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Formation Continue du Supérieur
4 octobre 2013

Stages, entrepreneuriat, pépinière d’entreprises... Comment en faire un bon cocktail ?

http://www.universites-territoires.fr/ut/wp-content/uploads/2013/10/UT94_icone2.pngUniversités & Territoires n° 94
Télécharger Universités & Territoires n° 94. Feuilleter Universités &Territoires n° 94 en ligne.
Par Philippe Quéré, président d’Interfaces Compétences. Peut-être plus encore dans une période de crise profonde comme nous la connaissons depuis plusieurs années, l’entrepreneuriat peut être une des pistes envisagée par de jeunes diplômés pour engager leur vie professionnelle. Dans le même temps, l’obtention du diplôme, dont nous savons que le marché du travail français reste particulièrement friand, est une priorité rationnelle et légitime des étudiants. Entre sécurisation d’un parcours de formation d’une part, et engagement dans une démarche expérimentale, risquée, hors des chemins battus d’autre part, l’université, en lien avec les acteurs du territoire, peut-elle proposer des démarches hybrides à ses étudiants ?
L’université Paris VIII Vincennes Saint-Denis, l’agglomération Plaine Commune, et la Pépinière d’entreprises de La Courneuve ont engagé une démarche visant à favoriser la réalisation de stages étudiants au sein d’entreprises naissantes, afin de permettre à des étudiants de s’acculturer au contexte, aux enjeux et méthodes de la création d’entreprise, tout en réalisant leur stage de cursus.
Pourquoi l’université Paris VIII a-t-elle engagé une telle expérimentation ? Stage et volonté d’entrepreneuriat sont-ils des démarches qui peuvent se compléter pour un étudiant ?
Eléonore Bourdeaux, Directrice du SCUIO-IP de l’université Paris 8 : L’université Paris 8 inscrit sa mission d’aide à l’insertion professionnelle au coeur du territoire dont elle est un acteur clé. Les actions mises en place ont un double objectif : développer et consolider les liens déjà existants avec les acteurs sociaux économiques, mais également, favoriser et accompagner les étudiants vers la création d’activités sur ce territoire en dynamique et mutation constantes. L’université Paris 8 souhaite tout particulièrement porter l’accent sur le développement de l’entrepreneuriat notamment social et solidaire. Dans ce contexte, le stage au sein d’entreprises naissantes peut être une expérience déterminante. Il permet aux étudiants une confrontation avec la réalité de terrain et ce qu’elle révèle d’exigences, d’engagement, de difficultés, d’aides et d’accompagnements possibles... Il apporte également à des acteurs économiques originaux, désireux de développer un modèle économique performant, fondé sur des valeurs de progrès, la compétence de nos étudiants.
Les étudiants à la recherche d’un stage orientent souvent leurs recherches uniquement en direction des grandes entreprises sans penser que les PME et TPE peuvent offrir des terrains de stages riches et diversifiés, quel que soit leur projet. Et les TPE/PME offrent la possibilité de réaliser un projet, de mener une action de manière plus autonome ainsi que de participer à l’activité et au développement d’une entreprise encore en création. Du côté des entrepreneurs, accueillir un étudiant d’université est l’occasion d’acquérir une meilleure visibilité de la diversité des formations préparées à l’université en bénéficiant des connaissances et surtout des compétences et aptitudes acquises par les étudiants au sein de leur cursus. Suite...

27 septembre 2013

Palmarès des entreprises où les stagiaires sont les plus heureux

http://www.e-orientations.com/imgs/orientation-etudes-metier-emploi.gifOù fait-il bon de réaliser son stage ? C'est la question que s'est posé l'organisme Happy Trainees, en proposant aux stagiaires un panel de six aspects. Les entreprises en tête du classement sont au coude à coude, et certaines excellent dans des domaines bien spécifiques…
Happy Trainees vient de révéler son classement des entreprises où les stagiaires sont les plus heureux. Cette troisième édition a ainsi permis à 14 000 étudiants issus de 200 écoles d'évaluer 450 entreprises. Différents aspects ont notamment été notés, et les étudiants semblent attachés à l'importance de la progression professionnelle, au management, à l'environnement de travail, à la fierté, à la motivation, ainsi qu'au plaisir. Suite...

