Since the Guardian began an investigation into sexual harassment in universities, there has been growing criticism that many institutions remain complacent about the scale of the problem. More...
'I stayed in my job, but I was terrified of him just looking at me'
An undergraduate student tells of how a lecturer she worked for harassed her via social media. More...
Warwick University to offer joint degrees with European institutions
The University of Warwick is to announce a radical series of collaborations with universities in Paris and Brussels in which the three institutions will share staff and research efforts, as well as offering joint degrees in an unprecedented attempt to overcome the effects of Brexit. More...
Accès à l’université : les points litigieux… ne sont pas dans la loi !
Dans une dizaine d’universités, des blocages sont venus pénaliser le fonctionnement du service public pour protester contre la réforme de l’admission à l’université. Mais très vite, les revendications se sont éloignées du leur cause initiale pour dénoncer pêle-mêle les atteintes au statut de cheminot, la situation du peuple kurde, l’expulsion des zadistes de Notre Dame des Landes… ou même réclamer l’abolition du capitalisme.
Au final, la loi ORE est nécessaire mais reste pour l’instant insuffisante. Mettre fin à l’arbitraire du tirage au sort représente en soi un progrès, à condition que tous les néo-bacheliers de France aient cette fois accès à la formation souhaitée lors de leurs vœux. Il faudrait donc patienter jusqu’à septembre pour savoir si Parcoursup tient réellement ses promesses. Plus...
Réforme universitaire : les nostalgiques du tirage au sort et les défis de la loi ORE
Un étudiant universitaire coûte environ 11 000 euros par an à l’État français. C’est très peu, en comparaison de ce que ce même État accorde à un étudiant des classes préparatoires (16 500 euros) et c’est en effet légèrement inférieur à la moyenne de ce que les pays de l’OCDE, qui n’ont cependant ni un système sélectif parallèle ni les organismes de recherche, dépensent pour leurs étudiants. Là est le scandale. Plus...
Parcoursup : la pérennisation des inégalités sociales
On peut déplorer les situations de blocage que connaissent aujourd’hui quelques universités françaises. Certains n’y voient que le résultat de l’action de minorités d’étudiants, téléguidés par telle ou telle formation politique ou syndicale. Mais à l’évidence aujourd’hui, les étudiants ne sont plus seuls à exprimer leur opposition à la procédure induite par la plateforme Parcoursup. Parmi la communauté des enseignants chercheurs, des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour dénoncer ce qui se cache derrière la démarche que la loi ORE prétend leur imposer. Plus...
Sélection à l’université : sortir de l’hypocrisie
Le refus de toute sélection est au cœur du mouvement de contestation de la loi ORE (loi Vidal), qui a conduit au « blocage » de plusieurs universités. Pour les étudiants « bloqueurs », la cause est entendue : la sélection à l’entrée de l’université est, par nature, antidémocratique. Plus...
Les raisons de la mobilisation étudiante contre la réforme ORE
Le 15 mars dernier, ils n’étaient que 500 étudiants, lycéens, personnels enseignants et parents d’élèves à battre le pavé à Paris contre la loi relative à l’Orientation et à la Réussite des Étudiants (ORE) qui modifie sensiblement les conditions d’accès aux formations universitaires généralistes (Licences) dans la perspective de la rentrée 2018 et qui peut être perçue comme la revanche post-mortem de l’ancien ministre Alain Devaquet. Plus...