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Formation Continue du Supérieur
3 novembre 2009

Classements internationaux d’universités

Une étude de l’institut Thomas More met en évidence les disparités des résultats obtenus par les universités dans les différents classements internationaux d’établissements d’enseignement supérieur.
Au lendemain du discours d'Avignon de Nicolas Sarkozy sur la jeunesse, à la veille de la publication du nouveau classement de Shanghai et à l'occasion de la parution de sa nouvelle Note de Benchmarking, « Vers quel classement européen des universités ? Étude comparative du classement de Shanghai et des autres classements internationaux », l'Institut Thomas More a organisé une Rencontre petit-déjeûner sur le thème de la réforme et de la compétitivité du système d'enseignement supérieur français et a reçu à cette occasion Valérie PÉCRESSE, ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche. Etude complète:  Benchmark Thomas More.
Bien que chaque système d'enseignement supérieur national (ou régional) obéisse à un modèle différent, les classements n'hésitent pas à les comparer. La démarche comparative n'est pas invalidée pour autant, mais il convient d'avoir ces différences à l'esprit pour apprécier la relativité de la comparaison. Ainsi peut-on déjà établir une différence entre le modèle anglo-saxon (largement repris en Asie), avec ses universités de grande taille dispensant un enseignement pluridisciplinaire (regroupements de toutes les facultés sur un même campus) et le modèle européen qui mêle des universités sur le modèle anglo-saxon et d'autres spécialisées par disciplines (sciences humaines et sociales, sciences fondamentales, lettres ou business). On devine que la comparaison de la performance d’une université pluridisciplinaire avec celle d'une université spécialisée pose des problèmes méthodologiques importants.
A l'intérieur de cette diversité européenne, il faut aussi s'arrêter un moment sur le cas particulier français. En plus de séparer les facultés (sciences humaines et lettres, sciences sociales et sciences exactes), le système français comprend un enseignement universitaire doublé d'un dispositif de grandes écoles, publiques ou privées, souvent de grande renommée, qui délivrent des diplômes dans un domaine précis (commerce, politique, journalisme, communication, agronomie...). Or, le modèle de réalisation des classements est celui des campus anglo-saxons pluridisciplinaires. Le système dualiste français, généralement mal compris à l'étranger, est donc désavantagé. A cela s'ajoute que, si les structures de recherche sont généralement associées à l'enseignement supérieur, ce n'est pas toujours le cas en France où elle est également réalisée par des organismes indépendants de l'université, qu'ils soient publics (CNRS, INRA, etc.) ou privés (Institut Pasteur). Ces centres de recherche concentrent une grande partie des chercheurs et du budget français destiné à la recherche.
En studie av Thomas More institutet belyser skillnader i resultat från olika universitet i internationella rankningar av universitet och högskolor.
Efter tal Avignon Nicolas Sarkozy om ungdom, inför offentliggörandet av den nya Shanghai ranking och för att markera att offentliggöra sina nya rating Benchmarking, "Vart europeisk ranking av universiteten? Jämförande studie av Shanghai rankning och andra internationella rankinglistor anordnade Thomas More institutet ett frukostmöte på temat reformer och konkurrenskraft i den franska högre utbildningen och fick vid detta tillfälle Valérie Pécresse minister för högre utbildning och forskning. Fullständig undersökning: Benchmark Thomas More. Mer...
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