C'est un nouveau concept de résidence universitaire. La résidence Wangari-Maathai, à Nantes (44), propose à des étudiants boursiers, en première année, un accompagnement à la réussite. 
« Il existe des programmes pour promouvoir l'égalité des chances d'accès à l'enseignement supérieur et la réussite des jeunes jusqu'en terminale. Mais ensuite, il n'y a plus rien, souligne Jean-Jacques Audureau, responsable de la vie étudiante au Crous. D'où l'idée d'apporter quelque chose de complémentaire à ces « Cordées de la réussite » et d'accompagner aussi les étudiants lors de leur première année dans l'enseignement supérieur. » 
La résidence de la réussite Wangari-Maathai propose, 2, chemin de Launay-Violette, près du campus du Petit-Port, à Nantes (44), un hébergement « basique » de résidence universitaire, mais aussi « un accompagnement dans la découverte du monde étudiant, des méthodes de travail et une aide à l'insertion dans la ville ». More...

Le réseau d'associations étudiantes, Animafac, lance l'appel à projets LA RIPOSTE dont l’objectif est de récompenser des initiatives citoyennes créatives et originales réalisées par des étudiants. En plus d’une dotation, les lauréats seront accompagnés par le centre de ressources d'Animafac et pourront bénéficier d'un espace de travail au sein d'un nouvel incubateur de projets étudiants sur Paris. La date limite des candidatures est fixée au 20 décembre prochain.

En savoir + > Appel à projets : étudiants, participez à LA RIPOSTE !

Blog Educpros de Romain Pierronnet. Connaissez-vous le FSDIE ? Derrière ce sigle se cache le Fonds de Solidarité et de Développement des Initiatives Etudiantes, une enveloppe destinée à accompagner les projets portés par les étudiants. Comme chaque année, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR) en publie une synthèse d’utilisation, basée sur une enquête menée auprès des établissements.  Un regard intéressant sur les pratiques en la matière, sur le soutien des universités à la vie associative mais aussi en matière d’aides sociales. Quelques rappels et interrogation avant de décortiquer cette enquête.
Il est bon de rappeler que le FSDIE :
- est essentiellement abondé par un prélèvement sur les droits d’inscription (dont s’acquittent les étudiants non-boursiers des universités). Le montant de ce prélèvement est à l’heure actuelle d’au moins 16€ (fixé dans le cadre de l’arrêté annuel sur les droits d’inscription – le texte d’août 2013 ici) mais rien n’interdit à un établissement d’aller au delà (voir notamment ci-après la question des étudiants boursiers)
- son fonctionnement fait l’objet d’une circulaire, dont la plus récente est celle de novembre 2011 dont j’ai déjà pu dire quelques mots lors de sa publication. Je ne referai pas le débat (ne serait-ce que parce que je ne suis pas juriste) sur le caractère prescriptif ou non de cette circulaire, mais toujours est-il que l’utilisation du FSDIE dans les universités revêt de multiplies réalités et modalités. Suite...

By Jennifer Polk. As a graduate student I had relatively little support and guidance. I say this not to denigrate my supervisors or imply lesser service from my department or university. Not at all. In fact, I would have told you back then that all was well — I much preferred the hands-off approach to dissertating, feeling strongly that if I was left to get things done, they would indeed get done the way they needed to be. Well, I was partly right. What I didn’t realize was that a different kind of help would have likely gotten me through my dissertation quicker and easier, while still allowing me the autonomy I valued. More...