Un an après l’obtention de leur thèse en 2014, 85 % des docteurs sont en emploi et 91 % le sont trois ans après (1) (2). La moitié des docteurs exerce leur métier dans le secteur public académique et 19 % dans le public hors secteur académique. Le salaire mensuel net médian d’un docteur s’élève à 2 125 euros après un an de vie active en emploi et 2 375 euros après trois ans (3).
Les femmes représentent 44 % des docteurs diplômés en 2014 et ont généralement de moins bonnes conditions d’emploi que les hommes. Les étrangers, eux, représentent 42 % des diplômés d’un doctorat en 2014 et leur taux d’emploi à trois ans est équivalent à celui des Français (environ 90 %). À un an comme à trois ans, neuf docteurs sur dix occupent un emploi de niveau cadre. En revanche, le taux d’emploi stable ne s’élève qu’à 52 % un an après l’obtention de leur diplôme, et à 66 % trois ans après.
Le contraste est marqué selon le secteur d’emploi. Alors qu’un docteur sur deux occupant un emploi dans le secteur académique a signé un contrat à durée indéterminée, cette proportion s’élève à 90 % pour les docteurs employés dans les entreprises. Le contraste est également marqué selon les disciplines.
Tandis que les conditions d’emploi sont très bonnes pour les docteurs en sciences et leurs interactions et en sciences juridiques et politiques, les docteurs en sciences du vivant peinent à trouver un emploi stable et les docteurs en sciences humaines et humanités ont plus de difficultés à trouver un emploi de niveau cadre.
Consulter la brochure R.E.R.S. 2019. Plus...
Les femmes représentent 44 % des docteurs diplômés en 2014 et ont généralement de moins bonnes conditions d’emploi que les hommes. Les étrangers, eux, représentent 42 % des diplômés d’un doctorat en 2014 et leur taux d’emploi à trois ans est équivalent à celui des Français (environ 90 %). À un an comme à trois ans, neuf docteurs sur dix occupent un emploi de niveau cadre. En revanche, le taux d’emploi stable ne s’élève qu’à 52 % un an après l’obtention de leur diplôme, et à 66 % trois ans après.
Le contraste est marqué selon le secteur d’emploi. Alors qu’un docteur sur deux occupant un emploi dans le secteur académique a signé un contrat à durée indéterminée, cette proportion s’élève à 90 % pour les docteurs employés dans les entreprises. Le contraste est également marqué selon les disciplines.
Tandis que les conditions d’emploi sont très bonnes pour les docteurs en sciences et leurs interactions et en sciences juridiques et politiques, les docteurs en sciences du vivant peinent à trouver un emploi stable et les docteurs en sciences humaines et humanités ont plus de difficultés à trouver un emploi de niveau cadre.
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