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Formation Continue du Supérieur
16 janvier 2011

Universities Implementing Full Costing

http://www.eua.be/images/events/logo.jpg4 February 2011, University Foundation, Belgium. To become financially sustainable, universities need to be able to identify the full costs of all their activities. EUA’s continuing work on full costing is now taken up by the EUIMA – Full Costing project (“European Universities Implementing the Modernisation Agenda”), which will organise a series of events around Europe, one of which is the country workshop in Belgium.
The workshop will bring together international experts to work with the leadership and management of Belgian universities, as well as with responsible federal and regional government bodies and funding agencies. The aim of the workshop is to contribute to the development of a coordinated approach to the implementation of full costing among Belgian universities in both communities, and to discuss strategic issues such as how to ensure external support to the project. The workshop will also strive to define a roadmap for the implementation of full costing in Belgium, inviting interested institutions to join the follow-up activities.
The format of the workshop will be very practical and will draw on examples of best practice in the implementation of full costing in Europe which will be carefully selected to suit the specific needs and conditions in Belgium. It will provide a forum for debate, giving participants the opportunity to discuss the framework conditions needed to implement full costing in Belgian universities and to establish a network for cooperation between institutions.
Audience
This country workshop is aimed exclusively at the national audience in the host country. The event should be of interest to institutional leaders and managers such as rectors, vice rectors, heads of administration and heads of finance departments as well as other interested members of the university community.
See also: CPU, AMUE, EUA: Universities Implementing Full Costing, Universities Implementing Full Costing.
4 décembre 2010

Coût de l'éducation en 2009

http://media.education.gouv.fr/image/Global/42/9/logo_MEN_2010_160429.jpgCoût de l'éducation en 2009, Évaluation provisoire du compte. Télécharger: Les notes d'information - DEPP - N°10.21 décembre 2010, Données des tableaux et des graphiques.
En 2009, la France a consacré 132,1 milliards d’euros à son système éducatif, soit une dépense en hausse de 1,3% (en euros constants) après trois années de stabilité. Cela représente 6,9% du PIB et 2 050 euros par habitant.
La dépense d’éducation se répartit, en 2009, à hauteur de 38,2 milliards d’euros pour le premier degré (soit 28,9% de la DIE), 55,4 milliards d’euros pour le second degré (soit 42,0% de la DIE) et 26,3 milliards d’euros pour le supérieur (soit 19,9% de la DIE). Le reste de la DIE, soit 12,1 milliards d’euros (9,1%), concerne le financement de l’apprentissage (scolaire et supérieur), de la formation continue et des enseignements extrascolaires. Ces chiffres sont à rapprocher de ceux de la dépense nationale la formation professionnelle et l’apprentissage: 29,8 milliards d’euros en 2008, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’accroît de 5,3% par rapport à 2007.
La dépense moyenne par élève ou étudiant est de 7990 euros: 5690 euros pour un écolier, 9380 pour un élève de l’enseignement secondaire, 11260 pour un étudiant. La part du secondaire (42,0%) dans la dépense intérieure d’éducation (DIE) tend à décroître, celle du supérieur (19,9%) progresse de 2,3 points depuis 2005.
Dans l’enseignement supérieur, la DIE est multipliée par 2,5 et sa part au sein de l’ensemble de la DIE croît de 14,6% en 1980 à 19,9% en 2009, avec une hausse plus marquée au cours des années récentes.
Dans le supérieur, la dépense par étudiant s’élève à 11260 euros (calculée sur l’ensemble des étudiants inscrits en université ou dans des établissements du second degré ou dans toute autre école supérieure). De 1980 à 2005, la dépense a progressé de 28,0%, soit de 1,0% en moyenne par an. Cette hausse s’accélère à partir de 2006 avec une croissance moyenne de 3,1% par an. Certaines aides (majoration du quotient familial, allocation logement social) de l’État n’apparaissent pas dans la DIE définie ici car elles sont d’ordre fiscal ou non directement liées au statut étudiant. Leur prise en compte porterait le coût d’un étudiant de 11260 à 12520 euros. Dans l’enseignement supérieur, la part de l’État est encore plus importante (73,2%) tandis que les collectivités territoriales prennent en charge 9,8% de la DIE. Dans l’enseignement supérieur, que ce soit pour la dépense moyenne par étudiant (12770 PPA dollars en France contre 12910 PPA dollars pour la moyenne des pays de l’OCDE) ou pour le coût d’un étudiant de manière cumulée sur l’ensemble de la durée moyenne des études supérieures (51350 PPA dollars contre une moyenne de 53280 PPA dollars), la France se situe légèrement en retrait de la moyenne des pays de l’OCDE.
L’État reste le premier financeur de l’éducation (59,2%), devant les collectivités territoriales (24,6%) dont la part a augmenté de 4 points depuis 2005. Avec 6,0% de son PIB consacré à l’éducation en 2007, la France se situait 0,3 point au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE sur un champ restreint ne comprenant pas la formation continue (données internationales 2007 publiées en 2010). Voir aussi l'article du blog 10220 euros par an, coût moyen d'un étudiant à l'université.
http://media.education.gouv.fr/image/Global/42/9/logo_MEN_2010_160429.jpg Cost of Education in 2009, Interim Evaluation of the account. Download: The briefing notes - DEPP - No. 21/10 December 2010, data tables and graphs.
In 2009, France has spent 132.1 billion euros in its educational system, an expenditure increase of 1.3% (in constant euros) after three years of stability.
This represents 6.9% of GDP and 2,050 euros per capita. Education expenditure is divided in 2009, up from 38.2 billion euros in the first degree (or 28.9% of the EIS), 55.4 billion euros for the second degree (42 , 0% of the EIS) and 26.3 billion euros for the superior (or 19.9% of the EIS). The rest of the EIS, or 12.1 billion euros (9.1%), the financing of learning (school and higher), continuing education and extracurricular lessons. These figures are closer to those of the national expenditure on vocational training and apprenticeship: 29.8 billion euros in 2008, national expenditure for vocational training and learning is growing by 5.3% 2007. The average expenditure per student is 7990 Euros: 5690 Euros for a schoolboy, 9380 for a student of secondary education, 11 260 for a student. The share of secondary (42.0%) in the domestic education expenditure (DEE) tends to decrease, that of higher (19.9%) was up 2.3 points since 2005. See also the blog entry 10220 euros per year average cost of a university student
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25 novembre 2010

