
Voici quelques chiffres relatifs aux actions mises en oeuvre de 2007 à 2011 :
- Les dispositifs régionaux : formations 2010 - 2011 >> en savoir +- Programme Régional de la Formation Professionnelle 2007 à 2010 >> en savoir +. Plus...
Les employeurs peuvent bénéficier d'un accompagnement pour préparer le recrutement et l'intégration de personnes en insertion de niveau CAP ou infra. Plus...
En complément des enquêtes d'insertion, les suivis de dispositifs permettent de mesurer le déroulement d'un dispositif durant ses différentes phases. On peut ainsi constater l'évolution des indicateurs afin d'ajuster la politique mis en œuvre et d'anticiper les résultats attendus. Plus...
By Grace Bird. Federal study finds that 72 percent of a nationally representative sample had some college, and plurality of those who didn't earned $10,000 or less. More...
Nous nous proposons de mettre ici, au fur et à mesure qu’elles nous arrivent, les différentes motions des sections du CNU sur le « suivi de carrière ».
Sans être sur le principe défavorable à certaines formes d’évaluation des enseignants-chercheurs, QSF s’est opposée au décret sur ce « suivi de carrière » est en a dénoncé les effets pervers. Voir l'article...
Le décret n° 2014-997 du 2 septembre 2014 sur les dispositions statutaires communes applicables aux enseignants-chercheurs a remplacé leur évaluation quadriennale par le « suivi de carrière ». Le Bulletin officiel n° 20 du 14 mai 2015 définit ainsi le suivi de carrière : « [il] consiste en un examen individualisé et périodique de la situation professionnelle de l’enseignant-chercheur permettant son accompagnement durant l’ensemble de sa carrière par la formulation de recommandations. L’objectif sera de faciliter la réalisation des projets professionnels des enseignants-chercheurs dans le cadre des politiques de recherche et de formation mises en œuvre par les établissements d’enseignement supérieur ». Voir l'article...
Sur le blog "Histoires d'universités" de Pierre Dubois. Il y eut un comité de suivi des licences professionnelles, un comité de suivi des masters, un comité de suivi des licences et des masters… Et voici le petit dernier : un comité de suivi des cycles licence, master et doctorat (arrêté du 3 mars 2017). Voir l'article...
Le comité de suivi est créé pour une durée de cinq ans. Ce dernier suit la mise en œuvre des textes relatifs au cadre national des formations et aux diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle, de master et de doctorat. Ses missions sont de conduire une réflexion sur :
- La qualité des formations tout au long de la vie, au regard notamment de leurs objectifs en matière de poursuite d’études et d’insertion professionnelle des diplômés
- La cohérence entre les formations des différents cycles de l’enseignement supérieur et, pour le cycle de licence, avec les formations de l’enseignement scolaire
- L’articulation entre les formations conduisant aux diplômes nationaux de licence, licence professionnelle, master et doctorat et les autres filières de formation relevant du même cycle, notamment celles conduisant au même grade universitaire
- L’évolution des cursus, l’approche par les compétences et la mise en œuvre des référentiels de compétences, les innovations pédagogiques et la réussite des étudiants
- Les dénominations des diplômes et leur lisibilité. Voir l'article...
Au début de la sixième année d’études après le baccalauréat, 74 % des bacheliers qui s’étaient inscrits en STS en 2008 sont titulaires d’un diplôme de l’enseignement supérieur. Le plus haut diplôme obtenu est majoritairement de niveau bac + 2 (47 %), mais 22 % ont obtenu un diplôme de niveau bac + 3 et 5 % un diplôme de niveau bac + 5. Un quart des bacheliers sont sortis en n’ayant obtenu aucun diplôme. Les taux de diplomation varient de façon importante selon la série du baccalauréat : 90 % des bacheliers généraux et 78 % des bacheliers technologiques ont obtenu un diplôme de l’enseignement supérieur, pour seulement la moitié des bacheliers professionnels. De surcroit, les bacheliers généraux obtiennent des diplômes de niveau plus élevé que les autres : 42 % ont obtenu un diplôme de niveau bac + 3 ou bac + 5, contre 28 % des bacheliers technologiques et seulement 12 % des bacheliers professionnels.
Suite dans le RERS 2016. Publication annuelle, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche (R.E.R.S.) réunit en un seul volume toute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français.
A u bout de cinq ans, 57 % des bacheliers entrés en licence générale ont obtenu une licence. Si 34 % l’ont obtenu en trois ans, 16 % ont mis un an de plus et 7 % encore un an. Le master a été obtenu sans redoublement par un peu plus de la moitié des titulaires d’une licence, soit 18 % des bacheliers. Près des deux tiers des bacheliers généraux ont obtenu une licence, et 22 % un master, alors que ces proportions sont d’un quart et de 3 % respectivement pour les bacheliers technologiques. Tous diplômes confondus, 69 % des bacheliers 2008 entrés en L1 à la rentrée 2008 sont diplômés de l’enseignement supérieur. Près de la moitié des entrants de 2008 sont toujours inscrits dans une formation en octobre 2013, majoritairement en master (27 % dont 17 % en master 2). Mais les trois quarts des bacheliers technologiques ne poursuivent plus d’études, et la moitié sont sortis sans diplôme. Au total, 21 % des bacheliers 2008 entrés en L1 après le baccalauréat ont arrêté leurs études supérieures et n’ont pas obtenu de diplôme.
Suite dans le RERS 2016. Publication annuelle, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche (R.E.R.S.) réunit en un seul volume toute l’information statistique disponible sur le système éducatif et de recherche français.