By Hiroki Takano. Prestigious placements aren't much use if you have nothing insightful to say about them, Professor Mary Beard tells today's student blogger.
Aside from the obligatory two-week placement school pupils complete during year 10, work experience isn't something most students take seriously until they are at university. Then, it's an opportunity to bulk up the CV and meet potential employers.
But is work experience now a necessary prerequisite for sixth formers applying to university? A report released last year by education charity the Sutton Trust warned that top universities use personal statements – which include extracurricular experiences – to distinguish between students of equal academic ability. It said that those who go to private schools are far more likely to recount impressive placements with blue chip employers. This gives them an advantage when applying for a university place. Many vocational degree courses such as medicine or fashion say that applicants must complete work placements before applying. Read more...

Toute décision de l'employeur (embauche, promotion, licenciement, etc.) doit être prise en fonction de critères professionnels et non sur des considérations d'ordre personnel, fondées sur des éléments extérieurs au travail (sexe, religion, apparence physique, nationalité, vie privée...)".
Depuis plus de 10 ans, les législateurs ont retenu dans la loi la discrimination selon l'apparence physique. Une injonction que les employeurs peinent pourtant à suivre. Selon une étude de l'association Face Hérault, les candidats mal habillés au physique désavantageux ou en surpoids sont en effet plus souvent exclus du processus de recrutement que les personnes répondant aux canons de beauté actuels. Suite de l'article...

Le rapprochement des classes préparatoires aux grandes écoles avec les universités est l’une des orientations du projet de Loi sur l’enseignement supérieur et la recherche. Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, a annoncé que ce rapprochement prendrait la forme d’une convention de partenariat entre chaque lycée abritant des classes préparatoires et un ou plusieurs établissements d’enseignement supérieur de son choix.
Aujourd’hui, des conventions de ce type existent déjà. Mais le plus souvent, les partenariats se limitent à l’attribution d’équivalences universitaires. Sur le modèle proposé par la ministre, des expériences réussies existent. Les enseignants-chercheurs de l’UVSQ accueillent par exemple déjà les élèves du lycée Descartes de Montigny-le-Bretonneux. Ils contribuent aux travaux pratiques et aux TIPE (Travaux d’initiative personnelle encadrée). L’UFR des sciences envisage un second partenariat avec le lycée Jules Ferry de Versailles. Suite de l'article...

Blog Educpros de Pierre Dubois. Réforme du 1er cycle dans le projet de loi Fioraso (version du 15 janvier 2013). Seconde modification introduite dans l’article L 612-3 du Code de l’éducation (page 11). "Chaque lycée ayant une classe préparatoire aux grandes écoles conclut une convention avec un ou plusieurs établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel. Cette convention prévoit les conditions dans lesquelles les enseignements sont dispensés aux élèves par chacun des deux établissements et les évaluations sont effectuées". 64 chroniques du blog sur les Classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE).
Les CPGE partenariales existent déjà, mais c’est du pipeau (chronique du 10 juin 2011, suite à la parution de la circulaire de Patrick Hetzel). Il existe également des prépas dans les universités, mais elles connaissent de nombreuses limites (chronique du 14 mars 2011).
J’écrivais en juin 2011: "Fluidité aussi pour les enseignants; participation croisée d’enseignants aux différentes formations. De qui se moque-t-on? Pourquoi les agrégés de classes préparatoires iraient-ils enseigner en licence à des élèves moins "bons"? Peut-on imaginer que ces agrégés acceptent de gaité de cœur que les enseignants de licence viennent enseigner en CPGE? En route pour la Ronde des agrégés: ceux des CPGE iraient enseigner en licence, et ceux détachés en université iraient enseigner en prépa. Surréaliste! Irréaliste. Les CPGE partenariales, c’est du pipeau!"
Communiqué de Geneviève Fioraso (17 janvier 2013). La Ministre "est convaincue de l’utilité de ces rapprochements [entre CPGE et universités], dans lesquels chacun garde son identité, mais qui, grâce aux échanges, notamment sur la recherche mais aussi sur la pédagogie, établissent des passerelles, au bénéfice de l’intérêt général des étudiants des classes préparatoires comme de l’université. Le partenariat entre classes préparatoires et universités offrira ainsi davantage de droits et de possibilités à chacun des deux systèmes, sans aucune remise en cause de leurs objectifs et de leurs spécificités, qui sont complémentaires". J’ai rarement vu une telle pauvreté d’argumentation de la part d’un Ministre. Suite de l'article...

Blog Educpros de Pierre Dubois. La loi Fioraso devrait entrer en vigueur le 1 septembre 2013. Elle supprime les PRES et prévoit, au titre des regroupements et des coopérations entre établissements, 3 modalités dont la communauté d’universités. Le rapport de Vincent Berger n’avait pas tranché entre les différentes appellations possibles pour les regroupements. Jean-Yves Le Déaut a suggéré la dénomination de communauté d’universités dans le rapport qu’il a remis à la Ministre le 17 janvier 2013 (Refonder l’université. Dynamiser la recherche. Mieux coopérer pour réussir, page 38).
Il faut féliciter le député de Meurthe-et-Moselle, par ailleurs premier-vice président du Conseil régional de Lorraine, car il n’a pas eu peur du ridicule: “communauté d’universités” est un pléonasme fort inventif!
Le projet de loi (version du 15 janvier 2013) retient la suggestion du Lorrain. Il modifie en effet l’article L719-11 du Code de l’Éducation. “La politique territoriale de coordination prévue à l’article L. 719-10 est organisée par un seul établissement d’enseignement supérieur pour un territoire donné. Elle est organisée, pour les établissements d’enseignement supérieur, selon l’une des trois modalités suivantes: 1° la fusion d’établissements d’enseignement supérieur; 2° le regroupement, qui peut prendre la forme: a) de la participation à une communauté d’universités; b) du rattachement d’établissements ou d’organismes publics ou privés concourant aux missions du service public de l’enseignement supérieur ou de la recherche à un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel”.
Bisbilles en perspective entre les établissements regroupés. “L’État peut attribuer des moyens en crédits et en emplois à la communauté d’universités”.