10220 euros par an, coût moyen d'un étudiant à l'université

La 20e édition de l’État de l’Ecole propose une analyse des coûts, des activités et des résultats du système éducatif incluant, notamment, la dépense pour l’enseignement supérieur et la dépense par étudiant. À noter, la sortie prochaine du n°4 de l’État de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qui établit un bilan annuel et suit les évolutions du système français d’enseignement supérieur et de recherche à travers 34 indicateurs. L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°3 - décembre 2009). L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°2 - décembre 2008). L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (n°1 - novembre 2007).
Pour l’enseignement supérieur, la collectivité nationale a dépensé 26,3 milliards d’euros en 2009. Cette dépense a été multipliée par 2,5 depuis 1980 (en prix constants). En 2009, la dépense moyenne par étudiant s’élève à 11260 euros, soit 41% de plus qu’en 1980 (en euros constants).
La dépense d’éducation pour l’enseignement supérieur comprend l’ensemble des dépenses pour les établissements publics et privés de la France métropolitaine et des DOM pour l’enseignement et les activités liées: oeuvres universitaires, administration, fournitures, bibliothèques universitaires, rémunération des personnels d’éducation en formation, etc. Elle ne comprend pas les activités de formation continue ni, jusqu’en 2006, le fonctionnement et l’investissement de la recherche des universités (mais elle retenait par contre l’ensemble des salaires des enseignants-chercheurs).
À partir de 2006, et en raison de la nouvelle présentation des lois de finances dans le cadre de la LOLF, on retient l’ensemble des coûts de la recherche en université (personnel, fonctionnement et investissement), ainsi que l’ensemble des coûts des bibliothèques. Les montants des dépenses de la dernière année sont des montants provisoires. L’indicateur international est présenté en équivalents-dollars convertis en utilisant les parités de pouvoir d’achat qui sont des taux de conversion monétaire permettant d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies.
La collectivité nationale a consacré, en 2009, 26,3 milliards d’euros à l’enseignement supérieur, soit une augmentation de 3,4% par rapport à 2008 (en prix constants). Depuis 1980, la dépense pour l’enseignement supérieur a connu une forte croissance, de 3,2% en moyenne annuelle. Son poids dans la dépense intérieure d’éducation est passé de 14,6% en 1980 à 19,9% en 2009.
L’accélération de cette croissance, sensible à partir de 2006, tient à un effort budgétaire accru, mais aussi à la prise en compte d’un périmètre élargi à toutes les activités de recherche en université, àunerevalorisation des cotisations sociales imputées, et enfin, à la réévaluation du coût des formations sanitaires et sociales relevant maintenant de la compétence des régions.
Sur l’ensemble de la période, la DIE au profit du supérieur a été multipliée par 2,5 mais, face à un quasi-doublement des effectifs, la dépense moyenne par étudiant n’a augmenté que de 41,1% (compte tenu des ruptures de séries en 1999 et en 2006), atteignant 11260 euros en 2009.Dans le même temps, la dépense moyenne par élève du second degré augmentait de 64,6 %.
Les comparaisons internationales (qui reposent sur des données nationales pas toujours homogènes) montrent que la dépense annuelle moyenne par étudiant en France (12770 équivalents-dollars en 2007, y compris les activités de recherche et de développement) est un peu inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE (12910 équivalents-dollars). Le coût moyen d’un étudiant estimé par l’OCDE de manière cumulée, sur l’ensemble de la durée de ses études supérieures, place aussi la France en dessous de la moyenne (mais des pays, comme les États-Unis, ne participent pas à cet indicateur).
Les coûts moyens par étudiant sont très différents selon les filières de formation. Ils varient, en 2009, de 10220 euros par an pour un étudiant d’université publique à 13730 pour un étudiant de STS et 14850 euros pour un élève de CPGE. Les coûts moyens par étudiant en IUT (ainsi que d’autres instituts rattachés) ne sont plus quantifiables depuis la mise en application de la LOLF, en raison de la globalisation des crédits des universités. Le coût théorique d’une scolarité de 18 ans, menant sans redoublement à une licence, est évalué à 141900 euros en 2009, quand une scolarité en 17 ans menant à un BTS reviendrait à la collectivité à 138700 euros.
La part de l’État est prépondérante dans le financement de la DIE pour le supérieur (plus de 72%); la part des collectivités territoriales atteint 9,8% et celle des ménages 8,8%. Certaines aides directes ou indirectes financées par l’État, et qui bénéficient aux étudiants ou à leur famille, n’apparaissent pas dans la DIE pour l’éducation supérieure: elles sont d’ordre fiscal (majoration du quotient familial) ou non directement liées au statut étudiant (allocation logement social). Leur prise en compte (hors versements des régimes sociaux) porteraiten2009 le coût moyen d’un étudiant pour la nation de 11260 euros à 12520 euros.

