch.
Accueil Το 2010, η CHU de Nîmes έχει λάβει "ενθουσιώδης" για το έργο που ξεκίνησε η αναπηρία ANFH ANFH PACA και Languedoc-Roussillon.
«Είχαμε ήδη ένα χώρο εργασίας κεφαλαιακής επάρκειας.
Θέλαμε να βελτιωθεί, ώστε να επιτραπεί σε όλους τους παράγοντες να λειτουργούν σε ιδανικές συνθήκες », εξηγεί Marie-Claude Cazaban. Πρώτος στόχος: να ενθαρρύνει εργαζόμενοι για να δηλώσουν την αναπηρία τους για να επωφεληθούν από τα κατάλληλα μέτρα. Περισσότερα...
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