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Formation Continue du Supérieur
territoires
27 juillet 2013

Derrière le mille-feuille territorial, le cent-mille-feuille numérique français

http://www.ifrap.org/ifrap-dist/img/fondation_ifrap.gifPar Pascal Perez. La libre administration des collectivités locales a abouti à une Tour de Babel avec 100.000 systèmes informatiques ruineux et fermés. Il faut mobiliser les 20.000 informaticiens des collectivités locales afin qu’ils agissent comme les « nouveaux hussards » d’une République numérique moderne.
Des entreprises bancaires, d’assurances, de téléphonie gèrent des millions de clients avec 4 centres informatiques, en incluant des centres de secours en cas de sinistre. L’État, pour ses activités civiles, pourrait se contenter de 4 centres informatiques pour la totalité de ses besoins de communications électroniques. Les territoires resteront-ils avec plus de 100.000 systèmes informatiques publics? Les 36.000 communes et leurs satellites (associations, sociétés d’économie mixte et établissements publics locaux) génèrent une rente pour les équipementiers, les éditeurs de logiciels et les personnels. La redondance des logiciels de gestion de cantines, de bibliothèques, de paie, d’état-civil, … est invraisemblable. Il n’y a pas de dénombrement officiel mais le secteur public local emploierait environ 20.000 informaticiens. Tous les conseils généraux, régionaux et les grandes villes comme Lyon et Paris, construisent des petits bâtiments pour héberger leurs ordinateurs et leurs serveurs. Suite de l'article...
http://www.ifrap.org/ifrap-dist/img/fondation_ifrap.gif Iki Pascal Perez. Nemokama administracija vietos bendruomenių lėmė Babelio bokšto 100.000 pražūtingas ir uždara kompiuterines sistemas. Turime mobilizuoti 20.000 kompiuterių vietines bendruomenes, kad jie veikia kaip "naujų husarai" šiuolaikinės skaitmeninės Respublikoje. Daugiau...
1 juin 2013

RésidMob - fabriquer la mobilité internationale des jeunes sur les territoires

http://www.2e2f.fr/images/uploads/65_400_residmob.pngComment améliorer les politiques en faveur de la mobilité internationale des jeunes? Comment faciliter la coopération entre acteurs d'un même territoire pour que la mobilité s'intègre dans le parcours de jeunes?
8 et 9 juillet 2013,
Saint-Etienne, Cité du Design, 3, rue Javelin Pagnon  42000 Saint-Etienne, Toutes les informations. Soutenez notre démarche de crowd founding (sur kisskissbankbank.com). Présentation prezi du projet ResidMob. Programme - version PDf à télécharger.
« RESIDence de fabrique de la MOBilité internationale des jeunes sur les territoires », est un temps expérimental de capitalisation, de partage d’expériences et de formation - action, sur la question des mobilités, servie par une animation innovante et une approche de design de service public. Réunissant le temps de 2 jours d’échanges et de travail un public diversifié, la manifestation propose d’élaborer collectivement des réponses concrètes aux questions soulevées notamment par les nouveaux programmes européens 2014-2020 et par le chantier n°10 identifié par le Comité Interministériel de la Jeunesse: « accroître et diversifier la mobilité internationale des jeunes ».
RésidMob - Quelle ambition?

A travers nos histoires et nos rôles respectifs, nous constatons la multiplication des dispositifs de mobilité internationale orientés vers l'insertion, le développement des compétences et de l'autonomie des jeunes. Ces dispositifs relèvent aussi bien de l'Europe ou d'autres acteurs internationaux, que de l'État, des collectivités territoriales ou d'initiatives privées.
Les fonds investis et l'attention permanente des acteurs du champ de la mobilité internationale pour la qualité des projets, ne simplifie pas le mille-feuille, complexe et difficilement lisible pour les territoires où ils s'appliquent. Bénéficiaires, porteurs de projet ou décideurs adaptent quotidiennement leurs modes de faire à la multiplicité des acteurs et des types de mobilité (individuelle ou collective, en Europe ou vers d'autres pays, professionnelle ou volontaire).
Dans ce contexte, la fin des expérimentations sociales financées par le Fonds d'expérimentation pour la jeunesse (FEJ), l'arrivée d'une nouvelle génération de programmes européens (programmation 2014-2020), et l'acte III de la décentralisation en France, sont autant d'opportunités pour tirer les enseignements des diverses initiatives menées et pour réinterroger le rôle des territoires dans la mise en œuvre de la mobilité internationale des jeunes.
Aujourd'hui, nous portons une ambition commune d'enrichir les pratiques par l'échange d'expériences et de contribuer à bâtir une offre pertinente, lisible et cohérente sur les territoires.
RésidMob propose de construire des parcours de jeunes, de partager et de comparer les résultats de pratiques innovantes sur la mobilité des jeunes, pour en tirer tous les enseignements et développer une vision prospective susceptible d'améliorer l'action publique. Le forme de travail se veut innovante, avec des ateliers de production destinés à la fabrication d'un "parcours idéal de mobilité".
Les objectifs généraux

