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Formation Continue du Supérieur
1 juin 2014

Higher education reshuffle ahead of elections

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Jan Petter Myklebust. As of Monday, Sweden’s new university chancellor will be Professor Harriet Wallberg, Minister for Education Jan Björklund announced at a press conference last week. Her appointment is seen as part of a sectoral shuffle ahead of general elections on 1 August. University Chancellor Wallberg will be in charge of the Swedish Higher Education Authority and its 90 staff membersRead more...

29 mai 2014

Le séisme électoral, un défi aussi pour l’enseignement supérieur

Blog Focus Campus de Jean-Claude Lewandowski. Assimilées à des élites de plus en plus critiquées, universités et grandes écoles ne peuvent rester à l'écart des problèmes que rencontre le pays. Elles doivent intervenir davantage dans le débat de société, et contribuer à la sortie de crise.
Il ne faut pas s'y tromper : les résultats de l'élection européenne interpellent aussi directement la communauté de l'enseignement supérieur - ses étudiants, ses diplômés, ses enseignants, ses chercheurs et ses dirigeants d'établissements. Pour deux raisons. Suite...

25 mai 2014

L’Europe et le 3/5/8 d’Attali

Sur le blog "Histoires d'universités" de Pierre Dubois. Et si nous relisions le rapport de Jacques Attali (février 1998) ? Le volet de la loi ESR de juillet 2013 portant sur la réforme du premier cycle d’enseignement supérieur (Licence, CPGE, IUT et BTS) est en panne, jeté aux oubliettes, pour plusieurs raisons. En cause, la Secrétaire d’État rétrogradée, Geneviève Fioraso. Obnubilée par le transfert technologique, elle a mis le paquet sur les coopérations et regroupements d’universités et d’établissements. Suite...

22 mai 2014

Réponse de Geneviève Fioraso à la question d'Anne-Christine Lang, députée de Paris

Geneviève Fioraso est revenue, à l'occasion des questions d'actualité au gouvernement du 21 mai 2014 à l'Assemblée Nationale, sur le bilan du programme européen Erasmus plus.
Madame la députée Anne-Christine Lang, merci tout d'abord de votre question concernant le programme Erasmus, parce que c'est sûrement la meilleure illustration de ce que doit être l'Europe : une Europe ouverte à la jeunesse, ouverte à la mobilité, aux échanges, à la fraternité ; ce qui sert à la fois les intérêts universitaires, les intérêts scientifiques, mais aussi les intérêts économiques, et aussi peut-être le plus important, par les relations amicales qui sont nouées à cette période-clé de la vie, ce qui sert la paix en Europe, la paix qui est tout de même l'un des principaux acquis de l'Europe.
Je vous remercie donc de cette question et je ferai un premier bilan de ces actions Erasmus, permises par Erasmus de 2007 à 2013. Trois millions d'étudiants ont pu bénéficier de cette mobilité en Europe, 300 000 pour la France qui est la seconde bénéficiaire, derrière l'Espagne, de ce formidable programme. Cela a concerné en France également 24 000 élèves, 30 000 lycéens et 40 000 enseignants et chercheurs.
On voit que c'était déjà un bilan conséquent, mais il n'était pas suffisant. Pourquoi ? Parce qu'il ne concernait pas suffisamment les jeunes issus des milieux les plus modestes et que l'on retrouve souvent dans les filières technologiques et dans les filières professionnelles. C'est pourquoi nous avons demandé, avec mes collègues du gouvernement, soutenus par le Premier ministre et le président de la République et la Priorité Jeunesse, nous avons demandé à la Commissaire européenne – et des ministres européens nous ont rejoints – d'amplifier le programme et surtout de flécher la progression de ce programme pour les années 2014 à 2020 vers les jeunes des filières professionnelles, des filières technologiques et les apprentis.
Cela a été fait ; le programme a été augmenté de 30 %. Il est maintenant de 14 milliards d'euros et il va concerner 5 millions de jeunes et les 2 millions supplémentaires seront des jeunes issus de milieux plus défavorisés. C'est donc un programme qui se fonde sur les valeurs de l'Europe que nous défendons : la fraternité, la solidarité et surtout la foi dans un avenir commun pour être présents dans le monde de demain. Voir l'article...

11 mai 2014

Attaques un peu hystériques

Sur le blog "Histoires d'universités" de Pierre Dubois. Chronique, longue et documentée, de Patrick Fauconnier dans le Nouvel Observateur Éducation (6 mai 2014) :  Geneviève Fioraso affronte une inquiétante cabale.
"Une violente fronde anti Geneviève Fioraso a éclaté lors du changement de gouvernement et continue d’empoisonner l’atmosphère universitaire, avec des attaques un peu hystériques". Voir l'article complet...

