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Formation Continue du Supérieur
9 juin 2014

Diplômes et Titres de formateur en LR - Nouveau Master 2 à l'Université Paul Valery

Développer les compétences, améliorer la compétitivité

Documentation(s):
- Plaquette de présentation du Master 2 REFE.
Le Master 2, option « Responsable d'Evaluation,de Formation et d'Encadrement » a pour objectif de qualifier les futurs spécialistes de l'encadrement et de l'évaluation contribuant au pilotage d'organisations et au management de personnes et d'équipes des milieux éducatifs, de la formation tout au long de la vie (formation des adultes, orientation), de la santé et de la ressource humaine en général. Fruit d'expériences plurielles, il ouvre à différentes cultures et approches (anglo-saxonnes, latines et asiatiques) du développement et du management des personnes, les futures responsables de l'encadrement en charge d'évaluation et de responsabilités sociales et humanistes.
Il s'articule autour d'une formation en partie à distance et en présentiel (des temps de regroupements sont prévus dont un voyage d'études en Thailand, en partenariat avec la Faculté d'Education de l'université de Burapha).

Métiers visés :

    Responsable de formation et d'ingénierie de formation;
    Responsable d'évaluation et de démarche qualité
    Directeur d'établissement, d'organisation, d'institution des champs du social
    ...

Pour des renseignements sur les modalités administratives d'inscription, contacter :
- la direction du département des Sciences de l'Education : pascal.roquet@univ-montp3.fr, Tel. 0467142253,
le Service de l'EAD : eadmaster@univ-montp3.fr, Tel. 04 67 14 54 83 ou 04 67 14 54 77
ou
- le SUFCO, au titre de la formation continue, pour les salariés ou demandeur d'emploi...: laurent.brandon@univ-montp3.fr, Tel. 0467145573

URL : www.univ-montp3.fr.

9 juin 2014

Création du Diplome Universitaire "Formateur intervenant en formation individualisée"

Développer les compétences, améliorer la compétitivitéNous avons le plaisir de vous informer de la création d'un « Diplôme universitaire Formateur intervenant en formations individualisées », dont l'objectif est de professionnaliser les équipes pédagogiques animant des dispositifs de formation individualisés.
L'individualisation de la formation est un besoin fort, exprimé par les demandeurs de formation (commanditaires, prescripteurs, bénéficiaires) et par les acteurs institutionnels (démarche qualité Certif LR, réforme de la formation professionnelle 2014).
Ce D.U. est organisé en un parcours modulaire d'une vingtaine de journées au total sur une année universitaire (2 jours par mois).
Abordant l'ensemble des aspects pédagogiques et organisationnels de l'individualisation, il est très adapté aux besoins actuels de tous les organismes de formation qui souhaitent préparer ou perfectionner leurs équipes actives dans un dispositif de formation individualisée.
Ce diplôme est l'aboutissement d'un travail collaboratif entre l'AFPA, Atout Métiers LR, le CAFOC-GIP-Formavie, la DRAAF-SFRD, la FFP, le SUFCO, avec le soutien financier de la Région Languedoc-Roussillon.
Les inscriptions pour la rentrée 2014 sont d'ores et déjà ouvertes (date limite le 23 juin).
La sélection à l’entrée se déroulera au SUFCO (Université Paul Valery, Route de Mende - Montpellier) le 4 septembre 2014.
Lien pour s'inscrire à la journée de sélection.
Lien pour voir le programme sur le site de l'Université Paul Valery.

8 juin 2014

Non diplômés : les hommes plus nombreux mais les femmes plus en difficulté

Insertion des jeunes > Etudes et stats n°1 : Les jeunes Lorrains accompagnés par les Missions Locales en 2012 - LorPM, Etudes et stats n°1 LorPM, Mai 2014, 12 pages.
Non diplômés : les hommes plus nombreux mais les femmes plus en difficulté
Les jeunes non diplômés, actifs ou non, se concentrent dans les agglomérations importantes conformément au reste de la population mais leur poids dans la population du même âge qui a quitté l’école varie fortement sur le territoire (carte 2). Le triangle Lunéville-Sarrebourg-Senones, le Bassin houiller, le pays de Saint-Mihiel et l’extrême Nord-Ouest de la région présentent notamment les plus fortes concentrations. À l’opposé, certains territoires ruraux, dont l’accès aux grandes agglomérations voisines reste néanmoins facile, présentent de très faibles taux de non diplômés et peu d’effectifs. 57 % des jeunes non diplômés et non scolarisés en Lorraine sont des hommes en 2010. Le taux de chômage de ces derniers est nettement moindre que celui des femmes, respectivement 40 % et 51 %. Pour l’ensemble des jeunes non scolarisés, ce taux atteint 25,5 % pour les hommes contre 27,7 % pour les femmes. Télécharger Etudes et stats n°1 LorPM.