9 septembre 2013

Stagiaires en milieu professionnel : un statut encadré

http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSZPxoCAQZCZkb3nBWInzXrM0bbHRraCViQ6c9q2GRPNGJrRAR3RmNj35gVous accueillez un stagiaire dans votre entreprise ou votre administration ?
Un certain nombre de règles sont à respecter : signature d’une convention tripartite, stage intégré à cursus pédagogique, durée limitée, gratification obligatoire pour tout stage supérieur à 2 mois, etc.
Les droits des stagiaires sont une nouvelle fois renforcés par plusieurs mesures de la loi du 22 juillet 2013 afin de limiter les abus :
- Une définition légale des stages est donnée à l’article L612-8 du Code de l’Education.
Le stage correspond à une période temporaire de mise en situation en milieu professionnel au cours de laquelle l’étudiant acquiert des compétences professionnelles qui mettent en œuvre les acquis de sa formation en vue de l’obtention d’un diplôme ou d’une certification.
Le stagiaire se voit confier une ou des missions conformes au projet pédagogique défini par son établissement d’enseignement et approuvées par l’organisme d’accueil.
Le stage ne peut pas avoir pour objet l’exécution d’une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent de l’entreprise, de l’administration publique, de l’association ou de tout autre organisme d’accueil.
La convention de stage devra désormais mentionner un volume pédagogique minimal de formation ainsi que les modalités d’encadrement du stage par l’établissement d’origine et l’organisme d’accueil (Décret à paraître).
- Les cas de dérogation à la durée maximale de 6 mois de stage sont limités :
La durée du ou des stages effectués par un même stagiaire dans une même entreprise ne peut excéder six mois par année d'enseignement. La loi prévoit de limiter les cas dérogatoires. Un décret doit fixer les formations nécessitant une durée de stage supérieure à 6 mois.
- Une gratification est obligatoire pour les stages de plus de 2 mois quel que soit l’organisme d’accueil :
L’obligation de verser une gratification pour tout stage supérieur à deux mois consécutifs effectué au sein d’une entreprise est désormais étendue aux stages réalisés dans une administration publique, d’une assemblée parlementaire, d’une assemblée consultative, d’une association ou au sein de tout autre organisme d’accueil.
Cette obligation s’applique également lorsqu’au cours d’une même année scolaire ou universitaire la durée de stage est supérieure à 2 mois non consécutifs.
Pour en savoir plus, consultez notre dossier sur les stages en milieu professionnel : Accéder à la page.
SOMMAIRE
Stages concernés
Durée du stage : 6 mois maximum
Gratification pour tout stage de plus de 2 mois
Franchise de cotisations et contributions sociales
La cantine et les titres restaurant : incidences sur la franchise
Situation des stagiaires au regard des accidents du travail et des maladies professionnelles
Cas particuliers
Charte et guide des stages
Cas pratique.

3 septembre 2013

Initiation au livre juridique en France du Moyen Âge au XIXe siècle

http://www.enc.sorbonne.fr/themes/bartik/header.jpgInitiation au livre juridique en France du Moyen Âge au XIXe siècle
Objectifs :
Cette formation a pour objectif de donner aux responsables de fonds patrimoniaux des connaissances qui leur permettent de mieux appréhender, identifier et décrire les collections juridiques dont ils ont la charge. Elle s’appuiera notamment sur les riches collections de la Bibliothèque de la Cour de cassation. Les exemples présentés à l’appui des interventions seront choisis de façon à balayer les grands moments de l’histoire de l’écrit juridique du Moyen Âge au XIXe siècle.
Public concerné : professionnels travaillant dans les métiers de la conservation patrimoniale.
Programme :

