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Formation Continue du Supérieur
2 octobre 2017

Dépenses de formation : cap sur les demandeurs d’emploi

Emploi Parlons Net, le webzine de l'emploi & du travail (Retour à l'accueil)Tous financeurs confondus, entreprises, Régions, Etat, UNEDIC, Pôle emploi… et ménages, la dépense nationale consacrée à la formation professionnelle continue et à l’apprentissage atteint en 2014 31,6 milliards d’euros, soit 1,5% du PIB (+ 0,9% par rapport à 2013), retrouvant ainsi son niveau d’avant la crise de 2008. L’impulsion gouvernementale et les plans « formations prioritaires des demandeurs d’emploi » ne seraient pas étrangers à cette dynamique. Plus...

21 août 2017

La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2014

C2RP Carif-Oref Hauts-de-FranceEn 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros. Elle progresse par rapport à 2013 (+0,9 %). Rapporté au PIB, l’effort de formation se stabilise (1,5 % comme l’année précédente), soit son niveau d’avant la crise de 2008. Plus...
19 août 2017

La dépense nationale pour la FPC et l’apprentissage en 2014

La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l'apprentissage s'est élevée à 31,6 milliards d'euros en 2014. La Dares analyse cette dépense dans un document disponible sur le site internet du ministère du Travail. Plus...

29 juin 2017

La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2014

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Cette étude est à mettre en regard d'un rapport mis en ligne par le CNEFOP récemment et qui fait état du financement de l'apprentissage en 2014 et qui propose de nombreuses données régionales: mareussitepro.org. Plus...
24 juin 2017

Dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage

http://www.adef06.org/resources/ARRIERE+PLAN.jpgLa part de l’effort global de formation dans le PIB se stabilise
En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros. Elle progresse par rapport à 2013 (+0,9 %). Rapporté au PIB, l’effort de formation se stabilise (1,5 % comme l’année précédente), soit son niveau d’avant la crise de 2008.
Les entreprises demeurent le principal financeur (45,2 % de la dépense globale), les régions conservent la deuxième place (14,2 %) et l’État la troisième (11,8 %).
Par rapport à 2013, la dépense des entreprises augmente (+3,6 %) mais elle baisse pour les régions (-1,7 %) et l’État (-3,7 %).
Les dépenses en faveur des personnes en recherche d’emploi et des actifs occupés du secteur privé progressent respectivement de 4,1 % et 2,9 %.
En revanche, les financements ciblés sur les jeunes diminuent de 2,1 %.
Enfin, la dépense pour la fonction publique territoriale est en recul alors que celles pour les fonctions publiques d’État et hospitalière augmentent.
DARES Résultats 2017-041

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4 février 2017

Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014

La Dares vient de publier une étude sur les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail. Celles-ci s’élèvent à 105 milliards d’euros en 2014, soit 4,9 points de PIB. Voir l'article...

24 décembre 2016

L'état de l'École 2016 - La dépense d'éducation pour l'enseignement supérieur

education.gouv.frPour la vingt-sixième année consécutive, L’état de l’École réunit les indicateurs statistiques essentiels pour analyser le système éducatif français et apprécier les politiques mises en œuvre.

La dépense d'éducation pour l'enseignement supérieur
Pour l’enseignement supérieur, la collectivité nationale a dépensé 30,1 milliards d’euros en 2015. Cette dépense a été multipliée par 2,6 depuis 1980 en euros constants. La dépense moyenne par étudiant a augmenté de 40 % sur la même période et s’élève à 11 680 euros en 2015. La dépense d'éducation pour l'enseignement supérieur.