8 juin 2014

Un accès à l’autonomie plus difficile sans diplôme

Insertion des jeunes > Etudes et stats n°1 : Les jeunes Lorrains accompagnés par les Missions Locales en 2012 - LorPM, Etudes et stats n°1 LorPM, Mai 2014, 12 pages.
Un accès à l’autonomie plus difficile sans diplôme
L’accès au logement est une étape cruciale de la prise d’autonomie, mais que faire quand il faut avancer 2 mois de loyer et offrir des garanties d’emploi à durée indéterminée que l’on n’a pas ? Les données du recensement de 2010 estiment à 29% la part des jeunes de 23 à 25 ans ayant un emploi au 1 er janvier 2010 qui vivent chez leur(s) parent(s), tandis que pour ceux qui sont ni en emploi ni en études, ce taux atteint 37%, d’après le recensement. Les dispositifs d’aide au logement ont des incidences sur les services rendus par les Missions Locales à la population de jeunes accompagnés. Plus de 4 150 propositions en matière de logement, de la simple information à l’aide financière, ont été dispensées en 2012 par les conseillers. L’activité des Missions Locales en ce domaine a décru de 25 % depuis 2007 alors que dans le même temps, les jeunes accompagnés en logement autonome ont progressé de 2,4 points, portant leur poids à 22,1 %. Cependant, cette légitime et nécessaire indépendance de toit est plus difficile à atteindre par les jeunes non diplômés. En effet, seuls 45 % des 16-30 ans non diplômés ont un logement à eux en 2010, qu’ils occupent seuls ou en couple, alors que les diplômés sont 66 % dans ce cas. L’accès au logement est forcément conditionné par les moyens financiers. Les limites imposées par les ressources financières des jeunes sont également un frein à la forte incitation à la mobilité et à la flexibilité tant professionnelle qu’en matière de formation. Le dispositif de « garantie jeunes » concernant les 18-25 ans sans emploi et sans formation est en phase d’expérimentation sur 10 territoires, dont le département des Vosges depuis l’automne 2013 ; il propose un accompagnement renforcé vers l’emploi et une allocation d’un montant équivalent au Revenu de solidarité active (RSA) pendant les périodes sans emploi ni formation pour permettre de lever les obstacles liés à la subsistance et autres. La crise économique impacte aussi les jeunes. Le nombre d’aides financières sollicitées auprès des Missions Locales (accordées ou non et hormis celles spécifiques à la mobilité, au logement et à la santé) a crû de 23 % de 2007 à 2012. Au cours de cette même période, l’activité des Missions Locales dans le domaine de la santé a, elle aussi, progressé de 16 %. La précarité et les difficultés engendrées par celle-ci, induisent des souffrances dommageables à l’intégrité des individus d’autant plus graves que ces individus sont encore en construction. Télécharger Etudes et stats n°1 LorPM.