La Résidence de Fabrique de la Mobilité internationale des jeunes (RésidMob) propose de construire des parcours de jeunes, de partager et de comparer les résultats de pratiques innovantes sur la mobilité des jeunes, pour en tirer tous les enseignements et développer une vision prospective susceptible d’améliorer l’action publique.
La manifestation s’articule autour de plusieurs objectifs complémentaires:
    * Renforcer les compétences des acteurs agissant dans le secteur de la mobilité.
    * Fabriquer un « idéal-type » de parcours de jeunes sur les territoires.
    * Capitaliser sur les expériences et éclairer le paysage des initiatives.
    * Echanger sur les pratiques partenariales pour améliorer la qualité, la cohérence et la visibilité des politiques territoriales et de l’offre de mobilité de jeunes sur les territoires.
Le(s) public(s)

RésidMob est une rencontre de professionnels, de décideurs et d’acteurs de France et d’Europe agissant sur la thématique de la mobilité. Elle mobilise 96 participants, de la Région Rhône-Alpes (50%), de France et d’ailleurs (50%), invités à venir se former et échanger. Le nombre de places est limité pour chacun des trois dispositifs expérimentaux prévus. Une démarche de mobilisation adaptée aux participants permet une implication en fonction des profils, des espaces et des méthodes. Des équipes hybrides sont constituées par les organisateurs, pour construire le dispositif expérimental global de travail.
RésidMob - Le Format

Pendant 2 jours pleins de travail, 3 dispositifs différents sont proposés pour concevoir et imaginer autrement les parcours de jeunes et le portage des mobilités internationales.
Nous proposons des espaces cloisonnés fonctionnant selon des règles spécifiques, selon des rythmes différents et des méthodes de travail créatives, mobilisant notamment les techniques du design de l’action publique.
Les processus de travail permettent à chaque participant de se former et de mobiliser son expérience comme un atout à mettre en commun (et non comme une insuffisance à compléter).
Les dispositifs se déroulent en parallèle les uns des autres avec des temps communs de convivialité et un temps final de restitution collective.
I - Dispositif 1 : le Laboratoire

Objectif : fabriquer un « idéal-type » de parcours de jeune en mobilité par un support matériel
Participants : 28 (4 groupes de 7 personnes)
Conception de parcours de mobilité internationale pour un jeune. Les groupes hybrides d’acteurs nationaux et/ou internationaux constitués, expérimentent la création de parcours idéaux, s’appuyant sur les outils du design de politique publique. Les groupes sont accompagnés par un designer (DTA). Réflexion parallèle entre les organisations et institutions, et les programmes, dispositifs.
II - Dispositif 2 : l’Atelier

Objectif : capitaliser sur les expériences et éclairer le paysage des initiatives, production d'un support virtuel
Participants : 28 (4 groupes de 7 personnes)
Réinterprétation de parcours existant. En groupes, certaines initiatives issues des expérimentations sociales du Haut Commissariat à la jeunesse ou de projets financés par l’Agence 2E2F viennent nourrir un travail de capitalisation, pour alimenter les relations de coopération sur les territoires. Là encore, nous nous appuierons sur les outils et techniques du design de l’action publique. A partir de deux exemples vécus de porteurs de projets, le but est de déconstruire et de reconstruire les dispositifs afin d'en tirer les forces et les faiblesses. Des outils d'analyse seront proposés à cette fin. Comme pour le Laboratoire, réflexion parallèle entre les organisations et institutions, et les programmes, dispositifs.
III - Dispositif 3 : le Comptoir

Objectif : contribuer à l’amélioration des politiques territoriales, expression de proposition, si possible d'engagements
Participants : 40 personnes
Articulation de politiques publiques, dans une dynamique entre local et global. Une scène ouverte sur les politiques publiques de la mobilité internationale, interrogeant les visées des mobilités et les stratégies mises en œuvre sur les territoires. A partir de la méthodologie des ateliers du futur, les groupes constitués produisent un modèle d’action publique concertée, afin d'en tirer des propositions, des engagements, qui seront restitués et mis en débat lors de la phase finale. Des personnalités faisant référence en France et en Europe sont invitées.
Les réseaux sont mobilisés.
IV- Temps d’interaction et d’échange

Participants : ouvert
Pour poursuivre les travaux, des expositions sont organisées sur les lieux de productions des 3 dispositifs avec un recueil des « feedbacks » par l’ensemble des participants. Une restitution de l’atelier du futur proposé dans le dispositif « comptoir ». Une table ronde élargie vient clore les travaux.
http://www.2e2f.fr/images/uploads/65_400_residmob.png How to improve the policies of the international mobility of young people? How to facilitate cooperation between actors of the same territory that mobility is part of the careers of young?
8 and 9 July 2013, Saint-Etienne, Cité du Design, 3, rue Javelin Pagnon 42000 Saint-Etienne, all information. Support our approach founding crowd (on kisskissbankbank.com). Prezi presentation ResidMob project. More...
13 février 2013

