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Formation Continue du Supérieur
1 juillet 2012

Provence-Alpes-Côte d'Azur peine à reprendre son souffle

http://www.insee.fr/fr/insee_regions/provence/themes/img/ref_synthese.gifPar Bérangère Duplouy, Insee Provence-Alpes-Côte d'Azur. Après deux années marquées par la crise en 2008 et 2009, Provence-Alpes-Côte d'Azur a entamé en 2010 un lent rétablissement. En 2011, la reprise reste hésitante et peine à entraîner l'ensemble des secteurs économiques. Télécharger la Synthèse n°35.
L'année 2011 a pourtant bien démarré: au cours du premier semestre l'emploi salarié régional progresse de 1,4%. Cependant, durant de l'été, les tensions sur le financement des dettes publiques de la zone euro s'accroissent et les perspectives économiques se dégradent. En corollaire, l'emploi salarié régional s'ajuste immédiatement à la baisse au second semestre (−0,4%). Sur un an, il progresse finalement de 0,8%. Les effectifs intérimaires, qui augmentaient en 2010, enregistrent cette année une baisse de 4,3%. Dans la construction, l'emploi diminue également (−1,3%). A l'inverse, les services marchands progressent de 1% et l'industrie régionale connaît une bonne année 2011 (+1,5%) notamment soutenue par la construction aéronautique.
Sur le marché du travail, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B et C augmente de 6,8% en Paca. Comme en 2010, cette hausse est plus marquée qu'au niveau national (+5,5%). Le chômage de longue durée augmente pour la troisième année consécutive (+10,7% en 2011). Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits depuis plus de deux ans augmente quant à lui de plus de 20% sur un an soit trois fois plus vite que l'ensemble des demandeurs d'emploi. Enfin, la situation des séniors poursuit sa dégradation: le nombre de demandeurs d'emplois de plus de 50 ans progresse de plus de 17% en 2011. Au final, et après un léger fléchissement en 2010, le taux de chômage régional repart à la hausse (+0,4 point en 2011) pour s'établir à 11,2% de la population active en fin d'année. Le chômage atteint ainsi un niveau record depuis dix ans.
Conséquence des difficultés du marché du travail, la hausse du nombre de bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active (RSA) se poursuit. Avec les conjoints et les enfants, ce sont ainsi près de 381 000 personnes qui vivent du RSA en Paca soit 7,7% de la population régionale contre 6,1% au niveau national.
Au-delà des effets à long terme de la crise, certains secteurs ont, en 2011, tiré leur épingle du jeu. C'est le cas du tourisme qui a enregistré cette année des records de fréquentation dans les campings (+7,2%). Boostée par la clientèle étrangère, la fréquentation hôtelière progresse (+3,7%) pour la deuxième année consécutive. Comme chaque année, les touristes ont préféré le littoral mais en 2011, la fréquentation a également augmenté dans le rural. Dans le secteur des transports, l'embellie entamée en 2010 se poursuit. Le low-cost soutient le transport aérien de passagers et les croisières continuent d'attirer. Enfin, et même s'il baisse dans l'aérien, le transport de fret augmente dans le maritime et le routier.
Pour les agriculteurs, l'année 2011 est plus délicate. Impactés à la fois par des conditions climatiques atypiques (printemps estival et été plutôt automnal) et par la crise liée à la bactérie E. coli, les maraîchers connaissent de grandes difficultés. En revanche, la récolte viticole est en hausse et la situation de la filière ovine s'améliore, soutenue par les aides issues du bilan de santé de la PAC et des cours plus favorables.
En 2011, la conjoncture du BTP s'améliore mais la croissance de l'activité reste modérée: le chiffre d'affaire du secteur augmente de 1,1% sur un an. Cette légère reprise est visible tant dans le bâtiment que dans les travaux publics. Le niveau de la production reste toutefois proche de celui des années 2001-2002. Signe d'un climat d'incertitude persistant sur le secteur, les ventes de logements neufs marquent un net fléchissement (−17,2%) par rapport aux deux années précédentes. D'autre part, seuls 13 500 logements ont été mis en vente en 2011, soit 9,9% de moins que l'année précédente. Les stocks disponibles en fin d'année augmentent de 21%.
En 2011, les créations d'entreprises reculent de 12% mais restent, dans la région comme en France, à un niveau élevé. Le régime de l'auto-entreprise, à l'origine de près de six nouvelles entreprises sur dix, s'essouffle (−17,2%) après deux années de forte augmentation. Hors auto-entreprises, le nombre de créations baisse également en Paca (−5%) mais ce recul est cependant moins marqué qu'au niveau national (−12,4%). Simultanément, le nombre de défaillances d'entreprises continue de baisser (−2,1%). Télécharger la Synthèse n° 35.
http://www.insee.fr/fr/insee_regions/provence/themes/img/ref_synthese.gif Con Bérangère Duplouy, INSEE Provence-Alpes-Cote d'Azur. Dopo due anni segnati dalla crisi nel 2008 e 2009, Provence-Alpes-Cote d'Azur, nel 2010 ha iniziato una lenta ripresa. Nel 2011, la ripresa rimane incerto e difficile da allenare tutti i settori economici. Scarica Paper No. 35.
L'anno 2011 è iniziato bene, però: nella prima metà della occupazione regionale è aumentato del 1,4%.
Tuttavia, durante l'estate, le tensioni sul finanziamento del debito pubblico nella zona euro è in crescita e le prospettive economiche si deteriora. Come corollario, l'occupazione regionale registra immediatamente verso il basso nel secondo semestre (-0,4%). Più...
4 juin 2012

La formation supérieure, un enjeu majeur du développement économique

http://www.orm-paca.org/images/E_elite.jpgLa formation supérieure, un enjeu majeur du développement économique. Les effectifs de l'enseignement supérieur 2009-2010 - Comparaison Paca - France, hors apprentissage. Réalisation: Séverine Landrier, en collaboration avec Cécile Reveille-Dongradi, Observatoire régional des métiers, Chrystelle Lagouanelle, PACA Mode d’Emploi, Émilie Calmes, Méditerranée Technologies. Télécharger le document.
Résumé
L’enseignement supérieur est l’un des leviers du développement économique. Il participe à la fois au renforcement de la compétitivité des régions et à la consolidation des systèmes régionaux d’innovation.
C’est pourquoi, l’Observatoire Régional des Métiers, Méditerranée Technologies et PACA Mode d’Emploi ont fait le choix de s’associer autour de cette réflexion afin de proposer aux acteurs institutionnels, aux établissements de formation ainsi qu’aux partenaires socio-économiques un panorama de l’enseignement supérieur en région. Ce premier document dresse un état des lieux des effectifs dans les établissements supérieurs publics en région et de quelques données relatives aux formations privées, qui seront complétées dans un second temps. L’objectif étant d’aboutir à un panorama complet de l’offre de formation publique et privée en apportant des regards complémentaires et croisés des trois organismes.
Préface
La formation constitue un enjeu majeur de développement économique et social et un facteur clé de réussite dans la capacité de notre territoire à rebondir face aux mutations économiques. Doter les jeunes de qualifications adaptées aux besoins nouveaux des entreprises est un sujet central.
L’enseignement supérieur est l’un des leviers du développement économique, notamment en termes de diversité de l’offre, volumétrie des étudiants accueillis, flux entrants et sortants et adéquation aux besoins économiques.
Il participe à la fois au renforcement de la compétitivité des régions et à la consolidation des systèmes régionaux d’innovation.
C’est pourquoi, l’Observatoire Régional des Métiers, Méditerranée Technologies et PACA Mode d’Emploi ont fait le choix de s’associer autour de cette réflexion afin de proposer aux acteurs institutionnels, aux établissements de formation ainsi qu’aux partenaires socio-économiques un état des lieux de l’enseignement supérieur en région.
Plus concrètement, cette collaboration répond à plusieurs objectifs:
· améliorer la connaissance en matière de formation supérieure en région grâce à la mutualisation d’informations, de sources et d’outils;
· identifier les forces de l’offre de formation sur lesquelles peut s’appuyer l’économie régionale et repérer les qualifications manquantes dans les secteurs stratégiques;
· apporter une réflexion éclairée à la stratégie régionale de l’innovation, à travers des regards experts et complémentaires;
· promouvoir les ressources du territoire.
Pour répondre à ces objectifs, ce premier document dresse un état des lieux des effectifs dans les établissements supérieurs publics en région et de quelques données relatives aux formations privées, qui seront complétées dans la seconde étape du travail. L’objectif étant d’aboutir à un panorama complet de l’offre de formation publique et privée en apportant des regards complémentaires et croisés des trois organismes.
INTRODUCTION

