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Formation Continue du Supérieur
27 janvier 2014

La Sorbonne veut lever 60 millions d'euros pour aider les jeunes start-up

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireSelon le Journal Du Dimanche, une quinzaine d'établissements universitaires, regroupés sous l'appellation "Sorbonne Universités", envisagent de lever près de 60 millions d'euros, afin de financer les start-up. Et ainsi limiter la fuite des cerveaux…
Lutter contre la fuite des cerveaux en créant un fonds de capital-risque, tel est le projet de la Sorbonne et d'une quinzaine d'établissements réunis sous l'appellation "Sorbonne Universités", révèle le Journal Du Dimanche. Parmi ces universités, il est possible de citer l'Université de Technologie de Compiègne (UTC), l'Université Pierre et Marie Curie (UPMC), ou encore l'INSEAD. Suite...

23 janvier 2014

Non à la COMUE Paris Lumières !

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. Le PRES Université Paris Lumières est devenu, suite à la loi Fioraso, une communauté d’universités et d’établissements (COMUE) entre Paris 8 et Paris 10. Ce PRES, créé par le décret du 3 octobre 2012, était déjà une fiction (chroniques du blog sur Paris Lumières). Il n’a servi de fait qu’à attribuer, le 12 mars 2013, une place de chef àPascal Binczak, né en 1969, élu président de Paris 8 en 2006, à l’âge de 37 ans. A droite sur la photo, Danielle Tartakowsky, présidente de Paris 8 depuis juillet 2012 (Le Mans, mai 2013). Suite de l'article...

9 janvier 2014

Bordeaux, un monstre institutionnel

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. Bornes feuilles de l’ouvrage de Patrice Brun. De la renonciation comme acte politique, Éditions Le bord de l’eau, décembre 2013. Patrice Brun, président de l’université de Bordeaux 3 Michel de Montaigne de 2009 à 2012, retrace (pages 160 à 164) l’histoire de la fusion des 3 autres universités bordelaises. Il explique pourquoi, lui et son successeur, Jean-Paul Jourdan, se sont opposés à cette fusion, un monstre institutionnel. Jean-Paul Jourdan a organisé un référendum le 25 et 26 avril 2013. Voir l'article entier...
8 janvier 2014

L’Université de Bordeaux est enfin née

logo-sud-ouestPar Catherine Darfay. La fusion de trois des quatre universités bordelaises existe depuis hier.
Ca y est. L'Université de Bordeaux existe pour légalement depuis hier 1er janvier. Elle réunit désormais les universités Bordeaux 1 (sciences et technologies), Bordeaux-Segalen (médecine et sciences de l'homme) et Bordeaux IV (droit et sciences économiques), soit 4 500 étudiants.
But du jeu : donner au nouvel établissement une visibilité internationale grâce à sa taille (ce sera la 3e université française par le nombre de ses étudiants) et favoriser les parcours pluridisciplinaires de plus en plus prisés par les recruteurs. Dans l'immédiat, le nouveau libellé ne changera pas grand-chose pour les étudiants sauf que repérer une formation devrait être plus simple sans en passer par les numéros d'universités qui ne disent rien à personne. Suite...

8 janvier 2014

L'université de Bordeaux est enfin officiellement lancée

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireL'université de Bordeaux a été officiellement créée ce 1er janvier 2014. L'établissement nouvellement constitué regroupe les universités de Bordeaux 1, Bordeaux-Segalen et Bordeaux 4. Objectif de ce rapprochement : faire le poids à l'international, et proposer plus de parcours pluridisciplinaires. 
A nouvelle année, nouvelle université du côté de Bordeaux ! Les établissements universitaires de Bordeaux 1 (sciences et technologies), Bordeaux-Segalen (médecine et sciences de l'homme) et Bordeaux 4 (droit et sciences économiques) ont en effet décidé de se regrouper pour former l'université de Bordeaux. Cette nouvelle entité regroupe pas moins de 45 000 étudiants. Suite...

