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Formation Continue du Supérieur
27 novembre 2012

Lancement d’un concours pour les étudiants sur le thème de l’Europe en région Centre

LANCEMENT DU CONCOURS « AVEC L’EUROPE, ÇA TOURNE EN REGION CENTRE ! »
La Préfecture de région, le Conseil régional, la DIRECCTE et la DRAAF lancent un concours pour les étudiants sur  le thème de l’Europe en région Centre.
Objectif? Sensibiliser les jeunes à l’action de l’Europe en région.

En région Centre, l’Europe a déjà investi plus de 400 millions € depuis 2007 dans des projets locaux allant de l’innovation à l’environnement, en passant par l’insertion ou l’énergie! Ces projets ont bénéficié de l’aide du FEDER (Fonds Européen de Développement Régional), du FSE (Fonds Social Européen) ou encore du FEADER (Fonds Européen Agricole de Développement Rural).
Valoriser l’action de l’Union européenne en région Centre, en montrant concrètement ce qu’elle fait sur le terrain, mettre en valeur la créativité des étudiants et l’esprit d’entreprise des porteurs de projets européens, tels sont les objectifs du concours vidéo « Avec l’Europe, ça tourne en région Centre! ». Il s’agit pour les étudiants de réaliser une vidéo sur un projet financé par l’Europe. En filmant ces réalisations, étudiants et porteurs de projets témoigneront de l’action de l’Europe en région Centre!
Le concours est ouvert en particulier aux étudiants des établissements supérieurs en communication, journalisme, audiovisuel de la région Centre, et se déroule de novembre 2012 à juillet 2013.
Les meilleures réalisations seront récompensées par des iPads, des Pass InterRails ou des chèques-cadeaux!
Avec leurs films, les étudiants vont montrer qu’avec l’Europe, ça tourne en région Centre!
Pour plus d’informations rendez-vous sur le site http://www.europe-centre.eu et sur la page Facebook « Avec l’Europe, ça tourne en région Centre! ».
Contacts presse:
Préfecture de la région Centre et du Loiret :
Colette Theas-Duhamel, chargée des relations presse et de la communication
Tél : 02.38.81.40.35, colette.theas-duhamel@loiret.gouv.fr.
Δρομολόγηση του "με την Ευρώπη, ενεργοποιήστε ΣΤΟ ΚΕΝΤΡΟ ΠΕΡΙΟΧΗ! »
Νομαρχία περιοχή, το Περιφερειακό Συμβούλιο, και DIRECCTE DRAAF έναρξη ενός διαγωνισμού για τους μαθητές σχετικά με το θέμα της Ευρώπης στην περιοχή Κέντρο.
Στόχος; Εκπαιδεύστε τους νέους σχετικά με το έργο της περιοχής στην Ευρώπη.
Στην περιοχή του Κέντρου, η Ευρώπη έχει ήδη επενδύσει πάνω από € 400 εκατομμύρια από το 2007 σε τοπικά έργα που κυμαίνονται από την καινοτομία για το περιβάλλον, μέσω της εισαγωγής ή της ενέργειας! Περισσότερα...
11 décembre 2011