Les jeunes en région PACA représentent 18% de la population en 2009 (869 896 jeunes de 15 à 29 ans recensés), une part très légèrement inférieure à ce que l’on observe en France métropolitaine (19%).
157 372 étudiants inscrits en 2009-2010, accueillis dans 25 sites d’enseignement supérieur dont 12 sites ayant une ou plusieurs implantations d’universités. Parmi les étudiants, 84% sont inscrits dans le secteur public et 68% en université (IUT et IUFM compris).
1. Les étudiants du supérieur en PACA (universités et grandes écoles)

PACA est la 4e région en termes d’effectif étudiants, soit 157 372 étudiants, derrière l’Île-de-France, Rhône-Alpes et Nord-Pas-de-Calais. Cela représente 7% de l’ensemble des étudiants en France. Plus de 70% des jeunes étudiants sont concentrés dans deux pôles urbains (Aix-en-Provence – Marseille et Nice).
Près de 100 000 étudiants sont recensés dans l’académie d’Aix-Marseille et environ 62 000 dans l’académie de Nice. L’aire urbaine d’Aix-en-Provence – Marseille étant alimentée principalement par les échanges avec Toulon et les espaces ruraux.
Le nombre d’étudiants est en hausse en région depuis 2007: +3% entre 2007 et 2009. Cette évolution reste cependant en deçà de celle de l’ensemble des effectifs de la France. Cette dernière a augmenté de 4% entre 2007 et 2009, on voit donc la part de PACA diminuer.
2. Caractérisation des étudiants

En PACA, on observe une prédominance de femmes (58%) parmi les étudiants. Les femmes sont surreprésentées à l’université de Provence, qui propose des cursus en lettres et sciences humaines.
En PACA, 26 % des étudiants sont boursiers. Les étudiants boursiers sur critères sociaux en 2009 en PACA représentent 7% de l’ensemble des étudiants boursiers en France (10% pour Rhône-Alpes, 6% pour Midi-Pyrénées et 5% pour Languedoc-Roussillon). En PACA, une grande majorité des boursiers sont formés à l’université (65% contre 61% en France), ce qui s’explique probablement par les caractéristiques de l’offre de formation de la région.
Avec 16 000 étudiants étrangers en 2009, PACA occupe le 3e rang national en termes d’accueil d’étudiants étrangers.
Ils représentent 15% des étudiants universitaires sur la rentrée 2009. Près de la moitié des étudiants étrangers sont en provenance d’Afrique, environ 29% viennent d’Europe et 18% d’un pays asiatique. Au niveau des académies, on observe un niveau d’accueil des étudiants étrangers nettement supérieur dans l’académie de Nice par rapport à l’académie de Marseille (13% contre 18%).
3. La répartition des étudiants dans les établissements supérieurs en PACA (universités et grandes écoles)

En PACA, plus des deux tiers des étudiants suivent leurs études à l’université. Le tiers restant se répartit principalement entre les sections de techniciens supérieurs, les écoles de commerces et les écoles spécialisées. La proportion d’étudiants inscrits en écoles d’ingénieur en PACA est nettement inférieure à celle de la France (2% contre 4%). La proportion d’étudiants en écoles de commerce est supérieure en PACA par rapport à la France (7% pour 5%). L’académie de Nice en compte deux fois plus que l’académie d’Aix-Marseille. Les effectifs étudiants connaissent une évolution remarquable dans les écoles de commerce. On note également une forte chute des effectifs des « Autres écoles » pour l’année universitaire 2007-2008. Les « Autres écoles » comprennent les écoles d’architecture, les écoles supérieures artistiques et culturelles, les écoles paramédicales hors université, les écoles préparant aux fonctions sociales et des écoles de spécialités diverses.
4. La répartition des étudiants dans les universités de la région
Avec 107 224 étudiants en 2009, les universités accueillent 68% des étudiants de PACA.
60% des étudiants universitaires sont regroupés dans les trois universités d’Aix-Marseille (parmi les six universités présentes sur le territoire régional). L’augmentation est de 1,5% d’étudiants par rapport à la rentrée 2008-2009, mais reste en deçà de l’évolution observée au niveau national (+2,8%). L’ensemble des disciplines universitaires est représenté dans l’offre de formation des universités de la région. La répartition des effectifs entre les différents établissements universitaires est similaire à la France… mais il existe des différences entre les académies de Nice et d’Aix-Marseille, avec plus d’IUT sur l’académie de Nice. En PACA, les étudiants sont très présents en droit, sciences politiques et sciences économiques. Au second rang arrivent les filières lettres et sciences humaines, fréquentées par près de 31 000 étudiants. Les disciplines scientifiques n’arrivent qu’en 3e position, suivies de santé et Staps. La forte présence d’étudiants en droit et sciences politiques est soulignée par la comparaison avec les autres régions françaises. On observe un nombre d’étudiants en IUT et Staps comparable dans les académies d’Aix Marseille et Nice, en dépit de capacités d’accueil inégales.
5. Les imports et exports d’étudiants universitaires en région PACA

En 2009, on observait 19% de nouveaux entrants inscrits dans les universités de la région (soit 20 800 étudiants), dont 16% de nouveaux bacheliers. Cette tendance est similaire à ce que l’on observe en France et dans les régions limitrophes. 19% d’étudiants en université (soit 20 351 étudiants) sont originaires d’une autre région. Des variations importantes sont observées selon les grandes disciplines: de 10% en santé – Staps à 24% dans les disciplines scientifiques. Parmi les étudiants originaires d’une autre région qui viennent étudier en PACA, 35% d’entre eux rejoignent les filières sciences économiques et droit et 31% les filières lettres et sciences humaines. 16% des étudiants domiciliés en PACA (soit 16 432 étudiants) choisissent de s’inscrire dans une université d’une autre région. Là encore, on note des écarts importants selon les disciplines: de 12% en sciences économiques et droit à 20% dans les disciplines scientifiques. Parmi les étudiants partis étudier dans une autre région, 31% vont poursuivre leurs études dans les lettres et sciences humaines. Si l’on observe les filières dans le détail, on note que ce sont les lettres (29%) puis les sciences fondamentales appliquées (25 %) qui accueillent principalement les étudiants originaires d’une autre région. Parmi les étudiants originaires d’une autre région qui viennent étudier en PACA, 19% rejoignent les sciences fondamentales appliquées et 18% le droit et les sciences politiques. En ce qui concerne les étudiants qui partent étudier hors région, 22% le font pour les sciences fondamentales appliquées et 21% pour les lettres. Parmi les étudiants de la région qui vont étudier en dehors de PACA, 20% rejoignent les sciences fondamentales appliquées et 18% les sciences humaines et sociales.
6. Les effectifs étudiants des « Autres écoles » d’enseignement supérieur en PACA

