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Formation Continue du Supérieur
14 août 2013

Les pôles de compétitivité, courroies de transmission des stratégies de filières

http://www.redressement-productif.gouv.fr/files/imagecache/image_information_default/competitivite-gouv-fr.jpgLa 12e journée nationale des pôles de compétitivité a permis de souligner l’importance de ces derniers dans la stratégie de filières industrielles. Cette journée a également été marquée par l’annonce d’une enveloppe de 100M€ pour des prêts destinés à favoriser l’industrialisation des résultats des projets de R&D des pôles.
La 12e journée nationale des pôles de compétitivité s’est tenue le 8 juillet 2013 à Bercy, en présence de M. Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif et de Mme Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique. Les deux ministres ont rappelé le rôle déterminant des 71 pôles dans la stratégie de filières industrielles du Gouvernement. Ils ont appelé au renforcement des liens existants. Participant aux travaux du nouveau Conseil national de l’industrie, les pôles de compétitivité dynamisent les filières en apportant une connaissance fine des sujets d’innovation et de leur ancrage territorial.
Cette journée a également été l’occasion d’annoncer la mise en place, dès le mois d’octobre 2013, de prêts bonifiés à hauteur de 100M€, au titre des investissements d’avenir. Ils seront destinés à favoriser l’industrialisation et la commercialisation des produits innovants directement issus des projets collaboratifs de R&D des pôles. Ancrés dans la nouvelle phase de la politique des pôles, ces prêts soulignent la volonté du Gouvernement de favoriser le passage de « l’usine à projets » à « l’usine à produits d’avenir ».

14 août 2013

11 projets structurants de R&D des pôles de compétitivité sélectionnés dans le cadre du programme des investissements d’avenir

http://www.redressement-productif.gouv.fr/files/imagecache/image_information_default/competitivite-gouv-fr.jpgHautement collaboratifs, ces projets laissent une large place aux PME et entreprises de taille intermédiaire (ETI). Ils relèvent de thématiques variées. Démonstration, preuves à l’appui.

  • Des projets porteurs d’innovations fortes et créateurs de richesse pour le territoire national
    • Développement de traitements par neurostimulation de l’obésité ou d’affections cardiaques ;
    • Perfectionnement d’un robot humanoïde d’1m80 permettant de nouveaux modes d’assistance à domicile ;
    • Développement de l’usage du lin dans les composites pour l’automobile ou l’aéronautique ;
    • Soutien aux thérapies cellulaires pour traiter certains types de diabètes ou de cancer ;
    • Création d’une roue motorisée…les projets structurants de R&D des pôles de compétitivité (PSPC) visent à soutenir, en lien avec la dynamique des pôles de compétitivité, des projets d’avant-garde de l’industrie française.
    • Des projets répartis sur tout le territoire métropolitain avec 26 pôles de compétitivité impliqués et 20 régions concernées ;
    • Des travaux hautement collaboratifs : les projets regroupent 13 partenaires en moyenne, dont plus de 55 % d’entreprises, alors que les règles de l’appel à projets prévoient un consortium minimum de 3 partenaires ;
    • Une implication forte des PME et ETI : 40 % des partenaires des projets PSPC sont des PME, 10 % des ETI.
  • Des projets sélectionnés de taille variable, en moyenne plus importante que dans le cadre des outils classiques de soutien à la R&D
    • L’assiette de dépenses de R&D de l’ensemble des partenaires d’un projet s’élève en moyenne à 29,5 M€, pour un montant d‘aide attendue en moyenne de 12,6 M€ ;
  • Une intervention forte de l’État à travers le programme des investissements d’avenir ;
  • Sur l’ensemble des projets, l’État apporte une aide qui s’élève déjà à 138,4 M€, soit 61,9 M€ d’avances remboursables et 76,5 M€ de subventions. Les projets sélectionnés relèvent de thématiques très variées en cohérence avec la richesse des champs couverts par les pôles de compétitivité.

Qu’est-ce que les projets structurants de R&D des pôles (PSPC) ?
Il s’agit de projets ayant vocation à structurer les filières industrielles ou à en faire émerger de nouvelles. Ils visent à renforcer les positions des entreprises françaises sur les marchés porteurs. Plus largement, ils ont l’ambition d’améliorer la position économique d’un tissu d’entreprises, en confortant ou construisant des relations collaboratives pérennes entre industries, services et organismes de recherche. Il s’agit donc de projets de R&D à finalité
économique marquée. À terme, ces projets déboucheront sur de nouveaux produits, services et procédés commercialisés.
Ces projets s’intègrent dans la stratégie d’innovation du ou des pôle(s) de compétitivité qui les soutient. Ils peuvent couvrir l’ensemble du spectre de la recherche jusqu’au prototype industriel de préfabrication.