23 décembre 2013

J’ai mal au regroupement SPC !

http://blog.educpros.fr/pierredubois/wp-content/themes/longbeach_pdubois/longbeach/images/img01.jpgBlog Educpros de Pierre Dubois. Suite des chroniques sur le regroupement Sorbonne Paris Cité. Les universités de Paris 3 Sorbonne Nouvelle, Paris 5 René Descartes, Paris 7 Denis Diderot, Paris 13 Nord ne vont plus fusionner au 1er janvier 2016, comme l’annonçait une Note du Conseil des membres du 3 juillet 2013. 
Le nouveau président de Sorbonne Paris Cité, Jean-Yves Mérindol, élu le 11 décembre 2013, est partisan d’une CUE (Communauté d’universités et d’établissements). La fusion des 4 universités membres ne pourra avoir lieu que dans une seconde étape : cette option reste donc ouverte. Voir l'article entier...
4 décembre 2013

Les universités Pierre-et-Marie-Curie et Paris-Est Créteil se rapprochent

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireUn Collégium, soit un "lieu de confrontation d’idées", est en passe d'être lancé par l'Université Pierre-et-Marie-Curie (UPMC) et l’Université Paris-Est Créteil (UPEC). Un partenariat vient d'être signé entre les deux parties dans cette perspective, avec l'objectif avoué de renforcer leur recherche, leurs formations et leur visibilité à l'international. 
Pour la première fois, deux facultés de médecine mettent en place une coopération dans le domaine de la santé, au sein d'un "Collegium Galilée". L’université Pierre-et-Marie-Curie (UPMC) et l’Université Paris-Est Créteil (UPEC) s’apprêtent en effet à devenir partenaires pour optimiser leurs missions de recherche et de formation. Suite...

4 décembre 2013

Les universités de Bretagne et des Pays de la Loire se rapprochent

Orientations : études, métiers, alternance, emploi, orientations scolaireL'OCDE a dévoilé hier son étude PISA 2012, sur l'évaluation des systèmes éducatifs dans le monde. L'enquête a été réalisée auprès de 510 000 élèves de 15 ans, et il en ressort un trio de tête constitué de Shanghai, de Singapour et de Hong Kong, tandis que la France perd plusieurs rangs. Le point sur tous les enseignements de cette étude triennale.
Hausse des écarts de niveau 

Dans la lignée de la précédente enquête de 2009, l'étude 2012 pointe du doigt une France où les écarts se creusent entre les élèves très performants et ceux qui le sont moins. Un écart qui est de l'ordre de 256 points dans l'Hexagone, contre 239 en moyenne dans les pays de l'OCDE. Surtout, le fossé n'a jamais été aussi grand entre les "bons" et les "mauvais". Suite...

1 décembre 2013

La mise en place des regroupements universitaires et des contrats de site

Sénat - Un site au service des citoyensProjet de loi de finances pour 2014 : Recherche et enseignement supérieur 
D. LA MISE EN OEUVRE DE LA RÉFORME VOTÉE AU DÉBUT DE L'ÉTÉ 
1. La mise en place des regroupements universitaires et des contrats de site 
La loi du 22 juillet 2013 relative à l'enseignement supérieur et à la recherche a transformé, à compter de sa publication, les pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES)14(*) au statut d'établissements publics de coopération scientifique (EPCS), jusqu'alors régis par le code de la recherche, en communautés d'universités et établissements (COMUE) au statut d'établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP), régies par le livre VII du code de l'éducation. Les nouveaux statuts de ces établissements doivent être adoptés dans le délai d'un an à compter de la publication de la loi et devront être approuvés par décret. Les PRES ayant le statut de fondation de coopération scientifique disposent d'un délai d'un an à compter de la publication de la loi du 22 juillet 2013 précitée pour décider de la forme de regroupement universitaire qu'ils souhaitent adopter. Dans le cas général, ces futurs regroupements se construisent sur la base de leurs périmètres actuels.

La réforme adoptée au début de l'été 2013 a posé le principe d'une obligation faite aux établissements d'enseignement supérieur, sur un territoire donné, de se regrouper en choisissant l'une des modalités ouvertes par la loi : fusion, communauté d'universités et établissements, association par convention à un établissement ou combinaison de ces dispositifs. Il s'agit de répondre à l'objectif de constituer, sur le territoire national, une trentaine de nouveaux ensembles universitaires, qui devraient prendre majoritairement la forme de communautés d'universités et établissements. Sur chaque site, les regroupements peuvent aussi associer les organismes de recherche partenaires et les établissements relevant d'autres ministères.

Il est également prévu que la coordination de ces regroupements soit organisée par un seul établissement d'enseignement supérieur pour un site donné (académique ou inter-académique). Un seul contrat pluriannuel de site sera conclu entre le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche et les établissements regroupés relevant de sa tutelle.

