QS- Middle East & Africa Professional Leaders in Education (QS-MAPLE) wants to build world-class universities for Middle East & Africa communities through global partnerships and collaboration. For that purpose, the 3rd QS-MAPLE Conference offers a platform for actively engaged university leaders, academics and senior administrators, giving them the opportunity to network, exchange best practices, and explore the rapidly changing profile of higher education in the region.
Besides, the Conference offers a Programme of Parallel Sessions where international higher education leaders and experts who are suitably qualified, have the opportunity to share information and viewpoints in a stimulating environment and in an authoritative manner.
Proposals of presentations for the parallel sessions programme can be sent until 22 February 2013.
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Le blog Educprosde Jean-Luc Vayssière. Je n’ai pas dissimulé ma satisfaction en découvrant, dans Le Nouvel Observateur, Le Figaro ou Le Point, des articles reprenant les documents publiés par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche à propos de la réussite en licence: c’est l’occasion d’un coup de projecteur bien mérité sur le niveau licence de l’UVSQ, qui figure à la première place de ce classement. C’est aussi la confirmation de l’importance accordée par notre université à l’encadrement des étudiants, dès la première année.
Bien sûr, il ne faut pas être naïf face à l’ « effet classement » et à sa volatilité. Comme pour le classement de Shanghai, les médias sont toujours prompts à s’emparer de données complexes pour en tirer une information simple et frappante, sans s’embarrasser de détails. L’enquête publiée par le ministère doit être interprétée avec prudence et ses résultats vont bien au-delà du seul classement qui a été médiatisé, comportant par exemple des données importantes sur les masters et les licences professionnelles. Suite de l'article...

Par Julien Pompey. Les pages Spotted agitent le microcosme étudiant depuis le début de l'année, et plus particulièrement les universités et les facultés françaises. Orientations vous dévoile ainsi en exclusivité le premier classement des meilleurs Spotted universitaires.
Un peu moins médiatisé qu'à son arrivée, le phénomène "Spotted" continue pour autant de se développer. Et pour cause, son principe demeure extrêmement simple: il consiste à transmettre, de manière anonyme, via la page Facebook fan du Spotted, un message à une personne repérée dans les couleurs de son université, de son école ou de son lycée. Depuis l'avènement de ce qui semble être la version 2.0 des petites annonces du journal Libération, le petit monde estudiantin est véritablement en ébullition!
Les critères retenus pour établir ce classement
Si quasiment tous les établissements scolaires et supérieurs ont désormais leurs pages Spotted sur Facebook, c'est dans les universités que le phénomène est né et qu'il continue le plus fortement à se développer. De ce fait, après avoir lancé - avec succès - le Classement des meilleurs Spotted étudiants, Orientations a décidé de vous dévoiler en exclusivité le classement des meilleurs Spotted universitaires. Suite de l'article...
A noter en PACA la 28e place de l'Université de Nice Sophia Antipolis et la 43e de l'Université du Sud Toulonvar USTV. Les Universités d'Aix-Marseille et d'Avignon ne sont pas classées. Suite de l'article...

Par Isabelle Rey-Lefebvre. Les classements internationaux des universités Shanghaï, Times Higher Education et Quacquarelli Symonds (QS) œ n'ont pas seulement un retentissement médiatique. Ils ont aussi un réel impact sur les politiques publiques. Les Pays-Bas et le Danemark, par exemple, facilitent l'arrivée de migrants diplômés des universités situées dans le top 200 des grands classements. C'est une des conclusions sévères du rapport rendu public, le 11 avril, par l'Association européenne des universités (EUA) lors de son colloque à Gand, en Belgique.
La Russie alloue 9 milliards de roubles (218 millions d'euros) à ses universités pour les aider à être bien classées et n'envisage de partenariats qu'avec les 300 premières. Elle n'est pas la seule à jouer l'ostracisme. Si l'Inde s'autorise à descendre jusqu'à la 500e université pour nouer des accords d'échange, le Brésil, lui, préfère accorder des bourses aux 100 000 étudiants qui vont dans les établissements les mieux classés. "Des universitaires de Corée et de Chine m'ont clairement fait comprendre qu'ils ne négociaient qu'avec leurs homologues du top 100", raconte Thomas Schöke, de l'université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nürnberg, en Allemagne. Suite de l'article...