10% de l’ensemble des étudiants de l’enseignement supérieur poursuivent leurs études dans les « Autres écoles » (paramédical et social, artistique, culturelle et architecture...). Après une rupture observée à la rentrée 2008 en PACA comme en France, les effectifs sont en évolution positive entre 2008 et 2009 (+4,6%), mais encore une fois légèrement en deçà du niveau national (+5,1%). Près de la moitié des effectifs « Autres écoles » fréquentent les écoles paramédicales.
 Une proportion d’étudiants dans les écoles paramédicales encore plus marquée en région qu’au niveau national. Entre les deux académies régionales, un niveau d’accueil dans les écoles supérieures artistiques et culturelles particulièrement notable sur l’académie de Nice. À noter également la part importante des étudiants en architecture sur l’académie d’Aix-Marseille. Une proportion importante d’étudiants inscrits dans les écoles artistiques en PACA en comparaison avec les régions limitrophes.
ANNEXE 1 : PRÉCAUTIONS MÉTHODOLOGIQUES

La plupart des sources disponibles sont relatives aux effectifs d’étudiants fréquentant les établissements universitaires (universités et assimilés). Ces informations sont d’autant plus pertinentes qu’en PACA, les deux tiers des étudiants poursuivent leurs études à l’université. Pour les autres établissements, les données disponibles sont relativement limitées.
L'enseignement supérieur français est marqué par une grande diversité de formations, dispensées dans des établissements de statut juridique extrêmement varié. L'information relative aux effectifs des établissements est collectée: par la DEPP (direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance) du ministère de l’Éducation nationale et du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ; par le SIES (sous-direction des systèmes d’information et des études statistiques) du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche au moyen de plusieurs enquêtes; et des enquêtes spécifiques aux ministères en charge de l’agriculture, de la santé, des affaires sociales et de l’agriculture. Ce document rassemble les résultats de ces enquêtes.
Le système d'information sur le suivi de l'étudiant (SISE)
Le système SISE recense actuellement, au travers des inscriptions prises, les étudiants inscrits dans les principaux établissements universitaires soumis à la loi d’orientation n° 84-52 du 26 janvier 1984, soit pour l’année universitaire 2009-2010:
· 82 universités;
· 2 centres universitaires de formation et de recherche.
L’enquête SISE recense également les inscriptions prises dans 15 établissements assimilés:
· trois instituts nationaux polytechniques (INP) : Grenoble, Lorraine (Nancy) et Toulouse;
· trois universités de technologie (Compiègne, Troyes, Belfort-Montbéliard);
· cinq établissements spécifiques à l’agglomération parisienne : l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), l’Institut d’études politiques (IEP), l’Observatoire de Paris, l’Institut de physique du globe de Paris, Paris Dauphine (anciennement Paris IX);
· l’École nationale du paysage de Blois;
· les trois IUFM non rattachés à une université (Guadeloupe, Guyane, Martinique).
Les tableaux statistiques mobilisés ne comptabilisent que les inscriptions prises dans les universités publiques françaises. Pour l’année universitaire 2009-2010, la date de remontée des informations est le 15 janvier 2010. L’enquête recense la totalité des inscriptions prises dans les formations dispensées à l'université (y compris IUT, IUFM, IUP, ingénieurs, formations paramédicales, enseignement à distance, etc.).
Entrent notamment dans le champ de l’enquête:
· les étudiants inscrits en formation continue diplômante donnant lieu à la délivrance d’un diplôme national ou d’un diplôme universitaire au terme d’une formation d’une durée d'au moins un an;
· les étudiants préparant le diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU A et B);
· les étudiants préparant certains diplômes (DUT, nouvelles formations d’ingénieurs...) en formation par alternance (stages en entreprise intégrés dans le cursus ou apprentissage);
· les étudiants français et étrangers inscrits dans le cadre des conventions et des échanges internationaux, inscrits dans un établissement public universitaire français, et qui, ayant payé des droits d’inscription dans cet établissement pour une formation d’un an, sont amenés à suivre une formation durant l’année universitaire à l’étranger pour une période de trois, six mois ou plus.
Le concept d'étudiant dans SISE englobe donc les statuts d'étudiant stricto sensu, de stagiaire, d'apprenti. C'est un concept qui permet de comptabiliser tous ceux qui préparent un diplôme d'enseignement supérieur, quel que soit le mode de préparation.
N'entrent pas dans le champ de SISE:
· les auditeurs-libres;
· les stagiaires français et les étrangers venant suivre des cycles de formation ou de perfectionnement d'une durée inférieure à l'année universitaire;
· les étudiants inscrits uniquement en IUFM ; ceux-ci font partie d’une enquête spécifique. Ainsi un étudiant inscrit en IUFM et suivant des cours à l'université uniquement pour préparer un concours d'enseignement (autre que l’agrégation) dans le cadre d'une convention passée entre l'IUFM et l'université n’est pas recensé ici. En revanche, un étudiant inscrit en première année d’IUFM et préparant une maîtrise dans une université doit être recensé par les universités au titre de la préparation de la maîtrise.
Les établissements publics et privés d'enseignement supérieur non rattachés aux universités entrent dans le cadre de SISE et de l'enquête n° 26 du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Ils forment un ensemble hétérogène d'écoles regroupant:
· les écoles normales supérieures;
· les écoles d’informatique;
· les écoles de notariat;
· les écoles nationales de la marine marchande;
· les autres écoles juridiques, administratives et de la défense;
· les écoles d’ingénieurs non habilitées;
· les écoles d’architecture;
· les écoles d’accueil, de tourisme et d’hôtellerie;
· les écoles vétérinaires;
· les écoles de secrétariat et d’attachés de direction;
· les autres écoles dépendant du ministère en charge de l’agriculture;
· les écoles de logistique et de transport;
· les écoles de journalisme et de documentation;
· les formations d’enseignants non IUFM;
· les écoles de communication et d’audiovisuel;
· les spécialisations diverses;
· les écoles de management du groupe I;
· les écoles de management du groupe II;
· les écoles de management du groupe III.
Les instituts catholiques, les écoles d'ingénieurs habilitées, les écoles paramédicales et sociales, sont exclus du champ. Seuls sont pris en compte les étudiants en formation initiale.
Le problème des doubles comptes
Les « effectifs » de ce document comptabilisent les inscriptions administratives et non les personnes « physiques ». Le système statistique actuel ne permet pas de repérer avec précision les inscriptions multiples (déposées par une même personne auprès de deux établissements différents). Un étudiant inscrit simultanément à l'université et dans une classe préparatoire aux grandes écoles, par exemple, sera donc compté deux fois. Le nombre d’« étudiants » que l'on recense ne correspond donc pas exactement au nombre de personnes physiques qui suivent une formation supérieure, mais bien au nombre d'inscriptions reçues par les divers établissements concernés. Néanmoins, au sein d'une même université, les étudiants ayant pris plusieurs inscriptions ne seront comptés qu'une seule fois.
Les différents types d'enquêtes permettant une description longitudinale