7ème Université d’été Emploi, compétences et territoires

AlphaLa crise: une opportunité pour agir durablement sur les territoires? 7ème Université d’été Emploi, compétences et territoires, 19-20-21 juin 2013, Montpellier.
Présentation générale

L'Université d'été est organisée par la Fondation Université Montpellier 1 entreprendre, la DIRECCTE LR, le Conseil Général de l'Hérault et Montpellier Agglomération en partenariat avec: Amnyos Mutations Economiques, l'ARACT LR, l'Assemblée des Communautés de France, ART-Dév (Centre associé CEREQ de Montpellier), la Chambre de Commerce et d'Industrie de Montpellier, la, Chambre Régionale de l'Economie Sociale, la Conférence Régionale du Travail, la Délégation Générale à l'Emploi et à la Formation Professionnelle, DIDERIS (Université Montpellier 1), les Unités territoriales de la DIRECCTE, le MEDEF, le Pôle Trimatec, l'UNSA, l'Union Professionnelle Artisanale LR.
01-pres-2013« La crise, une opportunité pour agir durablement sur les territoires? »
L'étymologie du mot « crise » nous renvoie au double sens du mot. « Crisis », en latin médiéval, signifie manifestation violente, brutale, moment paroxystique d'une maladie. Plus en amont, on retrouve le mot grec « krisis » signifiant « jugement, décision ». Même idée dans l'étymologie chinoise, où la crise représente à la fois un danger et une opportunité. Elle ne renvoie en aucun cas au sens moderne de rupture ou trouble maladif. Dans toute crise, il y a de facto l'idée d'un choix; sortir de la crise ou s'y enliser. La subir ou la dépasser. La crise correspond donc à un moment clé, charnière, où, en quelque sorte, « tout doit se décider ». D'une certaine façon, la crise c'est « le moment ou jamais ». Autrement dit, la crise renvoie à la fois à l'idée de difficulté et d'opportunité. Ou, plus précisément, à un moment d'opportunité vécu dans la difficulté, une étape dans le processus d'évolution entre un monde connu et rassurant mais qui ne fonctionne plus et un monde à venir et dont l'aspect inconnu inquiète. « Ce que l'on nomme la crise n'est que la longue et difficile réécriture qui sépare deux formes provisoires du Monde » écrit Jacques Attali, dans « les trois mondes » ajoutant « au moins, en levant le voile des illusions, la crise nous pousse à ouvrir grand les yeux. Cet entre-deux fécond relance la créativité, source de nombreux possibles ».
Il est vrai que face à cette situation de « crise », certains vont tout faire pour ignorer ce mouvement qui les agite et continuer dans la même voie, quitte à se « bourrer » de médicaments ou de mesures pour ne pas entendre ce qui se passe en eux. Sauf que ceux-là ne font que retarder le moment où la crise va les déborder. Et d'autres qui vont prêter attention à ce qui se manifeste en eux. Mais ce n'est pas simple. Il y a des résistances, comme à tout changement. La peur, surtout, de lâcher ce que l'on connaît, ce que l'on sait faire, de perdre ses repères et ses certitudes. Bref, la peur de l'inconnu.
Il n'empêche que pour pouvoir faire d'une crise une opportunité, il faut déjà l'admettre, la reconnaître. Mais pas seulement. Il faut aussi vouloir aller y voir de plus près. Cela signifie qu'il ne suffit pas de répéter « nous sommes en crise, c'est la crise ». Non. Il s'agit de saisir ce moment pour s'interroger profondément sur ce qu'il remet en cause, dit de nos nouveaux besoins, de nos manques, de nos dysfonctionnements, quitte à devoir ensuite envisager une plus ou moins grande révolution, personnelle ou collective. Une « bonne » crise est celle qui est suivie d'un véritable changement. Ce qui vaut sur le plan psychique (cf la crise de l'adolescence) l'est aussi sans doute sur le plan économique et social.
