By Eric Denna - EvoLLLution. 1. What role do university IT professionals play in supporting the development of more business-like management of their institutions?
I worry that we characterize a for-profit business as efficient and the model to be aspired to and not-for-profit as inefficient and something to be overhauled. More...
High-Touch, High-Tech: The Future of Postsecondary Efficiency
By Brendan Aldrich - EvoLLLution. 1. What are some of the biggest challenges to efficiency that higher education institutions struggle with today?
Higher education has the challenge of not having placed a value on efficiency for many years, so it hasn’t been anything they’ve actively sought to achieve. With the financial challenges we face now in higher education, that has changed rather dramatically. More...
Staff Effectiveness and the Modern Efficient Institution
By Kendra Cooks - EvoLLLution. 1. What impact does staff competency have on operational efficiency at a higher education institution?
Staff competency has a direct linkage to operational efficiency, regardless of industry. It’s staff planning, preparation and execution that yields the efficiency gains sought by managers and executive leadership. Unlike other industries, colleges and universities serve multiple constituents that have overlapping, and at times competing, needs. More...
Back-End Automation Leads to Better Student Service and Institutional Savings
By Elizabeth D. Capaldi Phillips - EvoLLLution. 1. What kinds of tasks dominated the time and resources of the student advising staff prior to the implementation of the eAdvisor system?
Advisors had to spend a lot of time on curriculum — what courses should students register for and take each semester to fulfill their requirements. It was particularly complex if a student wasn’t sure what to major in or if a student wanted to change majors. We have more than 290 majors here at ASU, so if a student wanted to change majors, it was a very error-prone [process] and very difficult for an individual to do that. More...
L’Anact lance le 1er numéro de sa "Revue des conditions de travail"
L'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact) a mis en ligne le premier numéro de sa "Revue des conditions de travail", consacré à l’organisation du travail à l’épreuve des risques psychosociaux (RPS).
L'objectif de la revue est de proposer des pistes de réflexion sur ce qui, aujourd'hui, conditionne la qualité du travail et de son environnement.
Consulter la revue. Voir l'article...
Les conséquences de la transformation digitale sur l'emploi
Au sein du marché de l’emploi français, 42% des métiers présentent une probabilité d’automatisation forte du fait de la numérisation de l’économie. Selon une étude du cabinet Roland Berger, l'emploi de 3 millions de salariés serait menacé par la robotisation des tâches d'ici 2025.
Consulter l'étude. Voir l'article...
20 ans de l'Aract : le travail de demain
Pour fêter ses 20 ans d'existence, l’Association régionale pour l’amélioration des conditions de travail (Aract) Poitou-Charentes organise un événement le Jeudi 11 décembre 2014 au Cnam Poitou-Charentes. Tous les financeurs de l'Aract, ses partenaires mais aussi tous les acteurs avec lesquels l'association a travaillé ces 20 dernières années sont conviés pour célébrer son anniversaire.
Inscription en ligne. Voir l'article...
"Les marchés du travail européen et américain dans la crise" - Paris - 6 et 7 novembre 2014
Depuis son déclenchement en 2007, la crise économique a durement éprouvé les marchés du travail européen et américain. Les réactions des marchés du travail des différents pays ont été contrastées : l’emploi a plutôt bien résisté en Allemagne ; au Royaume-Uni, au Danemark, en France, et plus encore aux États-Unis et en Espagne, les destructions d’emploi ont été massives et rapides. Aux États-Unis, la persistance d’un niveau élevé du chômage de longue durée questionne sur les performances des modèles du marché du travail flexibles comparés aux modèles plus protecteurs des personnes.
La crise économique a également plus durement éprouvé certaines catégories de personnes, déjà fragilisées sur le marché du travail. Face à ces difficultés, les pays ont adapté leurs institutions mais de manière différente. Les États-Unis ont renforcé leurs filets de sécurité en allongeant la durée d’indemnisation au chômage pendant que l’Espagne a introduit davantage de flexibilité dans sa législation de l’emploi. Un mouvement de convergence dans les politiques mises en œuvre s’est ainsi opéré de fait entre pays.
