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Formation Continue du Supérieur
24 octobre 2013

Adoptez le contrat de génération !

 

http://www.opcalia.com/fileadmin/templates/images/contenu/logo_opcalia.png- Vous représentez une  TPE/PME de moins de 300 salariés ?
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Opcalia vous propose un accompagnement spécifique pour structurer votre réflexion RH en travaillant sur :

- l’insertion de jeunes professionnels,
- le maintien dans l’emploi des seniors et la coopération entre les générations, pour faciliter les transferts de compétences.

Grâce au soutien financier de l’Etat, cet accompagnement est intégralement pris en charge par Opcalia et l’accès aux aides financières délivrées par Pôle Emploi est facilité.

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24 octobre 2013

Note du CGSP sur la mixité des métiers

 

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Une note du Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) analyse la lutte contre les stéréotypes filles/ garçons, comme enjeux d’égalité et de mixité.
Seuls 17 % des métiers, représentant 16 % des emplois, peuvent être considérés comme mixtes c’est -à-dire comportant entre 40 % et 60 % des deux sexes.
En France, la mixité a globalement progressé dans les métiers les plus qualifiés. La segmentation hommes/femmes reste très forte pour les ouvriers et les employés. Les femmes continuent à tirer parti de leur meilleure réussite scolaire et accroître leur présence parmi les professions les plus qualifiées. En revanche, la segmentation risque de perdurer pour les employés et les ouvriers à l’horizon 2020. Consulter la note du CGSP sur la mixité des métiers. Suite...

24 octobre 2013

Skills shortage not as dire as feared: TD report

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcT_Nff9h-ikpBmYnuLhwfpdK-WHfRbmlQkiLRqCaAdrWrSjx7hXGaW1RwBy Dana Flavelle. Report by TD Economics throws ‘cold water’ on theory Canada faces severe and imminent shortage. Canada’s skills shortage may not be as dire as some people fear, a report by TD Economics says.  The report purports to throw “cold water” on the idea that Canada is facing a severe and imminent skills crisis characterized by large and persistent job shortages and a “lost generation” of younger workers.  Called Jobs in Canada, the report acknowledges that there is some evidence of skills mismatches across certain occupations and provinces, and that the challenges facing younger workers have increased since the Great Recession of 2008. More...

24 octobre 2013

Public Education in Brazil

http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRxVJp9ZasteDjlXTj3fYELVgm253kxGujnw9Xj0R-zJZHh-tdo036cqvoBy Shannon K. O'Neil. When people talk about what holds Brazil back, education tops the list (along with infrastructure). The poor quality of Brazil’s public education system limits students’ capabilities and adaptability, creates mismatches between workers’ skills and companies’ needs, and stifles productivity and entrepreneurship. These limits affect the entire economy—hampering economic growth, competitiveness, research & development, and even oil production (as Petrobras has struggled to find skilled workers for its pre-salt finds). More...

24 octobre 2013

Un tiers des jeunes diplômés ont trouvé leur premier emploi grâce au web

http://www.e-orientations.com/imgs/orientation-etudes-metier-emploi.gifQue ce soit au travers du dépôt d'un CV, d'une candidature spontanée et surtout la réponse à une offre d'emploi, près d'un tiers des jeunes diplômés ont trouvé leur premier emploi par l'intermédiaire d'internet. Une tendance en croissance grâce à l'importance prise notamment par les réseaux sociaux, qui sont devenus de véritables jobboards 2.0.
L'Apec a dévoilé la semaine passée son dernier baromètre sur l'insertion des jeunes diplômés (bac+4 et plus). Sa principale conclusion : les jeunes diplômés éprouvent de grandes difficultés pour intégrer le marché du travail, qu'ils soient issus d'écoles d'ingénieurs, de commerce ou d'universités. Leur taux d'insertion est ainsi au plus bas, tandis que la précarisation des contrats est en forte hausse. Suite...

 

24 octobre 2013

Le recrutement des jeunes diplômés devrait repartir à la hausse !

http://www.e-orientations.com/imgs/orientation-etudes-metier-emploi.gifLes recherches de cadres de la part des entreprises semblent repartir à la hausse pour ce quatrième et dernier trimestre 2013. Une bonne nouvelle, notamment pour les jeunes diplômés, qui apparaissent comme une cible privilégiée, selon le dernier baromètre de l'Apec.
Près d'une entreprise sur deux est prête à embaucher au moins un cadre d'ici à la fin de l'année, selon le dernier baromètre de l'Apec, qui a interrogé 750 entreprises de plus de 100 salariés. Un taux stable par rapport à l'an dernier, mais les recrutements effectifs devraient être, eux, plus nombreux puisque 76 % des entreprises sont certaines de réaliser ces embauches. Suite...

