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Formation Continue du Supérieur
27 décembre 2018

Contrôle et à l'audit internes des MEN et MESR

Légifrance, le service public de l'accès au droit - AccueilDécret n° 2012-567 du 24 avril 2012 relatif au contrôle et à l'audit internes des ministères de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche. JORF n°0099 du 26 avril 2012, texte n° 49.

Publics concernés : services centraux et déconcentrés des ministères de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche ; opérateurs de l'Etat relevant de ces ministères.
Objet : mise en place d'un dispositif de contrôle et d'audit internes au sein des ministères de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret, qui s'inscrit dans le cadre mis en place par le décret n° 2011-775 du 28 juin 2011 relatif à l'audit interne dans l'administration, crée un comité ministériel d'audit interne auprès des ministres chargés de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche. Ce comité, doté de deux formations spéciales, respectivement pour l'enseignement scolaire et pour l'enseignement supérieur et la recherche, définit la politique d'audit des ministères et s'assure de la qualité du dispositif de contrôle interne pour la maîtrise des risques. Il approuve le programme des audits ministériels.
Le décret crée en outre, au sein des ministères de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche, un comité commun de contrôle interne pour la maîtrise des risques. Ce comité définit les orientations nécessaires au déploiement du contrôle interne dans les services centraux et déconcentrés et suit la mise en œuvre de la démarche de contrôle interne par les opérateurs, notamment dans les établissements d'enseignement supérieur.
Enfin le décret crée, auprès des ministres susmentionnés, une mission ministérielle d'audit interne. Placée auprès du chef de l'inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche, elle propose le programme d'audit interne ministériel, en assure la mise en œuvre et veille à la diffusion des bonnes pratiques au sein des opérateurs de l'Etat relevant du périmètre des ministères.

I. ― Il est créé auprès des ministres chargés de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche un comité ministériel d'audit interne. Il est constitué d'une formation spéciale pour l'enseignement scolaire et d'une formation spéciale pour l'enseignement supérieur et la recherche. Ces deux formations peuvent être réunies en formation plénière pour l'examen de sujets d'intérêt commun.
Ce comité définit la politique d'audit des ministères mentionnés au premier alinéa. Il s'assure de la qualité du dispositif de contrôle interne pour la maîtrise des risques mis en œuvre au sein de ces ministères et de la diffusion des bonnes pratiques au sein de leurs opérateurs. Il approuve le programme des audits ministériels proposé par la mission ministérielle d'audit interne mentionnée à l'article 3. Il assure le suivi des actions décidées à l'issue de ces audits.
II. ― Chacune des formations spéciales mentionnées au I comprend :
1° Le secrétaire général du ministère ;
2° Trois directeurs d'administration centrale désignés par arrêté du ministre ;
3° Le chef du service de l'inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche ;
4° Le contrôleur budgétaire et comptable ministériel ;
5° Cinq personnes nommées pour trois ans sur décision du ministre, choisies en raison de leur compétence dans le domaine de l'audit interne, dans le secteur public ou privé.
Le doyen de l'inspection générale de l'éducation nationale est membre de la formation spéciale pour l'enseignement scolaire.
Le chef de la mission ministérielle d'audit interne est associé aux travaux du comité d'audit.
Des directeurs d'administration centrale et des chefs de service rattachés au secrétaire général peuvent, en tant que de besoin, assister aux réunions du comité.
Le comité ministériel d'audit interne est présidé par les ministres. Deux vice-présidents sont désignés par les ministres parmi les personnes mentionnées au 5° du II. Chacun d'eux préside l'une des formations spéciales.
III. ― Le comité ministériel d'audit interne se réunit, au moins une fois par an, sur convocation d'un des ministres ou, pour les formations spéciales, du vice-président qui préside la formation correspondante.
L'ordre du jour est envoyé en même temps que la convocation.
Le comité peut se réunir valablement en formation plénière si au moins onze membres sont présents et en formation spéciale si au moins sept membres sont présents. Les membres peuvent participer aux réunions du comité réuni en formation plénière ou en formation spéciale par tous moyens de visioconférence ou de communication électronique permettant leur participation effective.
Les membres du comité veillent au respect de la confidentialité des données auxquelles ils ont accès en raison de leur participation à ses travaux.
Le secrétariat du comité est assuré par le secrétariat général mentionné au I de l'article 1er du décret du 17 mai 2006 susvisé.

Article 2 En savoir plus sur cet article...