De 20ste editie van de Staat van de School biedt een analyse van de kosten, activiteiten en resultaten van het onderwijs met inbegrip van, onder meer uitgaven voor het hoger onderwijs de uitgaven per student. Let op de aankomende release van de nummer 3 staat van Hoger Onderwijs en Onderzoek, dat een jaarlijkse evaluatie bepaalt en volgt de ontwikkelingen van het Franse systeem van hoger onderwijs en onderzoek over 34 indicatoren.
Voor Hoger Onderwijs, natie heeft de verbruikte 26,3 miljard euro in 2009.
Deze uitgaven zijn vermenigvuldigd met 2,5 sinds 1980 (in constante prijzen). In 2009, de gemiddelde uitgaven per student bedraagt 11.260 euro, of 41% meer dan in 1980 (in constante euro's). Meer...

12 août 2010

Universities Implementing Full Costing

strong universities for europeAnkara University, Turkey, 27 September 2010.
To become financially sustainable, universities need to be able to identify the full costs of all their activities. EUA’s continuing work on full costing is now taken up by the EUIMA – Full Costing project (“European Universities Implementing the Modernisation Agenda”), which will organise a series of events around Europe, one of which is the country workshop in Turkey.
The workshop will bring together international experts to work with the leadership and management of Turkish universities, as well as with responsible government ministries and funding bodies. The leadership of some of the biggest Turkish universities as well as the Turkish State planning Organisation (DPT), Scientific and Technological Research Council (TUBITAK), Ministry of Finance, Ministry of Industry and Commerce and the Turkish Technology Development Fund (TTGV) have already confirmed their attendance at the workshop.
The aim of the workshop is to contribute to the development of a coordinated approach to the implementation of full costing among Turkish universities, and to discuss strategic issues such as how to ensure external support to the project. The workshop will also strive to define a roadmap for the implementation of full costing in Turkey, inviting interested institutions to join the follow-up activities.
The format of the workshop will be very practical and will draw on examples of best practice in the implementation of full costing in Europe which will be carefully selected to suit the specific needs and conditions in Turkey. It will provide a forum for debate, giving participants the opportunity to discuss the framework conditions needed to implement full costing in Turkish universities and to establish a network for cooperation between institutions.
Working Group A: Leadership and support for the implementation of full costing
The working group will address the role of university leadership in the implementation of full costing. Two case studies will be presented giving specific attention to the Turkish context. The session will first address the role of leadership in ensuring the support and coordination of external stakeholders. The following questions will be discussed: i) how to establish continuing cooperation among universities; ii) how to foster support from the government; and iii) how to work together with funding bodies towards more coherent funding rules. Secondly, it will also look at the leadership’s role in the implementation of full costing within a university context, focusing on practical questions such as: i) how to ensure commitment to the process at all institutional levels; ii) how to facilitate the internal process of coordination; and iii) how to use full costing as an efficient tool in strategic decision making.
Working Group B: Operational aspects of implementing full costing
This working group will address operational aspects of the implementation of full costing within a university setting. Two examples of best practice from advanced European universities will be presented, describing the different full costing methodologies in use in those institutions and focusing in particular on issues of relevance to the Turkish context. These will provide an outline of the different steps in the implementation process and focus in particular on the following key issues: i) the identification of university activities and cost drivers; ii) the identification of direct and indirect costs; iii) choices of time allocation mechanisms and other data collection procedures; and iv) data management and use of IT systems in the process.
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