24 octobre 2013

Budget étudiant : la délicate équation entre les études et le logement

 

 

http://www.e-orientations.com/imgs/orientation-etudes-metier-emploi.gifLe site Seloger.com a dernièrement effectué une enquête sur les étudiants et leurs logements. Avec la montée des prix de ces derniers et la baisse du pouvoir d'achat, un étudiant peut-il encore espérer se loger près de son lieu d'enseignement ?
44 % des étudiants recensés en France louent un logement près de leur lieu d'études, affirme l’INSEE. Néanmoins, des concessions sont à faire, notamment en raison du prix du loyer. Le site Seloger.com s'est ainsi intéressé aux étudiants et à leur logement. Suite...

24 octobre 2013

Viadeo lance un campus en ligne pour aider et accompagner les étudiants

http://www.e-orientations.com/imgs/orientation-etudes-metier-emploi.gifAprès les "School Pages", le réseau social professionnel vient d'annoncer le lancement de Viadeo Campus, qui entend aider les étudiants à approcher concrètement le monde du travail.
Les étudiants sont très présents sur le net… sauf quand il s'agit de construire leur future carrière professionnelle. Le réseau social professionnel Viadeo est parti de ce constat pour aboutir au lancement de "Viadeo Campus", une plateforme qui permettra aux acteurs de l'éducation d'accompagner les étudiants dans l'optimisation de leur présence numérique. Une manière de prévoir notamment leur insertion professionnelle au mieux. Suite...

23 octobre 2013

7e Colloque International GeCSO Gestion des Connaissances dans la Société et les Organisations

 

 

http://www.agecso.com/wp/wp-content/uploads/2013/06/BandeauAGeCSO.png

Thème du colloque :

 

Dynamiques cognitives et transformations sociétales :
Comment se forment les connaissances et où nous conduisent-elles ?

 

Aix en Provence, 4, 5 et 6 juin 2014
Université d’Aix-Marseille
Laboratoire d’Économie et de Sociologie du Travail, UMR CNRS

 

APPEL A COMMUNICATION

 

L’émergence d’une économie de l’innovation fondée sur la connaissance (Amin et Cohendet, 2004)[1] (Foray, 2009)[2] provoque de profonds bouleversements sur le plan managérial, en mettant au centre de nos préoccupations la question de l’émergence, de la capitalisation et de la diffusion des connaissances (Nonaka et Takeuchi, 1995)[3]. La gestion des connaissances devient une source de valeur discriminante dans le positionnement concurrentiel des entreprises. En une dizaine d’années, le management des connaissances est devenu progressivement un domaine de recherche à part entière qui se traduit aujourd’hui par l’existence de près de trente revues référencées sur le plan international, avec près de 600 articles publiés annuellement (Blum, 2013)[4]. Mais la constitution d’un champ de recherche lié au couplage « organisation-connaissance » nécessite une véritable interdisciplinarité ; Pour reprendre les mots de Piaget lui-même, que les chercheurs soient en fait « pénétrés d’un esprit épistémologiste assez large pour que, sans négliger pour autant le terrain de leur spécialité, [ils soient constamment capables de voir] les rapports avec l’ensemble du système des sciences » (Piaget, 1972)[5], voire accepter l’émergence d’une certaine transdisciplinarité.
Un tel champ de recherche présente deux propriétés désormais bien identifiées (Ermine et Lièvre, 2013)[6] : tel l’anneau de Möbius, il ne possède véritablement ni intérieur, ni extérieur. En fait, la gestion des connaissances peut être appréhendée comme deux programmes distincts qui peuvent apparaitre opposés, mais convergents.
Le premier prend ses origines dans les organisations à risque qui se posent la question de la formalisation du retour d’expérience avant tout, puis globalement de la question de la gestion des connaissances dans une perspective de fiabilité organisationnelle. C’est une démarche endogène qui vient « de l’intérieur » de l’organisation, plutôt centrée sur la modélisation des connaissances.
Le second part du constat de l’émergence d’une nouvelle configuration de l’économie contemporaine qui met au cœur du fonctionnement de l’entreprise la spirale des connaissances créatrices dans une perspective d’un positionnement concurrentiel par l’innovation. C’est une démarche exogène qui vient « de l’extérieur » de l’organisation, plutôt centrée sur les structures sociales propres à générer les connaissances.
On voit donc que la gestion des connaissances vient à la fois « de l’intérieur » et « de l’extérieur » de l’organisation, elle doit donc concilier ces deux approches de manière totalement imbriquée. Un espace de gestion des connaissances doit donc, à l’instar de la bande de Möbius, « coller » l’approche interne et l’approche externe, au point de ne plus faire de séparation entre ce qui est extérieur ou intérieur dans le patrimoine de connaissances de l’entreprise.
Dans ces conditions, quelle conception des études et recherches doit-on retenir ? On évoque beaucoup les démarches « pluridisciplinaires », « interdisciplinaires », « transdisciplinaires ».
La gestion des connaissances est résolument une démarche que nous qualifions « d’indisciplinaire ». Pour un projet donné il est impossible (et d’ailleurs pas souhaitable) de séparer des approches disciplinaires. Il est d’ailleurs significatif que toute personne qui présente son domaine disciplinaire (et pas seulement en gestion des connaissances) le situe toujours à l’intersection de nombreux autres domaines. Ceci fait qu’on se situe globalement dans un espace où tout est à l’intersection de tout ! Difficile dans ces conditions de séparer des approches disciplinaires spécifiques sur un projet de gestion des connaissances. C’est donc qu’il faut résolument aller vers une approche « indisciplinaire » où chaque acteur apporte son corpus spécifique, mais qu’il sera impossible par la suite de séparer des autres corpus. Cette indisciplinarité suppose une véritable transdisciplinarité au sens de Piaget, c’est-à-dire la nécessité de dépasser les interactions ou les réciprocités entre approches spécialisées pour situer les liaisons au niveau d’un système total remettant alors en cause les frontières stables entre les disciplines.
Les travaux de Piaget (1972) instaurent le concept de transdisciplinarité comme une étape postulée au-delà de l’interdisciplinarité. Pour Jacques Derrida[7], l’entreprise de déconstruction consiste à dépasser une simple dé-disciplinarisation pour en fait déconstruire la différence entre les disciplines.
Dans cette perspective, l’explicitation fine du projet de recherche et de son cheminement en termes de reliance entre différentes disciplines devient un préalable épistémique d’une grande importance. Ceci suppose un troisième programme de recherche sur les fondements épistémologiques du management des connaissances. Ce programme possède des fondements solides (Bateson, Morin, Le Moigne, Varela) qu’il nous faut poursuivre.