L'instrument privilégié de cette régulation territoriale repose sur un contrat de site entre l'État et l'ensemble des établissements regroupés, qui comporte un volet commun pour la coordination de l'ensemble de l'offre de formations supérieures sur le site et des volets spécifiques pour chacun des établissements. Ce contrat favorisera également le dialogue avec les autres acteurs partenaires, aussi bien les organismes de recherche que les collectivités territoriales, et en particulier les régions. Une trentaine de contrats de sites devraient à terme être signés, en lieu et place de la centaine de contrats d'établissement actuellement en cours.

D'ores et déjà, une expérimentation de cette contractualisation a été engagée pour les contrats quinquennaux de la vague C concernant la période 2013-2017. Trois sites - Alsace, Lorraine et Avignon - ont ainsi signé, en juin 2013, les premiers contrats de site avec la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche. Les moyens accompagnant ces trois contrats correspondent à huit millions d'euros (quatre pour la Lorraine, trois pour l'Alsace et un pour Avignon) sur cinq ans et 80 emplois en 2013, pris sur le contingent des 1 000 postes créés par an sur la période du quinquennat en faveur de la réussite en licence.

L'exemple de l'Alsace démontre que l'autonomie politique et de gestion des établissements peut être préservée dans le cadre de la contractualisation de site. En effet, un comité de pilotage, au sein duquel sont représentés à parité les représentants des établissements partenaires15(*), a été mis en place. En l'absence de structure fédérative réunissant et chapeautant l'ensemble des partenaires, les moyens sont distribués entre chaque établissement selon un partage arrêté par la direction générale pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. Pour autant, les dirigeants des établissements n'ont pas écarté la possibilité d'approfondir la coopération de site, la coordination des politiques et la mutualisation des moyens dans un certain nombre de secteurs, tels que la carte des formations et le schéma de vie étudiante16(*).

À l'occasion du colloque annuel du réseau des vice-présidents des conseils scientifiques des universités organisé les 28 et 29 août 2013 à La Rochelle, le directeur général de la recherche et de l'innovation du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, M. Roger Genet, a rappelé que « la loi ne caporalise pas le système. Elle fixe un cadre juridique aux politiques de site mais laisse les acteurs s'organiser eux-mêmes selon des modalités d'association qui peuvent être différentes. Et la loi reste très permissive sur l'ambition, la vitesse et les compétences que chaque site décidera d'adopter ».

Votre rapporteure pour avis relève qu'en pratique, la logique qui préside à la constitution des regroupements universitaires dépend fortement des spécificités des territoires concernés. À titre d'exemple, les quatre universités de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, bien qu'elles aient l'habitude de se concerter sur une base régulière, ne préparent pas de projet de regroupement. La priorité de l'Université d'Aix-Marseille est de consolider la fusion opérée le 1er janvier 2012. En outre, sur l'ensemble de la région, les caractéristiques et les besoins des bassins d'emploi diffèrent d'un territoire à l'autre. Dans ces conditions, les présidents d'université n'entendent pas aller, pour l'heure, plus loin qu'une réflexion sur la mise ne cohérence et le renforcement de la complémentarité de leurs offres de formation en premier cycle.

Néanmoins, les établissements de la région PACA étudient la possibilité d'une évolution vers le statut d'association, sur la base d'un projet déjà conduit en commun, la mise en place de l'école supérieure du professorat et de l'éducation (ÉSPÉ), en envisageant le développement de parcours de formation communs sur plusieurs sites.

La mise en place des écoles supérieures du professorat et de l'éducation (ÉSPÉ), en application de la réforme de la formation des enseignants prévue par la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République, s'inscrit précisément dans ce contexte particulier de réorganisation du paysage universitaire. La nécessité de créer une ÉSPÉ par académie pousse les universités situées sur un territoire à s'accorder sur la forme que doit prendre leur regroupement et sur l'établissement qui est destiné à accueillir l'ÉSPÉ.