  • Mercredi 23 octobre matin (Cour de cassation).
    • 9h-12h30 : Le fonds patrimonial de la Bibliothèque de la Cour de cassation (Clément Pieyre)
  • Mercredi 23 octobre après-midi (BnF, département des Manuscrits).
    • 14h30-16h30 : Le manuscrit juridique médiéval (Charlotte Denoël)
  • Jeudi 24 octobre matin (Cour de cassation).
    • 9h-12h : Les différents types de littérature juridique du XVe au XVIIIe siècle (Patrick Arabeyre)
  • Jeudi 24 octobre après-midi (Cour de cassation).
    • 14h-17h : Edition, diffusion et réception du livre juridique en France du XVe au XVIIIe siècle (Annie Charon)
  • Vendredi 25 octobre matin (Bibliothèque Cujas).
    • 9h-10h30 : Connaître et valoriser les périodiques juridiques du XIXe siècle (Catherine Desos-Warnier)
    • 10h30-12h30 : La constitution d’une bibliothèque numérique juridique patrimoniale (Noëlle Balley)

Pré requis : sans
Responsable pédagogique : Annie Charon et Patrick Arabeyre, professeurs à l’École nationale des chartes ; Clément Pieyre, directeur de la Bibliothèque de la Cour de cassation.
Intervenants :

  • Patrick Arabeyre, professeur d’histoire du droit à l’École nationale des chartes ;
  • Noëlle Balley, chef du département des Monographies à la Bibliothèque Cujas ;
  • Annie Charon, professeur d’histoire du livre à l’École nationale des chartes ;
  • Charlotte Denoël, chef du service des manuscrits médiévaux au département des Manuscrits de la Bibliothèque nationale de France ;
  • Catherine Desos-Warnier, chef du département des Périodiques à la Bibliothèque Cujas ;
  • Clément Pieyre, directeur de la Bibliothèque de la Cour de cassation.

Durée : 15 h sur deux jours et demis
Dates : 23, 24 et 25 octobre 2013
Lieux : Bibliothèque de la Cour de cassation (5 Quai de l’Horloge, 75001 Paris), Bibliothèque nationale de France (5 rue Vivienne, 75002 Paris) et Bibliothèque Cujas (2 rue Cujas 75005 Paris)
Nombre de places : 12
Coût :

  • 450 € pour les agents publics de l’État, des collectivités territoriales.
  • 900 € pour les autres publics.

Contact : M. Thomas DEGHAYE, tél. : +33(0)1.55.42.75.02, thomas.deghaye@enc.sorbonne.fr
Retourner le formulaire de préinscription à :
École nationale des chartes, Formation continue, 19 rue de la Sorbonne - 75 005 Paris. Télécharger la présentation du stage.

3 septembre 2013

La fabrication du manuscrit médiéval

http://www.enc.sorbonne.fr/themes/bartik/header.jpgLa fabrication du manuscrit médiéval
Objectifs :
Cette formation a pour objectif de donner aux responsables de fonds médiévaux des outils pour appréhender la diversité des manuscrits dont ils ont la charge et enrichir leurs connaissances sur la fabrication du livre manuscrit, au travers d’exposés théoriques et d’exemples concrets. Elle sera l’occasion d’aborder les principaux aspects de la fabrication du livre au Moyen Âge, depuis l’apparition du codex jusqu’à la reliure, en passant par l’étude des différents supports, la mise en page, l’écriture et le décor. Des éclairages particuliers seront consacrés à certains types de supports ou de livres, comme les palimpsestes ou les manuscrits cisterciens. La formation permettra également de présenter les pratiques en matière de catalogage et de numérisation des manuscrits médiévaux à la Bibliothèque nationale de France. Chaque thématique sera illustrée par la présentation de manuscrits conservés au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France.
Public concerné : professionnels travaillant dans les métiers de la conservation patrimoniale ; chercheurs amenés à étudier les manuscrits médiévaux.
Programme :
Étudier le passage d’un processus métier et d’une production documentaire « traditionnelle » à une dématérialisation de ce processus et de cette production à travers un exposé théorique et l’étude approfondie de plusieurs cas pratiques.

  • Première journée : les différents supports et matériaux, la mise en page, l’écriture, le décor.
  • Deuxième journée : la reliure, les palimpsestes, les manuscrits cisterciens, le catalogage et la numérisation des manuscrits médiévaux.