Les chiffres utilisés sont produits à partir d’enquêtes annuelles de deux types : les enquêtes au format individuel où le SIES et la DEPP disposent d’informations au niveau de l’étudiant (SISE, Scolarité), les enquêtes agrégées, où le SIES dispose d’informations au niveau de l’établissement, par type de formation proposée:
· enquête détaillée sur les effectifs universitaires SISE. Enquête EFU avant 1994;
· enquête SISE sur une partie des écoles d'ingénieurs et des nouvelles formations d’ingénieurs depuis 2005;
· enquête sur les écoles d'ingénieurs publiques et privées ne remontant pas dans SISE avant 2008;
· enquête sur les nouvelles formations d’ingénieurs (NFI) publiques et privées ne remontant pas dans SISE;
· enquête Scolarité sur les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) et les sections de techniciens supérieurs (STS), hors agriculture;
· enquête sur l'enseignement technique agricole public et privé (STS et CPGE) du ministère de l'Agriculture et de la Pêche;
· enquête sur les établissements privés d’enseignement universitaire. Enquête détaillée au format SISE depuis 2002-2003. Les données 2003 ne sont pas disponibles;
· enquête sur les écoles supérieures artistiques et culturelles menée conjointement par le SIES et par le ministère en charge de la culture;
· enquête sur les établissements de formation aux carrières sanitaires et sociales (réalisée par le ministère en charge de l’emploi et de la solidarité). L’enquête n’a pas été effectuée en 2001. Cette enquête a été scindée en 2003 entre le pôle sanitaire et le pôle social, l’enquête sanitaire passant à un format individuel d’enquête par étudiant et l’enquête sociale à partir de 2006. Ces enquêtes ne sont pas disponibles en 2009-2010;
· enquête SISE sur une partie des écoles de commerce depuis 2005 et sur les écoles vétérinaires depuis 2009;
· enquête sur les autres établissements d'enseignement supérieur (écoles de commerce ne remontant pas dans SISE, écoles juridiques et administratives, écoles normales supérieures, écoles d'architecture, etc.);
· enquête sur les instituts universitaires de formation des maîtres (réalisée par la direction des enseignements supérieurs jusqu'en 1993-1994, puis par la direction de la programmation et du développement depuis 1994-1995). Enquête détaillée au format SISE entre 1999-2000 et 2007-2008, avant d’intégrer l’enquête détaillée sur les effectifs universitaires SISE, sauf trois établissements.
Chacune de ces enquêtes donne lieu à diffusion d'un ou plusieurs recueils de tableaux statistiques (TS).
Définition des champs pour la description longitudinale
L'université
Outre les filières d'enseignement général, l'université comprend aussi les filières professionnalisantes courtes : les instituts universitaires de technologie (IUT), les licences professionnelles, les instituts universitaires professionnels (IUP). Certaines grandes écoles leur sont rattachées : écoles d'ingénieurs, instituts d’études politiques de province et deux écoles de commerce. En 2008, 17 écoles d’ingénieurs ont quitté le champ.
· Les Écoles d'ingénieurs dépendantes des universités sont recensées à la fois par l'enquête détaillée sur les effectifs universitaires SISE et par l'enquête sur les écoles d'ingénieurs publiques et privées. Les chiffres publiés sont issus de cette dernière enquête avant 2002, ceux de l’enquête SISE depuis. Dans les tableaux, ils apparaissent en général en deux endroits distincts (parmi les effectifs des écoles d'ingénieurs et avec ceux des universités), mais ne sont comptés qu'une seule fois dans le total.
· Les IUT : les chiffres officiels proviennent de l’enquête détaillée sur les effectifs universitaires SISE. Les effectifs recensés comprennent les formations post-DUT et les diplômes nationaux de technologie spécialisée (DNTS).
· Les IUFM : les chiffres officiels proviennent de l’enquête détaillée sur les effectifs universitaires SISE depuis 2008-2009. Les IUFM sont intégrés dans une université de rattachement, à l’exception de ceux de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique.
Les grands établissements
Ils recensent les étudiants scolarisés dans les grands établissements suivants : l’Institut d’études politiques de Paris (IEP), l’École nationale des Chartes, l’École pratique des hautes études, l’École des hautes études en sciences sociales, l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), l’Observatoire de Paris, l’Institut de physique du globe, l’École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques, Dauphine (Paris IX), l’INP de Grenoble, l’INP de Bordeaux.
Les instituts universitaires de formation des maîtres
Les IUFM rassemblent les futurs enseignants du premier et du second degré général, technique et professionnel. Ils se sont substitués aux structures antérieures de formation des enseignants. Bien que rattachés aux universités, les IUFM font l'objet d'un dénombrement séparé. Depuis 2008-2009, les IUFM sont intégrés dans une université de rattachement, à l’exception de ceux de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique. En 1991-1992 n'ont pas été comptés les professeurs du second degré stagiaires dits « 16-18 heures ». Les formations professionnelles spécifiques dont ont bénéficié pendant cinq ans les 7 247 élèves instituteurs « envoyés sur le terrain » en 1991-1992 (7 002 pour la France métropolitaine) ne sont plus comptabilisées. Par convention, depuis la création des IUFM, les étudiants inscrits dans cette filière étaient considérés comme « Français », à partir de l’année 2000-2001 le dénombrement des élèves étrangers devient possible (essentiellement des ressortissants de l’Union Européenne).
Les établissements universitaires privés
Ils rassemblent les étudiants inscrits dans l’une des cinq facultés catholiques et dans les autres facultés privées.
Les instituts nationaux polytechniques
Les INP rassemblent les étudiants inscrits dans l’un des deux Instituts nationaux polytechniques (Nancy et Toulouse) ou dans leurs composantes.
Les universités de technologie
Les UT rassemblent les étudiants inscrits dans l’une des trois universités de technologie (Belfort-Montbéliar, Compiègne et Troyes) ou dans leurs composantes.
Les préparations intégrées
Elles rassemblent : d'une part, les cycles préparatoires intégrés à certaines écoles d'ingénieurs indépendantes des universités, des INP et des universités de technologie ; d'autre part, les classes préparatoires intégrées aux écoles supérieures de commerce (ESC, ex. ESCAE), dont les effectifs étaient dissociés jusqu’en 1994. Les classes préparatoires intégrées aux ESC n’existent plus depuis 1995.
Les formations d’ingénieurs
Elles rassemblent les étudiants poursuivant une formation conduisant au diplôme d’ingénieurs (hors formations d’ingénieurs en partenariat).
Les formations d’ingénieurs en partenariat
Elles rassemblent les étudiants poursuivant une formation conduisant au diplôme d’ingénieurs dans une Formations d’Ingénieurs en Partenariat.
Les sections de techniciens supérieurs et assimilés
Les classes de mise à niveau pour BTS et le DMA font partie de cette rubrique.
Les écoles paramédicales (non universitaires) et les écoles sociales
Elles sont recensées par les services statistiques du ministère en charge de l’emploi et de la solidarité. Ici sont prises en compte celles recrutant au niveau du baccalauréat ou au-delà qui ne sont pas déjà recensées par la DEPP ou par le SIES dans une autre enquête (SISE, Scolarité…) : écoles d'infirmières, de sages-femmes, de masseurs-kinésithérapeutes, d'assistantes sociales, d'éducateurs spécialisés, etc. On y inclut les effectifs des diplômes d’éducateur technique spécialisé et de moniteur éducateur (de niveau post-secondaire).
En 2001-2002, la DEPP a estimé les effectifs car l’enquête n’a pas été réalisée par la DREES. Les chiffres 2009 des écoles paramédicales et sociales ne sont pas connus.
Les écoles artistiques et culturelles
Leurs effectifs sont estimés pour 1995-1996.
L'amélioration du champ des enquêtes

