Le terme de cadre a une origine militaire, et ce n’est sans doute pas un hasard si Marx, dans Le Capital, évoque la présence dans « l’armée industrielle » d’une « espèce particulière de salariés » composée « d’officiers supérieurs (directeurs, gérants) » et « d’officiers inférieurs (surveillants, inspecteurs, contremaîtres) », sortes d’auxiliaires du patronat exerçant des fonctions de direction et de surveillance à l’intérieur des usines. On peut donc dire que dès les origines du capitalisme, les cadres ont été identifiés comme figure intermédiaire entre le patron, propriétaire des moyens de production, et les travailleurs percevant un salaire en échange de leur force de travail. Plus...

« …au-delà du plafond de verre existent les murs de verre, qui témoignent d'une non-mixité de certains métiers : des métiers féminisés, souvent peu valorisés et peu payés, coexistent avec des métiers majoritairement masculinisés et mieux rétribués… ». Plus...

À l’heure où l’égalité entre les femmes et les hommes est déclarée « grande cause nationale» du quinquennat, Pôle emploi, opérateur engagé et responsable, se mobilise au quotidien pour mettre en place des actions en faveur de l’égalité professionnelle et de la mixité des métiers. Plus...

Jouets, livres, orientation scolaire…nous sommes confrontés, dès notre enfance, aux stéréotypes de genre, sources possibles des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes. Mais les histoires de princesses et de super héros ont-ils un impact sur l’avenir professionnel du jeune lecteur ? Faut-il en avoir peur. Plus...

Les idées reçues sur les radiations à Pôle emploi sont nombreuses. Retour dans cette infographie sur les quatre contrevérités les plus répandues. Plus...

De nombreuses idées reçues circulent sur les demandeurs d'emploi : ce sont des fraudeurs, ils touchent beaucoup d'allocations ou ne cherchent pas vraiment de travail... voilà des mensonges qu'il faut combattre. Cette infographie rappelle quelques vérités trop souvent omises dans les discours sur les demandeurs d'emploi. Plus...

Pôle emploi, c’est près de 600 000 offres disponibles au quotidien, un chiffre que nous cherchons à améliorer chaque jour en travaillant toujours plus étroitement avec les entreprises et avec les autres sites d’emploi. Comment sont-elles collectées ? Comment veiller à leur qualité ? Décryptage. Plus...

Parce que l'accompagnement d’un projet de création d’entreprise favorise sa réussite (76% sont en activité 3 ans après[3]), plusieurs dispositifs sont proposés aux entrepreneurs à chaque étape de leur parcours.

• En amont de la démarche, la prestation Activ’Créa pour soutenir les demandeurs d'emploi dans leur réflexion et déterminer si le démarrage d’un parcours de création est pertinent et adapté.
• Une fois engagés dans la démarche de création d'entreprise, les demandeurs d'emploi sont orientés vers notre réseau de partenaires, pour bénéficier d’un accompagnement spécialisé en fonction de leur projet (exemples : le réseau BGE, l’ADIE, Initiative France, les CCI).
• Pour répondre aux nouveaux usages du numérique, a été mis en ligne un espace dédié sur notre Emploi Store ! Trouver son financement, choisir son statut, préparer son business plan : plus de 40 services y sont disponibles gratuitement pour aider les entrepreneurs à toutes les étapes de leur projet. Plus...

De nouvelles prévisions financières, adoptées par le Bureau de l'Unédic, anticipent une amélioration de la situation financière de l'Assurance chômage sur la période 2018-2019.

• Après un déficit estimé à 3,6 Mds d’€ en 2017, l’Unédic prévoit un déficit de 2,0 Mds d’€ en 2018 puis de 0,6 Md d’€ en 2019. Sous les effets d’une croissance et d’une inflation plus fortes, et de la convention d’assurance chômage d’avril 2017, le déficit de l’Assurance chômage a baissé de -0,7 Md d’€ en 2017 et diminuerait plus nettement en 2018 et 2019, à raison d’environ -1,5 Md d’€ par an.
• Avec le retour à une conjoncture plus favorable, le solde de l’Assurance chômage se rapprocherait de l’équilibre en 2019 et le niveau de la dette se stabiliserait à 36,2 Mds d’€ fin 2019, soit 11 mois de recettes. Sans la convention d’assurance chômage d’avril 2017, en vigueur depuis octobre dernier, la dette à fin 2019 aurait été plus élevée d’environ 1,3 Md d’€. Plus...