7 juin 2014

Déclassement et chômage : la dégradation des diplômés du Supérieur

Déclassement et chômage : une dégradation pour les plus diplômés ?Par Philippe Lemistre, Net.Doc, n° 123, 2014, 24 p. Ce document fournit un état des lieux du déclassement, sur un double registre empirique et théorique. Les chiffres, établis à partir des enquêtes Génération du Céreq, varient en effet selon la norme retenue pour le mesurer. Il propose également une approche originale, qui consiste à considérer le chômage comme une situation de déclassement.
1.2. Déclassement filières et diplômes : des disparités fortes
Les IV sup : pas mieux lotis que les sortants juste après le bac (niveau IV) ?
Pour les IV sup (post bac non diplômés), l’emploi non qualifié n’est pas seulement un emploi d’attente puisque le taux de déclassement institutionnel est de 20% au moins (le déclassement est établi selon le plus haut diplôme donc le bac ici : soit uniquement pour les NQ). En terme de qualification, l’avantage par rapport aux sortants bacheliers de la même génération n’est pas systématique. Ainsi pour les filières industrielles, les sortants au niveau bac sont moins déclassés que les IV sup avec une différence notable 17,4% contre 24,3%. Pour le tertiaire et les filières générales universitaires, l’écart aux bacheliers est favorable, mais très peu élevé et non significatif (de l’ordre de 2%). En revanche, les salaires sont en moyenne plus élevés pour la majorité des IV sup de toutes les filières puisque les déclassements salariaux sont nettement au désavantage des niveaux IV. L’association des normes institutionnelles et salariales donne une indication sur le lien à la qualification des différences de salaires avec un faible recoupement, comme toujours quand sont confrontées les normes. L’avantage au IV sup est alors cette fois toujours avéré mais avec des écarts très faibles sans commune mesure avec les écarts en termes de déclassement salarial. En clair, même pour les emplois non qualifiés les IV sup sont plus fréquemment avantagés en termes de salaire, mais les différences salariales dépassent largement les frontières de la qualification compte tenu d’écarts très conséquents pour le seul déclassement salarial. Deux interprétations sont alors possibles : la première est liée aux nomenclatures pour les ouvriers et plus encore pour les employés ou la frontière de la nonqualification procède souvent davantage de la convention que de la réalité (Rose, 2012). Toutefois, rappelons à nouveau qu’en gardant les conventions habituelles pour les ouvriers et employés qualifiés et non qualifiés, la qualification du premier remploi est particulièrement déterminante de la carrière future. L’avantage des IV plus est donc réel (en terme de salaire immédiat), mais peut-être relatif (en terme de carrière surtout dans l’industrie).
Niveau III (Bac+2) et niveau II (Bac+3 et 4) : une hiérarchie respectée ?
En modifiant la norme institutionnelle des années 80 pour la licence, puisque le déclassement n’intervient que pour les catégories ouvrier et employé (qualifié et non qualifié), les bac+2, Bac+3 et M1 (diplômé niveau II) sont comparables pour ce type de déclassement, mais pas pour les autres. Au bas de la hiérarchie les BTS qui comptent 46,1% d’ouvrier employé (les déclassés donc) pour le tertiaire et 37,9% pour l’industrie.
BTS-DUT Les DUT industriel s’en sortent nettement mieux avec seulement 13,7% de déclassés institutionnels, de même pour le tertiaire ou le taux de déclassés est de 28,5% (contre 46,1%). Les raisons sont pour partie : une offre nettement moins large pour les IUT qui se focalise sur des filières plus favorables, une sélection plus axée sur les plus performants sur le plan scolaire (bac général). Toutefois, ces explications ne suffisent vraisemblablement pas à elles seules à justifier des différences qui se maintiennent en termes de déclassement salarial et même lorsque l’on associe déclassement institutionnel et salarial ou encore pour le déclassement statistique. C’est pour ce niveau que la norme statistique diffère de la norme institutionnelle. Le fort taux de déclassement institutionnel des BTS DUT et aussi des L2 est particulièrement lié à une forte présence de ces diplômés pour le tertiaire dans la catégorie employé qualifié de telle sorte que la norme statistique conclut à l’absence de déclassement pour la correspondance niveau III-EQ. Même en adoptant cette norme le taux de déclassement des BTS et DUT tertiaire sont respectivement de 18,3 et 9,8% soit une forte proportion d’employés non qualifiés (principalement) trois ans après la sortie du système éducatif. Les bac+2 santé social sont peu déclassés, car il s’agit de filières contingentées pour des emplois règlementés, soit où le diplôme de niveau correspondant est requis. On notera tout de même le déclassement salarial de près d’un jeune sur dix (9,3%) dont le salaire n’excède pas le salaire médian des sortants de niveau IV.
Licences et M1
Pour le tertiaire et les filières universitaires, les détenteurs de licence sont moins déclassés (institutionnel) que les niveaux III. La poursuite en licence est donc justifiée. Pour les diplômés de la filière industrielle les écarts sont moins conséquents et même défavorables pour la filière industrielle (déclassement institutionnel DUT 13,7%, licence pro 17,3%). Les gains salariaux des licences sont néanmoins incontestables puisque la norme salariale compare les salaires des niveaux II au salaire médian des niveaux III. Seule une majorité de sortants des licences LSHS (53,5%) gagnent moins que la moitié des détenteurs d’un bac+2.
En termes d’accès à la qualification, on remarque une forte proximité entre les sortants de filières proches pour les licences professionnelles et générales (respectivement déclassement institutionnel Industrie versus Sciences 17,3% et 17,6% ; tertiaire versus LSHS 25,5% et 24,5%). Un tel constat relativise la supériorité réputée de la filière professionnelle (Kergoat et Lemistre, 2014), celle-ci est néanmoins rétablie pour les salaires (respectivement déclassement salarial Industrie versus Sciences 22,1% et 33,4% ; tertiaire versus LSHS 40,2% et 53,3%).
Malgré la mise en place du LMD qui supprime la maîtrise, une année d’étude de plus que la licence permet un déclassement institutionnel nettement moindre y compris au regard des licences professionnelles. Pour les salaires la proximité est plus grande. Toutefois, en 2007 la masterisation est encore en cours notamment pour les filières scientifiques et les IUP qui conservent des diplômes bac+4. Il s’agit donc d’un résultat pour une période qui est encore une transition vers le LMD.
Niveau I
Master S’il n’y a pas de différence notable entre filières recherche et professionnelle, l’accès à la qualification-cadre est fortement différencié entre domaines (Sciences versus LSHS) avec un net avantage aux sciences. Pour autant, quelle que soit la filière, il est important de noter que trois ans après la sortie du système éducatif plus d’un tiers au moins des sortants de Master ne sont pas cadres et au moins deux sur dix perçoivent un salaire inférieur au salaire médian des sortants de niveau II.
Ainsi, pour les filières LSHS le déclassement institutionnel (non cadre) et salarial vont de pair pour au moins deux jeunes sur dix. Écoles de commerce et ingénieurs Pour les écoles de commerces le déclassement est moindre que pour les masters avec toutefois un niveau relativement élevé avec 27,9% non-cadre et 14,5% des sortants ayant un salaire inférieur au salaire médian des niveaux II.
Les sortants d’école d’ingénieur ont une insertion plus favorable, mais là encore le niveau de déclassement institutionnel apparaît relativement élevé (15,1%), contrairement cette fois au déclassement salarial (3,4%).
Docteurs
Quelle que soit la filière les docteurs sont non seulement moins déclassés sur plan institutionnel ou salarial que les sortants de masters, mais aussi que les sortants d’école de commerce. Une seule exception le déclassement salarial de 20,6% des jeunes docteurs de LSHS. Télécharger Net.Doc, n° 123.