 

Dans cet esprit, sous l’impulsion de Jean-Louis Ermine, une communauté francophone de recherche s’est créée, regroupant des chercheurs issus de disciplines différentes : de l’informatique jusqu’à la psychologie du développement en passant par l’économie, la gestion, la sociologie, les sciences de l’éducation, de l’information et de la communication, et, évidemment, le champ des sciences cognitives. Le principe d’un colloque annuel s’est progressivement imposé[8]. Ces manifestations ont regroupé des chercheurs appartenant à une trentaine d’institutions et provenant de six pays. Les dernières manifestations ont fait l’objet de numéros spéciaux en matière de publication : Management International, Knowledge Management : Research and Practices, VINE : Journal of Information and Knowledge Management.

 

Nous voulons mettre l’accent cette année en 2014 à l’Université d’Aix-Marseille sur les transformations sociétales qui s’articulent aux dynamiques cognitives. Nous nous préparons à accueillir près de 200 chercheurs du monde entier ainsi que de nombreuses entreprises qui, comme chaque année, viennent partager leur expérience et se confronter aux perspectives offertes par les travaux scientifiques.

 

Ce 7e colloque s’inscrit dans une perspective « indisciplinaire » et vise à croiser différentes approches académiques dans le but de repérer et de faire émerger les tendances qui se dessinent aujourd’hui dans les domaines suivants : la société de la connaissance en évolution, l’économie de la connaissance, la gestion des connaissances aux frontières et les dynamiques cognitives. Ce colloque a un double objectif. Il s’agit, d’une part, de faire un bilan sur les avancées des analyses théoriques dans le domaine des organisations et, d’autre part, de tenter de comprendre les mutations rencontrées aux frontières et au sein des organisations depuis plusieurs années, et en corollaire de mettre en évidence les principaux enjeux de société liés à ces mutations. Les contributions s’inscrivent donc dans les quatre grandes thématiques suivantes.

 

1. LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE EN ÉVOLUTION

 

Les débats récents autour de la « société de la connaissance » ou « société du savoir », reflètent une nouvelle vision de nos sociétés civiles dans laquelle la connaissance devient LA matière première du processus de développement socio-économique. L’avènement de cette « société de la connaissance » va s’accompagner d’importantes transformations dans le tissu socio-économique dont on appréhende encore difficilement la portée et les implications : quels seront les liens entre les connaissances certifiées par nos institutions et les connaissances développées par les communautés autonomes ? Quelle place prendront les collectifs cognitifs qui tendent à s’inscrire en alternative aux institutions scientifiques ? Comment vont évoluer les liens sociaux, la construction de nouveaux territoires « virtuels » ?