Dans la première moitié des années 1990, l’augmentation du nombre d'étudiants des écoles de commerce et des écoles artistiques et culturelles est due en grande partie à l'amélioration du champ des enquêtes.
Par rapport à la synthèse publiée jusqu’en 2000-2001, la définition du supérieur a été enrichie. Ont été ajoutés:
· les nouvelles formations d’ingénieurs créées à la rentrée 1991;
· les mastères des écoles d’ingénieurs, repérés depuis 1994, que l’on a classés au sein des « autres écoles et formations ».
· à partir de 1994, certaines formations diverses post-bac ou post-niveau IV dispensés au sein des lycées et des établissements d’enseignement supérieur privés, que l’on a également classées au sein des « autres écoles et formations »;
· les effectifs des diplômes post-secondaires de niveau IV du secteur social (diplômes d’éducateur technique spécialisé et de moniteur éducateur).
Enfin, l’amélioration des champs des différentes enquêtes a permis un travail d’élimination des doubles recensements des formations entre l’enquête du ministère chargé de la santé et celle du ministère de l’Éducation nationale à partir de 1998.
Au total, le changement de définition augmente les effectifs de près de 11 000 étudiants sur la rentrée 2001. La nouvelle définition a été appliquée à toutes les années antérieures afin de constituer une nouvelle série homogène depuis 1990-1991.
Changement de définition des champs effectués depuis 2003
Plusieurs modifications de définition de champ ont été effectuées récemment. Ils sont résumés dans le tableau suivant.
ANNEXE 2 : GLOSSAIRE.
Télécharger le document, voir les graphiques et tableaux.

http://www.orm-paca.org/images/E_elite.jpg L'istruzione superiore, un importante sviluppo economico. Iscrizione nel settore dell'istruzione superiore 2009-2010 - Confronto Paca - Francia, ad esclusione di apprendimento. Direttore: Séverine Landrier, in collaborazione con Reveille-Cécile Dongradi, regionali mestieri Osservatorio, Chrystelle Lagouanelle, PACA Mode d'Emploi, Emilia Calmes, Tecnologia Mediterraneo. Scarica il documento.
Riassunto

L'istruzione superiore è una delle leve dello sviluppo economico.
Ha partecipato sia il rafforzamento della competitività delle regioni e consolidamento dei sistemi di innovazione regionali.
Pertanto, l'Osservatorio Regionale dei mestieri, della tecnologia e del Mediterraneo PACA Mode d'Emploi ha scelto di collaborare intorno a questa riflessione per offrire attori istituzionali, enti di formazione e le parti sociali un panorama economico di istruzione superiore nella regione.
Questo primo documento fornisce una panoramica di iscrizione nelle università pubbliche della regione e alcuni dati in materia di formazione private, che sarà completata in un secondo tempo. Più...

29 avril 2012

PACA - La palette des métiers exercés par les femmes est beaucoup plus réduite que celle des hommes

http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gifSynthèse Flash par Thérèse Giorico, Insee Provence-Alpes-Côte d'Azur.
2,6 millions de femmes vivent en Provence-Alpes-Côte d'Azur; elles représentent 52% de la population régionale.
Depuis 30 ans, en Paca comme en France, la présence des femmes sur le marché du travail s'est intensifiée. Entre 1982 et 2008, le taux d'activité des femmes a progressé de 18 points pendant que celui des hommes diminuait de 3 points. En 2008, 65% des femmes de Paca âgées de 15 à 64 ans sont ainsi présentes sur le marché du travail, en emploi ou au chômage, contre 74% des hommes. Ces taux d'activité sont inférieurs à la moyenne nationale et l'écart est plus marqué pour les femmes avec 3,1 points de différence. C'est aux âges où les charges familiales s'allègent que le taux d'activité des femmes a le plus progressé en 30 ans. 64% des femmes de 40 à 64 ans travaillent en 2008, contre 40% en 1982. Au total, 47% des actifs en emploi sont aujourd'hui des femmes, contre 36% en 1982.
Si les femmes sont de plus en plus nombreuses à travailler, des inégalités subsistent sur le marché du travail. Elles sont en effet plus souvent au chômage que les hommes, plus souvent à temps partiel et exercent des activités moins rémunérées. La palette des métiers exercés par les femmes est par ailleurs beaucoup plus réduite que celle des hommes. En 2008, en Paca, 50% des femmes exercent 25 métiers différents parmi les 486 métiers répertoriés, alors que la moitié des hommes se répartissent sur 68 métiers.
En Paca comme en France, les métiers les plus souvent exercés par les femmes sont: adjoint administratif (5,7%), secrétaire (4,5%) puis aide à domicile - aide ménagère (4,0%). Viennent ensuite les aides soignantes, les infirmières salariées, les employées comptables et les professeures des écoles.
Le métier d'adjoint administratif, métier le plus exercé par les femmes en 2008, est plus fréquent en Paca (5,7% contre 4,3% en moyenne nationale). Ceci s'explique par la plus grande présence des emplois de l'administration dans l'économie régionale. À l'inverse, les femmes de Paca sont moins souvent qu'ailleurs assistantes maternelles: 1,9% des femmes de la région exercent ce métier contre 3,1% en moyenne nationale. Une piste d'explication tiendrait à la moindre proportion de femmes en emploi en Paca, 55% contre 59% en France, ce qui induirait un moindre recours à une assistante maternelle.
Certains métiers semblent réservés aux femmes. En 2008 comme en 1982, six métiers sont exercés très majoritairement (à 98% ou plus) par des femmes: secrétaires, assistantes maternelles, auxiliaires de puériculture, manucures - esthéticiennes, puéricultrices, sages-femmes.
Par ailleurs, certains métiers se sont masculinisés ces dernières années. Par exemple, celui d'assistante sociale: il est choisi par 7% d'hommes en 2008 contre 2% en 1982. À l'inverse, certains métiers se féminisent. Un exemple en Paca, 13% des conducteurs salariés de transport en commun sont des femmes en 2008, alors qu'elles n'étaient que 3% en 1982.
De nombreux métiers, très techniques, restent réservés majoritairement aux hommes: électriciens, plombiers-chauffagistes, chaudronniers. Enfin, certains métiers sont choisis par autant d'hommes que de femmes. Il s'agit notamment des concierges, avocats, petits hôteliers, acheteurs et notaires.
En Paca comme en France, les femmes sont plus diplômées que les hommes. Tous baccalauréats confondus, les filles réussissent mieux que les garçons (83% contre 80%). Dans l'enseignement supérieur, elles restent majoritaires mais sont fortement représentées dans les filières littéraires et médicales et peu présentes dans les écoles d'ingénieurs et les filières scientifiques.
Le diplôme est un gage de meilleure insertion professionnelle. À l'inverse, celles qui n'ont aucun diplôme ont davantage de difficultés. En 2008 en Paca, 90 500 femmes en emploi entre 15 et 64 ans n'ont aucun diplôme soit 10 % d'entre elles. Le métier qu'elles exercent le plus fréquemment est alors celui d'aide ménagère. Un tiers des aides ménagères sont des femmes de 40 à 54 ans qui travaillent à temps partiel.
À l'autre bout de l'échelle des diplômes, les femmes diplômées du 2nd et 3e cycle représentent 14% des femmes qui travaillent. Elles exercent le plus souvent leur métier dans l'enseignement: professeures des écoles, professeures agrégées ou certifiées du secondaire (9% des femmes diplômées dans chaque cas).
Voir aussi Femmes en Provence-Alpes-Côte d'Azur: Aussi diplômées mais moins reconnues que les hommes, SUD INSEE l'essentiel n°113, décembre 2007.

http://www.insee.fr/fr/css/images/logo_insee_pageint.gif Sintesi Flash da Theresa Giorico, INSEE Provence-Alpes-Cote d'Azur.
2,6 milioni di donne che vivono in Provence-Alpes-Cote d'Azur, che rappresentano il 52% della popolazione regionale
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27 avril 2012