7 juin 2014

Déclassement et chômage : une dégradation pour les plus diplômés ?

Déclassement et chômage : une dégradation pour les plus diplômés ?Par Philippe Lemistre, Net.Doc, n° 123, 2014, 24 p. Ce document fournit un état des lieux du déclassement, sur un double registre empirique et théorique.
Les chiffres, établis à partir des enquêtes Génération du Céreq, varient en effet selon la norme retenue pour le mesurer.
Il propose également une approche originale, qui consiste à considérer le chômage comme une situation de déclassement.
Cette approche repose sur l'hypothèse que la logique de file d'attente s'applique autant pour l'accès à l'emploi que pour l'accès à la qualification.
Dans cette perspective, pour certains individus, le chômage est le dernier niveau de déclassement, la déqualification en emploi apparaissant comme un pis aller acceptable à plus ou moins long terme.
Télécharger la publication.

7 juin 2014

Qui sont les stars diplômées ?

Par . Ils sont acteurs, chanteurs, ou animateurs télé, et ont tous une chose en commun: un diplôme de l'enseignement supérieur. Avant ou même pendant leur carrière dans le show-business, certaines stars au cerveau bien rempli ont entrepris de grandes études en lettres, philosophie, biologie, finance, ou encore en sciences politiques. Qu'ont étudié Emma Watson, Jodie Foster, Eva Longoria, Natalie Portman ou encore Bradley Cooper ? En savoir plus...
6 juin 2014