Face à l'augmentation des classements internationaux, l'Association des universités européennes vient de publier une étude mitigée. Et ce, alors qu'une tentative européenne souhaite mettre en place son propre classement: l'U-Multirank. Une tentative décriée par la Coordination des universités de recherche intensive françaises (CURIF)…
Il n'est pas possible de comparer les universités suivant leur pays d'origine: voilà le point central défendu par les "anti-classements". Il est en effet bien difficile de confronter des établissements ayant une culture de l'enseignement différente. Ainsi, pour la CURIF (Coordination des universités de recherche intensive françaises), le projet européen U-Multirank, qui doit voir le jour l'an prochain, est voué à l'échec, puisqu'il repose sur les déclarations des universités qui, par nature, sont différentes les unes des autres. Cet organisme n'entend pas empêcher les classements "privés", mais ne souhaite pas voir de fonds publics alloués à des classements dans lesquels elle ne croit pas. Suite de l'article...

Bereits zwei Jahre nach Erscheinen des ersten legt die European University Association (EUA) 2013 ihren zweiten internationalen Ranking-Report vor. Notwenig sei dies angesichts vieler methodischer Differenzierungen der wichtigsten internationalen Hochschulrankings. Gleichzeitig möchte die EUA offenbar eine eigene europäische Rankingkultur etablieren. Torsten Bultmann hat sich die Sache angeschaut. Seine Begeisterung hält sich in Grenzen. Im April 2013 veröffentlichte die European University Association (EUA) ihren zweiten internationalen Ranking-Report mit dem Titel »Global University Rankings and Their Impact – Report II«. Es handelt sich dabei ausdrücklich um ein Update des bereits im Juni 2011 veröffentlichten ersten Reports unter dem gleichen Titel. Mehr...

1. University of Oxford
Number of ultra-high net worth alumni: 401. Average UHNW alumnus net worth: $127m. Wealthy alumnus: financier Nat. Rothschild.
2. University of Cambridge
Number of ultra-high net worth alumni: 361. Average UHNW alumnus net worth: $258m. Wealthy alumnus: Lord Sainsbury.
3. London School of Economics
Number of ultra-high net worth alumni: 273. Average UHNW alumnus net worth: $129m. Wealthy alumnus: investor George Soros.
4. Imperial College London
Number of ultra-high net worth alumni: 127. Average UHNW alumnus net worth: $130m. Wealthy alumnus: Lenovo founder Danny Lui.
5. London Business School
Number of ultra-high net worth alumni: 106. Average UHNW alumnus worth: $152m. Wealthy alumnus: Lonely Planet founder Tony Wheeler.
6. University of Manchester
Number of ultra-high net worth alumni: 102. Average UHNW alumnus worth: $34m. Wealthy alumnus: economist Joseph Stiglitz currently chairs the Brooks World Poverty Institute at the University of Manchester.
7. University College London (UCL)
Number of ultra-high net worth alumni: 99. Average UHNW alumnus net worth: $45m. Wealthy alumnus: PWC co-founder Edwin Waterhouse.
8. University of Nottingham
Number of ultra-high net worth alumni: 92. Average UHNW alumnus net worth: $34m. Wealthy alumnus: Timpson chairman John Timpson.
9. University of Edinburgh
Number of ultra-high net worth alumni: 80. Average UHNW alumnus net worth: $80m. Wealthy alumnus: Art dealer Jay Jopling.
10. University of Birmingham
Number of ultra-high net worth (UHNW) alumni: 68. Average UHNW alumnus net worth: $106m (£69m). Wealthy alumnus: Manchester United chief executive David Gill.

University rankings can lure international students, but some experts fear the league table is unreliable, writes Yojana Sharma. Students intending to study abroad are so used to looking up where universities stand in global league tables that it is easy to forget the rankings are just a decade old - the first was released by Shanghai Jiao Tong University in 2003, creating a huge international buzz.
Since then there has been a profusion of international rankings, mainly published by newspapers and magazines, such as Times Higher Education (THE) and The Guardian in England, and the US News and World Report in America, as well as commercial organisations, such as QS.
International rankings have become so popular that organisations vie against each other to release new lists every year or sub-lists with a tweak - THE's first Asian regional ranking was released on April 10 and QS is planning a Latin American ranking based on "methodology more appropriate to that region".
The main global league tables are timed to coincide with the university applications season - some students wait for the rankings before deciding where to apply. Read more...

Les classements internationaux des universités jugés dangereux
Les universités, influençables? Ce sont les sévères conclusions du rapport de l'Association européenne des universités (EUA), qui s'est réunie à Gand, en Belgique, le 11 avril, lors de son colloque annuel. Selon elle, les politiques des universités se font de plus en plus en fonction de ces classements internationaux.
Classement de Shanghai, Times Higher Education, ou encore Quacquarelli Symonds: ces dernières années, les classements internationaux des universités n'ont cessé de fleurir. Bien plus que de simples classements d'observation, ils deviennent de plus en plus importants aux yeux des universités, qui réorganisent leurs politiques en fonction de ces classifications. Un phénomène que pointe du doigt l'Association européenne des universités…Voir l'article entier...