Les députés UMP renoncent à la suppression du concours d’enseignant

http://www.acteurspublics.com/files/ap-mag/couverture-AP79.jpgPar Sylvain Henry. Retoquées en juillet dernier, les propositions de la mission parlementaire chargée de réfléchir à la formation des enseignants sont enfin rendues publiques. La fin du concours ne figure plus parmi les préconisations. Un rapport utile pour 2012, affirme à Acteurs publics Jacques Grosperrin, le président UMP de la mission. Faire évoluer la formation des enseignants, mais maintenir le concours. C’est en substance ce qui ressort du rapport de la mission parlementaire “sur la formation initiale et les modalités de recrutement des enseignants”, dont le rapport a été “validé” le 7 décembre par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale (cliquer ici pour le lire le rapport de la mission).
En juillet, cette même commission s’était opposée à la publication d’un premier rapport de la mission – événement rarissime –, car il préconisait de remplacer le concours des enseignants par le master et de confier “aux autorités académiques ou aux établissements le soin de recruter sur la base d’un entretien professionnel les enseignants”. Une proposition alors rejetée par la commission et contre laquelle les syndicats d’enseignants et de parents d’élèves s’étaient immédiatement dressés, dénonçant une menace contre le statut des enseignants et pointant les prémisses d’un possible démantèlement du service public de l’éducation.
La version définitive du rapport préconise de réduire le poids des épreuves disciplinaires, de renforcer l’articulation entre le concours et la formation, de multiplier les stages obligatoires pour les étudiants admissibles et de mieux accompagner les enseignants débutants. La proposition relative au remplacement du concours a été supprimée. “Syndicats et opposition se sont arc-boutés pour des raisons politiques sur le maintien du concours tel qu’il existe aujourd’hui, regrette le député UMP du Doubs Jacques Grosperrin, président de la mission. Il est pourtant indispensable de le faire évoluer.”.
Calmer la grogne

Quand les défenseurs du concours fustigent le caractère arbitraire des entretiens professionnels et les difficultés des mutations géographiques qui, selon eux, en découleraient, Jacques Grosperrin répond : “C’est la même chose pour un médecin formé en milieu urbain qui interviendrait par la suite en milieu rural. Il est capable de s’adapter. Je souhaitais mieux prendre en considération la dimension pédagogique de l’enseignant dans son recrutement. Mais certains sont figés dans l’immobilisme et s’attachent à bloquer toute évolution…”
La mission présidée par Jacques Grosperrin a débuté ses travaux au printemps 2011 après que Nicolas Sarkozy eut reconnu les limites de la réforme de la mastérisation, qui a entraîné la suppression des IUFM. Une réforme à “remettre sur le chantier”, promettait le président de la République. Destinée à calmer la grogne du monde enseignant, la mission de Jacques Grosperrin était alors lancée. Mais ses propositions, attendues en juillet pour entrer en application en septembre, ne sont donc finalement rendues publiques qu’en toute fin de mandature... “Nos préconisations figureront en bonne place dans le projet de l’UMP en matière d’éducation pour la présidentielle”, veut croire Jacques Grosperrin.
Voir aussi Le député Jacques Grosperrin plaide toujours pour la suppression des concours enseignants, Le rapport Grosperrin, Un député propose la suppression des concours enseignants.

http://www.acteurspublics.com/files/ap-mag/couverture-AP79.jpg Autor Sylvain Henry. Retoquées eelmise aasta juulis esitatud ettepanekud parlamendi eest vastutav komisjoni arvestades õpetajakoolituse on lõpuks avalikustatud. Konkursi lõppemist ei ole enam üks soovitusi. Kasulik aruanne 2012, ütles Näitlejad avalik Grosperrin Jacques president UMP missiooni. Et muuta õpetajakoolituse, kuid pidage võistlus. See palju Aruandest tuleneb parlamendi missioon "esialgse koolituse ja töölevõtmise korra õpetajatele" aruanne "Kinnitatud" 7. detsembril komitee poolt Kultuurikomisjoni rahvusassamblee (kliki siia, et lugeda aruannet missiooni).
Aasta juulis, samas oli komisjon vastu avaldamisest esimese aruande missiooni - väga harv sündmus - sest ta kutsus asendada abi kapten õpetajate ja määrata "ametiasutustele või akadeemiliste institutsioonidega usaldatakse ülesanne tööle põhjal tööintervjuu õpetajad. "
Kuigi ettepanek komisjoni poolt tagasi lükatud, mille vastu õpetajate ametiühingud ja vanemad olid kohe valmis denonsseeriva ähvardamist staatuse õpetajate ja juhtides ruumides võimalik lammutamine avalik teenus haridus. Velle...