Nomenclature des licences, des licences professionnelles et des masters

Légifrance, le service public de l'accès au droit - AccueilArrêté du 27 mai 2014 fixant la nomenclature des mentions du diplôme national de licence professionnelle
L'intitulé du diplôme national de licence professionnelle est défini par un nom de domaine et de mention dans les conditions fixées par l'arrêté du 22 janvier 2014 susvisé. La nomenclature des mentions est précisée en annexe du présent arrêté.
Annexe
Acoustique et vibrations.
Activités juridiques : assistant juridique.
Activités juridiques : contentieux et recouvrement.
Activités juridiques : marchés publics ― métiers de l'achat public.
Activités juridiques : métiers du droit de l'environnement.
Activités juridiques : métiers du droit des sociétés.
Activités juridiques : métiers du droit des transports.
Activités juridiques : métiers du droit de l'immobilier.
Activités juridiques : métiers du droit privé.
Activités juridiques : métiers du droit public.
Activités juridiques : métiers du droit social.
Agencement.
Agent de recherches privées.
Agriculture biologique : production, conseil, certification et commercialisation.
Agronomie.
Aménagement paysager : conception, gestion, entretien.
Analyse, qualité et contrôle des matériaux produits.
Analyste criminel opérationnel.
Animation, gestion et organisation des activités physiques et sportives.
Assurance, banque, finance : chargé de clientèle.
Assurance, banque, finance : supports opérationnels.
Bio-industries et biotechnologies.
Biologie analytique et expérimentale.
Bois et ameublement.
Cartographie, topographie et systèmes d'information géographique.
Chimie : formulation.
Chimie analytique, contrôle, qualité, environnement.
Chimie de synthèse.
Chimie et physique des matériaux.
Chimie industrielle.
Commerce et distribution.
Commercialisation de produits et services.
Commercialisation des produits alimentaires.
Communication et valorisation de la création artistique.
Conception et contrôle des procédés.
Coopération et développement international.
Coordinateur de projet : espaces, parcs et jardins.
Développement de projets de territoires.
Domotique.
E-commerce et marketing numérique.
Energie et propulsion.
Exploration et exploitation pétrolières.
Génie des procédés et bioprocédés industriels.
Génie des procédés pour l'environnement.
Gestion de projets et structures artistiques et culturels.
Gestion des achats et des approvisionnements.
Gestion des organisations agricoles et agroalimentaires.
Gestion des organisations de l'économie sociale et solidaire.
Gestion des risques industriels et technologiques.
Gestion des structures sanitaires et sociales.
Gestion et accompagnement de projets pédagogiques.
Gestion et développement des organisations, des services sportifs et de loisirs.
Gestion et maintenance des installations énergétiques.
Guide conférencier.
Industries agroalimentaires : gestion, production et valorisation.
Industries pharmaceutiques, cosmétologiques et de santé : gestion, production et valorisation.
Installations frigorifiques et de conditionnement d'air.
Intervention sociale : accompagnement de publics spécifiques.
Intervention sociale : insertion et réinsertion sociale et professionnelle.
Intervention sociale : médiation par le sport.
Intervention sociale : accompagnement social.
Logistique et pilotage des flux.
Logistique et systèmes d'information.
Logistique et transports internationaux.
Maintenance des systèmes industriels, de production et d'énergie.
Maintenance et technologie : contrôle industriel.
Maintenance et technologie : électronique, instrumentation.
Maintenance et technologie : organisation de la maintenance.
Maintenance et technologie : systèmes pluritechniques.
Maintenance et technologie : technologie médicale et biomédicale.
Maîtrise de l'énergie, électricité, développement durable.
Management des activités commerciales.
Management des processus logistiques.
Management des transports et de la distribution.
Management et gestion des organisations.
Matériaux et structures : fonctionnalisation et traitement des surfaces.
Matériaux et structures : gestion, conception et industrialisation.
Métiers de la communication : chargé de communication.
Métiers de la communication : chef de projet communication.
Métiers de la communication : événementiel.
Métiers de la communication : publicité.
Métiers de la forme.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : comptabilité du secteur immobilier.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : comptabilité et gestion des associations.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : comptabilité et gestion des entités agricoles.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : comptabilité et paie.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : contrôle de gestion.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : fiscalité.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : gestion comptable et financière.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : responsable de portefeuille clients en cabinet d'expertise.
Métiers de la gestion et de la comptabilité : révision comptable.
Métiers de la GRH : assistant.
Métiers de la GRH : formation, compétences et emploi.
Métiers de la médiation par des approches artistiques et culturelles.
Métiers de la médiation scientifique et technique.
Métiers de la mer.
Métiers de la mode.
Métiers de la promotion des produits de santé.
Métiers de la protection et de la gestion de l'environnement.
Métiers de la qualité.
Métiers de la radioprotection et de la sécurité nucléaire.
Métiers de la santé : nutrition, alimentation.
Métiers de la santé : technologies.
Métiers de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme.
Métiers de l'animation sociale, socio-éducative et socioculturelle.
Métiers de l'électricité et de l'énergie.
Métiers de l'électronique : communication, systèmes embarqués.
Métiers de l'électronique : microélectronique, optronique.
Métiers de l'électronique : fabrication de cartes et sous-ensembles électroniques.
Métiers de l'emballage et du conditionnement.