La « crise » d'un corps sociétal justifie certes, de fait de son urgence, des « soins » immédiats et appropriés. Mais s'y limiter serait sans doute une erreur. Ce serait faire fi de son autre dimension potentiellement positive et oublier qu'elle constitue le nécessaire voire incontournable révélateur d'un vivier fécond de progrès et d'évolutions pouvant s'inscrire dans la durée. Perturbant par la mise en question de l'équilibre antérieur qu'elle provoque, la crise, passage obligé, difficile certes mais nécessaire, est donc aussi une constituante indispensable de l'accès à une nouvelle étape de la vie collective qu'il convient alors d'inventer.
Dès lors, à l'image du proverbe « ce qui ne tue pas fait grandir », la crise, passage nécessaire pour nous affranchir de systèmes devenus obsolètes parce qu'inadaptés, peut se révéler également un bien. Depuis des millénaires les navigateurs ont su s'appuyer sur des vents apparemment contraires ou perçus comme hostiles voire destructeurs pour s'en faire des « alliés » permettant, par d'autres routes et en explorant d'autres modes de navigation, de changer de cap pour toucher le bon port. De la même façon, la crise, ressentie d'abord et principalement comme facteur de récession, de contraintes, de reculs ou de pertes, quand elle ne sert pas d'alibi à l'immobilisme ou à la résignation, ne pourrait-elle pas constituer une formidable opportunité, un stimulateur de projets? Autrement dit pourquoi ne pas la considérer comme une étape positive et révélatrice, un moment clef et incontournable dans le processus naturel des évolutions et des mutations, pour avancer, réformer, innover, et donc construire, mieux et autrement?
C'est dans cette approche prospective et concrète que s'appuieront tous les travaux de l'Université d'Eté 2013, tant lors de ses tables rondes et débats que lors de ses ateliers où sont conviés tous ceux, « acteurs » de terrain (Etat, partenaires sociaux, entreprises, collectivités…) ou chercheurs (Universitaires, sociologues, économistes…), qui participent directement ou non aux questions touchant au développement des territoires (Pays, Comités de Bassin d'Emplois, Communautés de communes ou d'agglomération…) dans leurs dimensions économiques et sociales, notamment « emplois et compétences ». Un temps privilégié pour échanger, partager réflexions et expériences et, partant, élaborer de nouveaux projets et de nouveaux modes de fonctionnements collectifs avec en fil conducteur « la crise, une opportunité pour agir durablement sur les territoires? ».
Paraphrasant Jean Giraudoux qui, à la fin de sa pièce « Electre », fait dire au « Mendiant », symbole de la connaissance du destin et de la sagesse, au moment où la lumière commence à poindre après une journée et une nuit de révélations, de troubles et de chaos, « cela a un très beau nom, cela s'appelle l'aurore », on pourrait alors dire ce qui peut émerger après une crise « a un très beau nom, cela s'appelle le progrès ».
.Voir aussi sur le blog: 6ème Université d’été Emploi, compétences et territoires, 5ème Université d'été Emploi, compétences et territoires, 4ème Université d’été Emploi, compétences et territoires et Deuxième Université d’été Emploi, compétences et territoires - Montpellier, 27, 28 et 29 août 2008.
Alfa Ghéarchéime: deis a bheith ag gníomhú go hinbhuanaithe i gcríocha? 7 Samhraidh Fostaíochta, scileanna agus na críocha, 19-20-21 Meitheamh 2013, Montpellier.
Forbhreathnú
Tá an Scoil Samhraidh eagraithe ag an Fhondúireacht Ollscoil Montpellier 1 tabhairt DIRECCTE CD, an Chomhairle Ghinearálta den Ceirtleáin Hérault agus Montpellier i gcomhpháirtíocht le: Athruithe Amnyos Eacnamaíoch, ARACT CD, an Thionól na gComhphobal na Fraince , EALAÍN-Dev (CEREQ Associated Ionad Montpellier), an Cumann Tráchtála agus Tionscail na Montpellier, an Cumann, Réigiúnach Eacnamaíocht Shóisialta, an Lucht Oibre Comhdháil Réigiúnach, an Toscaireacht um Fhostaíocht agus Oiliúint gairmiúla DIDERIS (Université Montpellier 1) Aonaid DIRECCTE críochach, MEDEF, an Trimatec braisle, Unsa, an Gairmiúla Aontais Ceardaíochta CD. Níos mó...
19 décembre 2012