Pré requis : sans
Responsable pédagogique : Charlotte Denoël, conservateur des bibliothèques, chef du service des manuscrits médiévaux au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France.
Autres intervenants :

  • Nathalie Coilly, conservateur des bibliothèques à la Bibliothèque de l’Arsenal ;
  • Thomas Falmagne, chercheur, Bibliothèque nationale du Luxembourg ;
  • Christian Förstel, conservateur en chef des bibliothèques au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France ;
  • Maxence Hermant, conservateur des bibliothèques au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France ;
  • Amandine Postec, conservateur des bibliothèques au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France ;
  • Dominique Stutzmann, chargé de recherche au CNRS-IRHT ;
  • Marie-Hélène Tesnière, conservateur général des bibliothèques, au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France.

Durée : 14h sur deux jours (9h30-12h30 et 14h-18h)
Dates : 14 et 15 octobre 2013
Lieu : Bibliothèque nationale de France, 5 rue Vivienne – 75002 Paris
Nombre de places : 20
Coût :

  • 420 € pour les agents publics de l’État, des collectivités territoriales.
  • 840 € pour les autres publics.

Contact : M. Thomas DEGHAYE, tél. : +33(0)1.55.42.75.02, thomas.deghaye@enc.sorbonne.fr
Retourner le formulaire de préinscription à :
École nationale des chartes, Formation continue, 19 rue de la Sorbonne - 75 005 Paris. Télécharger la fiche fabrication manuscrit 2013.

3 septembre 2013

Stage "Diplomatique du document numérique"

http://www.enc.sorbonne.fr/themes/bartik/header.jpgStage "Diplomatique du document numérique"
Dans son offre de formation continue 2013, l’Ecole nationale des chartes propose un stage Diplomatique du document numérique, qui se tiendra à Paris du 2 au 4 octobre 2013, sous la coordination de Mme Françoise Banat-Berger, conservateur général au service interministériel des Archives de France et professeur associé à l’École nationale des chartes.
Objectifs :
Appréhender le passage d’une production papier à une production numérique : typologies documentaires, procédures et processus métier, circuits.
Public concerné :
Professionnels des archives et autres professionnels du patrimoine. Ce stage peut servir à la préparation des épreuves écrite et orale des concours interne et externe de conservateur du patrimoine dans la spécialité Archives.
Programme :
Étudier le passage d’un processus métier et d’une production documentaire « traditionnelle » à une dématérialisation de ce processus et de cette production à travers un exposé théorique et l’étude approfondie de plusieurs cas pratiques.

  • Premier jour : Les fondamentaux, de la diplomatique traditionnelle à la diplomatique numérique ;
  • Deuxième et troisième jour : Présentation de deux exemples concrets de dématérialisation : transformations induites sur les circuits et les processus métier, ainsi que sur la production des nouveaux objets numériques, enjeux d’authenticité et de pérennité.

Pré requis : sans
Responsable pédagogique :
Françoise BANAT-BERGER, conservateur général au service interministériel des Archives de France et professeur associée à l’École nationale des chartes.
Durée : 2 jours et demis (15 heures)
Dates : 2, 3 et 4 octobre 2013
Lieu : École nationale des chartes
Nombre de places : 15
Coût :

  • 450 € pour les agents publics de l’État et des collectivités territoriales.
  • 900 € pour les autres publics.

Contact : M. Thomas DEGHAYE, tél. : +33(0)1.55.42.75.02, thomas.deghaye@enc.sorbonne.fr
Retourner le formulaire de préinscription à :
École nationale des chartes, Formation continue, 19 rue de la Sorbonne - 75 005 Paris. Télécharger la présentation du stage.