Pour l'enseignement supérieur, la collectivité nationale a dépensé 30,1 milliards d’euros en 2015. Cette dépense a été multipliée par 2,6 depuis 1980 (euros constants). La dépense moyenne par étudiant a augmenté de 40 % sur la même période et s’élève à 11 680 euros en 2015.
La collectivité nationale a consacré 30,1 milliards d’euros à l’enseignement supérieur en 2015. Depuis 1980, cette dépense a connu une forte croissance (+ 2,7 % en moyenne par an). Son poids dans la dépense intérieure d’éducation (DIE) est passé de 15,1 % en 1980 à 20,3 % en 2015 (tableau 4.1).
La progression de la DIE du supérieur, en euros constants, est contrastée dans le temps. D’abord soutenue de 1980 à 1995 avec une hausse de 4,2 % en moyenne par an, elle n’est plus que de 1,5 % par an de 1995 à 2006. Elle repart ensuite de 2006 à 2009 avec un rythme annuel moyen de 3,5 %, grâce à un effort budgétaire accru sans toutefois atteindre le niveau de progression des années 1980. Depuis 2010, elle croît plus lentement, en moyenne de 1,0 % par an et connaît même un très léger recul en 2012 (– 0,6 %).
Si sur l’ensemble de la période, la DIE au profit du supérieur a été multipliée par 2,6, la croissance de la dépense moyenne par étudiant est moins rapide, car le nombre d’inscrits dans l’enseignement supérieur double sur la période. La dépense par étudiant atteint ainsi 11 680 euros en 2015, soit 40 % de plus qu’en 1980. Dans le même temps, la dépense moyenne par élève du second degré augmentait de 65,9 %. La période 2006 – 2009, qui connaît à la fois une augmentation rapide de la DIE (voir supra) et un ralentissement de la croissance des effectifs inscrits, voit la dépense par étudiant augmenter de 3,5 % en moyenne par an. En revanche, depuis 2009, le ralentissement de la DIE conjuguée à une reprise de la hausse des effectifs se traduit par une baisse de la dépense par étudiant de 0,5 % par an.
Les coûts moyens par étudiant sont très différents selon les filières de formation (figure 4.2). Ils varient, en 2015, de 10 390 euros par an pour un étudiant d’université à 13 760 pour un étudiant de STS et 15 100 pour un élève de CPGE (classe préparatoire aux grandes écoles). Ces dépenses moyennes ont eu tendance à se rapprocher, à partir du milieu des années 2000, mais elles s’écartent à nouveau depuis 2 ans (voir méthodologie ci-contre). Le coût théorique d’un cycle de 3 ans, menant sans redoublement à une licence, est évalué à 31 160 euros en 2015, quand un cycle en 2 ans menant à un BTS reviendrait à la collectivité à 27 520 euros (tableau 4.3).
La part de l’État est prépondérante dans le financement de la DIE pour le supérieur (67,9 %), loin devant celles des collectivités territoriales (10,7 %) et des ménages (9,4 %). Certaines aides directes ou indirectes financées par l’État, et qui bénéficient aux étudiants ou à leur famille, n’apparaissent pas dans la DIE pour l’enseignement supérieur : elles sont d’ordre fiscal (majoration du quotient familial) ou non directement liées au statut étudiant (allocation logement à caractère social). Leur prise en compte (hors versements des régimes sociaux) porterait en 2015 la dépense par étudiant de 11 680 euros à 12 880 euros.
Les comparaisons internationales (qui reposent sur des données nationales pas toujours homogènes) montrent que la dépense annuelle moyenne par étudiant en France est, en 2013, un peu supérieure à celle de la moyenne des pays de l’OCDE (16 190 équivalents dollars contre 15 770).
La dépense d’éducation pour l’enseignement supérieur comprend l’ensemble des dépenses pour les établissements publics et privés de la France métropolitaine et des Dom pour l’enseignement supérieur et les activités liées : oeuvres, bibliothèques et recherche universitaires, administration, etc. (hors formation continue).
Cette dépense est évaluée chaque année par le compte de l’éducation, dont les méthodes, le champ et les concepts évoluent périodiquement. Pour permettre un suivi chronologique, les principales séries de données sont susceptibles de faire l’objet d’une rétropolation, les montants ainsi recalculés peuvent donc différer de ceux des éditions précédentes. Les montants des dépenses de la dernière année sont des montants provisoires.
La baisse de la dépense par étudiant de l’université, plus importante entre 2013 et 2014, est pour moitié due à un changement de périmètre : à partir de 2014, certains établissements dont la vocation première n’est pas l’enseignement et dans lesquels la dépense par étudiant (calculée en rapportant l’ensemble du budget aux faibles effectifs d’étudiants) est particulièrement élevée, ont été retirés du champ de l’université (comme l’institut de physique du globe, le Muséum d’histoire naturelle, etc.). Ne sont plus pris en compte non plus, les élèves des IEP et des écoles d’ingénieurs rattachés aux universités dont les budgets ne sont plus identifiables à partir du RAP 2014. La définition de l’université retenue par le compte de l’éducation est ainsi alignée sur celle des RAP. Le périmètre est inchangé entre 2014 et 2015. Il n’a pas été possible de rétropoler ce mouvement.
Pour les comparaisons internationales, sont également comptabilisées les dépenses de R&D relatives à certains organismes (ex. : CNRS). Les indicateurs internationaux sont présentés en équivalents dollars. Voir l'article...

16 décembre 2016

Pour une majorité de Français, la baisse des dépenses publiques en matière de santé, de retraites et de sécurité...

Par Institut Montaigne. Pour plus de huit Français interrogés sur dix, la baisse des dépenses publiques en matière de santé (90%), de retraites (89%), de sécurité (89%), d’éducation (86%) et de justice (82%) ne serait pas acceptable. Voir l'article...

12 décembre 2016

La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2013

CARIF-OREF Ile de La Réunion Près de 31,2 milliards d’euros ont été consacrés aux dépenses pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2013. Cette dépense globale intègre aussi bien les coûts des formations que les dépenses de rémunération des stagiaires ainsi que les frais d’investissement. Voir l'article...

5 décembre 2016

Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014

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Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail comprennent les dispositifs « ciblés » sur les demandeurs d’emploi et les personnes en difficulté sur le marché du travail, et les dispositifs « généraux » destinés pour l’essentiel à réduire le coût du travail pour certains secteurs, territoires et catégories de salariés. Elles s’élèvent à 105 milliards d’euros (Md€) en 2014, soit 4,9 points de PIB.
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 53 Md€, soit 2,5 points de PIB et poursuivent leur progression à un rythme soutenu (+3,6 % en euros constants après +4,1 % en 2013). Pour l’essentiel, cette augmentation provient de la montée en charge des emplois d’avenir. L’indemnisation du chômage constitue la principale composante des dépenses ciblées (63 %), loin devant les aides à l’emploi – principalement les contrats aidés – (15 %), la formation professionnelle des demandeurs d’emploi (12 %) et les moyens consacrés au service public de l’emploi (11 %).
Les « dépenses générales » atteignent 51 Md€ en 2014, soit 2,4 points de PIB, dont 20,8 Md€ d’allégements généraux de cotisations sociales sur les bas salaires et 18,2 Md€ de crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE). S’y ajoutent les incitations financières à l’emploi (prime pour l’emploi et RSA « activité ») et des mesures en faveur de l’emploi dans certains secteurs d’activité et zones géographiques. Les dépenses générales ont progressé de 12,1 % en euros constants par rapport à 2013. Cette forte hausse est largement imputable à la montée en charge du CICE.
À la lisière de ces politiques en faveur de l’emploi et du marché du travail, certaines dépenses sociales (minima sociaux) représentent en sus 18 Md€ en 2014.

- Dares Résultats 2016-072 - Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail en 2014

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