 

2. L’ÉCONOMIE DE LA CONNAISSANCE

 

La connaissance est désormais considérée comme une nouvelle source de richesse et un « nouvel » actif au sein des firmes et des organisations. Pourtant, les économistes n’ont pas attendu le « processus de Lisbonne » pour s’intéresser à la nature de ce bien particulier qu’est une « connaissance », au processus d’élaboration des connaissances (le « knowing » et non pas seulement le « knowledge »). Cette dimension est ainsi au cœur de l’école « évolutionniste » dans laquelle la connaissance est considérée comme un actif immatériel fondamental dans la croissance de l’entreprise, et comme une de ses principales ressources stratégiques. Sa gestion pose cependant de nombreux problèmes en raison de ses caractéristiques : la connaissance est difficilement contrôlable (diffusion involontaire, ou au contraire impossibilité d’accès et de partage). C’est une ressource inépuisable (elle ne se détruit pas par l’usage). Elle s’accumule dans l’organisation, et c’est à travers ce processus d’accumulation et en corollaire son exploitation et sa diffusion que se joue le développement de l’organisation. Aussi, quels sont aujourd’hui les enjeux liés à la gestion de cet actif, comment gérer et protéger au mieux la connaissance ? Quels en sont les acteurs ?

 

3. LA GESTION DES CONNAISSANCES AUX FRONTIÈRES

 

Dans une perspective plus que managériale, la gestion des connaissances ou « Knowledge Management » (KM), est en pleine expansion non seulement dans le monde des entreprises mais dans toute la société. Ses objectifs visent la création, la codification, la capitalisation et la transmission des connaissances au sein, entre les organisations, et au-delà. Ces objectifs sont bien entendu liés à la stratégie inscrite dans le cadre d’un régime d’innovation intensive interne aux organisations. Là encore, de nombreux défis restent à relever : quelle articulation entre stratégie de l’entreprise et management des connaissances ? Comment articuler management des connaissances et chaîne de valeur de l’entreprise ? Comment stimuler l’innovation à travers la gestion des connaissances ? Quelles stratégies de gestion des connaissances adopter ? Comment favoriser la création de communautés de pratique et épistémiques au sein des organisations ? Comment réguler les interfaces entre des communautés de pratique et épistémique, et des organisations, comment gérer les connaissances dans l’entreprise-réseau, comment reconnaitre et gérer les experts ? Comment pratiquer une veille scientifique et technique ? Comment articuler connaissances expérientielles, connaissances scientifiques et compétences collectives ? Quelle place et quelle forme pour le retour d’expérience ?

 

4. LES DYNAMIQUES COGNITIVES

 

Enfin, avec le développement des technologies de l’information et de la communication (TIC), les organisations et toute la société doivent faire face au problème de la « surcharge » d’information, c’est-à-dire de la quantité d’informations à traiter pour permettre aux acteurs de se forger une représentation de leur environnement interne et externe. C’est à ce niveau que se pose le problème du « sens ». En effet, la transformation de l’information en connaissance implique un processus d’interprétation. Ce processus cognitif permet d’exploiter la connaissance dans un contexte donné et donne un sens à l’action. En posant la connaissance comme un objet pluridisciplinaire, les dynamiques cognitives étendent leur champ d’investigation au-delà des sciences et techniques (informatique, interfaces Humain-Machine), et mobilisent également les sciences humaines et sociales (ergonomie cognitive, psychologie du développement, réseaux sociaux numériques). L’ingénierie des connaissances cherche à faciliter la conception de systèmes à base de connaissances. A ce niveau, la difficulté essentielle réside dans la capacité à transférer des connaissances d’un ou plusieurs experts humains dans un outil technique. Là encore de nombreux défis doivent être relevés : quelles méthodes utiliser pour le « recueil » des connaissances, quelles sont les implications d’une dynamique cognitive dans les organisations et la société, à quelles conditions des connaissances sont-elles appropriables ?

 

CALENDRIER DES SOUMISSIONS

23 octobre 2013

cMOOCs and xMOOCs – key differences

By Jenny Mackness. As xMOOCs become more successful and begin to experiment with pedagogies that go beyond the didactic video lecture approach, I have been trying to understand the essential differences between the original connectivist MOOCs such as CCK08 and the current xMOOCs such as those offered by Coursera.

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