14 août 2013

Le lancement du 17e appel à projets du Fonds unique interministériel prévu à l’automne

http://www.redressement-productif.gouv.fr/files/imagecache/image_information_default/competitivite-gouv-fr.jpgLe 17e appel à projets du Fonds unique interministériel débutera à l’automne 2013. Le calendrier de cet appel à projets retrouvera son rythme habituel.
Les porteurs de projets auront donc jusqu’à fin novembre pour obtenir la labellisation d’un ou de plusieurs pôles de compétitivité et déposer leur dossier de candidature en ligne, sur l’extranet sécurisé de Bpifrance.
Les projets seront étudiés notamment à la lumière des critères suivants :

  • Le contenu fortement innovant du projet ;
  • La capacité du projet à permettre le développement de nouveaux produits, services ou procédés présentant des perspectives de marchés crédibles et significatives, et donc des retombées en termes d’activité économique et d’emplois ;
  • La qualité du partenariat entre les acteurs du projet.

La liste des projets retenus sera communiquée dans le courant du mois de mars 2014.

25 juin 2013

Eurasia: The Silk Road to Competitiveness

http://www.oecd.org/media/oecdorg/styleassets/images/header/logooecd_en.pngToday’s post is by Antonio Somma and Vanessa Vallée of the OECD Global Relations Secretariat’s Private Sector Development Division
Seen from a sweltering hotel lobby surrounded by palm trees, the view could be considered somewhat surprising. Turquoise beach? Sand covered surfers? No, try a snow swept tundra and ultra modern skyscrapers plated with 10-story TV screens. We’re in Astana, Kazakhstan and it’s February. Welcome to today’s Eurasia, land of contrasts.
Twenty-five years ago the story was different.  Most of the thirteen economies of Eurasia taking part in the OECD Eurasia Competitiveness Programme shared the same Soviet institutions which kept a lid on economic, political and social differences. Today the lid is off and divergences between countries are growing as they race to find a place in the global economy. Take the income gap: in 1990, average GDP per capita for the region was $4670 USD with the richest country four times better off than the poorest. By 2010, the gap had widened to almost seven times (if Afghanistan is excluded) between the region’s growth leader, Belarus, and Tajikistan. Read more...

9 juin 2013

La gestion des âges en entreprise: un facteur de compétitivité

http://www.formation.paysdelaloire.fr/fileadmin/templates/v1/newsletterv2/3-Formation/maquette/banniere.pngL’intégration des jeunes, le maintien et le recrutement des séniors en entreprise, la collaboration intergénérationnelle… Voilà autant de questions qui se posent de façon accrue aujourd’hui dans les entreprises avec la crise économique, l’accroissement du chômage des jeunes, le vieillissement de la population, le déficit du régime de retraite... Or la transmission des savoirs et des compétences et la mixité intergénérationnelle peuvent se révéler de vrais facteurs de compétitivité pour les entreprises. C’est ce qu’entend démontrer l’Aract, à l’occasion du séminaire qu’elle organise le 24 mai, en partenariat avec la Dirrecte et la Région, à l’intention des acteurs régionaux du développement économique (entreprises, acteurs de branches, organisations professionnelles, partenaires sociaux…) et de la formation professionnelle. Suite de l'article...
The integration of young people, the retention and recruitment of senior in business, intergenerational cooperation. More...
19 mars 2013

Why competition isn't helping our universities

http://bathknightblog.com/wp-content/uploads/2011/07/telegraph-logo.jpgRemoving government price controls on university tuition fees won't help, says Gervas Huxley. Reputation trumps both economic cost and quality. The belief that students must pay for their own education has almost always been promoted in tandem with a second logically separate argument: the belief that higher education is a competitive market subject to government-enforced price controls. If these price controls are removed, the theory goes, Adam Smith's ‘invisible hand’ will work its magic: competition will in the long term reduce prices. Read more...
18 novembre 2012

Research transfer reform to boost competitiveness

http://enews.ksu.edu.sa/wp-content/uploads/2011/10/UWN.jpgBy Jane Marshall. Geneviève Fioraso, France’s minister for higher education and research, has announced plans for restructuring public research to make transfer of its personnel, expertise and technology to industry easier, and thus promote innovation, competitiveness and employment.
The transfer reform includes facilitating researcher mobility between the public and private sectors and introducing courses in innovation and entrepreneurship for researchers.
Fioraso said the policy was part of the government’s global strategy in favour of research, which was geared to consistently support basic research and develop technological research. More...