Montée en puissance des villes et des agglos sur les questions d’Enseignement Supérieur, de recherche et de vie étudiante

http://www.universite-territoires.org/blog/public/2012/icones/UT_90.pngLa montée en puissance des villes et des agglomérations sur les questions d’Enseignement Supérieur, de recherche et de vie étudiante, exposé de Bernard Pouyet, Président honoraire de l’Université Pierre Mendès-France de Grenoble, publié dans Universités & Territoires n°90. Télécharger la version légère ou la version normale.
Pour introduire les travaux du colloque, Bernard Pouyet a présenté un exposé sur « la montée en puissance des villes et des agglomérations sur les questions d’Enseignement Supérieur, de recherche et de vie étudiante ». D’emblée, l’ancien Président de l’Université de Grenoble et fin observateur de la vie politique de notre pays a souligné que « la synthèse des assises orchestrées par le ministère marquera le rôle majeur des collectivités dans l’Enseignement Supérieur et de la Recherche ».
Bernard Pouyet remonte aux origines des universités en France et constate que « du Moyen-âge à la Révolution Française, les 22 Universités implantées sur le territoire national vont bénéficier du soutien des villes qui les accueillent et qui ont la charge du traitement des maîtres ». Dès l’Ancien Régime, les villes se disputent les universités entre elles. À l’aube de la troisième république, les villes sont mises à contribution pour construire les palais universitaires, comme La Sorbonne que nous connaissons actuellement.
« En France, le développement de l’Enseignement Supérieur est avant tout une affaire d’État ». Dans les années 1960 et 1970, la construction des campus à la française a été de la seule responsabilité de l’État qui les a érigé sans concertation avec les villes, voire contre le consentement des communes supports. L’État met en oeuvre une pensée urbanistique fondée sur le fonctionnalisme et le zonage, produit des campus qui sont en rupture avec la ville. À cette rupture physique va s’ajouter une rupture idéologique et sociétale après les événements de 1968.
La rencontre entre universités, villes et territoires prend forme avec le schéma Université 2000 adopté en 1991. Ce plan d’envergure répond à l’explosion sans précédent des effectifs étudiants. « Des transformations profondes des Universités ont été amorcées avec ce plan ». C’est d’abord un schéma qui mobilise l’ensemble de la nation sur la question universitaire: le gouvernement obtient que sur les 32 milliards de francs investis, la moitié soit supportée par les collectivités locales. « Le coup de bluff ou le coup de génie est bien d’avoir fait payer les collectivités territoriales sans délégation préalable de compétences » analyse Bernard Pouyet.
Attractivité et rayonnement

« Entre autres enjeux, l’Enseignement Supérieur et de la Recherche représentent pour les villes un facteur évident d’attractivité et de rayonnement » poursuit l’orateur. Le plan U3M - Universités du 3ème Millénaire - a d’ailleurs été une sorte de rattrapage pour les universités de la région qui n’avaient pas été concernées initialement, à l’aube des années 2000. Pourtant, les grandes villes vont disposer d’un certain nombre de politiques spécifiques: les pôles européens, les PRES, l’Opération Campus, les Investissements d’Avenir et les IDEX. Autant de programmes qui reviennent sur la diffusion universitaire sur l’ensemble du territoire pour lui préférer une hiérarchisation des sites. Dans les grandes agglomérations, la segmentation entre plusieurs établissements publics d’Enseignement Supérieur, a inscrit les universités dans des réseaux verticaux, souvent de nature disciplinaire. La structuration à l’échelle des sites est aujourd’hui en marche, initiée par les programmes européens, généralisée par les PRES, accélérée par l’Opération Campus et par le IDEX. Cette structuration est souhaitée par les villes qui sont désormais prêtes à les accompagner.
Tendance récente et graduelle

On peut considérer que les problématiques territoriales des universités sont récentes. On observe une montée en puissance du côté des villes, de l’intérêt pour l’université. La prise en considération des villes par les universités s’est construite relativement progressivement, parce que du côté des universités, il a fallu dépasser un certain nombre de préjugés et de méfiances à l’égard d’un monde politique local souvent méconnu ou considéré comme traversé par des pratiques d’irrationalité et de compromission. « Dans un contexte de démocratisation de l’accès à l’Enseignement Supérieur, on peut s’étonner quand même de la relative prudence des universités à se saisir de la question de la vie étudiante et de la difficulté qu’elles ont eu à mesurer l’importance, en cette matière, de la contribution des villes » souligne Bernard Pouyet.
Les élus, rompus aux pièges et aux délices de l’intercommunalité, observent parfois d’un oeil amusé, les querelles d’ego et de rivalités institutionnelles et retardent, ici ou là, le mouvement de structuration des universités. Toujours est-il que la réorganisation des établissements à l’échelle d’un site est en oeuvre. Dès lors que les périmètres des universités et des villes se recoupent, leur relation peut s’organiser sur des bases renforcées. De fait, il faut organiser ce partenariat en rapprochant deux complexités: la nécessité d’identifier les partenaires et organiser la coopération entre les collectivités territoriales.
Gouvernance

« En interne, villes et agglomérations devront se doter vis-à-vis des questions universitaires et scientifiques, d’un véritable pouvoir d’expertise ». Selon la constitution, des complémentarités peuvent voir le jour dans un domaine, sous l’autorité d’une collectivité chef de file. S’agissant de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, on peut penser que la mise en place d’un chef de file reposera sur des négociations âpres entre les régions et les grandes villes. « Il convient d’aller désormais vers la mise en place d’instances stratégiques, organisées conjointement entre les universités et les villes répartissant les responsabilités entre elles » propose Bernard Pouyet.
Pour conclure, « ce rapprochement ville-université devrait s’organiser autour d’un objectif essentiel: le croisement des projets ». À l’échelle d’une agglomération, il est certain que le bloc local a l’expérience de la « pratique du projet ». Les universités accèdent de manière relativement progressive à cette pratique et il est difficile qu’elles développent celle-ci sur une véritable autonomie préalable. Dès lors que les universités diversifient leurs partenariats, elles ont besoin de savoir où elles vont et de se doter de projets pour honorer ces partenariats.
« Dans les grandes agglomérations, la segmentation entre plusieurs établissements a inscrit les universités dans des réseaux verticaux, souvent de nature disciplinaire ». En matière de recherche et d’innovation, la constitution d’écosystèmes, à travers les pôles de compétitivité par exemple, semble constituer la matérialisation d’un maillage territorial entre chercheurs et entreprises, sous l’égide des collectivités. Enfin, en matière de vie étudiante, le croisement des projets devrait se renforcer dans un contexte de crise par l’accès respectif des équipements (bibliothèques universitaires et municipales, installations sportives et équipements culturels). Télécharger la version légère ou la version normale.
Universités & Territoires n°90, au sommaire de ce numéro:
Télécharger Universités & Territoires n° 90. Feuilleter Universités &Territoires n° 90 en ligne.