6 mai 2014

Réponse de Geneviève Fioraso à la question d'Alfred Marie-Jeanne, député de la Martinique

Geneviève Fioraso est revenue sur la situation de l'université Antilles-Guyane lors des questions d'actualité au gouvernement du 6 mai 2014.
Monsieur le député, vous évoquez deux problèmes différents. Le premier porte sur l'évolution des structures de l'université Antilles-Guyane (U.A.G.), et le second, sur des pratiques frauduleuses identifiées à l'occasion d'un contrôle récent de la Cour des comptes.
Sur le premier sujet, le gouvernement a souhaité la création d'une université de Guyane afin de tenir compte des spécificités de ce territoire, où seuls 5% des jeunes, étaient inscrits à l'Université. Cela entraîne effectivement une évolution des structures de l'UAG. Dans ce contexte, le gouvernement partage votre souhait de maintenir une université unique des Antilles. Cette solution correspond d'ailleurs aux attentes de toutes les forces vives de l'Université. C'est aussi le sens des textes qui sont en préparation et qui seront adoptés dans les prochaines semaines, après que les personnels aient été consultés, ainsi que le CNESER.
Sur le second sujet, je peux vous assurer que le gouvernement partage votre souci d'exemplarité dans la gestion des établissements d'enseignement supérieur. On ne peut pas affirmer que les conséquences du contrôle de la Cour des comptes seraient restées lettre morte. Sur le plan judiciaire, le procureur de la République a bien été saisi, dès la remise du rapport définitif de la Cour début 2013. Une enquête préliminaire a été ouverte en avril 2013 et la procédure suit son cours. Par ailleurs, une mission de l'Inspection générale de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a été diligentée. Ses conclusions seront connues bientôt et permettront de tirer toutes les conséquences de cette affaire sur le plan administratif.
En conclusion, je peux vous assurer qu'il n'y a ni démantèlement, ni imbroglio, mais il y a la même volonté que la vôtre, Monsieur le député, du gouvernement de défendre la qualité de l'enseignement supérieur dans les Antilles, dont nous savons tous qu'il est décisif pour l'avenir de ces territoires et des jeunes. Voir l'article...

27 avril 2014

L'UNML accompagne les nouveaux élus dans le réseau des Missions Locales

http://www.unml.info/assets/templates/meridian/images/headline.pngL’Union Nationale des Missions Locales, dans sa double fonction de représentation nationale du réseau et de syndicat d’employeurs, a décidé d’accompagner l’information et la sensibilisation des Présidents représentant les collectivités locales et des administrateurs qui vont assurer de nouvelles responsabilités. Voir l'article...

19 avril 2014

Sup’ > les échos du conseil des ministres

Logo AmueManuel Valls a déclaré, suite au conseil des ministres du 16 avril dernier, que les effectifs du MENESR ainsi que que ceux de la Sécurité et de la Justice ne subiraient pas de baisse, contrairement aux autres ministères. Il a également indiqué que les agences de l'Etat seraient "rationalisées" avec des effectifs réduits sauf pour ceux de Pole emploi et des universités qui seront préservés.

En savoir + > Déclaration de Manuel VALLS, Premier ministre, à l'issue du Conseil des ministres du 16 avril 2014

16 avril 2014

A.P.L. : réponse de Geneviève Fioraso à Patrick Hetzel, député du Bas-Rhin

Geneviève Fioraso a réaffirmé, à l'occasion des questions d'actualité à l'Assemblée Nationale du 15 avril, que le Gouvernement n'envisage pas de supprimer les A.P.L. pour les étudiants non boursiers.
Monsieur le Président, monsieur le Député Hetzel, je vous remercie, monsieur le Député, de me donner l'occasion de démentir une rumeur.
Ce que Benoît Hamon, Sylvia Pinel et moi-même avons fait d'ailleurs très clairement, mais peut-être n'avez-vous pas eu le temps ni de regarder la télévision, ni de lire les journaux depuis hier. Je n'ose pas croire que vous souhaitiez colporter à nouveau cette rumeur. En revanche, je rappelle qu'au mois de juillet 2010, le président de la République Sarkozy avait effectivement proposé de ne pas cumuler l'exonération fiscale pour les parents ayant des enfants étudiants, et les A.P.L.. Il avait dû y renoncer devant la protestation des associations familiales, et en particulier des familles de classe moyenne, comme vous l'avez bien signalé au bout de deux mois seulement, et cela avait beaucoup agité.
Nous, nous n'avons jamais eu l'intention de le faire. Pourquoi voulons-nous garder les A.P.L. ?
Parce qu'aujourd'hui, faute d'avoir construit suffisamment de logements étudiants, seuls 9 % des étudiants peuvent accéder à des résidences étudiantes. Les autres étudiants sont obligés de se loger dans le privé.  Et ce, à des tarifs d'autant plus élevés que l'on est en grande ville ou que l'on est à Paris, ou en Ile-de-France.
C'est pourquoi, puisque la réussite des étudiants est au cœur de la loi, est au cœur de notre politique, la jeunesse est au cœur de la politique de ce président de la République et de son gouvernement, nous avons voulu maintenir ces aides qui sont d'un montant global de 1,7 milliard d'euros, qui concernent 800.000 étudiants et leurs familles et qui touchent effectivement beaucoup, qui bénéficient aux plus modestes des classes moyennes. Donc je vous remercie, monsieur Hetzel – maintenant vous êtes parfaitement informé – de bien dire à tout le monde que ceci n'est qu'une rumeur.

13 avril 2014

Higher Ed Reform in Ukraine

HomeBy Jack Grove for Times Higher Education. The array of degrees achieved by deposed Ukrainian president Viktor Yanukovych illustrates many of the country’s higher education problems. According to his C.V., Yanukovych holds a master’s degree in international law and a doctorate of science in economics – all achieved while he was serving as governor of the Donetsk Oblast region between 1997 and 2002. Although the degrees are valid, many have questioned their academic worth as few people remember the larger-than-life politician attending any classes or exams during this period. Read more...

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