30 août 2013

RERS 2013 - Les stages effectués dans les universités

http://cache.media.education.gouv.fr/image/2013/46/6/Couverture-RERS-2013_266466.jpgToute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français, déclinée en plus de 180 thématiques.
L’édition 2013 apporte des éclairages nouveaux en fonction de l’actualité et des derniers résultats d’études.
Les étudiants
Les effectifs des étudiants des universités et des écoles d’enseignement supérieur (écoles de commerce, écoles d’ingénieur, etc.) sont présentés selon leurs caractéristiques sociodémographiques et leur répartition territoriale. La scolarisation des jeunes femmes dans l'enseignement supérieur fait l'objet d'une étude spécifique. La connaissance des filières et des flux est complétée d’une étude sur le devenir des bacheliers saisi au travers d’un panel. Les étudiants. Les stages effectués dans les universités.
Présentation

En 2011-2012, 32 % des étudiants inscrits en formation initiale dans une université française en licences professionnelles, en licences générales, en masters, en formations d’ingénieurs et en instituts universitaires de technologie ont suivi un stage. Cette proportion est stable par rapport à l’année précédente.
La proportion de stagiaires augmente à mesure que l’on progresse dans les cursus. Les stages sont courants dans les formations professionnelles et en développement dans les formations générales.
63 % durent deux mois ou plus. Un stage sur deux est gratifié ; dans 60 % des cas, la gratification mensuelle se situe entre 436 € et 600 €. Les stages effectués à l’étranger demeurent rares (9 %), sauf en cursus ingénieur. Un stage sur quatre se déroule en dehors de la région administrative de l’université.
En licence professionnelle, neuf stages sur dix durent au moins deux mois. 81 % des stages sont gratifiés et, parmi eux, 70 % le sont entre 436 et 600 €. Un stage sur dix a lieu à l’étranger.
En licence générale, 13 % des étudiants font un stage : 3 % en L1, 12 % en L2 et 32 % en L3. Les stages de deux mois ou plus sont minoritaires. 22 % des stages sont gratifiés. Parmi eux, 61 % le sont entre 436 et 600 €.
En master, 43 % des étudiants font un stage en première année et 63 % en seconde année. Plus de trois stages sur quatre (79 %) durent deux mois ou plus. Pratiquement un stage sur deux (48 %) est gratifié en première année et trois stages sur quatre en seconde année. 20 % des stages gratifiés dépassent 600 € en M1 et 30 % en M2. Un stage sur quatre se déroule hors région.
En formations d’ingénieurs, la proportion de stagiaires est de 69 % en première année, de 90 % en deuxième année et de 93 % en dernière année. 28 % des stages durent deux mois ou plus en première année, 83 % en deuxième année et 98 % en troisième année. La part des stages gratifiés au-delà de 600 € croît avec l’avancée dans le cursus. S’agissant des stages à l’étranger, ils représentent 1 stage sur 5 sur l’ensemble du cursus, 29 % en deuxième année. Concernant les stages hors région, c’est une spécificité de cette filière, ils atteignent 37 %.
En institut universitaire de technologie, 65 % des étudiants font un stage. Le stage de deux mois ou plus est plutôt rare en première année (12 %) et quasiment la règle en seconde année (78 %). 16 % des stages sont gratifiés en première année et 67 % en seconde année. 74 % des gratifications se trouvent entre 436 et 600 €.
Définitions
Champ
Dans les établissements concernés (France métropolitaine et DOM), sont pris en compte, en formation initiale et en inscription principale au 15 janvier 2012, l’ensemble des étudiants inscrits en cursus L et M (licences professionnelles, licences générales et masters), en formations d’ingénieurs et en instituts universitaires de technologie. Les autres formations (études de médecines, diplôme d’université, doctorat, etc.) ne sont pas comptabilisées. Les étudiants inscrits dans les écoles rattachées aux universités qui ont le statut d’établissement public à caractère administratif selon l’article 43 de la loi n° 84-52 du 26 janvier 1984 ou L 719-10 du code de l’éducation qui leur conservent la personnalité morale et l’autonomie financière, les étudiants inscrits dans les instituts d’études politiques rattachés à une université et enfin les étudiants inscrits dans les formations enseignantes n’entrent pas dans le champ.
Universités
Les universités (établissements publics d’enseignement) sont organisées en unités de formation et de recherche (UFR). On y a également assimilé le centre universitaire de formation et de recherche (CUFR) d’Albi. Le CUFR de Mayotte n’a pas d’étudiants inscrits à la rentrée 2011. Les étudiants de Mayotte sont inscrits dans d’autres universités (à La Réunion notamment).
Stage
Période de formation, d’apprentissage ou de perfectionnement dans une entreprise, un service ou une association. Il a pour objet, d’une part, l’application pratique en milieu professionnel de l’enseignement théorique dispensé à l’étudiant dans le cadre de son cursus, et, d’autre part, de faciliter la transition entre le monde de l’enseignement supérieur et celui du travail.
Gratification
Elle est au minimum de 436,05 euros net mensuel lorsque la durée du stage excède deux mois consécutifs.
Télécharger Les étudiants. Les stages effectués dans les universités.