Le colloque des 6 et 7 novembre 2014 est organisé autour de quatre thématiques :
- le rôle des institutions dans la réaction des marchés du travail durant la crise ;
- les effets différenciés de la crise sur les travailleurs ;
- la spécificité de la crise actuelle en termes d’évolution de la productivité, des salaires et de l’emploi ;
- les réformes et les ajustements des politiques de l’emploi face à la crise.
Des experts issus des milieux académiques français, européens et nord-américains, et des représentants d’institutions françaises, étrangères et internationales, présenteront leurs travaux sur le sujet, en mettant l’accent sur les enseignements que l’on peut en tirer. Voir le site...
Publication du Livre Blanc des études françaises sur le Moyen-Orient et les mondes musulmans
Ce livre blanc a été rédigé en concertation avec les représentants des équipes de recherche membres du GIS (créé par l’INSHS-CNRS le 1er janvier 2013) dont l’IREMAM avec notamment la participation de Richard Jacquemond et de François Siino (pour la REMM).
« Une attention particulière a été portée aux angles morts de la recherche et aux secteurs en crise, ainsi qu’à la question clé qui commande tout le reste : la politique française de formation sur le Moyen-Orient et les mondes musulmans. La question cruciale de la documentation, notamment des bibliothèques spécialisées, est également au centre des préoccupations de ce Livre blanc »
Pour lire ce livre au format pdf cliquez ici.
Mission : Recherche et Enseignement Supérieur (PLF 2015) - L'indicateur 1.3 : Formation continue (du point de vue de l’usager)
Indicateur 1.3 : Formation continue (du point de vue de l’usager)
Volume "heures-stagiaires" 68 722 124 (2012) nd (2013) 79 625 000 (2014 Prévision PAP 2014) 73 233 274 (2014 Prévision actualisée) 75 488 849 (2015 Prévision) 80 000 000 (2017 Cible)
Nombre de diplômés en formation continue 46 965 (2012) nd (2013) 47 925 (2014 Prévision PAP 2014) 54 179 (2014 Prévision actualisée) 57 786 (2015 Prévision) 65 000 (2017 Cible)
Nombre de VAE 4 016 (2012) nd (2013) 3 957 (2014 Prévision PAP 2014) 4 210 (2014 Prévision actualisée) 4 307 (2015 Prévision) 4 500 (2017 Cible)
Précisions méthodologiques
Source des données :
Données administratives recueillies via le système d'information sur le suivi de l'étudiant (SISE) rempli par les universités et établissements assimilés
et enquête 6 « Bilan des actions de formation continue réalisées par les établissements d'enseignement supérieur » pour les sous-indicateurs 1 et 2.
Enquête 67 auprès des responsables de la VAE (universités et CNAM) portant sur le dispositif de VAE inscrit au livre IX du Code du travail pour les
sous-indicateurs 3.
MENESR/SG/Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance - DEPP
Mode de calcul :
Le 1er sous-indicateur décrit toute l’activité de formation continue, qu’il s’agisse de formations diplômantes et de formations simplement qualifiantes. Il
quantifie transversalement cette activité selon l’unité de mesure usitée en formation continue : « les heures dispensées aux stagiaires ».
Il est obtenu à partir du calcul : produit de la durée d’enseignement par le nombre de stagiaires pour toute l’offre de formation, diplômes nationaux,
diplômes propres d’établissement et stages.
Le 2e sous-indicateur porte de manière plus restreinte sur les formations diplômantes et dénombre les diplômés de formation continue ayant obtenu un
diplôme national ; les diplômes propres d’établissement (DU, certificat,…) ne sont pas pris en compte. Le champ de ce sous-indicateur intègre les
remontées administratives des universités de France métropolitaine, des DOM et des COM. Il a été modifié en 2012 en retirant les CNAM et les écoles
d’ingénieurs. Les données historiques ont été corrigées au RAP 2013.
