Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Formation Continue du Supérieur
25 février 2014

Multilingual MOOCs expand reach of U.S. idea

Nick ClunnBy Nick Clunn. U.S. phenomenon becomes international. Massive open online courses, or MOOCs, are increasingly multilingual, and two of the largest providers of the free massive open online courses recently announced international initiatives — in Latin America and the Middle East — that could greatly expand the global reach of the sensation.
Coursera has partnered with the Carlos Slim Foundation to deliver more courses in Spanish to Mexico and beyond, and edX is teaming up with a Jordanian group that will use its platform to host a MOOC portal for the Arabic-speaking world. More...

25 février 2014

7 free cloud computing online courses

eCampus NewsBy Mike Siegel. Though it may be old hat to many higher education technologists, cloud computing still plays a vital role on campuses of every size. Cloud is basically a symbol for the internet; and cloud computing is a way for organizations, business and universities to store and retrieve data over the internet. It allows for people to store things on the internet and have access on a large-scale. More...

25 février 2014

MOOCs are just one of the tools we have

eCampus NewsMore than 210,000 people signed up when the University of Pittsburgh offered its first five massive open online courses (MOOC) last year. Though that was more than 11 times the number of students enrolled at the Oakland campus, there is little chance the broad-based, distance learning courses will soon replace traditional learning, school officials said. More...

25 février 2014

Moocs may create a global trail of failed business schools

By Bertrand Guillotin and Vincent Mangematin. Unless business schools adapt there may well be legions of unemployed teaching faculty
The Mooc (massive open online course) phenomenon is having a significant impact on higher education – especially business education. More...

25 février 2014

Course credits for MOOC certificates: One likely pathway

eCampus NewsBy Leonard Waks. How will MOOC-based learning aid learners in entering and performing in the workplace? We may imagine MOOC-based learning to serve as a qualification in two ways: let’s call them the (1) certificate, (2) credit routes.
On the first, MOOC aggregations of certificates themselves are offered as significant job qualifications on a par with, or as an accepted substitute for, college and university degrees. I discussed this option in my last post. More...

25 février 2014

Monash eyes credit from MOOC platform FutureLearn

By Andrew Trounson. MONASH University has flagged the possibility of eventually offering credit for courses completed online through the UK-led MOOC FutureLearn.
Monash will today launch its first two free courses on the platform FutureLearn, one in computer programming for creative design and the second which explores the science behind medicines. More...

25 février 2014

Stabilisation du nombre d’étudiants étrangers en France

Note d'information Enseignement sup RecherchePar Laurence Dauphin MESR-DGESIP/DGRI-SIES C1. Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013. Télécharger la note "NI 14.01 Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013". NI 14.01 Tableaux : Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013.
Stabilisation du nombre d’étudiants étrangers en France
Entre 2011 et 2012, le nombre d’étudiants étrangers en France est resté stable. Pour la première fois depuis plus de dix ans, les étudiants étrangers ne participent pas à la hausse du nombre total d’inscrits dans l’enseignement supérieur. En effet, en 2011, la hausse du nombre d’étudiants étrangers représentait 13 % de la croissance du nombre total d’inscrits. Plus généralement, depuis 2001, le nombre d’étudiants étrangers a augmenté de près de 50 % et a contribué fortement à la hausse à l’évolution des inscriptions dans l’enseignement supérieur.
Le nombre d’étudiants étrangers en France métropolitaine et dans les DOM a connu un essor considérable depuis la fi n des années 1990. Entre 1998 et 2005, il a progressé de 74,8 %. En 2006 et en 2007, les effectifs d’étudiants étrangers ont baissé avant d’augmenter à nouveau en 2008 (+ 1,9 %) et même fortement en 2009 (+ 4,8 %) et en 2010 (+ 2,5 %). Ils augmentent encore, mais plus faiblement en 2011 (+ 1,3 %). En 2012, le nombre d’étudiants étrangers est de 289 000 étudiants, soit + 0,2 % par rapport à 2011. Leur part dans l’enseignement supérieur est stable à un peu plus de 12 %.
Par rapport à 2011, les effectifs d’étudiants étrangers ont augmenté en STS, en formations d’ingénieurs, en écoles de commerce. Ils ont diminué à l’université et plus particulièrement en IUT. Depuis 2004, le nombre d’étudiants étrangers a presque doublé dans les formations d’ingénieurs ou les écoles de commerce, gestion, vente et comptabilité. Il a augmenté de plus de 6 % dans les disciplines universitaires générales et de santé, de 3 % dans les IUT et de près de 10 % dans les CPGE. En revanche, il a diminué de près d’un tiers dans les STS.
C’est dans les instituts nationaux polytechniques (INP) et les universités de technologie que la proportion d’étudiants étrangers est la plus forte (21,2 %). En revanche, les proportions d’étudiants étrangers en écoles paramédicales et sociales, IUT, STS et CPGE sont faibles (entre 0,7 % et 5,9 %).
En 2012, les universités accueillent 75 % des étudiants étrangers ; ceux-ci y représentent 15 % des inscrits. Cette proportion augmente fortement avec le cursus : ils représentent 11 % des inscriptions en cursus licence, 18 % en cursus master et 41 % en cursus doctorat. La part de non-bacheliers parmi les étudiants étrangers augmente avec le degré d’études de la formation universitaire : elle est de 69 % pour le cursus licence, 85 % en cursus master et 91 % en cursus doctorat.
Dans l’enseignement supérieur français (hors établissements relevant des ministères en charge de l’agriculture, de la santé et des affaires sociales), près d’un étudiant étranger sur deux est issu du continent africain à la rentrée 2012 : 25 % d’entre eux viennent du Maghreb et 19 % du reste de l’Afrique. Moins d’un quart (24 %) est issu d’Europe, dont 19 % de l’Union européenne. Enfin, 24 % sont originaires d’Asie, du Moyen-Orient ou d’Océanie et 9 % du continent américain. La moitié des étudiants étrangers possède une des dix nationalités suivantes : marocaine, chinoise, algérienne, tunisienne, sénégalaise, allemande, italienne, camerounaise, vietnamienne ou espagnole.
Les étudiants étrangers sont plus nombreux dans les académies d’Île-de-France (17 % à Créteil, 17 % à Paris et 14 % à Versailles) ainsi que dans les académies de Strasbourg, Nice, Montpellier et Lyon. Ils sont très peu nombreux aux Antilles, à La Réunion et en Corse. La proportion d’étrangers est inférieure à 10 % dans les académies d’Orléans-Tours, Bordeaux, Nantes, Rennes, Dijon, Lille et Caen.
Télécharger la note "NI 14.01 Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013". NI 14.01 Tableaux : Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013.