8 décembre 2011

Le député Jacques Grosperrin plaide toujours pour la suppression des concours enseignants

LeMonde.frPar Aurélie Collas. En juillet, le député UMP du Doubs Jacques Grosperrin avait soulevé un tollé en proposant de supprimer le concours de recrutement des enseignants. Son rapport d’information sur la formation initiale des enseignants avait d’ailleurs été rejeté par la commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée nationale. Depuis, silence radio.

Mercredi 7 décembre, le député est revenu à la charge en présentant une nouvelle version de son rapport à la même commission. Les deux mesures contestées - celles visant à "supprimer le concours externe de l’agrégation" et à "remplacer, à terme, le concours par le master" - ne figurent plus dans la liste des propositions. Mais apparaissent toujours dans le corps du texte...
"Deux voies d'entrée dans le métier"

M. Grosperrin campe donc sur ses positions. Depuis la réforme de la "mastérisation", mise en place en 2010, qui a supprimé l’année de formation en alternance dans les IUFM et élevé le niveau de formation des enseignants de la licence (bac+3) au master (bac+5), le concours n’a plus lieu d’être, estime l’élu de la majorité, car "il forme avec le master deux voies d’entrée dans le métier, parallèles et autonomes, aucune n’ayant prise sur l’autre".
Pour appuyer sa proposition, Jacques Grosperrin a auditionné deux "serviteurs" de l’éducation nationale, qui partagent son analyse: Marcel Pochard, conseiller d'Etat et ancien directeur général de la fonction publique, et Alain Boissinot, le recteur de l’académie de Versailles. Le député précise toutefois que la suppression du concours ne pourrait voir le jour "avant dix ou quinze ans, le temps de construire le nécessaire consensus social et politique autour d’une telle évolution, nombreux étant encore ceux qui sont attachés au modèle traditionnel du concours".
"Réformer la réforme"

Pour le reste, pas de changement. Jacques Grosperrin répète qu’il faut "réformer la réforme". Selon lui, la priorité est de "professionnaliser" la formation des enseignants, pour l’heure trop académique, en organisant une véritable alternance de pratique et de théorie. Il propose aussi de revoir le calendrier des concours: les épreuves écrites d’admissibilité auraient lieu à la fin de la fin de licence et les épreuves orales d’admission, en fin de master. Le nombre de places en première année de master serait fixé en fonction le nombre de postes offert aux concours. Par ailleurs, les masters "enseignement" seraient spécialisés par types de métier.
Après de vives discussions, le rapport a été adopté par les députés de droite. L’opposition, elle, a voté contre. "Son adoption est un coup de force de la part de la majorité présidentielle!", a protesté Marie-Hélène Amiable, députée du groupe de gauche démocrate et républicaine.
LeMonde.frPrzez Collas Aurelie. W lipcu UMP zastępca Jacques du Doubs Grosperrin podniósł wrzawę, proponując, aby wyeliminować konkursu dla nauczycieli. Jego raport informacyjny w sprawie kształcenia nauczycieli zostały także odrzucone przez Komisję Kultury i Edukacji Zgromadzenia Narodowego. Od tamtej pory cisza radiowa.
Środa, 7 grudnia członka wraca do opłat, przedstawiając nową wersję swojego raportu do tej samej komisji.
Dwa kwestionowane środki - mające na celu "usunięcie konkurencji zewnętrznej agregacji" i "zastąpić w końcu konkursu przez kapitana" - nie umieszczone na liście propozycji. Ale nadal pojawiają się w tekście. Więcej...
30 juin 2011

Un député propose la suppression des concours enseignants

Par Aurélie Collas. Supprimer les concours enseignants ? Certains hauts fonctionnaires de l'éducation le pensent tout bas, un élu de la majorité le dit tout haut. Pour Jacques Grosperrin, député UMP du Doubs, cette petite révolution est l'aboutissement inévitable de la réforme de la formation initiale des maîtres, qui a conduit, depuis 2010, à élever le niveau de qualification de la profession de la licence (bac+3) au master (bac+5).

