Annoncez un changement de programmes d’histoire et vous soulèverez une nuée de commentaires éclairés, de micros-trottoirs et de propos d’experts autoproclamés dont la plupart ont ceci en commun de n’avoir quasiment pas, voire jamais, enseigné ou de n’avoir plus mis les pieds dans une salle de classe depuis leur passé d’élève. La formule sonne désormais comme une ritournelle : l’histoire est une « passion française » comme en témoignent les innombrables usages et mésusages dont elle fait l’objet. Plus...
28 mars 2018
L’enseignement de l’histoire, cette « passion française »
Commentaires