Par Olivier Rollot.Nouvelles pédagogies: « L’étudiant doit être la personne la plus importante dans une école »
Directeur du New Learning Hub en charge du développement des nouvelles pédagogies au sein de France Business School (FBS), Fabrice Mauléon revient avec nous sur la grande révolution des cours en ligne accessibles à tous, les massively open online courses (MOOC), et plus largement sur les débats en cours autour de l’émergence des nouvelles pédagogies d’apprentissage.
Nouvelles pédagogies: « We teach but do they learn? »
« Nous enseignons mais apprennent-ils ? » (« We teach but do they learn? »), cette question essentielle c’est celle que pose l’organisme d’accréditation américain AACSB aux business schools qu’il audite.  Prenant conscience de la masse de technologies et de méthodes nouvelles d’enseignement qu’il va falloir apprendre aux enseignants, l’ESSCA, l’une des toutes meilleures écoles de commerce postbac,a décidé de créer un Institut de pédagogie et de soutien à l’enseignement (IPSE) ouvert à tous ceux qui veulent améliorer leur pratique. Entretien avec son responsable, Stéphane Justeau.
Nouvelles pédagogies dans l’enseignement supérieur: où en est-on?
Lorsqu’il présente sa nouvelle école de management, France Business School (réunion des ESC Amiens, Brest, Clermont-Ferrand et de l’Escem Tours-Poitiers) Patrick Molle, son directeur, insiste moins sur les stratégies, l’international, le recrutement que sur « la nécessité de donner le plaisir d’apprendre » à ses élèves. « Il faut donner un côté ludique aux apprentissages », insiste-t-il encore avant d’enfoncer le clou: « Transmettre le savoir n’est pas le métier principal de l’enseignant ». Stupeur dans la salle. Mais quel est ce métier alors?

By Liz Reisberg. Another overseas programs appears to be biting the dust. The University of Nevada Las Vegas (UNLV) is not renewing its contract with the Singapore Institute of Technology (SIT). This brings into question yet again why universities pursue these overseas ventures when they are rarely profitable and difficult to sustain.
At the very least these initiatives demonstrate the complexities of cross-border, cross-culture activity.  Putting two countries together is not necessarily the neat sum of the parts. Typically, the sending country and the receiving country operate on very different models for higher education.  Models differ not only in program design and structure but also in the distribution of financial obligation between student and government. Sadly, at a time when Republican ideology is fervently anti-tax, US universities (both public and private) are continually searching for new sources of revenue.  Support from foreign governments can be very alluring. Too often university administrators pursue this revenue without careful consideration of the long-term implications. Foreign governments are not interested in subsidizing US higher education in order to make up for deficits of the anti-tax US environment; they have objectives of their own.  The objectives of the foreign government are too often overlooked or under-valued by a US institution. Read more...

By Bob Sun. There is little consciousness on campus of what the practical and political realities of having a large international population are.
This past winter break, I spent much of my time—when I wasn’t sleeping—trolling LionSHARE and writing cover letters for summer internships. That is, when I could find them, which is strange, since there is no dearth of jobs available to Columbia students. Especially for those students looking in industries that have a large presence in New York City, the problem is one of having too many options: It would be impractical to apply to the some 200 positions in finance currently open for this summer alone. But not for everyone. Hidden somewhere in most job descriptions is a line that reads: “Candidates must have permanent work authorization to work for any company in the United States for an unlimited period of time without restrictions.” I would hazard a guess that it doesn’t even register with most prospective applicants. But for the 19 percent of us who are international students , myself included, it is a line that greatly reduces the number of opportunities we can pursue. Read more...

By David Matthews. A new government unit will help universities expand abroad in an attempt to boost export earnings from the sector. Education UK has been launched by the Department for Business, Innovation and Skills and UK Trade & Investment, the government-run agency that aims to help British interests abroad. It will specifically target markets in India and the Middle East. Matthew Hancock, the skills minister, said that despite the UK's excellent reputation for education, the sector could make a bigger contribution to economic growth.
"It is essential that we realise the potential of the largely untapped resource that is our education exports. There is a fast-growing demand for high-quality education, and we are lucky to have a dynamic and entrepreneurial sector that is well placed to contribute," he said.
"We are in a global race and other countries are presenting attractive and coordinated offers, so Education UK is a vital step in bringing together the UK sector to drive its international engagement, particularly on high-value opportunities," Mr Hancock argued.
According to BIS, education exports are currently worth £14 billion to the UK, but this could rise to £21.5 billion by 2020. Read more...