Malgré la présence de quatre PRES et un paysage universitaire très concurrentiel lié à la présence de plusieurs initiatives d'excellence (idex) financées par le programme des investissements d'avenir, une ÉSPÉ unique a pu être créée dans l'académie de Paris, rattachée à l'Université Paris IV-Paris Sorbonne qui appartient au PRES Sorbonne Universités. Un accord a été négocié par les présidents de PRES, preuve que la création de l'ÉSPÉ s'articule efficacement avec l'existence de COMUE, puisque celles-ci ont aidé à dépasser les divisions entre les universités et établissements et à poser les fondements de leur partenariat et de leur collaboration. Cet accord a été facilité par la mise en place d'un comité interuniversitaire de suivi, sans pouvoir décisionnel, qui a permis de dépasser les enjeux de pouvoir et de préséance. Ce comité a essentiellement pour mission de « vérifier, la cohérence et l'évolution de l'offre de formation coordonnée par l'ÉSPÉ ainsi que son adossement à la recherche, d'examiner l'utilisation des moyens consolidés apportés aux formations de l'ÉSPÉ par l'ensemble des établissements, et de s'assurer de leur adéquation avec les missions confiées à l'ÉSPÉ ».

Six établissements sont ainsi partenaires de l'ÉSPÉ, regroupés au niveau des PRES suivants : le PRES Hautes études Sorbonne Arts et métiers - HÉSAM - avec Paris I, le PRES Sorbonne Paris Cité avec Paris III, Paris V, Paris VII et l'Institut national des langues et civilisations orientales - INALCO - et le PRES Sorbonne Universités avec Paris IV et Paris VI. Les seules universités parisiennes intra-muros qui ne participent pas à l'ÉSPÉ sont les universités Paris II et Paris IX, pour lesquelles la formation des enseignants ne constitue pas pour l'heure un coeur de métier.

Il est à noter que le quatrième PRES parisien, Paris Sciences et lettres, qui comprend l'École normale supérieure (ENS) de la rue d'Ulm, n'a pas souhaité s'associer au projet d'ÉSPÉ. À l'inverse, dans l'académie de Lyon, l'ÉSPÉ a été créée avec la participation de l'ENS de Lyon. Autant d'exemples qui tendent à confirmer la souplesse et la créativité permises par la loi, pour autant que les objectifs fondamentaux soient bien partagés.

* 14 À l'exception de trois d'entre eux (Agreenium, Condorcet et ParisTech).

* 15 Université de Strasbourg, Université de Haute-Alsace, Institut national de sciences appliquées de Strasbourg et Bibliothèque nationale de Strasbourg.

* 16 Dépêche n° 183640 de l'agence d'informations spécialisées AEF, en date du 4 juin 2013.

23 juin 2013

Le groupe UT se structure, l’UTC pleine d’ambitions

http://www.headway-advisory.com/blog/wp-content/themes/headway/images/logo.jpgPar Olivier Rollot. Le groupe UT se structure, l’UTC pleine d’ambitions: entretien avec Alain Storck, président de l’université de technologie de Compiègne et du groupe UT. Classée deuxième dans la catégorie postbac ans dans le classement 2013 des écoles d’ingénieurs de l’Etudiant, l’UTC est l’une des plus belles réussites de l’université française. Appelé à sa présidence en 2011, Alain Storck, ancien directeur de l’Insa Lyon, travaille à la fois à la constitution d’un réseau avec les autres universités de technologies (le Groupe UT qu’il préside) et sur le développement de son université dans une ville qui paraît parfois bien petite pour recevoir un établissement de cette taille.
Olivier Rollot : Dans tous les mouvements de rapprochement qu’effectuent aujourd’hui les écoles d’ingénieurs, on pense à l’institut Mines Télécom ou au réseau des écoles centrales par exemple, on désespérait un peu des universités de technologie (UT) de Compiègne, Belfort-Montbéliard et Troyes. Or vous venez enfin de créer un réseau. Pourquoi avoir tant attendu?
Alain Storck :
Après un premier mouvement de rapprochement qui avait avorté, du fait sans doute de la trop grande importance de Compiègne, après un second entre Belfort-Montbéliard et Troyes qui avait, semble-t-il, achoppé sur les questions de territoire, nous nous sommes dits, avec Pascal Brochet pour l’UTBM et Christian Lerminiaux pour l’UTT, qu’il fallait relancer la dynamique et créer unGroupe UT sur le modèle des commissions du groupe des Insa que j’avais créées.… Lire la suite.
http://www.headway-advisory.com/blog/wp-content/themes/headway/images/logo.jpg By Olivier Rollot. The UT group structure, full of ambition UTC: Interview with Alain Storck, president of the University of Technology of Compiègne and UT group classified second in the postbac years in the 2013 ranking engineering schools. Student, the UTC is one of the greatest successes of the French university. More...
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