By Lindsay McKenzie. Average student spending on course materials and college textbooks continues to decline, according to new survey data from research firm Student Monitor. More...
Les dépenses de formation bientôt amortissables ?
L’autorité des normes comptables (ANC) ouvre la voie à l’amortissement d’une partie des dépenses de formation. Une révolution. Plus...
Textbook Spending Down
Dépenses des employeurs déductibles de la taxe d'apprentissage
La taxe d'apprentissage est répartie en deux parties sur lesquelles les employeurs assujettis peuvent imputer certaines dépenses ou versements libératoires : 87 % versés à l'OPCO pour financer de l'apprentissage et 13 % librement et directement versés à divers établissements et organismes ou sous forme de subventions à des CFA. Plus...
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2017
Elles s’élèvent à 139 milliards d’euros (Md€) en 2017, soit 6,1 points de PIB. Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016). Plus...
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2016
Cette étude de la DARES dresse le bilan des dépenses liées aux politiques en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2016. Deux types de dispositifs co-existent sur ce champ :
- « ciblés » sur des publics particuliers comme les demandeurs d’emploi et les personnes en difficulté sur le marché du travail,
- « généraux » dont l’objet est de réduire le coût du travail, notamment pour certains secteurs ou territoires et renforcer les incitations à l’emploi.
Il ressort que les dépenses ont augmenté entre 2015 et 2016 pour ces deux types de dispositifs surtout pour les « généraux ». Plus...
Une dépense moyenne de 8 810 euros par élève
- 6 820 euros pour un écolier ;
- 8 780 euros pour un collégien ;
- 11 200 euros pour un lycéen ;
- 11 470 euros pour un étudiant.
Le montant dépensé pour un étudiant connaît son niveau le plus bas depuis 2008. En revanche, 1 000 euros supplémentaires sont dépensés par rapport à 2008 pour un élève du premier degré.
Au total, la dépense intérieure d’éducation (DIE) est évaluée à 157,2 milliards d’euros pour l’année 2018. La DIE correspond au total des dépenses effectuées en France métropolitaine et dans les départements d’outre-mer (DOM) pour les activités d’éducation et la formation continue. Plus...
L'évolution des dépenses de protection sociale - Depuis les années 2000 : une stabilisation ?
Pourtant, malgré ces mesures stabilisatrices qui montrent une certaine efficacité, les dépenses de protection sociale demeurent très sensibles à la conjoncture économique et financière. Ainsi, la crise de fin 2008 a provoqué une nouvelle hausse de la part des dépenses de protection sociale qui ont atteint un niveau record en 2010 avec 32% du PIB, et se sont accrues depuis lors.
Plusieurs facteurs peuvent être avancés :
- la contraction du PIB en 2009 (-2,5%) et sa faible progression ensuite, qui accroissent mécaniquement le taux de redistribution sociale ;
- la baisse des ressources (cotisations salariales et patronales), liée à la dégradation économique et au chômage ;
- l’augmentation mécanique du nombre de prestations versées sous conditions de ressources (RSA, allocations logement) ou liées à la perte d’emploi (allocations chômage). Plus...
L'évolution des dépenses de protection sociale - Dans les années 1980 et 1990
Cette période est avant tout marquée par un double phénomène :
- l’augmentation des dépenses, liées à la survenue et au maintien d’une crise économique ;
- la mise en œuvre des premiers plans visant à maîtriser les coûts de la protection sociale.
On assiste également à la création de nouveaux minima sociaux, comme le revenu minimum d’insertion (RMI) en 1988, et à l’augmentation des sommes consacrées aux prestations non contributives, c’est-à-dire qui ne sont pas la contrepartie de cotisations (allocation aux adultes handicapés, allocation parent isolé, aide personnalisée au logement).
Parallèlement, des mesures tendant à limiter les dépenses sont prises, notamment en matière de santé et de retraite avec la mise en œuvre de plans d’économie.
Dans le domaine de la santé, on peut citer le plan Bérégovoy de 1982 instaurant un budget global hospitalier, le plan Séguin de 1986 limitant le champ des dépenses couvertes à 100% par l'assurance maladie, le plan Juppé de 1996 qui entraîne une diminution de la prise en charge des consultations de médecins.
Dans le domaine des retraites, la réforme de 1993 augmente le nombre d’années de cotisation nécessaires pour obtenir une retraite à taux plein dans le secteur privé (passage à 160 trimestres de cotisation), et modifie les modalités de calcul des pensions de retraite qui sont dorénavant basées sur les salaires de 25 meilleures années au lieu de 10. Plus...
L'évolution des dépenses de protection sociale - Dans les années 1960-1970
Ces deux décennies marquent l’arrivée à maturité du système de protection sociale français qui :
- intègre progressivement toute la population à un régime de sécurité sociale (loi du 4 juillet 1975 de généralisation de la sécurité sociale) ;
- harmonise le montant des prestations versées notamment entre régimes de sécurité sociale ;
- étend son champ d’intervention à de nouveaux risques comme le chômage ou la protection sociale complémentaire, notamment en matière de retraite ;
- crée ou développe des prestations non contributives, c’est-à-dire qui ne sont pas la contrepartie de cotisations, comme l’allocation aux adultes handicapées (AAH) en 1975, l’allocation parent isolé en 1976, l’aide personnalisée au logement (APL) en 1977. Ces prestations complètent son champ d’intervention en y intégrant des personnes qui ne peuvent pas bénéficier de la protection sociale par le biais de cotisations. Plus...