28 août 2013

Les stages, des tremplins vers l'emploi difficiles à trouver

http://www.e-orientations.com/imgs/orientation-etudes-metier-emploi.gifLes stages permettent de s'insérer plus facilement sur le marché du travail. Mais alors que de plus en plus de jeunes doivent en valider un dans le cadre de leurs études, ils peinent pourtant à trouver une place en entreprise…
Les stages sont un tremplin vers le premier emploi. C'est ce que pensent 88 % des jeunes diplômés et 92 % des employeurs interrogés par StepStone, un site d'annonces en ligne. Ainsi, 74 % des jeunes interrogés ont déjà effectué un stage durant leur cursus, cursus qui intègrent de plus en plus ces stages. Pourtant, 57 % des sondés indiquent qu'il leur est difficile de trouver un stage. Suite...

12 août 2013

Les stages étudiants cadrés par la loi sur l'Enseignement supérieur et la Recherche

http://www.arifor.fr/images/logo-arifor_03.gifLa loi n° 2013-660 du 22 juillet 2013 relative à l’enseignement supérieur et à la recherche comporte quelques dispositions visant à mieux encadrer les stages étudiants en milieu professionnel et à renforcer les droits des stagiaires.
17 articles sont relatifs aux stages en milieu professionnel (articles 24 à 41).
Le texte stipule que le stage correspond à une période temporaire de mise en situation en milieu professionnel au cours de laquelle l’étudiant acquiert des compétences professionnelles qui mettent en œuvre les acquis de sa formation en vue de l’obtention d’un diplôme ou d’une certification. Le stagiaire se voit confier une ou des missions conformes au projet pédagogique défini par son établissement d’enseignement et approuvées par l’organisme d’accueil.
Il précise également que le stage ne peut « pas avoir pour objet l’exécution d’une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent de l’entreprise, de l’administration publique, de l’association ou de tout autre organisme d’accueil. »
Un volume pédagogique minimal de formation ainsi que les modalités d’encadrement du stage par l’établissement d’origine et l’organisme d’accueil seront fixés par décret et devront être précisés dans la convention de stage.
Par ailleurs, le droit à une gratification est désormais prévu pour tout stage supérieur à deux mois effectué au sein d’une administration publique, d’une assemblée parlementaire, d’une assemblée consultative, d’une association ou au sein de tout autre organisme d’accueil.
L’article 24 vient préciser les missions des bureaux d'aide à l'insertion professionnelle (BAIP). Les BAIP visent, au sein de l'université, à favoriser un égal accès aux stages à tous ses étudiants. Il prépare les étudiants qui en font la demande aux entretiens préalables aux embauches. Il recense les entreprises susceptibles d'offrir aux étudiants une expérience professionnelle en lien avec les grands domaines de formation enseignés dans l'université, en vue de leur proposer la signature de conventions de stage. Des statistiques comportant les taux d'insertion professionnelle des étudiants, un et deux ans après l'obtention de leur diplôme, devront être rendues publiques. Chaque élève en sera obligatoirement informé en amont de son orientation dans un nouveau cycle ou une formation supérieure.
Pour en savoir plus.

14 juillet 2013

Unpaid graduate interns are mostly female, report shows

Times Higher EducationBy David Matthews. Almost two-thirds of graduates in unpaid internships six months after leaving university are female, according to new research. An analysis by the Higher Education Careers Services Unit (HECSU) found that less than 1 per cent of graduates were taking the controversial placements. Critics have claimed that unpaid internships exclude young people who cannot rely on their families to support them financially during the placement, and so limit social mobility. Read more...
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