• L'éditorial d'Hélène Mandroux : "Bloc local stratégique"
    * 3 à 4 : Séance d’ouverture : le temps de la concertation est arrivé.
4 : Trois questions à Faustin Aïssi, Lille Métropole et Vice-Président de l’AVUF.
    * 5 à 6 : La montée en puissance des villes et des agglomérations sur les questions d’Enseignement Supérieur, de recherche et de vie étudiante.
    * 7 à 9 : Quelle contribution des villes au paysage universitaire français ?

    * 10 à 11 : Enseignement Supérieur, recherche et collectivités locales: le croisement de deux systèmes en évolution.

    * 12 à 14 : Focus sur la vie étudiante.
    * 15à17:Quelle pertinenced’une politique de vie étudiante ?
    * 18 à 19 : L’exemple de la Recherche et de l’Innovation.
19: Synthèse des travaux de la matinée et allocution de clôture.
    * 20 : Synthèse de la contribution aux Assises de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Nous vous souhaitons une bonne lecture. Bien cordialement, Nicolas Delesque et Philippe Campinchi.

http://www.universite-territoires.org/blog/public/2012/icones/UT_90.png The rise of cities and towns on issues of higher education, research and student life, presentation Pouyet Bernard, President Emeritus of the University Pierre Mendes France of Grenoble Universities & Territories published in No. 90. Download the light version or the normal version.
To introduce the work of the conference, Bernard Pouyet a presentation on "the rise of cities and towns on issues of higher education, research and student life." From the outset, the former President of the University of Grenoble and keen observer of the political life of our country emphasized that "the synthesis foundation orchestrated by the Ministry mark the major role of the Higher Education and research. "
Bernard Pouyet back to the origins of universities in France and finds that "the Middle Ages to the French Revolution, 22 universities located in the country will benefit from the support of the host cities and are responsible for the processing of masters." From the Old Regime, cities compete for these universities. At the dawn of the Third Republic, cities are leveraged to build palaces university La Sorbonne as we know it today.
"In France, the development of Higher Education is primarily a state matter." In the 1960s and 1970s, the construction of campus to the French was the sole responsibility of the state that was erected without consultation with cities, even against the consent of the common media
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18 novembre 2012

Les actes du séminaire sur la GPEC Territoriale en Poitou-Charentes sont en ligne

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Le séminaire sur la Gestion Prévisionnelle de l'Emploi et des Compétences Territoriale en Poitou-Charentes: « Les territoires se mobilisent pour l'emploi et la compétitivité », a réuni près de 200 personnes, le 5 octobre dernier, à La Rochelle. Ont été abordés le bilan et les perspectives de la démarche de GPECT au niveau national ainsi que les dynamiques en Poitou-Charentes au travers de présentation d’actions territoriales et de filières (Charente et mécatronique, La Rochelle/Rochefort et l’aéronautique, Thouars et la filière bois, etc.).
Retrouvez le programme, les photos du séminaire, les documents présentés ainsi que la synthèse en ligne sur le site internet du Séminaire GPEC Territoriale en Poitou-Charentes.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Το σεμινάριο για το Σχεδιασμό Διαχείρισης για την απασχόληση και τις δεξιότητες εδαφική Πουατού-Σαρέντ: "Το ράλι εδάφη για την απασχόληση και την ανταγωνιστικότητα", παρακολούθησαν περίπου 200 άτομα, στις 5 Οκτωβρίου, Λα Ροσέλ. Συζητήθηκαν τα αποτελέσματα και τις προοπτικές της GPECT προσέγγιση σε εθνικό επίπεδο και τη δυναμική σε Πουατού-Σαρέντ μέσω παρουσίαση των δράσεων εδαφικής και μονοπάτια. Περισσότερα...
17 octobre 2012

