4 octobre 2019
«Vidé, écoeuré mais vivant» : un étudiant en médecine raconte sa nuit du 13 novembre
Des victimes gravement blessées, des corps déchiquetés par les balles des kalachnikov. Une médecine de guerre où il faut parer au plus pressé, avec des miracles parfois, comme cette balle qui s’est arrêtée dans le foie d’un patient à «deux centimètres du cœur», raconte encore étonné le jeune homme. Plus...
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