25 février 2014

Un tiers des étudiants ont des parents cadres

Note d'information Enseignement sup RecherchePar Laurence Dauphin MESR-DGESIP/DGRI-SIES C1. Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013. Télécharger la note "NI 14.01 Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013". NI 14.01 Tableaux : Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013.
Un tiers des étudiants ont des parents cadres
L’origine sociale des étudiants français évolue très peu d’une année sur l’autre. Les étudiants des catégories sociales les plus favorisées continuent à être fortement sur-représentés par rapport aux jeunes de catégories sociales plus modestes : toutes formations confondues, 31 % des étudiants ont des parents cadres supérieurs ou exerçant une profession libérale tandis que 11 % sont enfants d’ouvriers et 12 % enfants d’employés. À titre de comparaison, dans l’ensemble de la population, 39 % des jeunes entre 18 et 23 ans sont enfants d’ouvriers ou d’employés et 17 % enfants de cadres (source : Enquête Emploi 2011). Ce constat global est très contrasté selon le type de formation. Les enfants de cadres représentent une part très forte des étudiants en classes préparatoires et dans les ENS où ils dépassent 50 % des effectifs. Ils sont en revanche peu nombreux en STS (14 %). Les enfants d’ouvriers sont sur représentés en STS (20 %) et en IUT (15 %) par rapport à l’ensemble de la population étudiante (11 %), mais sont sous- représentés dans toutes les formations par rapport à l’ensemble de la population des 18-23 ans (30 %).
L’université est le reflet de la composition de la population étudiante française. Les enfants de cadres représentent plus de 30 % des effectifs alors que les catégories défavorisées y sont bien moins présentes. Cependant, les répartitions ne sont pas homogènes dans toutes les filières. Les enfants de cadres sont sur-représentés en santé et en droit. En effet, ils représentent 41 % des effectifs étudiants en santé et 35 % en droit contre respectivement 6 % et 9 % pour les enfants d’ouvriers. Les enfants de cadres sont en revanche moins représentés en économie ou en lettres (autour de 25 %).
La poursuite d’études longues à l’université est plus le fait de jeunes dont les parents sont cadres supérieurs ou exerçant une profession libérale : leur part passe de 28 % en cursus licence à 36 % en cursus doctorat. Inversement, alors que les enfants d’ouvriers représentent 13 % des étudiants inscrits à l’université en cursus licence, leur part est de 5 % en cursus doctorat.
Télécharger la note "NI 14.01 Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013". NI 14.01 Tableaux : Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013.