Cette proposition a été adoptée, mercredi 29 juin, par la mission d'information "sur la formation initiale et les modalités de recrutement des enseignants". Dans son rapport, que Le Monde s'est procuré, Jacques Grosperrin estime que le concours n'a plus lieu d'être : "Il forme avec le master deux voies d'entrée dans le métier, parallèles et autonomes, aucune n'ayant prise sur l'autre". Il propose ainsi de dispenser les étudiants de concours. Diplômés d'un master 2, ils seraient recrutés "par les autorités académiques ou les établissements, sur la base d'un entretien professionnel", comme cela se pratique déjà dans plusieurs pays anglo-saxons.
Mais "l'opinion publique n'est pas prête pour une transformation aussi radicale", reconnaît le député. L'ultime étape de la réforme ne devrait donc pas intervenir avant dix ans, voire quinze ans. En attendant, M. Grosperrin préconise de supprimer l'agrégation "externe", ouverte aux diplômés d'un master, pour ne garder que l'agrégation "interne", accessibles aux professeurs certifiés ayant cinq ans d'ancienneté. "Le maintien d'une seconde voie d'entrée dans le métier ne se justifie plus, à l'heure du recrutement généralisé des enseignants à bac+5", estime-t-il.
Dans le grand bain sans apprentissage

Conçue en 2008 par Xavier Darcos, le précédent ministre de l'éducation nationale (qui assurait d'ailleurs en 2009 que les concours ne seraient jamais supprimés), la "mastérisation" est vivement contestée. Les critiques, quasi unanimes, portent sur la suppression de la formation pratique des futurs enseignants. La réforme a confié leur formation aux universités et a mis fin à l'année en alternance dans les Instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM). "Les lauréats de la session 2010 ont été jetés dans le grand bain sans avoir appris leur métier", déplore l'élu UMP.
Après avoir auditionné une centaine de personnes au cours des trois derniers mois, il en est arrivé à la conclusion qu'il fallait "professionnaliser" la formation. Les universités devraient revoir l'architecture de leurs masters "Enseignement et formation" pour accorder plus de place à la pédagogique, à la didactique, aux sciences cognitives.
Sans "cadrage national", les masters ont été conçus avec le seul souci de diversifier les débouchés professionnels pour les étudiants qui échouent au concours. De fait, ils sont trop "larges". Jacques Grosperrin propose de "spécialiser" les masters par niveau scolaire. Il y aurait ainsi des masters "école maternelle", "collège et lycée général", "enseignement professionnel"…
Les stages, actuellement facultatifs – et donc quasi virtuels, car les étudiants préfèrent préparer les concours plutôt que d'effectuer les six semaines de stage prévues en master 2 – deviendraient obligatoires. Les masters seraient ainsi fondés sur "une véritable alternance entre la pratique professionnelle et les enseignements", lit-on dans le rapport. A la rentrée, des aménagements sont prévus en ce sens. Le ministre de l'éducation nationale, Luc Chatel, avait annoncé, en mai, l'expérimentation de formations en alternance. Celle-ci s'appliquera dans une trentaine d'universités et concernera un millier d'étudiants. Un chiffre qui paraît limité sur les 40 000 candidats qui se sont présentés aux concours enseignants cette année.
Permezz Collas Aurelie. Elimina l-għalliema tal-kompetizzjoni? Xi uffiċjali ta 'edukazzjoni għolja jemmnu li l-whisper, wieħed elett mill-maġġoranza msemmija b'leħen għoli. Għal Jacques Grosperrin, UMP Doubs, din ir-rivoluzzjoni hija r-riżultat inevitabbli ta 'l-riforma tat-taħriġ inizjali tal-għalliema, li wassal sa mill-2010, biex jgħollu l-livell tal-ħiliet tal-professjoni tal-liċenzja (BAC 3 ) lill-kaptan (BAC 5). Aktar...
7 novembre 2010