Paca se dote d'un fonds régional de continuité professionnelle

http://www.localtis.info/css/locLogo.pngPar Emilie Zapalski. Face aux difficultés du fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels à répondre de manière réactive aux besoins des territoires, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur s'est lancée dans l'expérimentation d'un fonds régional de continuité professionnelle.
Créer des fonds régionaux en écho au fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP), l'idée est développée dans le récent rapport de Gérard Larcher sur la formation professionnelle et dans l'avis du 13 décembre 2011 du Conseil économique, social et environnemental (Cese). La région Provence-Alpes-Côte d'Azur a pris les devants en votant en octobre 2011 la création d'un fonds régional de continuité professionnelle. Un fonds dédié à la formation des salariés et des demandeurs d'emploi, reposant sur une gouvernance tripartite, Etat, région et partenaires sociaux. La création d'un tel fonds intervient dans un contexte particulier. Le FPSPP, mis en place dans le cadre de la loi du 24 novembre 2009 relatif à l'orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie, a du mal à fonctionner. Deux ponctions successives de l'Etat, de l'ordre de 300 millions d'euros chacune, sont venues amputer son budget en 2011 et 2012. Les résultats du fonds, censé former chaque année 500.000 salariés éloignés de l'emploi et 200.000 demandeurs d'emploi, sont moins bons que prévus. "Les résultats du FPSPP, même s'ils ne sont pas négligeables, restent en deçà des objectifs initiaux", observe ainsi Gérard Larcher dans son rapport. "En 2010 et 2011, les projets soutenus représentent 929 millions d'euros et concernent 272.000 demandeurs d'emploi, 173.000 salariés en chômage partiel, 138.500 salariés de bas niveaux de qualification. De fait, le processus de mise en place des financements via des appels à projets s'avère lourd d'après de nombreux interlocuteurs entendus par la mission et ne permet pas un engagement rapide des fonds", détaille-t-il.
Sur le terrain, les critiques concernant la lenteur et le manque de réactivité du fonds se multiplient. "On a eu quelques déboires avec le FPSPP, explique ainsi Pascale Gérard, vice-président de la région Paca, déléguée à la formation professionnelle et continue. Dans le cadre des appels à projets territoriaux, il a fallu entre treize et quatorze mois entre le moment où le besoin du territoire a été remonté et le moment où le FPSPP a validé les demandes. Depuis le départ, on savait que ce fonds ne serait pas fonctionnel." D'où cette idée "d'envisager une procédure visant à une plus forte territorialisation de ce fonds", via des "fonds régionaux de sécurisation des transitions professionnelles coordonnant les interventions de l'Etat, des régions, de Pôle emploi et des partenaires sociaux", comme le précise le rapport Larcher.
Une affaire consensuelle

En réalité, l'idée n'est pas tout à fait neuve. Elle était déjà au menu des travaux préparatoires à la loi de 2009 conduits par le groupe multipartite présidé par Pierre Ferracci, président du cabinet Alpha. Mais elle avait été abandonnée en raison des désaccords entre Etat et régions. Dans son avis, le Cese a lui aussi tenté d'imposer la création de ces fonds régionaux mais a dû y renoncer face à l'opposition, cette fois-ci, des partenaires sociaux. Et pourtant, la région Paca est bel et bien en train de gagner le pari. La décision d'expérimenter un tel fonds a eu lieu après neuf mois de travail entre l'Etat, la région, les partenaires sociaux, Pôle emploi et l'Association régionale des missions locales (ARML) dans le cadre de l'élaboration du contrat de plan régional de développement des formations professionnelles (CPRDFP), avec l'accompagnement du groupe Alpha. "Il y a eu un consensus pour expérimenter un fonds régional qui puisse répondre instantanément aux besoins du territoire", détaille Pascale Gérard. La gouvernance du fonds sera donc tripartite avec, selon les projets développés, des chefs de projets issus alternativement des différentes parties. "Les grandes orientations seront tripartites, ce qui n'est pas le cas au niveau national, puisque les régions ne sont pas dans la gouvernance du FPSPP", précise la vice-présidente de la région Paca. Le fonds aura vocation à mutualiser les moyens d'intervention des partenaires sociaux, de la région, de l'Etat et de Pôle emploi, et à financer les "chaînons manquants". Il devrait ainsi permettre la convergence des actions et le financement de projets transverses non couverts par les approches sectorielles. Il fonctionnera sur la base d'une procédure d'appels à projets. La région espère que le fonds sera opérationnel en septembre 2012. Mais il reste encore des questions d'importance à régler, parmi lesquelles le financement. La région, qui a déjà mis en place un fonds régional de formation de résistance à la crise (Iris, pour "intervention régionale pour l'investissement social"), devrait y consacrer le même ordre de budget, soit 10 millions d'euros, mais rien n'est précisé quant au financement des autres partenaires. Autre question qui se pose: celle de la structure qui portera ces financements, la région ne pouvant utiliser, comme pour le FPSPP, le principe d'une association. Bref, les modalités techniques, juridiques et administratives restent encore à déterminer. Mais "l'affaire est bien partie et consensuelle, assure Pascale Gérard. On arrive à bouger les lignes, et à s'autoriser à expérimenter."
Voir aussi Le développement des compétences, la continuité professionnelle.
http://www.localtis.info/css/locLogo.png~~V Con Emilie Zapalski. Di fronte alle difficoltà di conciliare carriera fondo di sicurezza per rispondere reattivamente alle esigenze dei territori, la Provence-Alpes-Cote d'Azur ha avviato l'esperimento di un fondo regionale per la continuità professionale.
Creazione di fondi regionali che riecheggiano il fondo comune di sicurezza carriera (FPSPP), l'idea è sviluppato nella recente relazione di Gerard Larcher sulla formazione professionale e nel parere del 13 dicembre 2011 del Consiglio economico, sociale e ambientale (Cese).
La Provence-Alpes-Cote d'Azur ha preso l'iniziativa votando nel mese di ottobre 2011 la creazione di un fondo regionale per la continuità del business. Un fondo dedicato alla formazione dei dipendenti e dei candidati di lavoro, sulla base tripartita governance, stato, regione e parti sociali. La creazione di un fondo è coinvolto in un particolare contesto. Più...
9 avril 2012

PACA - Un numéro vert pour informer sur la formation 0800 600 007

http://www.espace-competences.org/Portals/0/numero-vert.jpgLe Conseil d’Administration a confié au CARIF le soin de développer une plateforme téléphonique pour compléter son offre de service. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie sur la création d’un service dématérialisé gratuit et accessible à toute personne pour lui permettre:
1/ de disposer d’une première information et d’un premier conseil personnalisé en matière d’orientation et de formation professionnelle,
2/ d’être orientée vers les structures susceptibles de lui fournir les informations et les conseils nécessaires à sa bonne orientation professionnelle.
Ce numéro vert gratuit est accessible par tous les publics, salariés, demandeur d’emploi, jeunes, professionnels emploi-formation, chefs d’entreprise… de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur désireux de s’informer sur l’offre de formation mais aussi sur les différentes modalités, dispositifs, aides mobilisables permettant à chacun selon son statut et ses projets de progresser au cours de sa vie professionnelle.
Avec ce nouveau service, le CARIF Espace Compétences diffuse une information de premier niveau et oriente les publics vers les structures et les professionnels les mieux adaptés aux demandes spécifiques de chacun et présents sur les territoires.
Les usagers localisés hors de la Région Provence Alpes Côte d’Azur peuvent être informé sur l’offre de formation, sur les dispositifs et les aides mobilisables en région Provence Alpes Côte d’Azur en joignant  nos spécialistes sur les même plages horaires au  04 42 82 43 39, prix d’une communication nationale.
Voir aussi La formation professionnelle en Bourgogne - Numéro Vert - 0800 888 111, Numéro vert 0800 050 000 de la formation professionnelle en Basse-Normandie, 0800 222 100 à votre écoute, le numéro vert régional 0800 600 007, un n° unique pour s'informer sur la VAE 0800 860 808, 0800 222 100 un service à votre écoute.
http://www.espace-competences.org/Portals/0/numero-vert.jpg~~V Il Consiglio di Amministrazione ha affidato la CARIF cura di sviluppare una piattaforma per integrare il suo servizio telefonico. L'iniziativa fa parte della legge del 24 novembre 2009 sull'orientamento e la formazione professionale per tutta la vita sulla creazione di un servizio gratuito e senza carta a disposizione di chiunque per consentire. Più...
2 avril 2012