La diffusion technologique vers les PME pour l'emploi dans les territoires

Le portefeuille de brevets et de technologie des organismes de recherche s'ouvre aux petites et moyennes entreprises.
Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Innovation et de l’Economie numérique se félicitent du lancement d'une initiative de diffusion technologique dans les territoires, annoncée par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault lors de son déplacement à Bouguenais pour inaugurer l'Institut de Recherche Technologique Jules Verne.
C'est en allant à la rencontre des P.M.E. pour leur donner accès aux dernières technologies que la France gagnera la bataille de la compétitivité. La technologie doit intégrer l'A.D.N. de nos petites et moyennes entreprises (P.M.E.) et nos entreprises de taille intermédiaire (E.T.I.).
S'inspirant de l'expérience réussie de la Direction de la Recherche Technologique du Commissariat à l’Energie Atomique à Grenoble, trois expérimentations, à Bordeaux, Nantes et Toulouse seront mises en place.
Dès janvier 2013, des équipes de chercheurs, d'ingénieurs, véritables ambassadeurs de la technologie, seront recrutées localement pour mettre leur savoir-faire au service des entreprises, afin de doter le tissu industriel d'un outil pour produire, maîtriser et transférer de la technologie innovante.
Avec l'appui majeur des collectivités,  l'implication de l'ensemble des organismes de recherche qui le souhaitent, et le soutien de l'écosystème de la recherche, cette initiative répond à la nécessité de réindustrialiser la France en positionnant notre offre productive nationale sur le terrain de la compétitivité qualité et de la montée en gamme des produits.
Il s'agit d'une initiative audacieuse en faveur de l'industrie, de l'emploi et de la compétitivité.
Patent portfolio and technology research organizations opens to small and medium enterprises.
Arnaud Montebourg, Minister of Relief productive Fioraso Geneviève, Minister of Higher Education and Research, and Flower Pellerin, Minister responsible for Small and Medium Business, Innovation and Digital Economy welcome the launch of an initiative of technological diffusion in the territories, announced by Prime Minister Jean-Marc Ayrault during his visit to Bouguenais to inaugurate the Technological Research Institute Jules Verne
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30 septembre 2012

Le Rôle et la place des Villes dans le paysage universitaire français

http://www.colloques-avuf.com/images/logo.gifLe Rôle et la place des Villes dans le paysage universitaire français - Colloque national - Lille les 22 & 23 novembre 2012
Le paysage universitaire français a connu de fortes évolutions au cours des 20 dernières années et s’apprête à vivre à nouveau des changements importants, préparés très prochainement par les Assises de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, et qui préfigureront peut-être un rôle accru pour les collectivités territoriales.
Alors que les villes n’interviennent généralement  qu’en bout de chaîne, pour cofinancer les gros équipements ou intervenir sur le cadre de vie des étudiants, la LRU, l’opération Campus ou l’Idex, ont déjà conduit beaucoup d’entre elles à une ambition plus globale, dans la mesure où l'enseignement supérieur et la recherche sont des vecteurs importants d'attractivité et de qualification des territoires.
L’Association des Villes Universitaires de France, qui travaille sur ces sujets depuis 1993, a engagé au printemps 2012 des travaux conjoints avec les autres associations du « bloc local »: ADCF, FNAU, AMGVF, FVM, ACUF et avec la Conférence des Présidents d’Université, visant à mesurer le poids réel et méconnu des villes et des agglomérations dans l’ESR en France.  Au sein de l’AVUF,  Lille Métropole a pris en charge les travaux concernant la vie de l’étudiant, qui peuvent maintenant faire l’objet d’une première restitution.
Cette restitution s’effectuera dans un cadre beaucoup plus large, portant aussi sur la valorisation de la recherche et plus généralement sur la place des collectivités locales dans l’évolution du paysage universitaire, avec des débats, des exposés de spécialistes et des tables rondes, au cours des ces deux journées du 22 et 23 novembre à Lille.
Voir aussi Rôle des Villes et des Agglomérations dans le paysage universitaire français.

http://www.colloques-avuf.com/images/logo.gif Role and place of Cities in French universities - National Symposium - Lille on 22 & 23 November 2012
French academic landscape has experienced significant changes over the last 20 years and is ready to live again significant changes soon prepared by Audience Higher Education and Research, and perhaps prefigure enhanced role for local authorities.
While cities are generally involved in the chain end, to co-finance heavy equipment or work on the part of student life, the LRU, the Campus or Idex, have led many of them a broader ambition, to the extent that higher education and research are important vectors of attraction and qualification territories. More...
23 septembre 2012

Animer un relais territorial VAE

En région Rhône-Alpes, les professionnels de la VAE se penchent sur les activités et compétences qu’ils ont à déployer pour accomplir leur fonction d’animation de relais territorial VAE.
Ils ont construit un référentiel d'activités et de compétences qui structure les activités de la fonction, en précise les finalités et les conditions d’exercice, et met en exergue les compétences nécessaires à sa réalisation.
Cet outil permet de mieux faire connaître la fonction et concourt à renforcer l’organisation et la qualité des services d’information conseil qui président à la mise en œuvre de la VAE sur le territoire depuis son origine. L’ensemble des partenaires, État (DIRECCTE), Région et partenaires sociaux, a contribué à sa constitution.
Télécharger le référentiel
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Rhône-Alpes, επαγγελματίες Ουαί εξετάζει τις δραστηριότητες και τις δεξιότητες που χρειάζονται για να αναπτύξουν για την επίτευξη animation ρελέ τους λειτουργία εδαφική VAE.
Έχτισαν μια αποθήκη των δραστηριοτήτων και των δεξιοτήτων ότι η δομή των δραστηριοτήτων της συνάρτησης προσδιορίζει τους σκοπούς και τους όρους της άσκησης, και αναδεικνύει τις δεξιότητες που είναι απαραίτητες για την εφαρμογή του
. Περισσότερα...
16 septembre 2012