I. ― Il est créé au sein des ministères chargés de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche un comité commun de contrôle interne pour la maîtrise des risques.
Ce comité définit les orientations nécessaires au déploiement du contrôle interne dans les services centraux et déconcentrés. Il suit également la mise en œuvre de la démarche de contrôle interne par les opérateurs de l'Etat, dans le cadre de leur organisation et de leur gestion propres.
II. ― Le comité mentionné au I comprend :
1° Le secrétaire général des ministères, président ;
2° Des directeurs d'administration centrale de ces ministères ;
3° Un recteur d'académie ;
4° Un secrétaire général d'académie.
Un représentant de la conférence des présidents d'universités est associé aux travaux du comité lorsque celui-ci examine des questions relatives aux établissements d'enseignement supérieur.
Un représentant des établissements publics relevant du ministre chargé de la recherche est associé aux travaux du comité lorsque celui-ci examine des questions relatives à ces établissements.
Les membres mentionnés aux 2°, 3° et 4° ci-dessus sont désignés par arrêté des ministres chargés de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche.

I. ― Il est créé auprès des ministres chargés de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche une mission ministérielle d'audit interne.
La mission est chargée de fournir à chaque ministre une analyse sur le degré de maîtrise des risques et de lui apporter ses conseils pour l'améliorer.
Elle contrôle l'efficacité des dispositifs de contrôle interne. Elle propose, sur la base d'une analyse fondée sur les risques et après consultation des directions d'administration centrale intéressées, le programme d'audit interne ministériel soumis à l'approbation du comité ministériel d'audit interne. Elle en assure la mise en œuvre. Elle veille à la diffusion des bonnes pratiques au sein des opérateurs de l'Etat relevant du périmètre des ministères. Elle peut émettre des recommandations et faire réaliser des audits.
II. ― La mission est placée auprès du chef du service de l'inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche. Elle est dirigée par un inspecteur général de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche, nommé par arrêté des ministres, sur proposition du chef du service de l'inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche. Le chef de la mission est membre du comité d'harmonisation de l'audit interne prévu à l'article 2 du décret du 28 juin 2011 susvisé.
La mission rassemble, pour l'exercice de ses attributions, des membres des corps et services d'inspection des ministères chargés de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche, ainsi que les agents chargés de missions d'audit interne au sein de ces ministères. Elle peut également s'adjoindre le concours d'experts extérieurs.

27 décembre 2018

Le Comité éthique et scientifique Parcoursup

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frPlacé auprès de la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le Comité éthique et scientifique Parcoursup (CESP), installé le 7 février 2018, veille au bon fonctionnement de la plateforme mise en place dans le cadre de la procédure nationale de préinscription dans l'enseignement supérieur. Il s'assure notamment que les règles informatiques qui régissent son fonctionnement sont claires, conformes aux normes en vigueur et transparentes. Plus...
27 décembre 2018

Haut fonctionnaire de défense et de sécurité - Espace

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frLes activités spatiales françaises relèvent du Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Les activités spatiales françaises relèvent du Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche (MENESR). Le secteur "Espace" été reconnu "d'importance vitale" dans le cadre de la réglementation des secteurs d'activités d'importance vitale (SAIV). Plus...
27 décembre 2018

MESRI - Le réseau RENATER et le C.E.R.T.-RENATER

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frRENATER., le Réseau National de Télécommunications pour la Technologie, l'Enseignement et la Recherche, est un Groupement d'intérêt puboic (GIP) qui fédère depuis les années 90 les infrastructures de télécommunication pour la recherche et l’éducation sous l’impulsion de ses membres.
Le C.E.R.T.-RENATER (Computer Emergency Reponse Team) est le point de contact centralisateur du traitement des incidents, son expertise apporte une aide en profondeur ainsi que la mise au point d’outils de sécurité. Ce service est essentiel pour l’ensemble de la communauté à laquelle il fournit des informations de type bulletins de vulnérabilités, alertes, statistiques.
Son adhésion au FIRST (Forum of Incident Reponse and Security Team), regroupant des C.E.R.T. du monde entier, depuis les années 90, lui permet d’avoir une visibilité et un partage d’information du niveau international. Plus...
27 décembre 2018

MESRI - La protection des systèmes d'information - Les R.S.S.I. sont au cœur du dispositif

