Le président de l’Université Clermont Auvergne espère, toujours, une issue rapide à la situation. « Il y a la volonté que les choses avancent rapidement. Je pense que tout le monde est d’accord avec ça. S’il n’y a pas de réponse globale à la question, on écourtera le problème. » Plus...
31 janvier 2018
Migrants de la fac de lettres : "La réponse de l’État n’est pas à la hauteur de l’importance du problème"
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