Europe-Education-Territoires - Comenius Regio - Antibes

http://www.espace-competences.org/Portals/_default/Skins/EspaceCompetences/imgs/header_numVert.jpgCette conférence inédite réunira une centaine de participants pour une réflexion collective sur l'implication des collectivités territoriales dans les projets éducatifs européens: comment bénéficient-elles de ces initiatives? Quelles synergies observe-t-on? En quoi leur participation est-elle essentielle au succès des projets mis en œuvre?
La réflexion s'articulera autour de l`exemple concret de l'action Comenius REGIO, qui associe collectivités et acteurs de l'éducation formelle et informelle dans des partenariats européens mettant en avant une grande diversité de thématiques: participation des entreprises, décrochage scolaire, etc.
Les différents enjeux à l`œuvre seront abordés dans le cadre d'une table-ronde stratégique et de plusieurs ateliers présentant les bonnes pratiques actuelles.
La conférence se déroulera sous la présidence de monsieur Jean LEONETTI, Maire de la ville d'Antibes, qui accueille la manifestation.
Inscription sur le site 2e2f.
http://www.espace-competences.org/Portals/_default/Skins/EspaceCompetences/imgs/header_numVert.jpg~~V Questa rivoluzionaria conferenza riunirà centinaia di partecipanti a riflettere collettivamente sul coinvolgimento delle autorità locali nei progetti educativi europei: come fanno a beneficiare di tali iniziative? Quali sinergie cosa osserviamo? Come la loro partecipazione è essenziale per il successo dei progetti realizzati? Più...
26 mars 2012

Fongecif PACA - ils ont tous osé

19 mars 2012

PACA dans le Top 3 de l’attractivité des régions françaises

http://blog.pixojob.com/wp-content/uploads/2010/05/APEC1.jpgPar Didier Brou. Quelles sont les régions préférées des jeunes diplômés et des jeunes cadres? Une étude de l'Apec permet de dresser un palmarès des régions les plus attractives.
Une bonne qualité de vie. Interrogés sur les atouts régionaux quant à la qualité de la vie, jeunes diplômés et jeunes cadres mettent en avant des infrastructures de transport bien développées permettant d’avoir un temps de trajet domicile/travail court, un cadre de vie préservé, le climat et l’offre de loisirs. Les jeunes cadres sont un peu plus sensibles à la douceur du climat et à la présence de la nature, alors que les jeunes diplômés insistent davantage sur l’importance de l’offre de loisirs.
Les atouts du point de vue du dynamisme économique. C’est l’existence d’un tissu économique dense et diversifié qui apparait, de loin, la réponse la plus fréquente. Viennent ensuite la présence de sièges sociaux, le développement des infrastructures de transport et des niveaux de rémunération attrayants. Seule différence notable entre les appréciations des jeunes cadres et des jeunes diplômés, ces derniers considèrent plus fréquemment un faible taux de chômage comme un élément important.
Top 3 de l’attractivité des régions françaises

  1.     Rhône-Alpes
  2.     PACA
  3.     Ex Aequo : Midi-Pyrénées et Aquitaine
Cartographie de l’attractivité régionale. Le classement des régions les plus attractives, c’est-à-dire conciliant le mieux, selon les jeunes cadres et les jeunes diplômés, qualité de vie et dynamisme économique, fait ressortir Rhône-Alpes nettement en tête: 60% des jeunes cadres et jeunes diplômés jugent qu’il s’agit d’une région alliant au mieux ces deux dimensions. Paca (37%), Midi-Pyrénées (31%), Aquitaine (31%) et Pays de la Loire (27%) sont les autres régions les plus citées. Le Languedoc-Roussillon et la Bretagne recueillent chacun 19% d’avis favorables. L’Ile-de-France se distingue par des opinions divergentes reflétant les priorités des uns et des autres : seuls 19% des jeunes cadres la trouvent attractive, contre 28% des jeunes diplômés. Enfin, les régions Alsace (15%), Nord-Pas de Calais (11%), Poitou-Charentes (9%) et Centre (6%) sont également citées par les jeunes cadres et les jeunes diplômés parmi les régions jugées attractives. Les autres régions n’apparaissent en revanche que de façon marginale.
Source : Apec, L’attractivité des régions françaises pour les jeunes cadres et les jeunes diplômés, mars 2012
Auteurs : Document élaboré par le Département Études et Recherche de l’Apec, Raymond Pronier, Gaël Bouron, Christophe Lenzi
Méthodologie : Sondage réalisé par emailing du 1er au 12 septembre 2011 et relayé sur apec.fr du 5 au 12 septembre 2011. L’enquête s’adressait spécifiquement aux jeunes diplômés (diplômés de l’enseignement supérieur sans ou moins d’un an d’expérience) et aux jeunes cadres (moins de 35 ans ayant de un à cinq ans d’expérience). 1 250 réponses ont été obtenues, dont 500 réponses de jeunes diplômés et 750 réponses de jeunes cadres.
http://blog.pixojob.com/wp-content/uploads/2010/05/APEC1.jpgProvence-Alpes-Côte d'Azur mise sur les pôles de compétitivité
La région abrite ou participe à un grand nombre de pôles de compétitivité. Quelles conséquences en termes d'activités et d'emplois cela aura-t-il à l'horizon 2010-2015 ? Une étude de l'Apec apporte les 1ères réponses et tente d'esquisser le profil des emplois de demain dans la région.
Un poids lourd économique. Paca se situe au 3e rang hexagonal. Les services y sont largement prépondérants. C’est d’ailleurs dans ce secteur que travaille une majorité de cadres. Deux des six départements, les Bouches-du-Rhône et les Alpes-Maritimes, concentrent près de ¾ de l’emploi cadre. Le dynamisme et la diversité des activités régionales se manifeste à travers la présence de 9 pôles de compétitivité dont 2 sont mondiaux ou à vocation mondiale.
Combien ? Quel impact ces pôles auront-ils sur l’emploi d’ici 2010-2015 ? Parviendront-ils à sauvegarder et à consolider des emplois ? Mieux, en créeront-ils ? Et de quelle nature ? Ce n’est qu’au fur et à mesure du développement des projets portés par les pôles que des réponses à ces questions pourront être apportées. Lorsqu’ils déboucheront sur des applications industrielles et le développement d’activités pérennes. Mais d’ores et déjà, les estimations de l’effet des pôles sur l’emploi oscillent entre la création d’environ 28 000 emplois dans un scénario optimiste et seulement 5 000 dans un scénario pessimiste.
Un point de vue qualitatif. Même s’il est prématuré de savoir quels types d’emplois les pôles généreront, on peut s’attendre à ce que les métiers d’ingénierie technique se distinguent particulièrement. Mais les emplois créés ne seront pas nécessairement des emplois directement liés à la filière concernée par les pôles. La part des services - emploi induits - dans les emplois à venir devrait progresser. Des emplois indirects pourraient être aussi créés dans la BTP, pour la construction de logements, de bureaux et d’ateliers. Il y a toutefois pour cela des conditions de réussite qui devront être réunies. Par exemple en ce qui concerne l’offre de formation qui devra être adaptée aux filières des pôles. De même que devront être développés les partenariats entre entreprises et laboratoires de recherche.
Source : Apec, Pôles de compétitivité et emploi cadre en Paca, novembre 2006. Consulter l'intégralité de l'étude au format PDF: Emploi cadre et pôles de compétitivité en Paca - point de suivi , Evolution de l'emploi des cadres en région Paca sous l'effet de la création des pôles de compétitivité.
http://blog.pixojob.com/wp-content/uploads/2010/05/APEC1.jpg~~V Af Didier Brou. Hvad er de foretrukne områder af unge kandidater og unge erhvervsfolk? En undersøgelse af APEC kan udarbejde en liste over de mest attraktive regioner.
En god livskvalitet.
Adspurgt om de regionale aktiver i livskvalitet, unge kandidater og unge erhvervsfolk understrege transportinfrastruktur veludviklet gør det muligt at have en rejsetid på hjemme/arbejde kort, et fredet indstilling, klima og levering af fritid. Unge ledere er lidt mere følsomme over for det milde klima og tilstedeværelsen af natur, mens unge kandidater mere vægt på betydningen af fritid.
Fordelene i form af økonomisk dynamik.
Det er eksistensen af en stærk og diversificeret økonomisk basis, der vises langt den mest almindelige reaktion. Efterfulgt af tilstedeværelsen af hovedkontorer, udvikling af transportinfrastruktur og attraktive lønniveau. Kun bemærkelsesværdig forskel mellem de vurderinger af unge professionelle og nyuddannede, de ofte overveje en lav arbejdsløshed som et vigtigt element. Mere...
23 février 2012