Métiers de l'énergétique, de l'environnement et du génie climatique.
Métiers de l'entraînement sportif.
Métiers de l'entrepreneuriat.
Métiers de l'immobilier : gestion et administration de biens.
Métiers de l'immobilier : gestion et développement de patrimoine immobilier.
Métiers de l'immobilier : transaction et commercialisation de biens immobiliers.
Métiers de l'industrie : conception de produits industriels.
Métiers de l'industrie : conception et amélioration de processus et procédés industriels.
Métiers de l'industrie : conception et processus de mise en forme des matériaux.
Métiers de l'industrie : industrie aéronautique.
Métiers de l'industrie : gestion de la production industrielle.
Métiers de l'industrie : industrie navale et maritime.
Métiers de l'industrie : logistique industrielle.
Métiers de l'industrie : mécanique.
Métiers de l'industrie : mécatronique, robotique.
Métiers de l'industrie : métallurgie, mise en forme des matériaux et soudage.
Métiers de l'information : archives, médiation et patrimoine.
Métiers de l'information : métiers du journalisme et de la presse.
Métiers de l'informatique : administration et sécurité des systèmes.
Métiers de l'informatique : conduite de projets.
Métiers de l'informatique : développement d'applications.
Métiers de l'informatique : développement internet et intranet.
Métiers de l'informatique : systèmes d'information et gestion des bases de données.
Métiers de l'informatique : test et qualité des logiciels.
Métiers de l'instrumentation, de la mesure et du contrôle qualité.
Métiers des administrations et collectivités territoriales.
Métiers des arts culinaires et des arts de la table.
Métiers des réseaux informatiques et télécommunications.
Métiers des ressources naturelles et de la forêt.
Métiers du bois.
Métiers du BTP : génie civil et construction.
Métiers du BTP : travaux publics.
Métiers du BTP : bâtiment et construction.
Métiers du BTP : performance énergétique et environnementale des bâtiments.
Métiers du commerce international.
Métiers du décisionnel et de la statistique.
Métiers du design.
Métiers du jeu vidéo.
Métiers du livre : documentation et bibliothèques.
Métiers du livre : édition et commerce du livre.
Métiers du marketing opérationnel.
Métiers du notariat.
Métiers du numérique : conception, rédaction et réalisation web.
Métiers du tourisme : commercialisation des produits touristiques.
Métiers du tourisme : communication et valorisation des territoires.
Métiers du tourisme et des loisirs.
Nautisme et métiers de la plaisance.
Optique professionnelle.
Organisation et gestion des établissements hôteliers et de restauration.
Organisation, management des services de l'automobile.
Productions animales.
Productions végétales.
Protection et valorisation du patrimoine historique et culturel.
Qualité, hygiène, sécurité, santé, environnement.
Santé, vieillissement et activités physiques adaptées.
Sécurité des biens et des personnes.
Services à la personne.
Systèmes automatisés, réseaux et informatique industrielle.
Technico-commercial.
Techniques du son et de l'image.
Techniques du vide et matériaux.
Tourisme et loisirs sportifs.
Valorisation des agro-ressources.
Légifrance, le service public de l'accès au droit - AccueilArrêté du 22 janvier 2014 fixant la nomenclature des mentions du diplôme national de licence
L'intitulé du diplôme national de licence est défini par un nom de domaine et de mention dans les conditions fixées par l'arrêté du 22 janvier 2014 susvisé. La nomenclature des mentions est précisée en annexe du présent arrêté.
Annexe
Administration publique.
Droit.
Economie.
Gestion.
Economie et gestion.
Administration économique et sociale.
Science politique.
Sciences sanitaires et sociales.
Humanités.
Histoire.
Histoire de l'art et archéologie.
Géographie et aménagement.
Sociologie.
Psychologie.
Sciences de l'éducation.
Philosophie.
Théologie.
Sciences sociales.
Sciences de l'homme, anthropologie, ethnologie.
Sciences du langage.
Information-communication.
Arts.
Arts plastiques.
Arts du spectacle.
Musicologie.
Lettres.
Langues, littératures et civilisations étrangères et régionales.
Langues étrangères appliquées.
Lettres, langues.
Informatique.
Mathématiques et informatique appliquées aux sciences humaines et sociales.
Mathématiques.
Physique.
Chimie.
Physique, chimie.
Sciences de la vie.
Sciences de la Terre.
Sciences de la vie et de la Terre.
Sciences et techniques des activités physiques et sportives.
Electronique, énergie électrique, automatique.
Mécanique.
Génie civil.
Sciences pour la santé.
Sciences et technologies.
Sciences pour l'ingénieur.
Légifrance, le service public de l'accès au droit - Accueil Arrêté du 4 février 2014 fixant la nomenclature des mentions du diplôme national de master
L'intitulé du diplôme national de master est défini par un nom de domaine et de mention dans les conditions fixées par l'arrêté du 4 février 2014 susvisé. La nomenclature des mentions est précisée en annexe du présent arrêté.
Annexe
Analyse et politique économique.
Monnaie, banque, finance, assurance.
Econométrie, statistiques.
Economie.
Economie appliquée.
Economie du développement.
Economie du droit.
Economie de l'entreprise et des marchés.
Economie des organisations.
Economie internationale.
Economie sociale et solidaire.
Economie et management publics.
Economie du travail et des ressources humaines.
Economie de l'environnement, de l'énergie et des transports.
Economie de la santé.
Economie industrielle et des réseaux.
Management et administration des entreprises.
Administration économique et sociale.
Administration et échanges internationaux.
Comptabilité - contrôle - audit.
Contrôle de gestion et audit organisationnel.
Finance.
Marketing, vente.
Management.
Management stratégique.
Management et commerce international.
Management public.
Management sectoriel.
Management des PME-PMI.
Management des systèmes d'information.
Entrepreneuriat et management de projets.
Management de l'innovation.
Gestion de production, logistique, achats.
Gestion des ressources humaines.
Gestion de l'environnement.
Gestion de patrimoine.
