Par Daniel Roucous. L’essentiel est d’assurer sa responsabilité, c’est une obligation dans certains cas. Attention au doublon si on vous propose une assurance "universitaire", votre assurance personnelle (multirisques habitation couvrant notamment les garanties d'accidents de la vie - GAV ou individuelle accident etc.) ou celle de vos parents peut être suffisante. Vérifiez. Voir l'article...
Vers une sélection à l’entrée du master
Par Denis Peiron. Désormais, environ 40 % des masters ont bel et bien le droit d’opérer une sélection entre les deux années du cursus, à bac + 5. Mais cette situation n’est pas satisfaisante, estime la ministre de l’éducation, de l’enseignement supérieur et de la recherche. Voir l'article...
Réforme du master: Qu'est ce qui va changer?
Quels problèmes pose le master dans sa version actuelle ?
Le système LMD (licence-master-doctorat), en vigueur depuis 2002, a redéfini les cycles universitaires. Mais la sélection qui existait à bac + 4, à l’entrée des anciens DEA et DESS perdure. Ce qui fait qu’aujourd’hui encore, les étudiants sont sélectionnés à la fin de leur première année de master (M1) sur des critères qui varient : examen du dossier universitaire, tests de sélection ou tirage au sort. Voir l'article...
Le Cédrat, La Jument et La Goule. Trois poèmes préislamiques de ‘Alqama b. ‘Abada, Khidâsh b. Zuhayr et Ta’abbata Sharran.
Le Cédrat, La Jument et La Goule. Trois poèmes préislamiques de ‘Alqama b. ‘Abada, Khidâsh b. Zuhayr et Ta’abbata Sharran.
Il s’agit ici de la traduction de trois poèmes préislamiques, trois questions qui nous mènent de l’histoire même de la poésie arabe préislamique à son interprétation, anthropologique ou mythologique. Le cédrat, c’est le fruit à l’odeur pénétrante, métaphore de la femme en son palanquin, qu‘Alqama b. ‘Abada évoque dans son poème en mîm ; la jument, c’est la monture de l’aïeul que Khidash ibn Zuhayr invoque dans sa Mujamhara comme le symbole de la foi jurée ; la goule, c’est le cryptide associé à Ta’abbata Sharran, qui, dans un poème en lâm, raconte l’avoir rencontrée et tuée.
Traduits de l’arabe, présentés et annotés par Pierre Larcher
Edition bilingue, Collection La petite bibliothèque de Sindbad
Paris et Arles, Sindbad/Actes Sud, 2016, 96 p.
Pierre Larcher, docteur ès lettres, est professeur de linguistique arabe à l’université d’Aix-Marseille ; il a longtemps séjourné, comme enseignant ou chercheur, dans différents pays du monde arabe. Auteur de nombreux travaux de linguistique, il réserve depuis toujours une part de son activité à la traduction littéraire , avec une prédilection pour la poésie arabe préislamique.
Chez Sindbad/Actes Sud ont déja paru : Le Guetteur de mirages. Cinq poèmes préislamiques (2004), Le Brigand et l’Amant. Deux poèmes préislamiques (2012) et, Abû Kabîr al-Hudhalî, Zuhayra ! Quatre poèmes à sa fille sur la vieillesse et la mort (2014).
En savoir plus sur l’ouvrage sur le site d’Actes Sud
En savoir plus sur Pierre Larcher
4e de couverture - 205.5 ko |
Une épicerie solidaire pour les étudiants ouvre à Paris
Par Adrien de Tricornot. Une épicerie solidaire, également lieu d’échanges, de débats et de services associatifs : l’Agoraé de Paris a été inaugurée dans le 13e arrondissement, jeudi 22 septembre, au cœur du nouveau quartier universitaire sur les quais de Seine, au 15, rue Jean-Antoine-de-Baïf, à quelques encablures de l’université Paris-VII-Denis-Diderot ou de l’Inalco. Voir l'article...
« Pour l’entrée en master, une sélection est nécessaire »
Les développeurs, rois du marché de l’emploi en France
« Grâce au tutorat, mes notes en L1 ont progressé »
Par Diane Galbaud. Proposé aux étudiants de première année de licence, le tutorat, soutien personnalisé et gratuit, est assuré par des étudiants au minimum en troisième année de licence, qui sont rémunérés. Voir l'article...
Najat Vallaud-Belkacem souhaite réformer le master pour la rentrée 2017
La ministre souhaite avancer sur ce dossier « dans deux sens » : les universités doivent pouvoir recruter à l’entrée en master et non pas au milieu de celui-ci, de même que tout titulaire d’une licence doit se voir proposer une poursuite d’études s’il le souhaite. Voir l'article...
Un étudiant français coûte en moyenne 14 500 euros par an
La France dépense légèrement plus pour ses étudiants que la moyenne des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). C’est ce qui ressort de l’édition 2016 de son « Regard sur l’éducation », publié jeudi 15 septembre et réalisé à partir des données de 2013. Un étudiant y coûte chaque année environ 14 500 euros, contre 14 000 euros en moyenne pour l’ensemble des pays de l’OCDE. Le pourcentage de diplômés du supérieur est de 34 % (même moyenne que dans l’OCDE), mais avec un niveau de diplômés de cycle court plus élevés en France (15 %) que pour les autres pays de l’OCDE (8 %). Voir l'article...