Information destinée aux organismes de formation déclarés auprès de la DIRECCTE de la Région Provence-Alpes-Côte-d'Azur

http://www.espace-competences.org/Portals/_default/Skins/EspaceCompetences/imgs/header_numVert.jpgInformation destinée aux organismes de formation déclarés auprès de la DIRECCTE de la Région Provence-Alpes-Côte-d'Azur - Formation professionnelle.
Le CARIF Espace Compétences, centre de ressources régional sur l’emploi et la formation, a pour mission de collecter et de mettre à disposition l’information sur l’offre de formation régionale.
Cette information qualifiée, compréhensible par tous, fait l’objet d’une vérification par les services du CARIF. Par ailleurs une commission spécialisée, pilotée par les partenaires sociaux et réunissant l’Etat, la Région, les chambres consulaires, les OPCA, les représentants des organismes de formation et des CFA définit les critères de mise à disposition de cette offre pour le grand public.
Cette base de données est utilisée pour alimenter plusieurs sites et applications diffusant tout ou partie des informations:
- le portail régional de l’emploi et de la formation www.emploiformationpaca.org, porté par le CARIF Espace Compétences,
- le webmobile www.orientationpaca.mobi qui permet d’accéder à l’offre de formation sur smartphones et tablettes, développé par le CARIF Espace Compétences,
- le portail interrégional www.intercariforef.org qui permet de connaître l’offre de formation de chaque région, développé par le réseau des CARIF- OREF,
- le portail national de l’orientation mis en œuvre dans le cadre du Service Public d’Orientation www.orientationpourtous.fr porté par Centre Inffo,
- Le portail de l’alternance www.alternance.emploi.gouv.fr porté par la DGEFP.
Les informations de cette base sont également envoyées dans les applicatifs des prescripteurs : Pôle emploi et Missions locales.
Dans ce cadre, nous vous demandons de bien vouloir mettre à jour les informations concernant votre organisme de formation et vos actions de formation à partir de la nouvelle version de l’extranet dédié à l’adresse suivante: http://extranet-formation.espace-competences.org.
Si vous êtes déjà détenteur d’un code d’accès vous pouvez accéder à votre espace réservé, sinon vous pouvez en faire la demande en ligne.
Un guide d’utilisateur est disponible dans votre espace réservé, il répondra à vos principales interrogations.
Nous vous proposons également des sessions d’aide à l’utilisation de cet extranet sur votre territoire, dont vous trouverez ci-joint le calendrier et la fiche d’inscription.
Si vous avez des questions complémentaires ou si vous rencontrez des difficultés, vous pouvez nous contacter au 04 42 82 43 23 du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 16h30.
http://www.espace-competences.org/Portals/_default/Skins/EspaceCompetences/imgs/header_numVert.jpg~~V Informazioni per le organizzazioni di formazione registrate presso il DIRECCTE della Provence-Alpes-Cote d'Azur-Formazione.
Lo spazio CARIF Skills, centro di risorse regionali per l'occupazione e la formazione, è quello di raccogliere e rendere disponibili le informazioni sull'offerta di formazione regionale
. Più...
7 février 2012

Dissolution de l'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université »

Retourner à la page d'accueil de Légifrance Décret n° 2012-177 du 6 février 2012 portant dissolution de l'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université »
JORF n°0032 du 7 février 2012 page 2160, texte n° 43, NOR: ESRS1134288D.
Publics concernés : usagers et personnels des établissements d'enseignement supérieur membres de l'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université ».
Objet : dissolution de l'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université ».

Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le 1er mars 2012.
Notice : le présent décret a pour objet de dissoudre l'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université », qui comprend les universités Aix-Marseille-I, Aix-Marseille-II et Aix-Marseille-III. Ces trois universités ayant fusionné au sein de l'université d'Aix-Marseille le 1er janvier 2012 en application du décret n° 2011-1010 du 24 août 2011 portant création de l'université d'Aix-Marseille, l'université se substitue à l'établissement public de coopération scientifique pour l'exercice des missions qu'avaient souhaité mutualiser ses membres. L'université d'Aix-Marseille reprend ainsi les droits et obligations de l'établissement ainsi que ses activités.

Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche,
Vu le code de la recherche, notamment ses articles L. 344-1 et L. 344-4 à L. 344-10 ;
Vu le décret n° 2011-1010 du 24 août 2011 portant création de l'université d'Aix-Marseille ;
Vu la délibération du conseil d'administration d'« Aix-Marseille Université » en date du 13 décembre 2011,
Décrète :
Article 1

L'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université » est dissous.
Article 2
Les biens, droits et obligations, y compris les contrats des personnels, ainsi que les activités de l'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université » sont transférés à l'université d'Aix-Marseille.
Article 3
Les comptes financiers des exercices 2011 et 2012 de l'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université » sont établis par l'agent comptable en fonctions lors de la suppression de l'établissement. Ils sont approuvés par le conseil d'administration de l'université d'Aix-Marseille.
Article 4

Le décret n° 2007-380 du 21 mars 2007 portant création de l'établissement public de coopération scientifique « Aix-Marseille Université » est abrogé.
Article 5
Le présent décret entre en vigueur le premier jour du mois suivant sa publication.
Späť na domovskú stránku Légifrance Vyhláška č 2012-177 zo 6. februára 2012 na rozpustenie verejného nadviazanie vedeckej spolupráce "Aix-Marseille univerzita"
Úradný vestník č 0032 zo 7. februára 2012 strana 2160, text 43, z toho: ESRS1134288D.

Dotknutej verejnosti "Aix-Marseille univerzita" užívatelia a pracovníci inštitúcií, vysokých škôl zástupcovia verejnosti nadviazanie vedeckej spolupráce
. Viac...
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