17 novembre 2012

Is More Competition Really Good for Higher Education?

http://chronicle.com/img/subscribe_11_2011.jpgBy Jeff Selingo. In many industries, competition lowers prices, promotes innovation, and often leads to product differentiation. But even with 4,500 colleges and universities, American higher education seems to defy those rules. Prices rise faster than inflation, colleges are seen as resistant to change, and there is a sameness to many institutions, despite all the rhetoric about the diversity of our higher-education system.
Few colleges want to be seen as “stepping away from the herd in meaningful ways” because they are so obsessed with moving to the next level, maintains the late J. Douglas Toma in a recent book, The Organization of Higher Education. More...

7 novembre 2012

Restaurer la compétitivité de l'économie française

http://www.institutmontaigne.org/medias/couvertures/vignette-competitivite.jpg?KeepThis=true&TB_iframe=true&height=430&width=700Le document de synthèse de l'Institut Montaigne, intitulé Restaurer la compétitivité de l'économie française, propose une stratégie globale et cohérente pour restaurer la compétitivité de l’économie française et sortir de la crise, d’une part en construisant une économie de la connaissance et d’autre part en engageant une politique forte en faveur de la compétitivité des entreprises. En savoir plus. Télécharger le document de synthèse. L'auteur: Charles Nicolas est responsable des affaires publiques de l'Institut Montaigne.
Extraits concernant la Formation dans le document de synthèse
II. AMELIORER L’INSERTION PROFESSIONNELLE DES JEUNES
II.2. Généraliser l’alternance à tous les niveaux de la formation initiale

Longtemps considérée comme une filière d’échec en France, l’alternance permet pourtant aux jeunes d’apprendre un métier, de développer des compétences, d’obtenir une qualification reconnue et valorisable et d’affiner leur projet professionnel. Elle fait le lien entre école et monde du travail et doit être envisagée comme une voie d’excellence tournée vers l’acquisition de compétences opérationnelles. Elle est en outre un véritable passeport pour l’emploi: en France, le taux d’insertion dans l’emploi six mois après la fin du contrat est d’environ 60% pour l’apprentissage et de 75% pour le contrat de professionnalisation.
L’intérêt des entreprises pour l’alternance est également avéré. Cependant, les PME ont plus de difficultés que les grands groupes à engager de tels programmes, alors même qu’elles souhaiteraient y recourir pour le renforcement de leur coeur de métier, la professionnalisation des fonctions support et l’adaptation à la conjoncture. Leurs démarches en ce sens devraient être facilitées.
Pour la généralisation et l’amélioration du système, il faut que des formations en alternance soient systématiquement proposées dans les lycées professionnels et au sein des licences professionnelles, ainsi qu’en deuxième année de master (M2). La taxe d’apprentissage devrait être réorientée au profit des jeunes les moins diplômés et progressivement remplacée par des circuits de financement plus courts entre les entreprises et les établissements.
II.3. Assurer une gestion véritablement décentralisée de l’insertion professionnelle des jeunes

Les structures et les mécanismes d’accompagnement des jeunes vers l’emploi sont un levier crucial pour leur insertion. La réussite de leur mission dépend notamment de la capacité des services publics sociaux et d’emploi à répondre de manière efficace, au niveau local, en collaboration les uns avec les autres, aux besoins des recruteurs et des jeunes. En France, les nombreuses institutions publiques en charge des jeunes travaillent « en silo », voire en concurrence les unes avec les autres. Le pilotage s’effectue au niveau national, régional ou départemental, sans véritable leadership ni cohérence à l’échelle du territoire. C’est pourtant là le cadre de la rencontre entre jeunes et recruteurs. Ces derniers peinent à trouver un interlocuteur capable de les aider dans l’identification des potentiels, la diffusion de l’information et le recrutement.
Pour que les politiques d’insertion des jeunes soient pilotées et coordonnées au niveau des bassins d’emploi, il est nécessaire d’identifier pour chacun d’entre eux un chef de file chargé de coordonner l’ensemble des dispositifs existants.
Les jeunes devraient disposer d’un « guichet unique » efficace qui leur donne accès à une bonne orientation professionnelle, aux offres de Pôle emploi et aux services sociaux, ainsi que d’un référent unique apte à opérer auprès d’eux un suivi individualisé. Les collèges et les lycées devraient être associés à ces guichets uniques et disposer des moyens nécessaires pour prévenir le décrochage scolaire et accompagner les jeunes non diplômés vers l’emploi.
III. ENCOURAGER LA MOBILITE PROFESSIONNELLE CHOISIE
III.1. Réformer le financement de la formation professionnelle