A l’intérieur du périmètre couvert par le 2e sous-indicateur, le 3e sous-indicateur observe la diplômation conférée via le dispositif de validation des
acquis de l’expérience (VAE) crée par la loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002.
Le 3e sous-indicateur est calculé en faisant la somme des bénéficiaires de tout ou partie de diplômes par validation des acquis de l'expérience
(décisions favorables prises au cours de l'année civile en matière de validations d'acquis de l'expérience ; les chiffres étant transmis par chaque
établissement).
Toutes les données relatives aux diplômés de formation continue proviennent des services de formation continue des établissements via l’enquête
relative au « Bilan des actions de formation continue par les établissements publics d’enseignement supérieur ». Cette enquête, qui couvre un champ
beaucoup plus large, n’est lancée qu’en mai n+1, en sorte que la valeur de l’indicateur pour l’année n n’est disponible qu’au RAP de l’année n+1
Les données relatives à la VAE proviennent des responsables de la VAE, en universités et au CNAM, dispositif inscrit au livre IX du code du travail.
La valeur de l’indicateur pour l’année n n’est disponible qu’au RAP de l’année n+1. Les valeurs de réalisation 2013 seront renseignées au
RAP 2014.
Commentaires :
Le dynamisme global de l’activité de formation continue mesuré à travers le sous-indicateur 1 se poursuit dans la continuité des années précédentes et
devrait se poursuivre au cours des prochaines années du fait de l’incitation ministérielle relayée dans le dialogue contractuel avec les établissements.
Le déplacement des usagers vers les formations courtes non diplômantes observé ces dernières années est particulièrement marqué en 2012. En
revanche, bien que Pôle emploi ne finance plus les formations universitaires (baisse de 12 % des demandeurs d’emplois dans ce type de formations),
le ralentissement attendu de la croissance globale du nombre des diplômés n’est pas encore effectif en 2012 même si le ralentissement est déjà
sensible en matière de VAE.
Le dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE) créé par la loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 et inscrit au code de l’éducation et au code du
travail institue un droit individuel, ouvert à tous, à l’obtention de tout ou partie de diplôme ou certification par la seule validation des acquis de
l’expérience sans passer par la formation, les textes faisant de la validation des acquis de l’expérience un nouveau mode d’accès à la certification au
même titre que la formation initiale, l’apprentissage ou la formation continue.
JUSTIFICATION DES PRÉVISIONS ET DE LA CIBLE
Les cibles 2017 sont fixées en cohérence avec la tendance observée les années précédentes (2006 à 2012) et en regard de l’insistance particulière accordée au développement de la formation continue dans le dialogue contractuel avec les établissements. Une méthode arithmétique de prévisions est utilisée comme référence pour appuyer les choix politiques de fixation des cibles.
La loi relative à la sécurisation de l’emploi publiée le 16 juin 2013 instaure le compte personnel de formation qui favorise l’accès à la formation professionnelle et devrait donc avoir un impact positif sur les chiffres ci-dessus. Celui-ci, mis en place dès l’insertion professionnelle sera conservé tout au long de la vie professionnelle et pourra s’accompagner d’un conseil en évolution professionnelle pour assurer l’information, le conseil et l’accompagnement des personnes qui envisagent de mobiliser leur compte personnel de formation.
De plus, si les premières années de mise en oeuvre de la VAE se sont caractérisées par une forte croissance du nombre de validations et du nombre de diplômes attribués en totalité, les services de VAE semblent avoir atteint leur capacité limite de réponse à une demande, qui rencontre également un problème de solvabilisation du fait de la fin du volet national du fonds social européen sur ce domaine. En conséquence, les valeurs 2013 et 2015 ont été ajustées à la baisse. Les modifications introduites dans le compte personnel de formation par la loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle devraient permettre de relancer les modalités de formations professionnelles et en particulier vers des formations certifiantes courtes. Télécharger le programme n° 150 du PLF 2015.