25 février 2014

55,5 % des étudiants sont des étudiantes

Note d'information Enseignement sup RecherchePar Laurence Dauphin MESR-DGESIP/DGRI-SIES C1. Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013. Télécharger la note "NI 14.01 Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013". NI 14.01 Tableaux : Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013.
55,5 % des étudiants sont des étudiantes
En 2012, 55,5 % des étudiants sont des filles. Depuis 1980, le nombre d’étudiantes dépasse celui des étudiants en France. La proportion d’étudiantes n’a ensuite que très modérément progressé depuis dix ans (+ 0,9 point). Elle varie de surcroît considérablement selon le type d’études. Dès l’expression des choix d’orientation en classe de terminale, les filles, quels que soient leurs origines sociales et leurs parcours scolaires, se portent moins que les garçons vers des filières sélectives telles que les CPGE ou les IUT. Largement majoritaires dans les formations paramédicales ou sociales (84 %), les filles sont minoritaires dans les formations les plus sélectives (CPGE, IUT avec 40 %) et, surtout, dans les filières à caractère scientifique (27 % des effectifs des formations d’ingénieurs, 37 % des filières scientifiques de l’université). En douze ans, la part des étudiantes augmente dans la plupart des formations. La progression est la plus importante dans les écoles vétérinaires (+ 15 points), les écoles d’architecture (+ 12 points) et les écoles juridiques et administratives (+ 10 points). Elle est également importante dans les formations d’ingénieurs et dans les formations universitaires de santé (médecine, odontologie et pharmacie) (+ 5 points).
Ces clivages se retrouvent à l’université où les jeunes femmes représentent globalement 59 % de la population étudiante. Les étudiantes sont proportionnellement plus nombreuses en cursus master (59 %) et en cursus licence (56 %) qu’en cursus doctorat où elles sont minoritaires, même si leur part augmente (48 % en 2012).
C’est également dans les disciplines plus littéraires que la part des femmes est plus élevée : en langues (74 %) ou en lettres-sciences du langage (70 %). Elles restent très minoritaires en sciences fondamentales et applications (28 %). Les femmes représentent désormais 62 % des étudiants de médecine-odontologie-pharmacie, part qui s’élève à 79 % parmi les nouveaux entrants dans cette discipline à la rentrée 2012. En IUT, elles sont majoritaires dans le secteur des services (51 % des étudiants), mais minoritaires dans le secteur de la production (24 % des étudiants).
Plus nombreuses dans la population étudiante, les femmes demeurent davantage diplômées que les hommes. On estime en 2011 que 46,9 % des jeunes d’une classe d’âge sont titulaires d’au moins un diplôme de l’enseignement supérieur. Cette proportion est de 53,8 % pour les femmes et de 40,1 % pour les hommes.
Télécharger la note "NI 14.01 Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013". NI 14.01 Tableaux : Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013.

25 février 2014

Plus de nouveaux bacheliers à l’université

Note d'information Enseignement sup RecherchePar Laurence Dauphin MESR-DGESIP/DGRI-SIES C1. Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013. Télécharger la note "NI 14.01 Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013". NI 14.01 Tableaux : Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013.
Plus de nouveaux bacheliers à l’université
Les universités voient leurs effectifs aug-menter de 0,8 %. Hors IUT et formations d’ingénieurs, elles comptent 1 280 600 étu- diants en 2012, contre 1 269 600 en 2011. Elles représentent 54 % de l’ensemble des inscriptions dans l’enseignement supérieur. Cette faible hausse confirme la tendance des années précé- dentes. Les effectifs universitaires sont restés relativement stables (à champ constant) depuis une dizaine d’années (+ 5 % entre 2000 et 2012).
Le constat est contrasté en fonction des fi lières et du niveau d’études. Les effectifs progressent dans les disciplines de santé de 2,4 % après une augmentation de 1,2 % en 2011-2012. La PACES, première année commune aux études de santé (médecine, odontologie, pharmacie, maïeutique), mise en place à la rentrée 2010, contribue à cette augmentation : on dénombre 55 500 étudiants en PACES, soit une hausse de 4,0 % par rapport à la précédente rentrée.
Les effectifs sont globalement en hausse dans les disciplines générales (+ 0,7 %), mais baissent en AES (- 5,4 %), en sciences fondamentales (- 1,4 %) et en pluri-sciences (- 2,0 %). C’est la filière des sciences et techniques des activités physiques et spor- tives (STAPS) qui enregistre la plus forte hausse (+ 7,1 % en 2012, + 9,5 % en 2011). Les effectifs augmentent en cursus licence (+ 0,7 %) et en cursus master (+ 1,4 %) et diminuent en cursus doctorat (- 2,2 %).
Le nombre de nouveaux entrants, étudiants inscrits pour la première fois à l’univer-sité en première année du cursus licence (y compris les disciplines de santé et les IUT), augmente en 2012-2013 (+ 2,1 %), après une hausse de 1,3 % en 2011-2012. Cette progression est liée à la hausse du nombre de bacheliers à la session de juin 2012 (+ 7,1 %). Les inscriptions de nouveaux entrants sont en hausse en IUT (+ 1,5 %), dans les disciplines de santé (+ 7,5 %) et dans les disciplines générales (+ 2,2 %).
Télécharger la note "NI 14.01 Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013". NI 14.01 Tableaux : Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2012-2013.

Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 784 949
Formation Continue du Supérieur
Archives