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frLeurs missions principales sont les suivantes :
  • Animer localement le pilotage de la S.S.I.
  • constituer et coordonner un réseau interne de correspondants de sécurité
  • mettre en place les plans de sécurité adaptés, en cohérence avec la politique de sécurité des systèmes d'information de l'Etat et les directives interministérielles
  • contrôler régulièrement le niveau de sécurité du système d’information par l’évaluation des risques résiduels
  • informer et sensibiliser les utilisateurs du système d’information aux problématiques de la sécurité
  • améliorer la sécurité des systèmes d'information par une veille technologique active ainsi que par une participation aux groupes de réflexion ad hoc
  • assurer la coordination avec les différents organismes concernés

La sensibilisation et la formation de tous les acteurs de l’organisation des systèmes d’information sont une des conditions essentielles au bon niveau de sécurité et de confiance :

  • le Certificat Informatique Internet (C.2.I.) constitue une sensibilisation de premier niveau des étudiants (licence, master, ESË.) à la notion de sécurité des systèmes d’information ;
  • des chartes destinées à sensibiliser les étudiants et les personnels, rappellent les droits et devoirs des usagers internes et externes à l’institution ;
  • des séminaires de sensibilisation de l'encadrement de l'adminisration centrale et des décideurs académiques des établissements d'enseignement supérieur permet de les informer sur leur responsabilité en matière de sécurité des systèmes d'information et sur les solutions proposées pour les sécuriser tant au niveau juridique et technique qu'organisationnel ;
  • au sein des observatoires zonaux de la sécurité des systèmes d'information (O.Z.S.S.I.), les établissements d'enseignement supérieur et les organismes de recherche sont représentés ; ils apportent leur contribution sous la forme de présentation d'experts, d'échanges, de retours d'expérience et de coopérations avec les différentes entités ;
  • la participation du ministère aux exercices interministériels de crise permet de tester l’organisation de la protection de ses systèmes d’information, en application du plan gouvernemental PIRANET. Plus...
27 décembre 2018

MESRI - La protection des systèmes d'information - La chaîne fonctionnelle de sécurité

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frPour assurer la sécurité des systèmes d'information du ministère, il existe une chaîne fonctionnelle de sécurité reposant sur le haut fonctionnaire de défense et de sécurité (H.F.D.S.), assisté d’un fonctionnaire de sécurité des systèmes d'information (F.S.S.I.), article R1143-1 du code de la défense. Celui-ci, en lien avec Renater, est relayé par un réseau des responsables de la sécurité des systèmes d'information (R.S.S.I. rattachés fonctionnellement à leur autorité qualifiée pour la sécurité des systèmes d’information (A.Q.S.S.I).
Le pilotage de la sécurité des systèmes d’information (S.S.I.) fait partie des attributions du haut fonctionnaire de défense et de sécurité fixées par les articles R1143-1 à R1143-8 du code de la défense.
Le H.F.D.S. est responsable de la diffusion, du suivi et du contrôle de la politique nationale de SSI devant être déployée par les responsables (AQSSI). L’organisation de la SSI est décrite dans des instructions pouvant être consultées sur le site de l'ANSSI.
Pour l’assister dans sa mission, il désigne un Fonctionnaire de la sécurité des systèmes d’information (F.S.S.I.) dont les principales fonctions sont :
  • la prise en compte et la participation à la rédaction de la règlementation interministérielle,
  • l’animation du pilotage ministériel de la S.S.I.,  l’élaboration de la réglementation ministérielle,
  • le contrôle de l’application de la réglementation ministérielle,
  • l’action de la sensibilisation des AQSSI,
  • le déploiement et la maîtrise des moyens sécurisés de communication,
  • la rédaction d’un rapport annuel.

Les AQSSI étant les responsables juridiques du périmètre concerné, c’est à leur niveau que s’exerce :

  • la maîtrise d’ouvrage (définition des enjeux de sécurité liés aux systèmes d’information), la responsabilité de passer des actes contractuels (marchés publics),
  • la responsabilité de mettre en place des organisations (comité de pilotage de la SSI, logistique de crise),
  • les arbitrages budgétaires,
  • la possibilité, le cas échéant, d’intenter une action en justice.
  • Il désigne un RSSI pour l’assister
Le responsable de la sécurité des systèmes d’information (R.S.S.I.) est nommé et mandaté par l’AQSSI pour mettre en place la politique générale de sécurité des systèmes d’information. Le RSSI est le responsable opérationnel. Plus...
27 décembre 2018