Politiques publiques.
Politiques comparées.
Relations internationales.
Science politique.
Actuariat.
Administration publique.
Droit.
Droit administratif.
Droit civil.
Droit comparé.
Droit privé.
Droit public des affaires.
Droit des affaires.
Droit bancaire et financier.
Droit de la propriété intellectuelle.
Droit fiscal.
Droit des assurances.
Droit notarial.
Droit du patrimoine.
Droit de l'immobilier.
Droit social.
Droit de l'entreprise.
Droit des collectivités territoriales.
Droit pénal et sciences criminelles.
Droit de la santé.
Droit de l'environnement et de l'urbanisme.
Droit européen.
Droit international.
Finances publiques.
Droit constitutionnel.
Droit des libertés.
Droit public.
Droit de l'économie.
Droit du numérique.
Histoire du droit et des institutions.
Justice, procès et procédures.
Histoire.
Histoire de l'art.
Histoire, civilisations, patrimoine.
Archéologie, sciences pour l'archéologie.
Mondes anciens.
Mondes médiévaux.
Mondes modernes.
Mondes contemporains.
Conservation-restauration des biens culturels.
Géographie.
Géographie, aménagement, environnement et développement.
Géopolitique.
Architecture, urbanisme, paysage.
Géomatique.
Gestion des territoires et développement local.
Etudes du développement.
Sociologie.
Démographie.
Ergonomie.
Sciences sociales.
Etudes sur le genre.
Sciences économiques et sociales.
Humanités numériques.
Sciences cognitives.
Etudes européennes et internationales.
Civilisations, cultures et sociétés.
Sciences du langage.
Traitement automatique des langues.
Anthropologie.
Ethnologie.
Philosophie.
Ethique.
Logique.
Histoire de la philosophie.
Epistémologie, histoire des sciences et des techniques.
Psychanalyse.
Esthétique.
Intelligence économique.
Théologie catholique.
Théologie protestante.
Sciences des religions et sociétés.
Psychologie clinique, psychopathologie et psychologie de la santé.
Psychologie sociale, du travail et des organisations.
Psychologie de l'éducation et de la formation.
Psychologie.
Psychologie : psychopathologie clinique psychanalytique.
Sciences de l'éducation.
Journalisme.
Information, documentation.
Communication, publicité.
Communication publique et politique.
Culture et communication.
Information, communication.
Sciences de l'information et des bibliothèques.
Muséologie, muséo-expographie.
Information et médiation scientifique et technique.
Communication des organisations.
Intervention et développement social.
Métiers du livre et de l'édition.
Lettres.
Arts, lettres et civilisations.
Lettres et humanités.
Littérature générale et comparée.
Etudes culturelles.
Création littéraire.
Français langue étrangère.
Langues, littératures et civilisations étrangères et régionales.
Langues et sociétés.
Langues étrangères appliquées.
Traduction et interprétation.
Didactique des langues.
Humanités.
Arts.
Arts plastiques.
Arts de la scène et du spectacle vivant.
Création artistique.
Danse.
Théâtre.
Cinéma et audiovisuel.
Audiovisuel, médias interactifs numériques, jeux.
Création numérique.
Musicologie.
Patrimoine et musées.
Archives.
Direction de projets ou établissements culturels.
Industries culturelles.
Mode.
Humanités et industries créatives.
Mathématiques.
Mathématiques et applications.
Mathématiques appliquées, statistique.
Informatique.
Réseaux et télécommunication.
Calcul haute performance, simulation.
Méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises - MIAGE.
Mathématiques et informatique appliquées aux sciences humaines et sociales - MIASHS.
Ingénierie de l'image, ingénierie du son.
Physique.
Physique fondamentale et applications.
Physique appliquée et ingénierie physique.
Physique du vivant.
Ingénierie nucléaire.
Sciences de la matière.
Chimie.
Chimie physique et analytique.
Chimie et sciences du vivant.
Chimie moléculaire.
Chimie et sciences des matériaux.
Génie civil.
Mécanique.
Génie mécanique.
Sciences et génie des matériaux.
Nanosciences et nanotechnologies.
Génie des procédés et des bio-procédés.
Ingénierie de conception.
Optique, image, vision, multimédia.
Traitement du signal et des images.
Acoustique.
Electronique, énergie électrique, automatique.
Energétique, thermique.
Energie.
Automatique, robotique.
Instrumentation, mesure, métrologie.
Ingénierie des systèmes complexes.
Génie industriel.
Aéronautique et espace.
Sciences et techniques des activités physiques et sportives ― STAPS.
STAPS : entraînement et optimisation de la performance sportive.
STAPS : activité physique adaptée et santé.
STAPS : management du sport.
STAPS : ingénierie et ergonomie de l'activité physique.
Biologie.
Biologie-santé.
Santé.
Sciences du vivant.
Santé publique.
Sciences du médicament.
Biotechnologies.
Biologie moléculaire et cellulaire.
Biochimie, biologie moléculaire.
Biologie intégrative et physiologie.
Biologie du développement.
Biologie végétale.
Pharmacologie.
Toxicologie et éco-toxicologie.
Microbiologie.
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Immunologie.
Nutrition et sciences des aliments.
Bio-informatique.
Biologie structurale, génomique.
Génétique.
Ethologie.
Biomécanique.
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Sciences de l'océan, de l'atmosphère et du climat.
Sciences de la mer.
Sciences de la Terre et des planètes, environnement.
Géoressources, géorisques, géotechnique.
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Astrophysique, astronomie, planétologie.
Agrosciences, environnement, territoires, paysage, forêt.
Biologie, agrosciences.
Sciences et technologie de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement.
Biodiversité, écologie et évolution.
Design.
Didactique des sciences.
Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF), 1er degré.
Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF), 2e degré.
Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF), encadrement éducatif.
Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF), pratiques et ingénierie de la formation.
Risques et environnement.
Qualité, hygiène, sécurité.
Innovation, entreprise et société.
Transport, mobilités, réseaux.
Tourisme.
Urbanisme et aménagement.
Ville et environnements urbains.