Reconnaissance de titres pour l'accès aux corps des conservateurs et des bibliothécaires adjoints

http://www.legifrance.gouv.fr/img/legifrance.gifArrêté du 6 octobre 2010 portant création de la commission chargée de se prononcer sur la reconnaissance de titres, diplômes, formations ou qualifications en équivalence des conditions de titres et diplômes requises pour l'accès aux corps des conservateurs des bibliothèques.
Une commission est instituée auprès de la directrice générale des ressources humaines du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche afin de statuer sur la reconnaissance de titres, diplômes, formations ou qualifications en équivalence des conditions de titres et diplômes requises pour se présenter au concours de conservateur des bibliothèques prévu au 2° de l'article 4 du décret n° 92-26 du 9 janvier 1992 susvisé.
La commission peut s'adjoindre en outre, à titre consultatif, un ou plusieurs experts choisis au sein du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche ou dans une autre administration en considération de leurs compétences en matière de qualification professionnelle. Le président convoque les membres de la commission ainsi que, le cas échéant, les experts, sur proposition du service chargé de l'organisation des concours qui assure le secrétariat de la commission. Les membres de la commission ainsi que, le cas échéant, le ou les experts sont nommés par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur et de la recherche.
http://www.legifrance.gouv.fr/img/legifrance.gifArrêté du 6 octobre 2010 portant création de la commission chargée de se prononcer sur la reconnaissance de la qualification en équivalence des conditions de titres et diplômes requises pour l'accès aux corps des bibliothécaires adjoints spécialisés.
Une commission est instituée auprès de la directrice générale des ressources humaines du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche afin de statuer sur la reconnaissance de la qualification en équivalence des conditions de titres et diplômes requises pour se présenter au concours externe de bibliothécaire adjoint spécialisé prévu à l'article 4 du décret n° 92-30 du 9 janvier 1992 susvisé.
La commission peut s'adjoindre en outre, à titre consultatif, un ou plusieurs experts choisis au sein du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche ou dans une autre administration en considération de leurs compétences en matière de qualification professionnelle. Le président convoque les membres de la commission ainsi que, le cas échéant, les experts, sur proposition du service chargé de l'organisation des concours qui assure le secrétariat de la commission. Les membres de la commission ainsi que, le cas échéant, le ou les experts sont nommés par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur et de la recherche.
http://www.legifrance.gouv.fr/img/legifrance.gif Asetus 06 lokakuu 2010 tehdyn komissio päättää tutkintotodistusten, tutkintojen, koulutus tai pätevyys tasavertaisten valtakirjojen käytön kannalta tarpeellisia elinten konservatiivinen kirjastoja. Lue lisää...
14 septembre 2010

Exclusif. Plus de 80% des candidats au CRPE pourraient être admissibles dans l’académie de Créteil

« Cette année, nous sommes dans une situation paradoxale : on a élevé le niveau avec la mastérisation, mais les écrits du concours n’auront jamais été aussi peu sélectifs », commente Jean-Louis Auduc, directeur adjoint de l’IUFM (Institut universitaire de formation des maîtres) de Créteil (Val-de-Marne), qui précise que « le nombre d’inscrits était déjà particulièrement bas cette année, avec seulement 3100 personnes contre environ 6000 habituellement ».
Sur les 3100 inscrits, plus de la moitié n’ont même pas tenté leur chance à l’écrit. « C’est du jamais vu », commente Jean-Louis Auduc, estimant que « la médiatisation des difficultés rencontrées par les nouveaux stagiaires a dû jouer. Tout ce qu’on entend décourage des étudiants qui voulaient se tourner vers l’enseignement ». Reste à savoir si les "vocations" seront aussi absentes au CAPES (concours du certificat d'aptitude au professorat de l'enseigment du second degré). Et si la situation est comparable dans les autres académies.
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