La formation professionnelle doit prioritairement bénéficier aux plus fragiles, aux moins diplômés et aux moins qualifiés, pour faciliter leur insertion ou leur maintien dans l’emploi. Afin de mieux cibler les dépenses de formation sur ces publics, il faut en finir avec le système « former ou payer » induit par l’obligation légale de financement et le remplacer par un système de subventions. Celui-ci permettrait de moduler le taux de subventionnement, et donc l’incitation à (se) former, en fonction d’objectifs sociaux clairement identifiés (formation des seniors, des jeunes, des moins qualifiés, etc.). Les subventions diminuent le coût des formations et incitent les entreprises à former plus en réduisant les dépenses inefficaces.
Afin de compenser le coût pour les finances publiques d’un tel dispositif, il est possible de créer une cotisation sociale spécifiquement dédiée à la formation professionnelle, et se substituant à l’obligation légale. Cette cotisation serait d’un montant inférieur à l’obligation légale, sans que ceci mène à diminuer le montant global de la dépense de formation. En revanche, des dépenses de formation efficaces se substitueraient progressivement aux dépenses contraintes que génère aujourd’hui l’obligation légale.
III.2. Améliorer et étendre l’offre de formation

S’il est urgent de mieux orienter la formation professionnelle, cet effort doit être couplé, dans un souci d’efficacité du système, à une offre de formations mieux adaptée et plus complète.
Pour s’assurer de la qualité des formations qu’ils subventionnent, les pouvoirs publics s’appuient sur la certification des formations délivrée par des agences, publiques ou privées. Afin de garantir l’objectivité de cette certification, ces agences devraient être totalement indépendantes des prestataires ou des financeurs des activités à qui elles accordent leurs labels. D’une manière générale, toute initiative visant à évaluer la qualité de ces formations par des opérateurs indépendants et rigoureux sera précieuse.
Pour renforcer l’intérêt des salariés pour ces dispositifs, il serait utile de leur proposer davantage de formations portables d’un secteur à l’autre: elles doivent pour cela pouvoir être valorisées par leur contenu, leur certification et leur caractère diplômant. Il faut également, pour les salariés, faciliter l’accès à des congés formation ou reconversion, à partir d’une certaine durée de carrière professionnelle. Le coût pour les entreprises serait compensé par la réforme du système de financement.
The executive summary of the Institut Montaigne, entitled Restoring competitiveness of the French economy, offers a comprehensive and coherent strategy to restore the competitiveness of the French economy out of the crisis, on the one hand by building an economy knowledge and secondly by engaging a strong policy in favor of competitiveness. Learn more. Download the summary document. Author: Charles Nicolas is responsible for public affairs of the Institut Montaigne.
Extracts on Training in the summary document

II.
IMPROVING PROFESSIONAL INTEGRATION OF YOUNG
II.2.
Generalize the alternation at all levels of training
Long considered a failure chain in France, yet allows time for young people to learn a trade, develop skills, gain a recognized qualification and recoverable and refine their professional project.
It is the link between school and the world of work and should be considered as a way of excellence-oriented operational skills. It is also a passport to employment in France, the rate of integration in employment six months after the contract is approximately 60% for training and 75% for professional contract. More...

16 août 2012

Flawed exam system stops us competing in the world, says Gove

http://www.standard.co.uk/news/article169087.ece/BINARY/original/header_logo_new.pngBy Anna Davis, Education Correspondent. Michael Gove today launched a fresh attack on the exam system — a day before thousands of students receive their A-level results.
The Education Secretary said exams needed to be “modernised” to enable British students to compete with the rest of the world.
Sixth-formers are preparing to collect their A-level results in what experts said will be the toughest year yet for those who miss out on top grades.
“Near-miss” students who attempt to secure a place through clearing are likely to find it harder because universities can for the first time admit unlimited numbers of students with grades of AAB or above. Limits remain on the number of other students.
Andrea Robertson, of clearing organisation Ucas, said: “For some courses there is an increased likelihood that some institutions will not be able to accept near–miss applicants.”
Writing in The Times today, Mr Gove said politicians had failed to ensure the exam system worked in the interests of all students.
He said: “Our young people are as capable of academic excellence as anyone. They need to be. Because the world is getting more competitive and they are up against billions of others in the race for jobs and university places. That is why we must make sure that our exam system, the training ground on which they prepare for the adult world, can match the world’s best.
“Academic rigour is liberating, not limiting. Students with good passes, especially in traditional subjects, have more opportunities in life.” Chris Keates, general secretary of teachers’ union the NASUWT, said: “Tomorrow’s results are the culmination of an immense amount of hard work by students and schools, and for once it would be good if they could enjoy their success without the usual serial gripers seeking to undermine their achievements.
“This year’s results are being released against a backdrop of increasing attacks on our examinations system, with ministers and commentators seeking to whip up a false crisis about ‘gold standard’ qualifications, grade inflation and dumbing down.
A spokesman for higher education action group Universities UK said: “Students who didn’t get the grades they were hoping for should keep calm, speak to advisers on the phone, the admissions people and universities.”
Those starting university this year will be the first to pay £9,000 tuition fees. Despite a 50,000 drop in applications, there are still far more applicants than places.
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