6 juin 2014

Publication de la liste des licences professionnelles

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Dans le cadre de la la simplification de l’offre de formation prévue par l'arrêté du 22 javier 2014 (votre notre info), pour la rendre plus accessible et plus lisible, la nomenclature des 173 mentions du diplôme national de licence professionnelle est publiée au JO.
Elle s'applique à partir de la rentrée universitaire 2015 et au plus tard lors du renouvellement de l'accréditation de chaque établissement d'enseignement supérieur concerné.
Consultez la liste dans l'arrêté du du 27 mai 2014. Le détail du contenu de ces licences pro est disponible sur le site de l'IntercarifOref.
Pour mémoire, ont déjà été publiées la liste des 45 licences générales et celle des 251 masters.

6 juin 2014

Journée régionale consacrée à la réussite en licence

Geneviève Fioraso s'est exprimée en ouverture de la journée régionale consacrée à la réussite en licence, organisée par le réseau des S.C.U.I.O.I.P. des 17 universités d’Ile-de-France.
Je suis très heureuse d'ouvrir cette journée régionale consacrée à la réussite en licence. Vous le savez, la réussite en licence a été énoncée comme une priorité de la loi du 22 juillet 2013 et comme une priorité du gouvernement.
Ma conviction, c'est qu'il faut mettre l'étudiant, ses besoins et son projet, au cœur du fonctionnement de l'université, de l'entrée jusqu'à la sortie des études.
Je voudrais, pour commencer, rappeler quelques chiffres. D'abord, le chiffre qui a été si souvent cité : environ 50% des étudiants échouent en 1ère année de licence. Au terme des trois années de licence, seulement 27% des inscrits en L1 obtiennent leur licence. En ajoutant les étudiants qui ont besoin d'une année supplémentaire pour valider leur diplôme, on arrive à un total d'environ 40% des étudiants qui obtiennent leur licence, en trois ou quatre ans. Voir l'article...

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