Séminaire sur la GPEC territoriale à la Rochelle

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)En partenariat avec la Direccte Poitou-Charentes et l’ARFTLV, la Délégation Générale à l’Emploi et à la Formation Professionnelle (DGEFP) organise un séminaire sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences territoriales le vendredi 5 octobre 2012 à l’espace Encan de La Rochelle.
Y seront abordés le bilan et les perspectives de la démarche de GPEC territoriale au niveau national, les dynamiques en Poitou-Charentes au travers de présentation d’actions territoriales et de filières (Charente et mécatronique, La Rochelle/Rochefort et l’aéronautique, Thouars et la filière bois, etc.).
Inscription obligatoire avant le 21/09/2012. Plus d'informations.
Détail du programme:
10h30 Table ronde: « Gestion des emplois et des compétences: filières et territoires »:
• Rochefort et la filière aéronautique - Jean-Paul Prévidente, Directeur de l’ARACT Poitou-Charentes
• Angoulême et la mécatronique - Jean-Louis Freggy, Directeur du service développement économique du Grand Angoulême
• La Rochelle et la réparation navale de grande plaisance: « refit » - Arlette Maréchal, Directrice de la Maison de l’emploi de La Rochelle, Anne Gary, Directrice territoriale Pôle emploi
• GPEC d’entreprises et GPEC Territoriale: la convergence forcée? - François Infantes, Délégué régional du Medef Poitou-Charentes
12h00 Conclusion apéritive: la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), moteur de l’action de Pôle emploi entre les demandeurs d’emploi et les entreprises - Dominique Morin, Directeur régional de Pôle emploi
13h45 Bilan d’étape et perspectives nationales de la GPEC territoriale Isabelle Eynaud-Chevalier, Chef du service des politiques d’emploi et de la formation professionnelle, DGEFP
14h15 Table ronde: la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences est-elle territorialisable?
• Châtellerault : une démarche d’ensemble pour faire face à la mutation d’un bassin à dominante industrielle - Eric Meunier, Directeur de la Maison de l’économie, de l’emploi et de la formation de Châtellerault
• Services aux entreprises dans les territoires : les groupements d’employeurs dans la GPECT… et perspectives européennes - Cyrielle Berger, Directrice du Centre régional de ressources des groupements d’employeurs
• Transport des voyageurs et pluriactivité à Bressuire - Alain Robin, Directeur de la Maison de l’emploi de Bressuire.
15 août 2012

DIRECCTE - Bientôt le séminaire annuel de la GPECT en Ile-de-France

http://www.idf.direccte.gouv.fr/local/cache-vignettes/L240xH160/Millenaire_compresse_-2-d2c14.jpgDe la méthode à la pratique : les outils expérimentés.
Le séminaire annuel sur la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences territoriale (GPECT) en Ile-de-France aura lieu le jeudi 11 octobre 2012 à Savigny-le-Temple, en Seine-et-Marne.
Cette rencontre sera l’occasion pour les territoires, les entreprises et les acteurs institutionnels de partager ensemble une définition de la démarche GPEC territoriale, ainsi que la méthodologie et les outils relatifs à cette dernière.
Une matinée plénière permettra de poser le cadre et de mettre en lumière des outils et des actions innovantes.
L’après-midi des ateliers autour d’outils liés à une démarche GPECT permettront d’approfondir les échanges.
Inscriptions
Il sera bientôt possible de s’inscrire ici.
Ce séminaire est ouvert à toutes les Maisons de l’emploi et concerne l’ensemble du territoire francilien.
En savoir plus :
Cette manifestation est organisée par les Maisons de l’emploi et de la Formation de Sénart et Melun Val-de-seine et la DIRECCTE.
http://www.idf.direccte.gouv.fr/local/cache-vignettes/L240xH160/Millenaire_compresse_-2-d2c14.jpgThe method to practice: tools experienced.
The annual seminar on Management Planning Territorial Employment and Skills (GPECT) in Ile-de-France will be held Thursday, October 11, 2012 in Savigny-le-Temple, in Seine-et-Marne.

This meeting is an opportunity for the territories, business and institutional stakeholders together to share a definition of GPEC territorial approach and methodology and tools related to it.

A morning session will lay the framework and highlight tools and innovative actions
. More...
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