MESRI - Sécurité des systèmes d'information - Les enjeux

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frLes incidents de sécurité sur les systèmes d’informations sont de nature à prendre connaissance, altérer, et détruire des informations sensibles. Leurs impacts peuvent aller de la simple difficulté de fonctionnement d’un service durant quelques heures, au vol de données à caractère personnel, à la dégradation de l’image de l’institution et de la confiance en ses télé-services, à l’atteinte à des personnes notamment à des mineurs, jusqu'à l'impossibilité d’assurer certaines missions essentielles. 
La circulation, le stockage et le traitement des informations électroniques doivent être protégées pour garantir la continuité de l'activité du ministère. Les enjeux sont importants en raison  du nombre de personnes concernées : plus de 2 millions d'étudiants, 90 000 enseignants, enseignants-chercheurs et assimilés,  plus de 55 000 personnels assumant des fonctions techniques, administratives et d'encadrement dans les établissements d'enseignement supérieur et les organismes de recherche. Plus...
27 décembre 2018

MESRI - Sécurité des systèmes d'information - Menaces et vulnérabilités des systèmes d'information

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frQu'ils soient utilisés en local ou par l'intermédiaire des réseaux de télécommunications, les systèmes d'information présentent des vulnérabilités liées à diverses menaces dont les sources peuvent être environnementales (météo, incendie...), intrinsèques (conception, technologies, ...) mais aussi humaines (externes, internes, délibérées, par erreur ou par négligence). Ces vulnérabilités sont multipliées avec :
  • la banalisation, la complexité, l'automatisme et le nombre d'utilisateurs de ces systèmes, ainsi qu'avec le volume et la diversité des informations traitées,
  • le partage d'infrastructures communes qui rendent le système de liaison plus complexe : réseaux haut débit métropolitains ou régionaux, intranet des académies très étendu, usages nomades via les environnements numériques de travail),
  • des utilisateurs très hétérogènes : étudiant, salariés en formation continue, enseignants et chercheurs, personnels administratifs, fournisseurs et partenaires, collectivités territoriales. Plus...
27 décembre 2018

MESRI - Sécurité des systèmes d'information

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frLes systèmes d'information présentent des vulnérabilités liées à diverses menaces qui peuvent être environnementales, intrinsèques, humaines. Leurs impacts peuvent être nombreux comme provoquer l’impossibilité d’assurer certaines missions essentielles. Le ministère a mis en place des mesures pour protéger la circulation et le stockage des informations électroniques afin de garantir la continuité de son activité.
27 décembre 2018

MESRI - Prévention et gestion des crises

Screenshot-2018-4-21 Journal de mise en ligne - ESR enseignementsup-recherche gouv frLes exercices de crise
Afin de se préparer à faire face à des situations de crise, le service du H.F.D.S. participe aux exercices de crises nationaux liés aux risques majeurs organisés par le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (S.G.D.S.N.) sur des thèmes différents (accident nucléaire, panne nationale d’éléctricité, cyberattaque...). Au cours de ces exercices, le H.F.D.S. assure, en liaison avec les directions des ministères, à la fois la présence du service aux cellules interministérielles de crise et la mise en place d’une cellule ministérielle de crise permettant de faire l’analyse des situations avec les services déconcentrés et d’assurer le lien avec la CIC.
Ces exercices donnent lieu à un retour d'expérience pour améliorer notre capacité à faire face à des situations de crises réelles et à l’actualisation des plans de défense.

L'organisation de la gestion de crise

Le H.F.D.S. intervient dans les crises liées aux risques majeurs.
La gestion de crise repose sur le dispositif gouvernemental mis en place depuis janvier 2012.
Le H.F.D.S. participe aux cellules du Centre interministériel de crise (CIC) et s’est appuyé sur ce dispositif pour mettre en place une organisation ministérielle de crise. Les objectifs sont d’assurer la protection de la population et du territoire, de maintenir le fonctionnement des pouvoirs publics, et d’assurer la continuité de la vie de la Nation.
Le dispositif de gestion de crise s’appuie sur des moyens logistiques, humains, de communication et sur la mise en place de plans de continuité d’activité.

La continuité des activités : les plans de continuité d’activités (P.C.A. )

La protection de la population et du territoire, le maintien du fonctionnement des services publics, la continuité de la vie de la nation sont les enjeux majeurs de la défense et de la sécurité, la notion de continuité économique et sociale apparaît désormais dans tous les plans. La stratégie de continuité de la vie du pays et de l'activité économique s'appuie sur des Plans de continuité d'activité (P.C.A.) tenus à jour qui sont destinés à assurer le maintien des fonctions essentielles. Plus...

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